La Conversion À La Luxure De Marie 4 (Les Gages Punitions Et Manipulations)
La conversion de Marie à la luxure 3
(Les gages, punitions et manipulations)
- Bonsoir ma chérie
- Bonsoir mon homme !
- Ah bon, tu nen as quun ?
- Oui, bien sûr, imbécile ya que toi qui compte !
- Même si tu as encore le cul en feu tellement tu tes faite tringlée ?
- Je naime pas quand tu parles avec des mots grossiers !
- Tu préfères les actes ?
- Bon, arrête de me provoquer, sil te plait. Cest toi qui my as poussé !
- OK. A condition que tu mécrives très vite le récit de tes folies sans rien oublier.
- Daccord, jai déjà commencé en tattendant.
- Jespère que tu ne vas pas encore me servir lexposition à laquelle tu étais sensée aller alors que dès 18h, au mieux, tétais déjà en position ?
- -
. !!!!
Il y eut un moment de flottement
Pour lui éviter de senferrer dans un nouveau mensonge, je lui dis :
- Et Oui, tu mas envoyé un texto à 17h et des poussières pour me parler de lhôtel où vous étiez
Donc, soit vous navez fait que regarder lentrée de la galerie de peinture, soit vous avez décidé de ne pas y aller.
Comment il sappelait ce grand peintre prometteur, déjà ?
Je la sentis en perdition :
- Aller, laisse tomber. Je pense quil ny a jamais eu dexpo prévue.
Et que tu mas servi ce bobard pour ne pas avoir lair de retrouver Pierre uniquement pour te faire sauter.
- Ouuui ! Tu me pardonnes ?
- Bien sûr, mais tu auras une punition pour mavoir menti, alors que nous nous sommes promis de tout nous dire.
- Daccord, mais pas quelque chose qui me fasse du mal !
- Est-ce que je tai déjà fait du mal. Non, cest quelque chose qui devrait faire du bien à dautres
- Non, tu ne vas pas me faire coucher avec dautres types que Pierre. Un ça suffit.
- Tu découvriras ce que cest en temps utile.
En nous couchant, je lui dis :
- Bon, fais voir un peu ce con qui sest fait gamahucher et défoncer toute la nuit dernière.
Et sur ce, je la renversais sur le lit lui élevai les jambes au-dessus de la tête et la pris avec détermination dun grand coup de boutoir.
Lentrée avait tellement été visitée que même sil sétait écoulé près de 20 heures avant le dernier assaut de Pierre, et que ma queue nétait pas encore très ferme, les chairs étaient encore chaudes et bien tendres.
Je me retrouvai au fond de sa caverne du même coup.
- Et bien dis donc, tu ne tattarde pas sur la tendresse et les caresses !
- Pourquoi faire, je prends la suite dans ce qui mappartient en usufruit, même si je peux, le prêter ou le louer à des candidats qui savent en faire bon usage et bien labourer le terrain pour en améliorer la production !
- Cest comme ça que tu me vois ? Comme un terrain à labourer ?
- Oui ! Et il faut bien dire que si je ne tavais pas un peu poussée ce serait devenu une friche. Cest comme les cultures, il faut un peu de temps en temps changer de culture.
Nest-ce pas ? Changement dherbage réjouit les veaux !
- Voilà maintenant que tu me compares à
.
Et elle ne put pas finir pas sa phrase, elle fut prise dun râle languissant et lascif. Elle prenait son pied.
- Oui, cest bon !
Jen profitai pour relayer Pierre dans son éducation :
- Mais tes une grosse salope ! Tu tes faite défoncer toute la nuit et tes prête à en reprendre une fournée ?
-
.oh ! non ! Oui ! oh ! oh !
- Quoi oui ? Tes une salope ?
- Oui !
- Taime te faire monter ?
- Oui
Oh la la !
- Et plusieurs hommes de suite ça ne te fait pas peur ?
- Non !
- Bon, alors il faudra étudier la question.
Cétait déloyal. Je le savais. Je profitais de son état second pour lui faire dire des choses quelle ne pensait pas vraiment en lui posant des questions qui pouvaient être interprétées de plusieurs manières.
Ensuite, assez rapidement je lui lâchai toute ma semence et lui fit lécher mon mât. Il faut dire que depuis 17h et après le visionnage des scènes érotiques que les deux amants mavaient proposées jétais très excité.
Le lendemain matin au réveil, je la réveillai avec un cunnilingus très doux et affectueux qui eut pour effet de lui faire vibrer les cuisses. Ny tenant plus je la repris en missionnaire (comme papa et maman).
- Eh bien ! ça témoustille que je couche avec un autre homme !
- Non, ce qui mexcite cest de découvrir que javais raison quand je pensais que tétais une folle du cul. Et que ta cousine ne mavait pas raconté des mensonges
Jarrivai en avance au bureau et jenvoyai un mail à Pierre.
« Jai visionné les films avec beaucoup dintérêt. Je suis très satisfait.
Tu lui révèles ses tendances profondes.
Il faut continuer. Ne pas laisser refroidir.
Si tu pouvais la revoir la semaine prochaine ce serait bien.
D'ici là. Ce serait bien que tu lui envoies des textos très osés. Pour voir comment elle réagit.
Par exemple lui proposant des soirées plurielles ou sorties en club. Ou expérience Bi. Enfin quelque chose de nouveau, sans ment lui donner comme une proposition réelle. Lancer le bouchon, quoi.
Jai un certain nombre de textes très érotiques voire pornographiques. Si tu es daccord, je pourrais ten envoyer que tu lui adresses ? Ça permettrait de voir comment elle réagit. Enfin je te fais confiance. »
Je reçu dans la matinée la réponse suivante qui menchanta au plus haut point :
« Daccord avec toi. Jai envie de lui proposer de venir un matin de très bonne heure à mon bureau
Je filmerai. Je suis daccord pour que tu menvoies des textes. Tu sais, moi, je ne suis pas un intello du cul.
Je tenverrai copie des SMS que je lui fais. »
En début daprès-midi, je maperçus que javais déjà des copies de textos sur mon smartphone.
« Ma Marie. Je pense sans cesse à toi.
Ton cul que jai vraiment envie de te prendre.
Ta moule que je lécherais bien pendant des heures comme un petit caniche fidèle lèche la main de sa maîtresse.
Jai encore le goût de ton sexe en bouche.
Puis
« Amour. Tu mobsèdes. Je rêve de te faire « grimper aux rideaux » et ensuite de te regarder prise par un beau jeune black avec une queue de concours.
Puis de te reprendre derrière »
Encore
« Je suis fou de toi, de ta bouche, de tes seins, de tes petites et grandes lèvres, de ton intérieur, de ton extérieur de tous tes trous. »
Et enfin
« Impossible de ne pas penser à autre chose. Tu fais lamour comme une déesse.
