Le Gentleman Baiseur
Lauto stoppeur improbable.
Je roule depuis un moment sur cette départementale. Je dois me rendre à 800 kms de chez moi pour aller au chevet de ma tante malade.
200 kms ont passé. Un défilement de platanes, des camions à doubler sans visibilité et une radio défaillante. Je contrains à stopper sur une aire de repos assez sommaire.
Jéteins le moteur et méponge le visage à laide dune mouchoir en papier. Il fait chaud et mon tee shirt, est trempé. Les sièges en cuir de ma berline allemande sont confortables mais peu adaptés à de longs trajets sous un soleil de plomb.
Je sors de la voiture et me détend un peu les jambes engourdies par ce trajet.
Cette aire de repos ne comporte que des toilettes, deux bancs accompagnés de tables, et des poubelles.
Je me dirige vers les toilettes pour soulager une envie pressante. Jai trente ans et suis bisexuel.
Les toilettes sentent lurine et ne sont pas très propres. Je suis seul et commence à vider ma vessie dans lurinoir.
Jentend une personne entrer dans la pièce. Je ny prête pas attention et mes pensées se dirigent sur mon voyage.
Il me reste 600 kms à effec et rien que dy penser cela me pèse.
Lhomme se poste à côté de moi, sort son sexe et urine. Rien de plus normal.
Je nen termine pas duriner car ma vessie est bien pleine.
Je jette un regard à mon voisin. Cest un homme dune soixantaine dannées qui porte un costume de belle marque.
Ses cheveux sont soigneusement coiffés et son parfum dégage une certaine sensualité que je remarque immédiatement.
Lhomme secoue son sexe pour faire tomber la « petite goutte » mais au lieu de sen aller il reste devant lurinoir.
Je le regarde et lhomme me sourit.
Je termine duriner mais lhomme ne bouge pas et se masturbe doucement tout en regardant mon sexe.
Puis il saventure vers mon sexe et sa main lencercle.
De son autre main il sastique le manche.
- Viens avec moi me dit -il.
Nous nous dirigeons vers les toilettes réservées aux handicapés. Il ferme le loquet derrière nous.
Il défait sa ceinture et fait glisser son pantalon à ses pieds. Il lenlève ainsi que son slip.
- Déshabilles-toi!
Je mexécute. Il faut dire que sa bite ma terriblement excitée et que ça fait un bon moment que je nai pas sucé une belle queue.
Ce nétait pas prévu dans ma journée mais cette interlude me plait beaucoup.
Je suis totalement nu. Il sapproche de moi et me caresse. Ses mains sont très douces et sattardent sur tous les recoins de mon corps. Il bande à demi. Son sexe est de très bonne taille.
Il sapproche de moi et force ma bouche pour que je lembrasse. Jouvre sans difficulté la mienne et lui rend son baiser. Sa grosse langue me lèche les amygdales et ça lui plait.
Il appuie sa main sur ma tête pour que je me baisse. Cela ne fait aucun doute il souhaite que je le suce.
Son prépuce est long. Son sexe aussi. Je le prend en bouche et commence à le sucer lentement.
- Décalottes-moi! Jaime ça.
Je découvre son gland qui sent fortement lurine. Ça ma répugne et mexcite à la fois.
Il se rend compte de mon hésitation et en profite pour enfourner son sexe au plus profond de ma gorge.
Jen ai des hauts de cur mais il me maintient fermement la tête et je ne peux que me résigner à le sucer.
Son sexe est très dur et bien plus gros que ce que je ne pensais. Il doit mesurer au moins 20 cms et est très large.
- Suces-moi bien salope tu aimes ça.
Il a raison jadore sucer cette énorme queue quil fait coulisser dans ma bouche sans ménagement.
Je me dis quil ne va pas tarder à éjaculer et prend linitiative de le branler.
- Tu veux me faire jouir, salope? Ne tinquiètes pas je vais jouir mais ta bouche nest quun début.
Je veux ton cul. Il a lair si ferme et serré. Un bon petit cul de pédé.
- Relèves-toi et retournes toi!
Il me caresse le cul et lun de ses doigts sinsère à lintérieur. Il a de gros doigts et na pas pris soin de me lubrifier.
- Mmm tu aimes ça petite salope.
Il est vrai que jadore me faire doigter et suis plutôt passif même si parfois enculer un bel anus ne me dérange pas.
Il me fait mettre debout et se colle derrière mon dos.
Il me caresse les tétons et prend un malin plaisir à les pincer. Il me fait mal!
Mais je reste excité et sa domination me plait.
Je suis sous son emprise.
