Première Fellation - Julie La Rouge (04)
PREMIÈRE FELLATION - Julie la Rouge (04)
Hervé, directeur dune société dinformatique est très pris par ses affaires, il soccupe peu de sa jeune femme Armelle. Celle-ci apprend par une lettre anonyme et des photos jointes que son mari participe à des soirées dans des clubs échangistes. Elle est effondrée et veut divorcer. Se confiant à son amie denfance, Julie, celle-ci sert dintermédiaire auprès du mari et héberge provisoirement Armelle pour la nuit. Julie, profite du désarroi de son amie pour la faire se caresser devant elle, et, la pauvre femme ne sachant plus où elle en est, Julie lembrasse et la masturbe habilement jusquà lui provoquer plusieurs orgasmes. Armelle se laisse à rendre la pareille à son amie, se déchainant pour la première fois de sa vie dans une lubricité étonnante. Puis les deux femmes retournent au domicile dArmelle pour attendre Hervé.
Lorsque le mari dArmelle arrive enfin vers vingt et une heures, les retrouvailles sont un peu tendues. Heureusement, je détends latmosphère en riant et plaisantant avec mes deux amis avant de passer à table. Le dîner est silencieux et les regards que séchangent, gênés, nos deux tourtereaux, ne laissent pas présager une prompte réconciliation. Aussi, de retour au salon pour prendre le café, je prends les choses en main. Je fais raconter à Armelle la cause de sa frigidité, lobligeant à sexpliquer sur sa peur du sexe de lhomme suite aux agissements de son oncle lorsquelle était adolescente. Armelle laisse couler ses larmes en évoquant ce souvenir douloureux. Puis, je décris crûment à Hervé ce que jai fait découvrir à son épouse en lui apprenant à se masturber. Armelle est devenue rouge pivoine en mentendant décrire par le détail la découverte de sa féminité et de ses premiers émois. Je ne la laisse pourtant pas se reprendre.
- Ma chérie. À présent tu vas montrer à Hervé ce dont, tu es capable. Je veux que tu relèves ta robe et que tu écartes cette petite culotte en dentelle que tu as achetée tout spécialement à lattention de ton époux.
Armelle me regarde, épouvantée par ce que je viens de lui dire. Elle me connaît assez pour savoir que je suis capable de mettre m menace à exécution. Fermant les yeux et se renversant sur le canapé, elle retrousse le bas de sa robe en soie et glisse deux doigts dans lentrejambe de son slip. Hervé regarde intensément les doigts de son épouse qui sagitent dans la dentelle. Je me lève et je massois tout contre mon amie. Elle ouvre les yeux et me regarde dun air suppliant. Nen tenant pas compte. Je retrousse sa robe le plus haut possible, puis, écartant ses mains, je lui retire vivement son slip, exposant ainsi tout son bas-ventre à nos regards concupiscents. Je lui prends ses mains en les appliquant de chaque côté de sa vulve, tout en lui susurrant.
- Allons ma Chérie. Caresse-toi comme tu las si bien fait chez moi hier au soir. Fais voir à ton mari comment tu sais te faire du bien avec tes doigts pénétrant au fond de ton vagin et frotte bien ton clitoris ma chérie pour te faire jouir.
Armelle sanglote tout en se masturbant devant nous, écartant les replis de ses grandes lèvres à peine recouvertes des légers poils blonds qui forment un duvet bien doux autour de son pubis. Soudain, elle accélère le frottement de ses doigts sur le bouton érigé de son clitoris et cest en gémissant quelle se laisse aller, ayant certainement éprouvé un orgasme mystérieux encore inconnu chez elle. Alors elle sabandonne sur le sofa, épuisée par le plaisir sexuel quelle vient de ressentir, se blottissant langoureusement contre moi. Tout en lenlaçant, je lui prends sa bouche, introduisant ma langue entre ses lèvres qui souvrent facilement. Armelle répond avec fougue à mon baiser, ses sens exacerbés par ce que je viens de l'obliger à se faire, ayant oublié apparemment que son époux assiste à nos ébats lesbiens. Discrètement, je fais signe à Hervé de venir nous rejoindre. Celui-ci, ne perdant pas de temps, sagenouille entre les jambes de son épouse.
Pourtant, ne voulant pas quelle puisse se reprendre, je veux lui faire découvrir à présent le corps de lhomme qui partage sa vie et quelle connaît si peu. Je demande en catimini à Hervé si cela ne le gêne pas de se montrer nu devant moi. En souriant, il massure que cela ne le dérange nullement, comprenant sans doute un peu mes intentions. Il se déshabille donc en un tour de main, me faisant admirer le beau mâle que jai déjà vu à maintes reprises en maillot de bain, mais sans les attributs virils que je peux admirer aujourdhui. Son sexe est en érection complète et doit bien mesurer vingt bons centimètres de longueur et cinq centimètres de diamètre.
- Ma petite chérie arrête de taffoler ainsi. Tu as montré à Hervé que tu savais à présent prendre du plaisir avec ton délicieux minou. Il est temps à présent que tu fasses connaissance avec le sexe du mâle. Prends sa verge dans tes mains. Allons ne fait pas l. Cest le sexe de ton mari et tu en as la copropriété par ton mariage, comme le reste de son corps dailleurs.