Je suis sûr que ton petit trou est aussi impatient que tu lui révèles quil te donne du plaisir.
Je veux te voir très vite la semaine prochaine »
Pierre ne menvoya quune réponse que Marie lui avait faite.
Soit elle avait lu tous ses textos dun coup, soit elle ne savait pas comment répondre aux plus provocateurs :
« Moi aussi je pense à toi. Taime.
Suis aussi pressée de te revoir.
Me suis faite piégée par René.
Je texpliquerai. »
En fin daprès-midi jeus le texto suivant de Pierre :
« Lui ai proposé de venir à mon bureau, à la Défense, Lundi matin 5h30.
Réponse : Je vais voir si possible. Mais appelle-moi à 18h. »
Jadorais le tour que prenait cette relation triangulaire où chacun jouait à cache-cache avec les deux autres.
Juste avant de prendre ma voiture pour rentrer mon téléphone sonna. Cétait Pierre qui menvoyait un message:
« Cest daccord pour Lundi. Elle dit quelle va se débrouiller. »
Pendant la soirée à aucun moment Marie et moi nous nabordâmes le sujet de ses dévergondages, ni quelque sujet qui pouvait y faire penser.
Javais décidé de la laisser venir.
Le lendemain, le vendredi, plusieurs copies de SMS de Pierre et des copies de réponses de Marie. Toutes très chaudes.
Et même un envoi de Pierre à Marie en début daprès-midi :
« Amour. Fais une photo de ton minou que jaime et envoie la-moi. Sil te plait.
Jai peur doublier comment il est jusquà Lundi »
En fin daprès-midi, je reçu coup sur coup : Une photo de Marie sans culotte, les jambes écartées qui ouvrait avec ses mains ses lèvres.
On y voyait presque son point G.
Une copie de texto de Pierre « je veux te voir te toucher »
Et une nouvelle photo ou Marie ne sécartait plus la chatte, mais avait son doigt qui grattait son clitoris. Et un visage très souriant, avec en dessous : « Là tes satisfait ? »
-Non, cest toi qui dois te et me satisfaire
Ma réaction fut immédiatement de me demander si elle aurait fait ça si moi je lui avais demandé.
Et ensuite de me dire que pour faire cette photo aux heures de bureau il fallait quelle se soit drôlement désinhibée.
Même si en fermant son bureau à clé, ça ne devait pas être très compliqué à faire.
Je rentrai assez vite, nous devions partir le soir même en Bourgogne pour passer le weekend chez la mère de Marie.
Jétais aussi pressé parce que cétait à cette occasion que Marie aurait sa punition.
En arrivant, elle mattendait. Un quart dheure plus tard alors quelle était prête à monter dans la voiture je lui dis :
- Attends, stop. Cest là que tu vas avoir ta punition de petite Pinocchiotte !
- Comment ça ? Il faut quon parte, on ne va pas arriver chez ma mère à 1 heure du matin surtout si on sarrête pour manger en route
- Ce ne sera pas long, si tu exécutes ce que je te dis sans rechigner !
Enlève ta culotte !
Tu me la donnes et tu montes en voiture !
Elle sexécuta sans peine. Sétonnant visiblement que ce ne soit que cela que je lui demandais. Heureuse, de la faiblesse de la punition. Dans le passé javais déjà obtenu ça delle.
Une fois assis au volant et après avoir démarré je lui dis :
- Maintenant tu enlèves ta jupe et tu la mets sur la banquette arrière !
- Ah ! Non ! tu te rends compte il fait encore très jour et tous les routiers que lon va doubler, vont mater, tout ce que tu veux mais pas me laisser prendre pour une pute.
- Justement, cest ça la punition, tu ne croyais pas quand même ten tirer à bon compte ?
Et puis qui saura qui tu es, ils ne verront quune magnifique paire de cuisses, en regrettant de ne pas savoir à qui elles appartiennent.
- Non, je nai pas envie de le faire !
- Par contre me mentir effrontément, alors que tu dis que tu maimes, ça ne te dérange pas ?
- Non, pas ça chéri !
- Bon, alors, maintenant je tinterdis de revoir Pierre, pour me mentir encore.
-
Je sentais quelle hésitait beaucoup. Je ne dis rien, ne voulant pas brusquer plus.
Quitte à revenir en arrière plus tard et lui dire que javais exprès le trait pour voir jusquoù elle était capable daller.
Il se passa environ 10 minutes.
Nous roulions, le trafic sur lautoroute était fluide. Nous navions dû doubler que 2 ou 3 camions. Cest peut-être cela qui la décida.
Je la vis soulever ses fesses et enlever sa jupe après lavoir dégrafée...
Quand elle eut fini. Je lui dis :
-Jette là loin derrière sur la banquette pour que tu ne sois pas tentée de la reprendre au premier camionneur qui aura un regard appuyé sur tes cuisses.
Un routier qui aurait regardé vers nous aurait vu alors une femme avec ses seuls porte-jarretelles et ses bas. Et sil avait bien scruté il aurait même discerné une petite touffe de poils en haut du pubis qui laissait penser que Madame voyageait sans culotte.
Jeus beau ralentir régulièrement en arrivant à la hauteur de la cabine quand nous doublions un camion, je neus que peu de réactions. Quelques petits appels de phares une fois doublés certains.
Cest après lembranchement de Courtenay que ce que jespérais depuis le départ se produisit.
Un routier italien auquel javais fait mon petit numéro de ralentissement (Marie faisait semblant de ne pas sen rendre compte, de sommeiller)) se mit à accélérer pour rester à notre hauteur et profiter du spectacle plus longtemps.
Il y avait trois voitures derrière moi qui simpatientaient pour doubler. Après avoir beaucoup ralenti, je résolus de me rabattre derrière le camion pour les laisser passer et reprendre place dans un bon plan de vision dès quils furent partis. Je mimaginais ce type qui avait encore plusieurs centaines de kilomètres à faire pour rentrer de nuit chez lui, le niveau dexcitation qui devait être le sien.
Après 5 minutes de ce stratagème - je me rabattais dès quune voiture arrivait et reprenais ma place ensuite - je me décidai à accélérer définitivement. A ma surprise je vis le routier mettre son clignotant sur la droite. Il me signifiait quil avait envie que nous nous arrêtions à la première aire de repos.
Je ne répondis pas. Ce nétait pas ce que je recherchais pour linstant ; cétait trop pour que Marie supporte un contact quelconque avec ce type.
De plus, Nous étions déjà en retard. Et nous avions prévu de nous arrêter pour un repas vite fait à laire de « Venoy Soleil levant ». Mais cela me donna une idée pour la suite.