Il se baisse et je sens sa langue parcourir mon anus. Elle effectue de légers ronds autour de mon trou et sintroduit de temps à autre à lintérieur. Visiblement ce monsieur sait y faire.
Mon anus souvre. Il sen rend compte. Je lentends ouvrir un préservatif quil doit mettre sur son membre imposant.
Je nai jamais été enculé par un tel membre mais cet homme ma si bien préparé que mon anus nattend que lui.
Il se positionne derrière moi et me demande de bien écarter les jambes. Mon corps sa cambre et mes mains se posent sur mes fessent pour lui faciliter lintroduction.
Je sens son gland se poser sur ma rosette. Une fois bien disposé il pousse dun seul coup! Ce salopard était entré sans même me prévenir et je sentais déjà sa queue au plus profond de moi. Je gémissais.
Il sen aperçut et sarrêta.
Sa queue prenait maintenant sa place dans mon cul et je néprouvais plus de douleur.
Il me caressa la nuque et me dit.
- Ca va aller mon chéri. Tu vois ça rentre comme dans du beurre.
Il entama des vas et viens et me lima sans vergogne. Mon corps nen pouvait plus. Il me transperçait. Mais jadorais.
- Continues lui dis je, je suis ta salope. Prends moi fort. Baises moi comme une pute.
Mes mots crus ont eu un effet immédiat sur lui et il me besognait comme une belle cochonne.
Vu son âge je pensais quil allait jouir mais ce salaud continuait à me pistonner le fion avec sa grosse queue.
- Tu laimes ma bite salope? Dis moi que tu laimes?
- Oui vas y Chéri baises moi fort. Jadore ta grosse bite.
Il continue à me baiser le fion puis se retire vite et me demande de me retourner.
- Je vais te jouir sur le visage et dans la bouche. Ouvre la bien!
Je neus que le temps de me retourner et je reçus de longs jets de sperme sur le visage, les yeux et dans la bouche.
Il jouissait abondamment. Comme sil navait pas joui depuis de longs mois.
Il essuya son sexe sur mon visage et le remit dans ma bouche pour que je le nettoie.
Son sexe avait le goût de mes excréments et de sa jute. Mais je ne devais que me résoudre à lécouter.
Je nettoyai son sexe avec assiduité. Il se rhabilla puis sortit.
Je gisais là, dans ces toilettes handicapés, totalement nu comme un ver. Jétais souillé mais me sentais bien.
Jamais je navais ressenti un tel plaisir avec un homme. Et celui ci venait de partir.
Je pris quelques minutes à recouvrer mes esprits, remis mes vêtements et pris soin de masperger le visage deau fraiche. Je ne sentais plus mon cul mais cet homme mavait comblé.
Il me restait 600 kms à effec et ce moment mavait fatigué mais aussi détendu.
Jouvris la porte des toilettes et sortis prendre lair.
Le gentleman baiseur me faisait face et souriait. Il mattendait.
Aucune voiture hormis la mienne nétait présente.
Il avait bien tiré son coup et comme sur toutes les aires dautoroutes ou de nationales je supposais
quil avait fini son « affaire ».
Je me dirigeai vers mon coupé allemand et décidai de me changer. Le temps avait tourné et maintenant il faisait frais.
Jouvre mon coffre et sort de lune de mes valises un gilet ras du cou en cachemire gris clair ainsi quun tee shirt propre.
Je les enfile tous les deux et mengouffre dans ma voiture pour parcourir les 600 kms quil me reste à faire.
Au moment ou jenclenche ma vitesse mon baiseur toque à ma vitre.
- Tu vas où?
- A Marseille.
- Tu memmènes, je my rends aussi?
- Tu nas pas de voiture?
- Non ma Jaguar est tombé en panne et il faut que je sois à Marseille avant ce soir. Je nai pas trouvé dautre moyen que de faire du stop.
Je ne sais pas ce quil ma prit mais ma seule réponse fut:
-Vas y montes.
Il ouvre la portière et sassoit à mes côtés.
Je démarre et prend la direction de Marseille.
Ma radio ne fonctionne pas mais mon auto stoppeur ne bronche pas.
Je roule à vive allure car je ne souhaite pas arriver avant la nuit.
Mon passager dort maintenant.
Je roule depuis deux heures et décide de marrêter. Par prudence mais aussi parce que jai faim.
Jai décidé depuis une centaine de kms de prendre lautoroute pour aller plus vite.
Je stoppe sur une aire disposant dune station service. Je fais le plein de carburant et me décide à acheter des sandwichs et des boissons ainsi que des bonbons à la menthe.
Quand je reviens mon gentleman baiseur est éveillé. Mes bras sont remplis de victuailles.
Jouvre la porte et entre dans ma voiture.
