Un Été À La Campagne - 2
Je savais que javais deux jours devant moi, et je les mis à profit.
Je filais à A. et trouvais un magasin dinformatique dans lequel jachetais trois petites caméras go pro à déclenchement automatique avec une mémoire importante. Revenu à la bergerie, je les installais pour couvrir plusieurs angles et les dissimulais le mieux possible.
Jai laissé passer la journée de la nouvelle rencontre entre les amants et, à la nuit tombée, je suis venu rechercher les caméras. Fébrile, jai mis une première carte mémoire dans mon ordinateur. Cétait celle qui les avait pris depuis la porte, donc plutôt de dos.
Tout dabord, on voyait Louise entrer la première, et sasseoir sur le banc à côté de la table.
Elle était de profil et je voyais sa généreuse poitrine tendre son chemisier. Elle a écarté les jambes, sest un peu soulevée, et je lai vu enlever sa culotte et la mettre dans un petit sac quelle avait apporté.
- La coquine ne perd pas de temps, me suis-je dit, elle se prépare déjà !
Gérard était un peu en retard. Elle sest levé et à commencer à faire les cent pas dans la maisonnette. Javais peur quelle aperçoive une des caméras.
Je lentendais marmonner mais ne pouvait saisir ce quelle disait. Sans doute râlait-elle un peu de devoir attendre le maire.
Tout à coup, elle a sorti une couverture légère de son sac, la étendue sur la table, et sy est allongée sur le dos, relevant sa jupe et écartant les cuisses.
La vue était splendide, incroyable, je voyais sa chatte ouverte, quelle a commencé à caresser.
Je lentendais gémir doucement.
Puis un rai de soleil a pénétré la pénombre quand Gérard est entré.
De dos, je lai vu sarrêter devant le spectacle. Quand jai regardé ensuite les autres cartes mémoire, dont celle qui prenait de lautre côté, jai pu voir quil était resté bouche bée devant cette femme offerte. Mais il na pas mis longtemps à réagir !
- Désolé, je suis à la bourre, mais je vais me faire pardonner ton attente.
Il sest approché, sest agenouillé, a pris les jambes de Louise, les a encore écartées, puis a posé sa bouche sur la vulve.
De dos, je ne voyais pas laction, mais jai entendu Louise gémir de plus en plus fort pendant quil la léchait consciencieusement.
- Oh, M. le maire, votre langue est bien pendue, tout le monde le sait dans le village, mais moi je sais quelle est aussi experte en suçage de moule ! Ah, mon Gérard, comme tu me suces bien. Prends mon clito, ahh, oui, aspire-le, ouhh, que cest bon.
Le maire sappliquait tant et tant quà la fin, jentendis un cri de jouissance que Louise essayait de retenir avec sa main.
- Ah, Gérard, tu es pardonné de ton retard, tu sais si bien me faire jouir du clito.
- Ah, ma Louise, je vais te baiser maintenant, tu mas excité avec tes cris de chienne.
- Attends, je veux moi aussi en avoir plein la bouche, viens à côté de moi.
Le maire a fait le tour de la table, a écarté le banc et approché sa queue de la bouche de la boulangère, qui sétait mise sur le côté.
La vision de la caméra redevenait parfaite, la bite dressée vue de profil entrait dans le bec dont les lèvres glissaient sur la tige.
Il a ainsi baisé la bouche de Louise quelques minutes, regardant la scène qui le faisait durcir encore plus.
- Ahhhh, cochonne, arrête, tu vas me faire gicler ! Je veux te baiser maintenant
- Mets-moi ton membre bien gros, mon Gérard, mais cette fois, ne te trompe pas de trou, jai encore mal au cul de la séance davant-hier.
Jai dû aller voir la scène sur la troisième caméra, avec une vue de profil à nouveau.
Il sest mis face à la fente, a posé son bout sur les lèvres, puis sest enfoncé très lentement, écartant les chairs peu à peu, le gland disparaissant, puis sa hampe sengloutissant dans le gouffre humide.
- Ooooo, ouiiiii, que cest doux, je te sens menvahir, mon chevalier, ton sexe mécarte le fourreau, je sens combien tu es puissant.
Le maire a commencé à la limer, et contrairement à la première fois où il avait avant tout cherché son plaisir, je voyais quaujourdhui il voulait vraiment amener son amante à exulter.
Il allait graduellement, accélérant puis ralentissant sa pénétration, tentant de détecter ce que souhaitait ce con dilaté par son énorme engin.
Louise lui donnait des indications par ses gémissements et ses paroles.
- Doucement, là, oui, ooo, mmmm, au fond, va au fond, ouiii, reste-y un peu, aaaaahh, retire toi vite. Non, reviens, vite dun coup ouuummmff, que cest bon, encore, vas-y vite, oui, oui, oui, mmmmmmmn oui, ahhh, ooooooh, lentement maintenant, aaaaaaaaaa la vache qe jaime être pénétrée ainsi, tu me baises vraiment bien Gérard, aaaaaaa, vas-y défonce moi la chatte maintenant, je veux te sentir jaillir au fond de moi.
Gérard sest mis en cadence, pilonnant le vagin, enfournant sa longue trique, la ramenant au bord des lèvres et senfouissant à nouveau.
Je voyais son visage se crisper peu à peu, et enfin, sortant du sexe suintant, il a éjaculé sur le ventre de Louise, à gros jets crémeux, poussant des grognements de satisfaction.
Puis il sest à nouveau agenouillé et sest remis à lécher le minou de la boulangère, appréciant de goûter les gouttes de son sperme étalées dessus, et a de nouveau fait jouir Louise.
Epuisée, celle-ci regardait son amant avec douceur et reconnaissance.
- Gérard, je voudrais passer une nuit avec toi un de ces jours, ces moments fugaces sont délicieux, mais imagine si nous avions plusieurs heures devant nous.
- Cela va être difficile, ma coquine, mais nous allons y réfléchir !
Ils se sont relevés, embrassés, rhabillés.
- Quand se revoit-on ? a demandé Gérard
- Je te le dirai quand tu passeras à la boulangerie, je ne sais pas trop. Sil y a du monde quand tu viendras, je te dirai une date à propos dautre chose et tu comprendras je pense.
Ils se sont séparés sur un dernier tendre baiser.
Jai arrêté de regarder le film. Bien sûr, je métais bien branlé pendant le visionnage, et je savourais davoir en main de quoi aller voir Louise, ou Gérard, très bientôt.
A suivre
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