Pendant tout le temps quavait duré mes manigances, Marie avait fait comme si elle ne sen rendait pas compte, elle fermait les yeux comme si elle sendormait.
Je fis celui qui la réveillait, et lui redonnai sa jupe, mais en gardant sa culotte.
Après à peine une demi-heure darrêt à la cafétéria, nous repartîmes et je demandai à Marie de me remettre sa jupe à larrière.
- Tu tarrêteras et tu me redonneras tout avant quon arrive chez ma mère, quelle ne se doute de rien.
- Bien sûr ma chérie ! Je ne fais pas ça pour te nuire. Mais pour te rendre à laise et fière de ton corps.
Jessayai de rouler régulièrement. Je savais quaprès un repas même frugal, si la conduite nétait pas saccadée, il y avait de grande chance que Marie sendorme. Pour ly pousser je remontai un peu la température intérieure jusquà 22°.
Cela ne rata pas, après une trentaine de kilomètres, je me rendis compte quelle dormait vraiment cette fois.
Nous allions bientôt arriver vers Avallon
. Puis laire de service de « La Chaponne ». Où, outre un relai pour se reposer et se soulager, juste derrière, il y avait lemplacement parking des poids lourds.
Jy entrai en rétrogradant sans à coup et en réduisant ma vitesse très progressivement et vins me garer au milieu des camions. Javais décidé daller aux toilettes en verrouillant les portes de la voiture et en espérant quun chauffeur apercevrait Marie malgré la nuit qui commençait à tomber.
Je sortis doucement de la voiture et nenclenchai le mécanisme de fermeture quà une dizaine de mètres plus loin, afin que si le bruit réveilla Marie , je ne sois plus près du véhicule.
Quand je revins 5 minutes plus tard. Je vis de loin deux gaillards qui faisaient des gestes le long de la vitre du côté de Marie alors quelle était penchée par-dessus le montant de son siège pour attr sa jupe.
Quand ils me virent arriver, ils me dirent quelque chose que je ne comprenais pas (ce devait être une langue de lun de ces Pays de lEst dont les chauffeurs sont partout sur nos routes) en me faisant un signe en direction de leur camion qui était garé un peu plus loin de notre voiture.
Je fis mine de me fâcher et les invectivai à voix très haute, afin que Marie crut en ma bonne foi.
- Tu te rends compte, tu mas laissée dans cette tenue au milieu de ces obsédés sexuels !!!
- Mais chérie, tu dormais profondément et je me suis mis loin de tout, il faisait nuit, et aucun camion nétait là quand je me suis arrêté.
- Menteur, tu las fait exprès ! Pour me provoquer et me faire honte !
- Absolument pas pour te faire honte, mon amour ; Tu nas pas à avoir honte de ton corps même exposé.
- Te fous pas de ma gueule ! tes un grand malade ! Et si la porte avait été ouverte, ou sils avaient cassé la vitre ?
- Alors, ils tauraient sauté, et peut-être que taurais aimé
Non, je vanne, cétait fermé, et personne naurait jamais cassé la vitre, arrête de te raconter des histoires auxquelles tu ne crois pas toi-même !
- Nempêches ne me refais jamais un coup pareil ! Ça non plus ce nest pas dans notre contrat. On a dit : rien que des choses avec lesquelles je serai daccord.
- Excuse-moi, je ne pensais pas que ça se passerait comme ça. OK. Que des trucs où tu es daccord. Donc, je ne ferai plus rien si je ne tai pas convaincue avant.
- Tiens puisquon en est là. Lundi, je pars de très bonne heure, jai une classe de seconde (vous lavez compris, Marie est proviseur de Lycée, sans (e) à proviseur, elle y tient) qui part pour un séjour de plusieurs jours à Rome et dans le Nord de lItalie avec les profs dhistoire. Cest mon adjoint qui devait être avec eux au départ, mais il est malade. Il faut que jy sois à 5 heures 15.
Le culot !!!
Après mavoir fait la leçon ; et sêtre offusquée de mes manières, voilà quelle me remontait encore en bateau, avec un aplomb extraordinaire. Maline, la bougresse. Elle savait profiter des instants ou lautre était en déséquilibre pour laccompagner au sol. Sa culture extrême orientale lui servait bien.
Je décidai de faire comme si.
- Il faudra quand même que tu trouves un moment pour te reposer ou te détendre dans la journée.
Ça te fait lever à 4 heures du matin tout ça.
Ah ! Tu as trop de conscience professionnelle ! Et pour quels remerciements de ta hiérarchie pour te défoncer comme ça.
Je ne pouvais mempêcher de sourire et suis persuadé quelle aussi souriait du bon coup quelle venait de faire passer et pensait : « Je lai encore eu. Mais cette fois, il ne faut pas que je me plante. »
Nous passâmes un très bon WE et comme nous navions pas grand-chose à faire, que le temps était pourri pour un mois de Mai, nous fîmes deux grandes siestes crapuleuses le Samedi et le Dimanche. Je trouvais Marie très « câline » depuis ses escapades avec Pierre. Et comme je ne voulais pas quelle se doute que javais des échanges avec lui. Jattendis le Lundi pour lire les messages de Pierre et voir ceux que ma coquine envoyait à son amant tout en faisant lamour avec moi. Je laissai mon tél sonner en lui disant :
- Ça doit-être encore un malade du bureau qui a une question urgente à me poser ou alors un tire au flanc qui mannonce quil ne pourra pas être au boulot Lundi.
Dimanche soir à notre retour, je la vis préparer ses affaires pour le lendemain. Elle avait choisi tout ce quil fallait pour donner des idées à son amant. Certes elle navait pas prévu la lingerie ouverte. Mais un ensemble de chez Cadolle constitué dun string blanc avec des attaches de côté, lacées par un joli petit nud (Il suffisait de les tirer pour que le string tombe) et un soutien-gorge très classe couvrant seulement la moitié inférieure des seins.
Le matin, je la vis finir de se pomponner dans la salle de bain attenante à notre chambre.
Pour rire, lors de nos échanges en rentrant de Bourgogne, alors quelle était dhumeur très badine, je lui avais dit :
- Tu sais, lorsquun homme te prendra ton petit trou, si ça tarrive un jour, il faut veiller avant à ce que tout le « tuyau » soit nickel. Lidéal cest quand il y a eu un lavement avant, comme ça pas de mauvaises surprises.
Je ne fus donc pas surpris lorsquelle fut partie de constater que la poire à lavement avait servi.
Je mempressai dappeler Pierre. Il était, lui aussi, en train de quitter son domicile.
