Sonia 1

Trois jours passèrent depuis mon arrivé au Camping du Soleil, où je passais mes vacances d'été, après avoir obtenu mon bac. Nous étions Jeudi, et Laura, la fille avec laquelle j'avais baisé pendant ces trois jours, était partie la veille au soir. Je me retrouvais donc plus ou moins seul, puisqu'à cause d'imprévus, mes parents avaient du rester à la maison. Malgré cela, je ne me laissais pas abattre : certes Laura était partie, mais je savais qu'il y avait de nombreuses autres filles au Camping, qui ne demandaient qu'à avoir un amant pour leurs vacances. Et justement ce Jeudi matin là, je fis une rencontre que je n'étais pas prêt d'oublier...

Je me rendais à la supérette du camping, pour y acheter du lait. Je pris un lot de 6 bouteilles dans un des rayons, puis me rendis à la caisse. Une jeune fille y était en grande discussion avec le caissier. Ils communiquaient en anglais, et à en juger par l'accent de la fille, elle devait être allemande. Elle avait visiblement du mal à comprendre l'anglais très aproximatif du caissier, et celui ci avait visiblement du mal à comprendre l'anglais, pourtant excellent de l'allemande. Malgré mon anglais limité, je parvins à comprendre que la jeune touriste désirait acheter de la confiture de fraise, mais le caissier semblait avoir du mal à expliquer à son interlocutrice qu'il n'en n'avait plus, et qu'elle devrait revenir demain pour en avoir.

La jeune allemande était très belle : elle avait de longs cheuveux, lisses et dorés, qui encadraient un merveilleux visage, agrémenté d'une bouche sensuelle, et des yeux d'un bleu magnifique. La chaleur de cette matinée de juin, l'avait poussée à se vêtir très légèrement : elle n'était vêtue que d'un mini short, et d'un bikini bleu, une tenue qui mettait en valeur son corps, parfait avec sa poitrine généreuse, et ses fesses bien rondes.

Très désireux de venir en aide à cette magnifique créature, j'intervins, et avec mon anglais très moyen, je parvins à faire comprendre à la belle ce que le caissier avait tant de mal à lui expliquer.

Elle me remercia, salua le caissier et partit, non sans m'avoir jeté auparavant un regard vaguement intéressé...

Ce fut ce regard qui me poussa à agir : après avoir payé mon achat, je sortis de la supérette, et rattrapai la belle allemande. Je la saluai, elle me sourit, visiblement disposée à discuter avec moi. J'engageai donc la conversation avec elle, malgré mon anglais pauvre, et son français limité. J'appris ainsi qu'elle s'appelait Sonia, et venait d'une région proche de Munich, et qu'elle était venue ici avec trois de ses amies. Enhardi par sa sympathie, je lui proposai de venir prendre le petit déjeuner avec moi, puisque j'avais la confiture qu'elle voulait. Elle accepta de bonne grâce. Nous nous dirigeâmes donc vers mon mobil home, tout en discutant de choses et d'autres. Elle était très agréable, très ouverte d'esprit, et je sentais qu'il y avait des chances pour que ce petit déjeuner soit particulièrement délicieux...

Nous arrivâmes dans mon mobil home. Je préparai le petit déj, puis, tandis qu'elle mettait la table, je lui montrai la fameuse confiture au fraise qui avait permis notre rencontre, et lui dit :

"Sur quoi tu veux la manger ?"

Elle eut un sourire malicieux et me dit :

"Sur toi !"

A ces mots, elle se jeta sur moi, et m'embrassa sauvagement. Je lui rendis son baiser avec pation, puis elle me poussa sur une chaise, et vint sur moi. Elle me retira mon T-shirt, attrapa la confiture de fraise, et m'en étala généreusement sur le torse avant de le lécher. J'étais au comble de l'excitation, j'étais si chaud, que j'avais l'impression d'être en feu, et je bandais si fort, que je craignais de déchirer mon short. Sonia continua de me lécher le torse, jusqu'à ce qu'il ne reste plus de confiture, après quoi, elle attrapa le miel, et m'en étala partout, sur le torse, sur les lèvres, sur les épaules, partout. Elle me léchait consciencieusement chaque partie du corps où elle avait étalé du miel, jusqu'à ce qu'il n'en reste plus.
Quand elle eut fini, j'étais plus excité que jamais. Elle m'embrassa sur la bouche, avant de descendre sur mon cou. Elle entreprit ensuite de me masser la queue à travers mon short me faisant frémir de plaisir. Après quoi, je repris les choses en main.

Je me levai de la chaise, en la soulevant, puis, je la plaquai sur la table. A mon tour, je lui étalai de la confiture sur son buste et sur son ventre, et entreprit de la lécher, m'attardant sur son nombril, et sur son décolleté, profitant de la douceur inifinie de sa peau. Sonia commença à haleter de plaisir, son beau visage quelque peu rougi par l'excitation. Puis, je me déshabillai, lui retirai son mini short, et son bas de bikini, avant de la pénétrer d'un coup sec, ce qui la fit pousser un grand cri. Après quoi, elle enroula ses jambes autour de moi, et m'attrapa le cou, m'attirant contre elle. J'entrepris de la baiser, avec des mouvements de vas et viens, puis lui plaquai les mains contre la table, la maintenant à ma merci. Je la baisais ainsi, sur la table pendant un long quart d'heure, la pillonnant toujours plus fort et toujours plus loin, tandis que la belle allemande poussait des gémissements toujours plus aigus. Sonia finit par libérer ses mains, et commença à me caresser le visage, et le torse, puis, me griffa le dos à de multiples reprises, ce qui déclencha chez moi des décharges de plaisir, me faisant frisonner de la tête au pied. Lassé de ne pas la voir nue, je lui retirai son bikini et lui malaxai ses seins, les embrassant et les léchant également, ce qui la fit frémir encore plus. Après quoi, décidé à changer de position, je la soulevai, et la jetai sur le canapé.

Je la retournai, la laissant se mettre à quatre pattes, et la tenant fermement par les hanches, je la pénétrai, et entrepris de la baiser en levrette, lui donnant des coups de reins sans cesse plus forts. Sonia reprit aussitôt ses gémissements, tout en criant des choses en allemand, que je devinais être des encouragements.
De temps à autres, je lui claquai un grand coup les fesses, ce qui la faisait toujours pousser un petit cri aigu, ou lui tirai un peu ses beaux cheveux blonds, afin de bien lui montrer qui était le patron. Au bout de quelques minutes, j'augmentai encore la cadence de mes coups de reins, la baisant si fort, qu'on aurait pu craindre que je ne lui casse les reins. Des points lumineux apparurent devant mes yeux, tant le plaisir était grand, et quant à Sonia, elle se tortillait de plaisir et gémissait en continu, ballotée par mes assauts, elle semblait avoir du mal à tenir sur ses quatre pattes. A ce rythme, je ne pus tenir longtemps, et nous finîmes par exploser de plaisir dans un orgasme dévastateur, qui nous laissa écroulés sur le canapé.

Une fois remis de nos émotions, Sonia se rhabilla, me remercia, et repartit. Je la revis quelques jours plus tard, mais entre temps, j'eus une autre aventure, avec une autre fille. Je vous la raconterai prochainement...

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