Aux Pieds Du Mûr
Bonjour, jai déjà eu loccasion de rapporter quelques-unes de mes aventures bisexuelles dans les pages de ce remarquable site. Beaucoup de lecteurs mont écrit pour me remercier davoir mis en scène les heurs et malheurs des seniors, dont on ignore le plus souvent quils peuvent avoir une sexualité, quils aiment et quils aiment être aimés.
Sans vouloir r, jaimerais relater ici ma première expérience vraiment significative avec un autre homme. Il faut comprendre que malgré quelques tentatives plutôt ratées de relations homosexuelles vers la fin de mon adolescence, jai longtemps été un père de famille sans histoires, fidèle à mon épouse et attentif au bonheur de mes s. Mais le temps passant, les s ont fini par quitter la maison, ma femme a petit à petit perdu lappétit des galipettes, sans doute en partie à cause de mon propre désintérêt pour ses charmes. Jai attendu lâge de 56 ans pour aller au bout de fantasmes qui me tenaillaient déjà depuis des années.
A loccasion de mes premiers contacts sur des messageries en ligne, jai commencé à partager des caresses, puis des fellations de plus en plus fougueuses avec des hommes sur la même longueur donde que moi. Mon histoire commence vraiment quand jai fait la connaissance de Bernard, un presque-voisin un peu fantasque qui assurait avoir été homosexuel dans sa jeunesse, avant de se mettre en ménage avec une ex-lesbienne et de lui faire deux s.
Notre première rencontre a eu lieu dans sa voiture. Nous avons beaucoup discuté et il ne nous est finalement resté que peu de temps pour faire plus ample connaissance avec nos mains et nos langues. Ne pouvant recevoir ni lun ni lautre, nous avions décidé, pour une prochaine rencontre, de prendre une chambre dhôtel dans la zone dactivité voisine, mais au dernier moment il est apparu quil fallait réserver plusieurs jours à lavance.
Bref, le bide. Nous sommes allés apaiser nos libidos dans le parc régional naturel tout proche.
La prochaine fois a tardé à venir car le temps sétait vraiment gâté et nous étions tous deux très pris par nos activités respectives. Nous restions en contact par mail, à nous raconter des choses coquines et nous faire des promesses puis, un jour, est arrivé un message annonçant la bonne nouvelle. Le fils de Bernard ayant obtenu une bourse pour aller au Japon, son studio resterait vacant pendant quelques mois et pourrait nous servir de nid damour. «Prépare-toi», mécrivait Bernard qui mappelait maintenant «son chéri», car «je vais te faire lamour comme à une reine»....
Je passe sur les préliminaires car ce qui a le plus compté, en compte encore le plus pour moi, est cette première fois où Bernard et moi navons plus fait quun, nos corps étroitement enlacés et lui au plus profond de moi. Je dirais seulement que ces préliminaires avaient pour moi un goût dautant plus suave que je pensais sans cesse à ce qui allait suivre.
Au moment fatidique, Bernard était allongé sur le dos sur le petit lit détudiant, la verge fièrement pointée vers le ciel (je métais bien occupé de la mettre en état), revêtue dun préservatif dégoulinant de gel lubrifiant. Sur ses conseils, je me suis mis à genoux au-dessus de lui de façon à ce quen abaissant mon postérieur mon anus vienne directement reposer sur sa bite qui, je dois lavouer, avait un diamètre nettement supérieur à tout ce que javais déjà pu menfiler à titre privé. Heureusement que Bernard avait déjà préparé le terrain pendant les préliminaires, me mettant progressivement un, puis deux puis trois doigts ensemble enduits de gel, jusquà ce que je ne ressente plus de malaise. «Cest la position dAndromaque», me dit-il, «cest vraiment la meilleure pour commencer». Au rythme des soupirs et encouragements de Bernard, jai alors commencé à faire entrer moi-même, à mon propre rythme, ce superbe morceau de chair dure dans mon intimité. A ma grande surprise, mon anus déjà échauffé et travaillé semblait accepter lintrus sans trop de réticence. Je ressentais bien une brûlure due à la distension des muscles, mais rien des s et des souffrances promises aux candidats sodomites par les frères qui ont encadré mon adolescence. Bien au contraire, la brûlure a rapidement fait place au délice de me sentir rempli par Bernard à mesure que son vis senfonçait en moi, centimètre par centimètre, puis par les voluptueux frottements de son gland contre ma prostate. Je ne bandais plus du tout, mais un liquide blanc visqueux sécoulait de mon sexe sur le ventre de Bernard à chaque poussée du membre entrant.
Jai fini par me retrouver assis sur lentrejambe de Bernard, son sexe de presque vingt centimètres fiché jusquà la garde entre mes fesses.
La suite simagine aisément. Notre étreinte a été de plus en plus fougueuse et les mouvements de bite de plus en plus amples, de plus en plus rapides et profonds. Nous avons essayé plusieurs positions en échangeant des baisers torrides et des propos obscènes sous leffet du plaisir et de lexcitation. Javais complètement perdu la tête et je jouais de mes reins pour laider à entrer toujours plus loin, toujours plus profond. Je voulais être à lui, disparaître en lui, quil me prenne, quil se fonde en moi, quil me remplisse comme le métal en fusion remplit le moule. Bernard a joui le premier et, tandis que je restais allongé sur le lit, brisé et le trou béant après son retrait, il ma amené à lorgasme dans sa bouche experte. Ce serait une banalité de dire que je navais jamais joui aussi fort de ma vie.
Voilà Messieurs, Mesdames, comment un homme de 56 ans, époux, père et grand-père, sest fait enculer à couilles rabattues par son meilleur ami et nen garde aucune honte, mais bien au contraire, une immense fierté et un de ses plus tendres souvenirs.
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