Je lui dis :
- Question trou du diable, je crois que tu peux y aller, elle sy est préparée, mais vas-y doucement, et sil faut lubrifier nhésite pas, il ne faut surtout pas quelle en ressorte avec une mauvaise impression. Je compte sur toi pour lui faire aimer.
Devant son interrogation, je lui racontai quelle sétait faite un lavement.
Il me dit quil avait positionné les deux caméras la veille pour que je puisse avoir deux points de vue différents et que je nen rate pas une miette. Puis, me demanda si javais vu ses textos. Je me rendis compte que javais oublié et le lui dis.
Il me précisa que la prochaine étape pour lui serait une sortie en club. Et quil avait déjà quelque chose en vue.
Décidément Marie lui donnait beaucoup didées.
- Bon, alors quand est-ce que je peux récupérer les cartes ?
- Non, je te donnerai une clé USB, parce que je ne vais pas acheter des cartes à chaque fois. Je copierai les cartes sur la clé et à chaque échange tu me redonneras la clé vide. Tu peux passer à mon bureau dès 7h45, jai dit à Marie que nous arrêterions à 7h30, parce quil fallait que je remette mon bureau en état, pour une réunion de direction prévue à 8h.
Mon bureau est au 8 square Léon Blum. Tu me demandes, jaurai fait prévenir quon taccompagne.
- Très bonne idée. Je ferai moi, une clé avec tous vos exploits
Et jespère quun jour on pourra les regarder ensemble tous les trois.
Sur ce, je raccrochai et visionnai leurs échanges du WE. Pierre était toujours aussi provocateur sur certains propos. Par exemple il lui dit quil avait rêvé que, comme dans la BD de Manara, il lui avait greffé un stimulateur sexuel et qualors quelle se trouvait en réunion au Lycée avec ses profs et les parents délèves il avait actionné le « Déclic » et quelle sétait mise à sucer tous les hommes les uns après les autres.
En réponse Marie lui disait que nous étions tous des malades et lui racontait la punition que je lui avais infligée en omettant lépisode de larrêt à laire de repos, mais en relatant bien le jeu que javais joué avec le camionneur italien.
Comme quoi elle nen avait pas raté un instant tout en faisant mine de sen désintéresser.
A un autre moment elle lui avait envoyé une photo de ses seins, en lui demandant comment il les trouvait. Ou encore, elle lui avait raconté le bobard quelle mavait (croyait-elle) fait avaler pour le RDV de ce matin.
Avant daller au bureau, je passai récupérer les images à la Défense. Le bureau de Pierre était assez vaste, deux grandes baies occultables par des stores ajourés donnaient sur un « open space » ou devaient se trouver 5 ou 6 personnes qui devaient être ses collaborateurs. Jouxtant le bureau un espace de réunion et de convivialité et plus à lécart une table basse avec deux fauteuils bas et profonds. Quand jarrivai rien ne laissai supposé quil y avait eu là quoi que ce soit dillicite.
Il était très pressé, me remit la clé et me dit :
- Ça y est, elle nest plus vierge de larrière et après un moment difficile elle semble ne pas avoir détesté. Mais il faudra approfondir la prochaine fois. Là, question temps cétait un peu court. Mais jy suis revenu quand même deux fois sans aucune protestation. Elle ma demandé ce qui se passerait si quelquun faisait irruption dans le bureau. Je lui ai répondu que je dirai quelle était une nouvelle femme de ménage et que je testais ses compétences de technicienne de surface. Jai ajouté que dailleurs je la verrai bien en tenue de soubrette.
- Faut voir ?
Nous nous sommes séparés et, je suis retourné à mon travail. Ma journée sannonçait très difficile. Jenchainais le discours douverture dun séminaire interministériel sur lenfance en danger, puis laprès-midi, je devais recevoir dès 12h une délégation intersyndical, et ensuite à 14h, javais la traditionnelle réunion de bilan du premier Lundi du mois qui navait pas pu avoir lieu les deux derniers lundis.
Nous étions le 15 Mai.
Lordre du jour sannonçait chargé.
Quand arriverais-je à trouver le temps de visionner les vidéos ?
Pourtant ça devait être beaucoup plus passionnant que ces colloques, réunions, staffs
Dont la seul utilité était de flatter légo des chefs, faire des bilans qui nétaient jamais suivis deffets, des projets qui ne voyaient jamais le jour.
Et je ne voulais pas les regarder à la maison. Le temps nécessaire était beaucoup trop important, pour éveiller la méfiance de Marie. Je décidai, encore une fois de jouer les prolongations au bureau. Mais il faudrait que je trouve une solution à lavenir. Lidéal aurait été de regarder les vidéos de la fois précédente à chaque fois que Marie était avec Pierre. Mais cela avait deux inconvénients. Le premier était quil faudrait attendre une semaine
Le second que je ne pourrais pas dire à Pierre ce que jen pensais et le conseiller dans sa formation de Marie. Vivement que nous puissions tout lui dire et que ces séances de gymnastique rythmique et sportive aient lieu en ma présence, chez nous ou ailleurs.
Jappelai donc Marie :
- Tu vas pas le croire, je suis obligé de rester tard ce soir. Jai un rapport disciplinaire à faire
tu sais cest chiant et en général jai du mal à les écrire
. On va finir par croire quon se fuit. Toi tu pars aux aurores et moi je rentre à pas dheure
Cest le début de la distension des liens du couple. On est au bord du divorce
. En parlant de ça. Pas de nouvelles de Pierre ? Vous vous voyez quand ?
- Non, aucune nouvelle. Quelques messages langoureux et amoureux, mais pas de date.
- Ben, il attend que ce soit toi qui lui en proposes une. Cest ça dêtre une femme dautorité
les autres attendent que tu décides.
- Bon, je vais peut-être lappeler.
- Fais-le, pendant que je suis au bureau, comme ça tu pourras lui parler longuement sans que je sache toutes les cochonneries que vous vous dîtes !!!
Ne mattends pas pour te coucher.
Tu dois être crevée après ce matin brumeux et sportif que tu as du passé à tépuiser pour que tout aille comme tu veux.
Je connais ton côté perfectionniste et je sais limportance que tu attaches à ce que ces séjours pédagogiques soient fructueux pour tous. (lol lol et relol intérieur).
Je jouais de plein de sous-entendus qui avaient un double sens et qui pouvaient lui faire penser que jétais au courant de beaucoup de choses, mais qui en même temps pouvaient avoir une autre interprétation.
La déstabilisation et linquiétude sont dexcellents instruments dinfluence
Moi aussi javais quelques compétences en matière de stratégie et pas quorientale
En reposant le combiné et en regardant mon agenda, je me rendis compte que lanniversaire de Marie était le Dimanche suivant.