- Nous ne nous sommes même pas présentés. Je mappelle Jean Louis.
- Moi cest Bruno. Je tai apporté de quoi te restaurer.
- Merci cest gentil. Jai très faim.
Il se saisit de son portefeuille et en sort deux billets de deux cents euros. Il me les tend et me dit.
- Tiens ça cest pour le péage et la nourriture et le reste cest pour ton cul. Il souriait.
Tu mérites bien ça. Tu pourrais bien en avoir dautres. En effet il remit dans la poche de son veston une liasse de billet qui devait faire au moins cinq mille euros.
Je men emparai et les mis dans la poche de mon jean et le remerciai.
- Tu sais, tu nes pas obligé.
- Non je le sais mais je trouve cela normal alors ne le prends pas mal.
Je déplaçai mon véhicule et allai me garer plus loin pour pouvoir manger sur lun des bancs disponibles.
Je sors de ma voiture et Jean Louis me suit. Il porte le sac rempli de sandwichs et de boissons. Nous nous installons sur un banc libre et il se place tout naturellement à mes côtés.
- Jai dormi longtemps? me demande-t-il
- Deux heures environ. Un peu moins.
- Jen avais besoin. Tu mas vidé les couilles.
- Oui cest limpression que tu mas donnée. Il faut dire que tu mas cassé le cul mais maintenant je vais mieux.
Je lui propose de nous restaurer. Il mange doucement mais avale tout de même les deux sandwichs que je lui ai achetés et son dessert.
Je finis de déjeuner et décide de faire quelques pas sur la pelouse qui est située à proximité.
Jallume une cigarette et regarde les voitures défiler sur lautoroute.
Mon esprit est ailleurs mais il me reste encore 400 kms à effec.
Les bouffées tirées sur ma cigarette me détendent. Alors que je ne my attends pas un seul instant,
je sens une main me prendre par la taille. Je sursaute et me rends compte que ce nest que Jean Louis.
Il menserre de ses mains puissantes et me retourne. Sa bouche sapproche de la mienne et il me roule une pelle.
Je ne menfuis pas, bien au contraire, et répond à son baiser. Nos langues se mêlent et ne font quune.
Il me caresse les tétons au travers de mon cardigan et dépose une main sur mes fesses.
- Je taime me dit il.
- Moi aussi je taime. Tu es un bon amant.
- Tu sais jai adoré te prendre ce matin. Quen as tu pensé?
- Que tu étais un amant fabuleux et que tu avais une queue splendide pour ton âge. Jaime les hommes comme toi.
Tu es sexy, âgé, sensuel et terriblement actif. Je tadore.
Ma langue cherche la sienne et nous nous embrassons comme deux amants inséparables.
Il me caressait partout et jen faisais de même. Il avait ôté sa veste et sa cravate. Je lui déboutonnai sa chemise et caressai son torse velu.
De son côté il en faisait de même et avait déboutonné mon cardigan en cachemire gris.
Il sapprocha de mon oreille et me dit simplement
- Jai encore envie de toi Chéri.
Je touchais la bosse qui parcourait son pantalon et lui confirmait que cela semblait être le cas.
- Où allons nous Chéri?
- Je pense que les toilettes seraient appropriées si nous ne faisons pas trop de bruit.
- Oui dépêchons nous jai trop envie de ta queue.
Il me prend par la main et nous nous dirigeons vers la station service. Quelques personnes nous ont remarqué mais sans y prêter davantage attention.
Les toilettes sont désertes à cette heure. Nous nous lavons les mains puis Jean Louis
ouvre une porte libre. Il me fait signe de le suivre.
Je ne me fais pas prier, jai trop envie de sa grosse queue entre mes entrailles. Cest un très bon amant.
Et il a toute ma confiance.
Je le suis. Il referme le loquet de la porte et sapproche de moi.
Il me roule une pelle et me caresse. Je sens ses mains sur mes fesses, mes seins, mon pull. Je bande immédiatement.
De mon côté je ne suis pas en reste et lui caresse le torse et sa gosse queue.
- Tu sais Bruno, je ne devrais pas te le dire mais jadore la douceur de ton pull.
Ça me fait bander.
- Ce nest que du cachemire Chéri.
- Oui mais crois moi quand je limagine sur tes fesses jéprouve de la tendresse mais aussi beaucoup dexcitation et denvie de te baiser.
- Tu peux te laisser aller Jean Louis, cest un cardigan féminin et jadore en porter.
- Mmmm tu me plais. Suces moi la bite!
Je le reconnais bien. Quand il sagit de sexe, Jean Louis aimait dominer.
Je sors sa grosse bite et le suce. Il me baise la bouche si profondément que je crois vomir.