Tout en lui parlant, je me suis agenouillée face au couple au bas du sofa et jai pris le membre érigé dHervé dans une main, tandis que de lautre, jattirais celle dArmelle que je posais dautorité sur le sexe de son mari. Cette situation peut paraître incongrue, mais à ce stade de lévolution de la sexualité de mon amie, je ne voyais pas dautre moyen pour arriver à mes fins. Tout en expliquant mes gestes, japprends à Armelle les mille façons de maîtriser un organe masculin. La verge à demi érigée dHervé est en train de prendre des proportions énormes entre nos doigts réunis. Prenant plaisir à caresser cette poupée de chair, mes doigts entrelacés avec ceux de mon amie opèrent une lente friction sur la colonne annelée. Alors, rabattant l'épais capuchon qui recouvre le gland, nos doigts tirent bien la peau vers l'arrière et le gros nud rouge et luisant se congestionne sous le regard confondu dArmelle qui ne peut détacher ses yeux du spectacle de lénorme verge de son mari quelle na jamais voulu contempler depuis leur mariage. Nos mains, tout en masturbant lentement la verge dressée, glissent sur la hampe avec délicatesse et font glisser la peau du membre noueux, décalottant le gland qui apparaît rouge violacé puis remontant la peau jusqu'à cacher complètement le prépuce.
- Ma Chérie, ne sois pas choquée, c'est ton mari après tout et il a droit à tes caresses. Regarde d'abord comment un homme est fait et contemple le sexe en érection de celui qui te désire et qui ne demande quà taimer. Allons ne soit pas effrayée, la bête ne va pas te sauter dessus. Pour l'instant, je voudrais seulement que tu regardes les préliminaires dont l'homme a aussi droit avant de faire l'amour.
Armelle, bien que mal à laise, est fascinée et ne repousse pas mes doigts qui masturbent ainsi son mari en même temps quelle. Je vois bien quelle prend, même à présent, un certain plaisir à sentir le sexe vibrer entre ses doigts malhabiles. Jen profite pour aller plus loin dans son éducation.
- Maintenant, tu sais, tous les hommes adorent certaines caresses que beaucoup de femmes refusent de leur faire. Souvent, c'est une des causes de leur infidélité quand ce n'est pas la première dans beaucoup de couples. Même si ton époux ne te las jamais demandé, te respectant trop à mon avis, tu te doutes de quoi on parle lorsquon évoque le mot fellation ? Oui, je vois que tu rougis et que cela doit te paraître dégoûtant. Pourtant comme moi hier et comme Hervé te las fait tout à lheure, nous tavons léché ta vulve et sucé ton petit bouton d'amour. Tu dois à ton cher et tendre époux la même chose. Regarde ! Et si tu veux m'accompagner, ne te gênes pas.
Je prends le sexe masculin entre mes lèvres, lui faisant des petits bisous sur toute la hampe, puis jengloutis la tige, enfonçant et retirant ma bouche alternativement avec lenteur, enfin, je lèche le gland turgescent et titille de la pointe de ma langue l'intérieur du méat. Armelle est complètement interdite de mon audace. Je ne sais si cest le fait que jose prendre en bouche le vit de son mari devant elle, ne tenant aucun compte quelle est la femme de lhomme que je pompe avec application, ou si, cette situation ambiguë nexcite ses sens et la fait se dépasser. Car, après un long moment d'hésitation, elle applique ses lèvres sur le bâton noueux enduit de salive, le léchant comme elle me voit faire. Soudain, me repoussant un peu par jalousie certainement et émoustillée par ce qu'elle ose faire, elle se décide à prendre en bouche la verge qui vibre sous la douceur de ses lèvres délicates, pompant sans hésiter le gland qui tressaute dans sa jolie bouche.
Le mari de mon amie se retient le plus possible, car il ne veut pas éjaculer, pas maintenant, voulant faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Mais son sperme remonte le canal de l'urètre au galop et il sent quil perle au bout de son gland. Je men aperçois en voyant son visage cramoisi et ses yeux qui me supplient dintervenir. Jécarte mon amie sans ménagement, prenant moi-même le bout entre mes lèvres, recevant aussitôt le jet brûlant qui gicle jusquau fond de ma gorge. Puis je me dégage pour que mon amie puisse voir les jets saccadés qui jaillissent du gland violacé. Je lèche le jus qui coule le long de la hampe et enfourne le membre dans ma bouche pour le ressortir gluant de sperme. Armelle, qui a d'abord eu un mouvement de répulsion en voyant le foutre qui jaillit par saccades, se décide à faire comme moi, elle lèche aussi le membre maculé et ose le prendre dans sa bouche, absorbant un peu de la liqueur séminale qui reste encore. Apparemment, elle ne trouve plus cela répugnant, goûtant la saveur qui en est légèrement salée. Surtout, elle semble heureuse de voir le contentement de son époux, alors que se retirant, il se baisse et l'embrasse tendrement sur ses lèvres.
Les voyants tendrement enlacés, je méclipse en catimini et je rejoins ma chambre pour les laisser tous les deux se retrouver sans témoins. Je prends un bain chaud et je me masturbe pour apaiser mes sens exacerbés par cette soirée où jai beaucoup donné, mais rien reçu. Puis enfilant un déshabillé vaporeux, je me couche en songeant à la queue du bel Hervé que jai sucé avec un grand plaisir et qui maurait fait le plus grand bien en ce moment entre mes cuisses. Je plonge trois doigts dans ma chatte en feu, fouillant mes chairs avec force, mimaginant que cest Hervé qui me pilonne ainsi ma matrice qui laisse couler une mouille abondante.
À suivre
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