Panique !!!
Je navais rien prévu.
Habituellement chaque année pour le WE le plus proche je lemmenais dans un coin sympa, on se faisait un grand restau et elle avait un beau cadeau. Là rien, et en plus ça tombait pile un Dimanche.
Ma concentration sur les frasques de Marie depuis presque 3 semaines, mavait fait complètement oublier lanniversaire.
Comment pouvais-je me débrouiller pour trouver encore des places Hôtel et restau en 5 jours ???
En y réfléchissant une seule solution :
- Je devais premièrement squeezer une des réunions au programme de la journée pour men occuper.
-Ensuite, trouver très vite une idée de lieu ;
-Et pas le plus simple, trouver quelquun qui pouvait maider à trouver des places dhébergement sympa un WE de Mai (la chance était peut-être que ce week-end suivaient les deux de 3 jours du 1er et du 8).
Ma machine à neurones était en totale ébullition.
Et soudain Eurêka !!!
Lami Albert !
Il était expert-comptable, avait dans ses clients beaucoup de Relais-Châteaux. Et intérêt supplémentaire, je savais que cétait un grand libertin. Enfin, à lui seul, sil consentait à sintéresser à mon cas, il pouvait me régler tous mes problèmes. Tout organiser pour moi, sans que jaie à men occuper.
Il était déjà 8h45 et le séminaire débutait à 9h30 (heureusement dans nos locaux).
Jappelai tout de suite Albert sur son portable. Javais un moyen de le pousser à maider
Je lavais sorti dun mauvais pas dans lequel il était 3 mois auparavant.
Il était là et répondit tout de suite :
- Allô! vieux gredin ; comment tu vas ? Je vais pas perdre de temps en fioriture. Figure-toi que Dimanche prochain cest lanniversaire de Marie et que jai complètement oublié.
- Oh ! Le vilain, une si belle femme et douce avec ça !
- Arrête, cest pas le moment de me dire que ma femme te plait et que tu en ferais bien ton 4 heures ! Tu sais que chaque année je lui prévois un petit truc sympa en amoureux et là je suis coincé.
- Ben, tas quà me lenvoyer, je lui ferai sa fête !
- Ça suffit ! On parlera de ça plus tard ! Et peut-être un jour, je dis pas que si tu es très gentil avec moi, je ne daignerai pas te la prêter.
- Sérieux, elle se dévergonde ?
- Bon, jai dit on arrête !
- Bien quest-ce que tu attends de moi ?
- Rien de compliqué pour toi, que tu me trouves un Hôtel ou autre qui fasse aussi restau et classe. Donc, Restau bonne table le samedi soir et le dimanche midi. Et puisque tu en as parlé, si il y a quelque chose dun peu coquin au programme, sans que ce soit directement libertin, ça serait parfait.
IL y eut un blanc.
- Allô, Albert, ça a coupé ?
- Non, Mais cest la quadrature du cercle que tu me demandes ! Ecoute ! Jy réfléchis ! Et je te retéléphone dans la matinée.
- Non, tu me laisses un message et tu me dis quand je peux te rappeler ! Mais, peu importe ce que cest si cest bien. Il faut que tu me trouves quelque chose. A la cave, sur les toits, ou sur la lune peu importe du moment que tu trouves. Je te laisse il faut que jy aille.
Javais laissé Albert avec ses éventuelles illusions quant à une relation avec Marie, je nétais pas sûr quil lui plaise vraiment, mais ça ne pouvait que le motiver davantage pour me trouver une solution. A plusieurs reprises lors de nos rencontres en couples ou de soirées, il lui avait fait du rentre dedans, et à chaque fois elle mavait fait des remarques du type : « Ton copain, il est gonflé, il me drague ostensiblement sous les yeux de sa femme et de mon mari ; Il ne me plait pas »
Jallai à mon séminaire, il me fallut quelques minutes pour avoir vraiment lesprit à mon travail. Le séminaire se prolongea et il métait impossible de mabsenter, je vis seulement vers 11h quAlbert mavait envoyé un message :
- Appelle-moi entre midi et deux, jai trouvé une solution. Ça devrait plaire à Marie.
Javais hâte de pouvoir mentretenir avec lui. Malheureusement, à 12h, javais mes militants protestataires ;
Je décidai de les recevoir dans la salle de réunion, décourter ma participation à lentretien, et de les confier à mon adjoint pour la fin, prétextant un échange téléphonique important avec le préfet. Il me ferait, bien entendu, un compte-rendu fidèle et eux pouvaient me rappeler sil y avait le moindre problème.
Je méclipsais dès 12h30, trop pressé de savoir ce quAlbert avait trouvé. Et en même temps inquiet de peur quil ne mait trouvé un truc trop glauque.
- Allô, Albert ! Alors ?
- Honfleur, ça te dis ? Le Livarot, le Pont lévêque ! le Camembert ! Le Calva ?
- Arrête, tes pas drôle ! Cest quoi ton truc ?
- Un "Relais-Châteaux" : « La ferme Saint-Siméon », sur les hauteurs de Honfleur, ils ont réservé une chambre luxe-supérieure pour toi. Tu as du pot ils avaient une défection. Ils font restau. Très bien, je tai réservé une table pour le samedi soir, en disant que tétais une personne très importante pour moi, ils ont un petit salon privé
Il faut que tu confirmes avant 15h. Je connais très bien, jy fais des escapades coquines en bord de mer plusieurs fois par an. Vous serez comme des coqs en pâte. En plus ils font SPA, soins de beauté. Et connaissant les goûts de Marie pour lart, tu pourras lui dire que la demeure a accueilli beaucoup dimpressionnistes dont Monet et Courbet, le patron vous le dira dailleurs ; que Baudelaire y venait régulièrement (ah ! les Fleurs du mal !) et quEugène Boudin cite le lieu dans ses carnets. Si tu veux, ils ont un site sur internet.
- Cest un hôtel coquin ?
- Pas du tout, tout ce quil y a de plus sérieux. Mais, si tu veux faire une virée coquine le samedi soir, je te recommande le « Seven », petit club échangiste sympa à Rouen, je connais, pas glauque et bien tenu. DHonfleur tu en as pour à peu près une heure dAutoroute. Il y en a bien à Caen ou au Havre, mais pour quelquun qui nest pas habitué comme Marie, le « Seven » cest plus intimiste et moins déboussolant.
- Tes un mec super, je les appelle tout de suite. Et pour le club, on verra
Je pris un temps de réflexion
Albert me parlait de je ne sais quoi, une de ses histoires de fesse
je ne sais pas ce qui me prit, je lui dis, jétais tellement content que je ne réfléchis pas :
- Bon, je te laisse. Je suis pressé. Merci. On reparle un de ses jours de toi et Marie, jessaierai de tarranger ton coup.