Mais je continues à le sucer.
Il sort une capote et la met sur son sexe bandé puis mintime de moffrir mon cul.
Je me cambre le plus possible. Ses mains mes caressent et son sexe cherche mon entrée.
Il me prend par la taille pus dun seul coup pénètre en moi. Mon anus était offert à son sexe et je navais aucune appréhension. Il sintroduit profondément tout en caressant mon pull déboutonné.
- Tu es une vrai salope Chérie jadore ton cul!
- Oui prends moi je suis à toi.
Il me ramone pendant de longues minutes. Ses mains palpent mon cardigan et mes fesses et il finit par jouir dans mon cul.
De mon côté je navais pas encore joui et je ne comptais pas rester ainsi.
Mon cul était à nouveau explosé mais jétais satisfait. En revanche javais envie de me vider les
couilles. Je me retournai et embrassai Jean Louis comme un fou. Je le caressai et lui offrait mon corps.
Il venait de jouir dans mon cul et sa queue devenait flasque.
Je lembrassai et lui fit signe de se baisser.
Ma queue tendue laissait deviner quelle ne désirait quune chose. Se faire sucer.
Il approcha sa langue de ma verge et sa langue parcourut mon gland avant de prendre tout mon membre en bouche.
Il sappliquait. Cétait un bon suceur et nétait sans doute pas à sa première fellation.
Il savait sattarder sur mon gland, mes testicules, ma hampe, tout en se laissant le désirer.
Je pris sa tête et il comprit quil était grand temps que je jouisse. Il aspira mon gland et sa bouche nattendait que ma semence.
Je jouis rapidement. De longs jets de sperme inondaient sa bouche et il faisait de son mieux pour tout avaler.
Nous avions fait un peu de bruit. Nous remettons nos vêtements en place et sortons.
A lextérieur un homme dune quarantaine dannées nous sourit. Il nous voit sortir ensemble et se doute de se quil vient de se produire.
- Cest qui la pute dit il?
Jean Louis, à ma grande stupeur, me désigne du regard.
- Elle est bonne?
- Tu peux y aller, elle nattend que cela.
Lhomme se dirige dans les toilettes et Jean Louis me fait signe de le suivre.
Il memboite le pas puis ferme le loquet de la cabine.
- Je me doutais que cétait toi la pute avec ton gilet de pédé!
Suces moi la bite et vite!
Javais envie de menfuir mais Jean Louis, derrière moi, me forçait à rester.
Lhomme sortit son sexe et me le présenta devant la bouche.
-Suces le maintenant mordonna Jean Louis.
Je ne me fis pas prier. Le sexe était vraiment très gros et javais du mal à le prendre en bouche entièrement.
Pendant que je le suçais Jean Louis mavait ôté mon slip et mon pantalon.
- Mmm tu es une sacrée salope, on voit que tu aimes les grosses queues!!
Ce nouveau venu se faisait sucer pendant que mon nouvel ami me doigtait le fion.
Il sassit sur la cuvette des WC et mintima lordre de mempaler sur son membre.
- Allez grosse pute, fais toi plaisir!
Jeu un peu de mal mais mon cul étant déjà préparé par Jean Louis son sexe me pénétra dun coup.
Il me limait le cul avec force et me faisait mal mais jaimais ça.
Cest alors que je sentis une main sur mon dos qui me faisait signe de me cambrer davantage.
Une douce chaleur menvahit et je sentit que le sexe de Jean Louis allait sintroduire en moi.
Ce nétait pas très pratique mais après plusieurs tentatives il sinséra dans mes entrailles.
Javais maintenant deux sexes dans mon cul.
Ils ne mirent que peu de temps à prendre le bon rythme et mon corps nen pouvait plus.
Cette double pénétration anale me procurait autant de plaisir que de douleur. Mais cétait si bon
Javais limpression dêtre déchiré de toute part et pourtant jaimais ça.
Ils se retirèrent simultanément et me présentèrent leur queue devant la bouche.
- Vas-y ouvre en grand!
Ils jouirent exactement en même temps .
Javais du sperme plein les yeux, la bouche, et mon gilet aussi.
Javalai tout ce que je pouvais. Lhomme sortit sans dire un mot et Jean Louis maida à me rhabiller.
- Javais raison Bruno, tu es une bonne grosse pute.
Durant les derniers kilomètres qui devaient nous mener à Marseille Jean Louis me prit encore deux fois avec tout autant de vigueur.
Je le déposai sur le vieux port et il me tendit un morceau de papier avec son numéro de téléphone. Il navait pas oublié non plus de me donner 500 euros pour ma participation.
Il est rare de nos jours de trouver encore un gentleman baiseur
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