Lili ( Suite)

Nous nous rencontrons à nouveau pour finir le programme que Lili a détaillé hier. Elle veut me faire jouir en me branlant deux fois, une fois avec la main droite et l’autre avec la main gauche. Pour finir, elle devrait me faire une branlette espagnole. Je veux bien tout ce qu’elle veut, il n’empêche que je serai le seul à avoir des orgasmes. Mais elle ?
Je sais qu’elle possède ses propres jouets. Si elle ne me veut pas dans son ventre, je la baiserai avec son gode, après lui avoir fourrer le cul de cet engin muni de boules de plus en plus grosses. Je mets mon propre programme au point quand je suis sur le palier.
Bien sur elle me reçoit toute nue pour que je sois bien excité. Nous nous embrassons. Je ne me gêne pas pour lui caresser la poitrine. Je quitte sa bouche pour sucer ses seins. Ma main est sur sa chatte. Elle qui ne voulait que me branler en est pour ses frais: être masturbée, pour elle est supérieur à masturber quelqu’un. J’ai posé deux doigts sur son bougeons. J’ai pu apprécier hier sa qualité de jouissance, aussi je sais comment la faire partir là haut, elle adore jouir. Alors mes doigts vont et viennent dans sa moule. Lili ne tient plus debout: elle va se coucher, les jambes hors du plumard.
Je suis nu en un quart de seconde, ma bite bien droite. Je me jette à ses pied, pas pour la demander en mariage, quoique ce que je compte lui faire, en principe les gens marié le pratique aussi.
Je mets la tête entre les cuisses de Lili. Ma langue lèche sa peau douce en montant lentement vers sa cachette. Dès que je suis à portée, elle me prend la tête pour me guider vers ses endroits les plus sensibles. C’est de toute façon là où je me proposais d’aller. Ma bouche se retrouve sur son clitoris que j’aspire. Quand je lui ai fait la même chose hier, elle jouissait. Aujourd’hui c’est pareil: elle se crispe juste avant de dire:
- Oui, Oui, continue, tu me fais du bien, c’est bon, tu vas me faire jouir. C’est B…o…n.

Je Jou…iiiiiii…..iiiiiiiiis.
J’entre ma langue dans son vagin où je ne reste pratiquement pas: je m’attaque à son anus. Je le lèche un moment: j’attends qu’elle me demande la suite.
- Oui, encule moi avec ta langue, mets moi là dans le cul.
Je trainaille un peu et enfin j’entre rapidement dans son rectum. Dès que je suis en elle, elle commence à suivre mes aller et venues. Sa main se pose sur son clitoris pour le branler: elle aime allier les plaisirs de la masturbation à ceux de la sodomie.
J’ai besoin de me vider les couilles, aussi dès sa jouissance, je la baise longtemps. Je la lime un bon moment d’abord pour moi, et ensuite pour elle. Je la sens jouir plusieurs fois.
Nous nous reposons un petit instant: je me relève pour aller chercher dans son tiroirs tous ce que je veux comme jouets. Elle les connais tous: c’est elle qui les a achetés et utilisés. Lili me pose des questions:
- Qu’est-ce que tu veux faire avec ça ?
- Te faire jouir.
- Comment ?
- En te les mettant là où il faut.
- Tu ne saura pas.
- Chiche.
Je n’attends plus, j’ai pris un stimulateur anal flexible composé de 12 boules de plus en plus grosses et une gode avec double stimulateur anal et clitoridien. Quand elle voit mon chois, elle semble satisfaite. Je la fait mettre bien installée sur le dos, l’oreiller bien mis sous sa tête pour qu’elle puisse me voir bricoler dans ses entrées.
Je lui fait sucer le stimulateur anal. Il me semble qu’elle ne veux pas le rendre. Je tire lentement sur l’anneau de la fin. Je fait glisser ce jouet tout le long de son corps, y compris dans sa fente. J’aurai pu le rentrer un instant dans sa chatte. J’arrête la promenade juste sur son anus.
Je le prends à pleine main pour entrer la première boule qui rentre très facilement. C’est bien simple je ne commence à forcer qu’à partir de la quatrième: elle gémit à partir de cet instant. J’ai des difficultés avec la dernière qui rentre en forçant beaucoup. Je sais que je la fait souffrir, elle supporte bien la douleur (d’ailleurs la douleur est proche de la jouissance). Ensuite je laisse le tout en place. Pour m’assurer de son plaisir je me penche sur elle pour lui manger le clitoris. Je sors ensuite une à une les boules: c’est pour moi qui voit ça de très près un spectacle drôlement excitant: j’en bande comme un âne. Je vois son anus s’ouvrir quand une boule va sortir, s’élargir complètement quand elle sort et enfin se refermer avant que la suivante arrive. A chaque passage, je laisse la boule juste quand elle élargi l’anus: elle a un orgasme.
Je ne peux plus me retenir: je laisse le reste des boules dans son cul et je la baise à nouveau. Elle ne gémit plus, elle hurle son plaisir: j’en ai au moins autant qu’elle en sentant moi aussi à travers ses muqueuses les boules restantes. Quand j’éjacule je sors de son sexe pour finir la tâche que je m’étais donnée.
Elle me supplie de l’embrasser avant d’aller plus loin. Au lieu d’un baiser traditionnel, se sont nos langues qui se caressent hors des bouches.
J’ai le gode en main. Je le met à fond dans son vagin, je mets le moteur en route: les billes tournent autour de sa cage, j’enfonce encore un peu et le papillon destiné à masturber le clitoris est en route. Enfin, la voyant prendre un plaisir sans nom, je met en route le stimulateur anal.
Lili se tortille dans tous les sens:
- C’est bien meilleur que quand je le fais seule, n’arrête pas, branles moi encore. L’ensemble est suivit de l’inévitable «  je jouis ». Je me tourne sur moi-même pour lui donner ma bite à lécher.
Lili en avait envie, sans oser le demander. Elle me prend comme un sucre d’orge, d’abord sa langue goutte le gland avant de prendre le tout dans la bouche. Tout est occupé chez elle, son con avec le gode, son cul avec les papillons du gode et sa bouche avec mon mandrin.
Soudain elle se déchaîne sur ma bite. Elle jouit et veux que je lui donne mon sperme. Je ne peux et ne veux plus me retenir: je lui donne ce qu’elle veut. Tout mon sperme part dans sa bouche: elle déguste.
Notre programme primitif n’a pas été respecté: elle ne m’a pas branlé ni avec ses main ni entre ses seins.
C’est une excellente excuse pour que je revienne demain.