- Oh ! Alors là, je vous offre à tous les deux un séjour tout compris, dans une résidence coquine dont je suis lun des piliers à Djerba. Depuis le temps que je rêve de ta femme ! Tu ne peux pas savoir ce quune belle femme mature un peu prude ça fait fantasmer les mecs comme moi !
Con ! Il allait falloir maintenant que je trouve à un moment loccasion et les moyens pour quAlbert arrive à coucher avec Marie. Sinon, après, il allait me casser les pieds sans arrêt.
Mais ce nétait pas le problème de lheure. Je cherchai sur internet « la Ferme Saint-Siméon ». Cétait apparemment tout à fait dans le style des Week-ends très classes, que joffrais habituellement à Marie. Jappelai Honfleur. Je me présentai. Je fus accueilli avec empressement et presque de lobséquiosité. Je me demandais ce quAlbert avait bien pu, leur vendre sur moi. Je confirmai la chambre et le dîner.
- Monsieur souhaite-t-il dîner dans le petit salon ou en salle ?
- Si vous avez une table possible dans un endroit intime avec une vue sympa, je préférerais en salle.
- Je vais voir, Monsieur, avec le patron, si cest possible
.
- Vous êtes toujours là, Monsieur ? Alors, Monsieur L. vous a trouvé un emplacement discret et très agréable en salle.
- Je vous remercie !
- A quelle heure compté vous arriver ?
- Vers 19h. Cela convient-il ?
- Cest parfait Monsieur. Et pour le dîner, on dit quelle heure ?
- Le temps quon se repose un peu, se détende, 21h nest-ce pas trop tard ?
- Non, non, Monsieur, cest bien. 21 heures. Autre chose Monsieur ?
- Oui, jallais oublier. Pourriez-vous faire livrer et installer dans notre chambre une trentaine de roses en mélange Rouge Carmin et Blanches. Savez-vous, Mademoiselle, le carmin cest la passion et le blanc, léternité
- Oui, Monsieur, je savais, mais Madame doit-être très belle et très heureuse
- Belle, Oui, jen suis sûr, heureuse, cest à elle quil faudrait le demander. Bon désolé Mademoiselle, au revoir et à Samedi.
Je respirais et ne pouvais pas mempêcher de jubiler. Encore une fois, javais réussi à men sortir. Maintenant, il restait à trouver une idée de cadeau et à me le procurer avant Samedi.
De plus, tout cela navait pas duré plus dun quart dheure, et je pouvais, comme de rien nétait, retourner à la réunion que javais quitté. Mon adjoint me fit le point, et je repris en mains les échanges.
Dès la fin de la réunion, jappelai Marie en lui disant :
- Chérie, au fait, je tai dit tout à lheure dappeler Pierre, mais jespère que tu nas pas oublié. Cest ton anniversaire, tu ne lui as pas proposé Samedi au moins ?
- Si, on avait prévu justement de se voir, et comme tu men parlais pas et que je voyais que tu étais débordé en ce moment ; je me suis dit que nous ne sortirions que le Dimanche
Pourquoi, tu memmènes quelque part ?
- Oui, comme dhabitude. On part à 17h de la maison dernier carat ! Pour la Normandie ; Jai trouvé un petit truc sympa qui devrait te plaire.
- Mais où ? La Normandie on y est déjà allé à plusieurs reprises.
Soudain, jeus un flash
Mais cétait bien sûr, on pouvait associer, son souhait sous-jacent de fêter son anniversaire avec son amant et notre escapade Normande. Mais il fallait que je lui dise tout sur le lieu et après que je marrange avec Pierre.
- A Honfleur, dans un « Relais-Châteaux » très classe, et qui évoque plein de souvenirs qui te seront chers.
- Super, mon amour. Mais, il faut que je rappelle Pierre pour me décommander.
Je savais en disant ça que je provoquerai son appel à Pierre. Il fallait donc que jai Pierre avant elle, pour que mon plan réussisse. Tout en maintenant Marie au bout du fil en propos habituels, je fis le numéro de portable de Pierre à partir de mon tél. de bureau. Il était occupé. Je lui laissai un message enregistré plus un SMS :
- Urgent, ne prends pas Marie au téléphone avant que nous nous soyons parlés.
Jappelai aussi son secrétariat, il men avait donné le numéro en cas durgence. Elle décrocha. Avant de lui parler, je dis à marie :
- Désolé, chérie je suis obligé de raccrocher, jai un autre appel en ligne. Je tembrasse.
-Oui, Bonjour, Madame, excusez-moi, puis-je parler à Pierre. Cest de la part de Monsieur A. Cest personnel, assez urgent.
-Ne raccrochez pas, Monsieur, je vous le passe dans 30 secondes, il est en communication, il vous prend tout de suite après.
......
-Je vous le passe...
- Allô, René, qu'est-ce qui se passe?
- Ecoute! Je ne vais pas être long, mais Marie a convenu avec toi d'un rendez-vous Samedi soir?
-Oui, mais elle m'a dit que tu étais au courant...
-Oui, mais pas exactement sur le jour. Il se trouve que c'est son anniversaire Dimanche.
-Mais elle ne m'en avait pas parlé!
-Bon, écoute, tous les ans je lui offre un weekend en amoureux? Comme je ne lui en avais pas encore parlé pour cette année, elle devait penser que je ne l'avais pas prévu. Mais si. Alors, j'ai une proposition à te faire si c'est possible.
-De quoi s'agit-il?
- Je l'emmène à Honfleur samedi. J'ai réservé un hôtel.
Le dimanche matin on ira se promener. Si tu pouvais te trouver dans le coin. On se croise. On boit un pot ensemble tous les trois et je lui dis:" Ma chérie, c'est quand même super que tu aies ton mari et ton amant ensemble pour te fêter ton anniversaire. Moi, j'ai eu droit au samedi et à une super nuit, ce ne serait pas normal que j'ai gâché votre soirée d'amour sans que vous aussi vous fêtiez ton anniversaire."
Et je vous dis:" Je vous laisse donc le dimanche pour vous, moi je t'ai eu hier soir et cette nuit. Je rentre." Et tu passes, le reste de la journée et la nuit du dimanche avec elle en plus, tu peux si ça te convient, en profiter sur le chemin du retour à passer par Rouen. J'ai un bon copain qui m'a recommandé le "Seven" un club échangiste, il parait que c'est très sympa. Ce serait une bonne découverte pour elle pour son anniversaire. En plus ça constiait, en douceur un premier pied dans les rencontres à trois que nous pourrions avoir ultérieurement. Et comme tu mas dit que la prochaine étape était une sortie en club !...
