Chez Lui
Les règles étaient simples : je devais obéir à ses désirs mais il ne devait pas mimposer des choses au-delà de mes limites. Nous en avions discuté, cétait clair.
Cest la première fois que je me rendais chez lui, il maccueillit comme toujours avec le sourire. Il mentraina vers le salon, petite pièce meublée dun canapé, de deux fauteuils, dune table basse et dune grande bibliothèque. Pas de quoi être effrayé, ce nétait pas un donjon !
Il était vêtu comme moi, dune chemise et dun pantalon, le déshabillage ne serait donc quune formalité.
- Nerveux, demanda-t-il ?
- Ca va, répondis-je.
Notre dernière rencontre dans les bois sétait bien passée, jen avais eu pour mon déplacement et lui semblait satisfait. Je refusais simplement le verre quil me proposait, jétais tout de même un peu inquiet de ce qui allait arriver.
- Déshabille-toi, dit-il.
Cet ordre ne souffrait pas de réplique et je mexécutais, enlevant chemise et pantalon.
- Entièrement, osais-je demander ?
- Tu te fous de moi, à poil et dépêche-toi !
Je quittais donc mon slip et me montrais devant lui dans toute ma nudité.
- Approche !
Jobéis immédiatement, me tenant juste devant lui, tête baissée. Il attrapa ma queue en me tirant vers lui. Il me décalotta le sexe, me fit tourner sur moi-même, inspecta la raie de mes fesses et me les claqua dune manière sonore.
- Aujourdhui je vais un peu mamuser avec toi.
Il se leva et alla chercher une boite sur le rebord dune étagère, il louvrit et en sortit un tube et ce que jidentifiais rapidement comme une racine de gingembre.
- Ca va un peu te changer, tu verras, tu vas aimer.
Avec un couteau il éplucha la racine, mettant à nu la partie odorante.
- Tu vas te mettre à genoux devant la cheminée, mains sur la tête et tu bougeras quand je te le dirai, pas avant, sinon
Cétait clair, je me mis en position.
Il sapprocha face à moi, se mit à genoux également et ouvrit le tube : cétait du dentifrice.
- Cest froid mais ça ne va pas durer, dit-il en lenfonçant dun coup.
La racine était taillée avec une gorge de telle manière que le sphincter se resserre et empêche le plug végétal de sortir. Il sinstalla dans le fauteuil et attendit.
Le gingembre commençait à faire effet et je sentais une chaleur envahir mon rectum, de lautre côté le dentifrice me piquait un peu. Ces sensations ne firent quaugmenter et le feu sempara de mon côté pile et mon côté face. Je haletais mais je ne devais pas bouger et mes gémissements neurent pas raison de sa détermination.
Je restais ainsi peut-être une demi-heure, moment où la brulure de mon cul commença à décroitre. Il regarda la pendule et dit : « Ca doit suffire maintenant, tu as aimé ? ».
Il retira le gingembre dun coup et memmena à la salle de bain pour nettoyer le dentifrice. Je sentais mon anus distendu et mon gland était tout rouge. Il en profita pour se déshabiller entièrement et nous sommes revenus dans le salon, nus tous les deux.
Il prit un préservatif dans la boite, le plaça sur sa verge et me fit mappuyer sur la table basse, offrant ainsi mon postérieur à sa sollicitude. Il passa derrière moi, posa son gland sur mon anus et appuya sans autre préparation. La pénétration ne fut pas très facile et il sy prit à plusieurs fois pour faire entrer le gland. La brulure du mâle ajoutée à cette du gingembre me coupèrent le souffle.
- Tu vois, ça rentre presque tout seul !
Il commença ses va et vient, lentement et profondément, puis plus rapidement jusquà me pilonner sans sarrêter. Je ne savais plus depuis combien de temps cela durait mais je ressentais une chose inconnue jusquà présent, ce mélange de douleur et de plaisir. Il jouit en moi en poussant un grand cri.
Il se retira et alla sassoir dans le fauteuil, je tombais presque de fatigue, mes jambes ne me portant plus.
Un peu plus tard, il se releva, se rendit à la cuisine et revint avec un pot de confiture.
- Cest ton quatre heures, dit-il en rigolant !
Il ouvrit le pot, prit de la confiture et en enduisit sa queue.
- A table !
Je mapprochais à genoux devant lui, posais mes lèvres sur son gland et commençais à lécher la confiture, insistant sur les parties sensibles pour ne pas en perdre. Son membre reprit vite du volume si bien quil fut prêt pour dautres assauts.
Il se leva et prit un autre préservatif quil plaça sur sa queue. Il me demanda de mapprocher, le fit tourner et me dit : « Tu vas tassoir sur ma queue, je vais te défoncer ».
Il guida son sexe vers mon anus prêt à souvrir et mattira brusquement à lui, me pénétrant dun coup. Je commençais les mouvements en me soulevant et mabaissant au rythme quil donnait à mes hanches, son membre coulissant sans problème tellement jétais mouillé à lintérieur. Lorsquil a éjaculé pour la deuxième fois, il me garda assis sur ses genoux pour rester le plus longtemps possible dans mon cul.
Décidément, je découvre chaque fois autre chose avec lui.
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