Bien sûr si tu es libre le dimanche et que ma proposition t'intéresse.
-Ouah, mais je suis libre dimanche pour ça pas de problème. En plus, le "Seven", je connais, j'ai dû y passer une soirée il y a deux ou trois ans. C'est vrai que pour une première expérience c'est pas mal. Mais le seul problème que je vois c'est cette pseudo extraordinaire coïncidence que je me trouve à Honfleur, en même temps que vous et qu'on s'y croise.
-Attends, j'ai tout prévu. Marie, ne devrait pas tarder à te rappeler pour te demander de changer le jour de votre rendez-vous.
-Elle vient de le faire, sur mon portable, pendant que tu me parlais. Je n'ai pas répondu, j'ai un SMS "urgent, rappelle-moi dès que tu peux".
-Quand tu l'auras, tu lui demandes ce qui fait ce changement. Elle va te dire que je l'emmène en weekend. Demande-lui ce qui lui vaut ce bonheur. Elle va t'expliquer qu'elle avait oublié ou quelque chose d'autre. Fais lui dire que c'est son anniversaire. Et que je l'emmène à Honfleur. Après tu lui dis que c'est dommage que toi aussi tu aurais pu lui souhaiter ton anniversaire. Fais lui un faux semblant de crise de jalousie. Et après tu lui dis: " mais je vais bien trouver un moyen pour te fêter ça moi aussi." Ensuite il suffit que tu te trouves à un endroit qu'on convienne ensemble vers 11 heures dimanche. Et là, dès qu'on se voit tu lui dis: "je ne suis venu là que pour te fêter ton anniversaire. Je t'avais dit que je le ferai". Ça fera du plus grand romantique, elle va craquer. Ensuite, mon discours vous laissant tous les deux, va lui faire plaisir et si elle marche, nous aurons eu tous les deux le beau rôle. Elle ne pourra que se satisfaire d'avoir un amant et un mari aussi prévenants et tout aussi amoureux d'elle.
En plus, après ça elle ne peut pas te refuser quand tu vas lui proposer de l'emmener en club le soir. Qu'est-ce que t'en penses?
-Que Machiavel n'aurait pas fait mieux. Je te savais manipulateur. Mais là, comme fusil à tirer dans les coins avec plusieurs cartouches, bravo! Je ne peux que te donner mon accord. Mais il restera deux choses à régler:- Qu'elle me dise vraiment que vous allez à Honfleur et que c'est son anniversaire. Ensuite il faudra que je trouve un cadeau à lui offrir qui ne fasse pas trop tarte, pour que ça aille avec le côté amoureux romantique de ma démarche.
-Arrête. Moi non plus j'ai pas encore acheté de cadeau. Il faut que je trouve vite une idée. Si j'en ai deux, je te donne la deuxième. Aller, salut, c'est pas tout, je repars au boulot, on mattend.
Je reparti en réunion, heureux. D'une Bérézina annoncée, j'avais fait un Austerlitz.
En sortant de réunion, je vis que Pierre m'avait laissé un message. "Ça marche, Tout comme prévu serait à Honfleur dimanche matin. Cordialement. Ai trouvé belle parure lingerie sexy classe, "Lise Charmel" comme cadeau.
Il fallait vraiment que je trouve quelque chose d'aussi bien.
En sortant du bureau, je dis en rigolant à ma secrétaire:
-Jacqueline, si vous aviez un amant ou un mari très amoureux qu'aimeriez-vous qu'il vous fasse comme très beau cadeau pour vous montrer son amour?
-Je ne sais pas, Monsieur, un voyage en amoureux?
-Oui, mais comme cadeau, dans un paquet en plus du voyage? Mis à part de la lingerie. Quelque chose d'exceptionnel.
-Je sais pas Monsieur, mais si mon amant était très riche j'aimerais bien une rivière en diamants, rien que pour voir l'effet que ça me ferait d'avoir ça autour du cou.
-Mais qu'est-ce que je suis bête, vous êtes une perle. Jacqueline. Qu'est-ce que je ferais sans vous.
Je tenais mon idée sa proposition venait de me faire penser que lors d'une expo de travaux d'élèves de l'école Boule où elle m'avait entrainé et dont proviseur était un de ses meilleurs copains, j'avais découvert que le Lycée Nicolas Flamel formant les futurs bijoutiers était une annexe de Boule et qu'en fin d'année scolaire ils vendaient de superbe bijoux confectionnés par les élèves de dernière année à des prix défiant toute concurrence.
Je retournai au bureau.
-Jacqueline, dîtes à tout le monde que j'aurai un petit quart d'heure de retard à la réunion de staff.
Je ne pouvais pas demander à Marie le numéro perso de J.C., je cherchai donc sur le net. J'appelai Boule en me présentant et en demandant s'il était disponible. Je leu très rapidement.
-Bonjour Jean-Christophe, est-ce que vous vendez toujours les productions des élèves en bijouterie?
-Oui, mais, on a déjà commencé. L'expo annuelle, c'était la semaine dernière, jai dailleurs regretté de ne pas y voir Marie. Je ne sais pas ce qu'il reste. Ecoute, je te passe mon adjointe, tu vois avec elle. C'est elle qui s'occupe de Flamel. A part ça, comment va la plus belle de mes collègues.
Décidément tous les mecs avaient un petit faible
Je men rappellerai aussi.
- Elle est en pleine forme. Et rajeunit tous les jours.
-Arrête, tu vas me contraindre à essayer de te la voler. Aller je te passe Melle S.
Je vis avec elle.
Il fallait que je passe le plus vite possible. " Ce soir après 18 heures, ce serait bien".
Bon, le visionnage des exploits bureautiques de Marie seraient pour plus tard.
En sortant du Lycée à 18h 30, j'étais aux anges. J'avais fait l'acquisition d'un superbe ensemble -collier, bracelet, boucles d'oreilles en perle- pour un prix où chez un bijoutier, je n'aurai eu que le bracelet.
J'étais paré pour affronter le weekend et j'avais l'esprit libre pour enfin regarder les frasques de ma chérie. Comme javais prévenu que je travaillerai tard je pouvais retourner au bureau. Surtout que le temps de la vidéo ne devait pas dépasser 1h30-2heures.
Démarrage lhorloge-vidéo portait 5h15
Cétait Pierre qui après être entré activait les caméras.
Je mis en accéléré. Ce nétait pas Pierre qui mintéressait.
5h32, téléphone. On entendait très distinctement. Beaucoup mieux quà lappart hôtel.
Accompagnez Madame à mon bureau je ly attends. Pierre resta assis derrière son bureau quand le factotum frappa puis ouvrit après un « entrez ». La porte à peine refermée, je vis Marie se précipiter dans ses bras et lembrasser goulûment.
Pierre la saisit par les fesses, lui souleva et lassis sur son bureau après lui avoir ôté sa jupe. Il ne prit même pas le temps de sarrêter sur la belle lingerie. Il disparut derrière le bureau. Avec cette caméra, je distinguai mal, mais supposai quil avait entrepris de la fouiller et de la lécher. Il fallut très peu de temps pour que jentende Marie pousser des petits cris dont je connaissais la cause. Il la balança en arrière sur le bureau, lui levant les jambes en lair et là, je vis très clairement que le léchage et le doigtage ne concernaient plus la vulve, mais le trou interdit. Marie continuait à geindre, tout en disant, sans vraiment repousser Pierre :
- Non, sil te plait nooon
- Je tai dit, mardi dernier, que je te le prendrais et que je saurais te faire aimer. Mais là, il nest pas encore temps. On a encore plein dautre chose à faire et je veux tentendre prendre ton pied comme jaime quand tu le prends.
Ce disant, il se releva, baissa son pantalon, et tout en lui maintenant les jambes en lair enfourcha ma femme avec son pieu, dun seul coup, comme je lavais déjà vu faire. Il y eut un grand cri.
Visiblement Marie ne sy attendait pas, du moins aussi brusquement. Mais très vite celui-ci fut suivi de râles plus suggestifs. Pierre la lutina pendant 10 bonnes minutes. De temps en temps tout en continuant ses coups de boutoir, il lui malaxait les seins. Il avait relevé son corsage au-dessus de ses épaules, et il lui cachait complètement le visage, alors que, vue sa position sur le bureau elle ne pouvait pas entièrement le retirer ; le corsage servait de bandeau. Après ces 10 minutes où Marie sépuisait en orgasmes (décidément Pierre avait la santé et était endurant). Je le vis distinctement, sortir son sexe de la vulve et entreprendre une entrée, délicate dans son cul. Il était bien monté le bougre et il avait du mal, malgré les coulures de cyprine et le mouillage effectué avant. Il rebaissa la tête et entreprit, avec un doigt, puis deux de lui masturber lanus, tout en lubrifiant avec sa salive.
Et, après un petit moment, visiblement ny tenant plus, il se releva, repositionna son engin devant le petit trou, qui devait avoir déjà un peu grossi et lenfila entièrement dun seul coup.
Elle hurla. Il se retira doucement et lui dit :
- Voilà, le passage est fait, maintenant ça va aller tout seul et ça va être bon.
Dans un souffle jentendis distinctement :
- Tu mas fait mal mon amour, mais maintenant ce serait bête den rester là.
Pierre reprit sa progression lente avec des petits mouvements lents puis rapides, et je vis bien quil allait de plus en plus loin. Doucement, imperceptiblement, Marie commença à geindre. Mais ce nétait plus de douleur.
Elle était toujours sur le bureau sur le dos. Il la prit sous les reins, la souleva, tout en ayant sa queue à lintérieur et la posa, tête en bas, cul sur le dossier, lui se trouvant debout derrière. Et là, après avoir fait un signe de vainqueur à la César, il la pilonna dans le cul avec détermination. Ses cris étaient de plus en plus sonores, mêmes sils nétaient pas du même genre que lors de la pénétration vaginale. Cela dit, Pierre ne tarda pas à prendre son pied lui aussi, je le vis rougir et lentendis respirer avec force puis, un relâchement général qui ne laissait aucun doute. Il resta un moment bien au chaud dans la caverne. Puis, doucement, il releva Marie, lassis sur le fauteuil, comme normalement, finit de lui ôter son corsage, et vint placer sa bite au milieu de ses seins en lui disant :
- Vas-y masturbe-moi avec, comme ça, ma queue aura eu tout ce que tu peux lui donner, parce que, quand je te le dirai, tu finiras par me sucer.
Cest à cet instant que jentendis lépisode du test de compétence de la soubrette.
Après un petit moment de branlette espagnole ; il lui dit :
- Bon, alors maintenant, tu me fais jouir avec ta bouche. Je veux que tu aies toute la journée le goût de mon sperme en toi.
Marie, sexécuta, jétais totalement ébahi, non seulement de voir comment elle se comportait, mais aussi et surtout quelle accepte le ton maître et autoritaire que Pierre prenait avec elle à certains moments.
Et ça marchait.
Elle entreprit de satisfaire les exigences de son amant, et lui fit une fellation denfer. La première sodomie en conscience, valait bien ça. Tout en le léchant et le suçant jusquau bout de la queue, elle le branlait énergiquement par des mouvements, tantôt lents, tantôt accélérés. Pierre lui prit larrière du crâne et lui baisa la tête avec force. Sa bite allait visiblement jusquau fond de sa gorge. Soudain, Marie eut un mouvement en arrière, et je vis le liquide blanc qui perlait sur son menton et ses lèvres.
- Jai dit, tu avales !
Il navait pas eu le temps de finir sa phrase que marie le pompait comme une assoiffée.
Là ça va, prend pas tout, il faut en garder pour plus tard.
Très galant, il savait quil ne pouvait faire partir Marie sans la faire jouir encore. Il lappuya sur lautre fauteuil et la reprit en levrette, Marie eut ces mots :
- Mais tu te reposes jamais ? Moi jen peux plus !
- Si mais quand jai fini mon travail, et si tas pas vu, je suis au boulot
On me paye pour ça. Tu es la première de la journée, et je gagne bien ma vie. Ya pire comme bagne.
- Salaud !... Je taime ! Quand je pense que jai dit à René que moi aussi que jétais au boulot en ce moment !
- Salope ! Je vais lui téléphoner et lui dire !
- Non, fais pas ça, je vais encore être punie, et jai peur que à ce soit encore plus hard.
- Mais non, je nai même plus son N°, tu penses depuis 4 ans !...
Et suivit un dernier quart dheure ou Marie reprit au moins un, voire deux grands pieds.
En se relevant elle demanda :
- Ya un endroit où je peux me remettre un peu ?
- Tu sors du bureau, à droite au fond, mais fais gaffe, dans les toilettes il y a toujours un ou deux satyres qui traînent !
- Povcon.
Une fois Marie sortie, jentendis Pierre sadresser par caméra interposée « jespère que tes aussi content quelle ?
Et lui, il avait lair de ne faire ça que pour moi, et de nen tirer aucun profit.
Je regardai lhorloge de la caméra 7h 20. Mes salauds, 1h50 de baise, sans discontinuer
A ma montre il était déjà, 21h15, il fallait que je rentre. Je navais pas le temps de revoir le même spectacle sous un autre angle. Après tout, ce que javais vu me suffisait.
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