Je Ne L'Ai Pas Fait Pour Les Diplomes ....

…suite... pour faire tomber la dernière goutte il se la frappait a deux mains sur l’arbre, un monstre, une force de la nature, tien, le voilà justement, il attend devant ma porte de chambre…

- Ah ! Te voilà Anita, ça va ?
- Oui … que voulez vous ?
- J’ai des trous à percer dans ton bois de lit, y’en a pour une minute
- Des trous ? vous ne pouviez pas le faire sans moi ? à quoi serviront-ils ?
- Je ne sais pas … allonge toi sur ton lit, n’ai pas peur je ne toucherais pas … pas encore … non, pas en long, en travers, les bras en croix, les jambes pendantes

Comme une conne, j’obéis, s’il voulait r de moi je ne résisterais même pas, a quoi bon ? Il est trop costaud ! Après avoir lorgné sur mes cuisses découvertes et murmuré une obscénité entre ses dents, il mesure vite fait et marque deux endroits sur le bois de lit, pose deux anneaux… comme pour m’attacher afin que je ne puisse pas me débattre …

- Tout est prêt pour ce soir, dix neuf heures, repose toi bien Anita …

Je tourne comme une bête en cage dans ma chambre … que vont-ils me faire ? Si j’ai bien compris je vais être dépucelée par Charles ? Devant le vieux porc et l’infirmière ? J’ai encore le temps de faire le mur et d’aller les dénoncer …au lieu de ça je m’allonge sur mon lit et passe une main dans ma culotte sur ma chatte toute lisse …. Mes seins sont durs, mon clito est énorme …quelques virevoltes autour avec deux doigts et un pincement sur mon téton gauche et je jouis à nouveau comme une folle …. Après une bonne douche, je suis prête pour le ‘sacrifice’

Dix huit heures trente, c’est Jeanne qui arrive la première, je remarque tout de suite qu’elle est nue sous sa blouse a part des bas et portent-jarretelles

- A nous deux Anita ! vire-moi tout tes habits, tu mets juste un mini string pour exciter ces messieurs qui vont te le craquer, tout va bien se passer, je suis là pour te décontracter moralement et physiquement, je t’explique ce qui va suivre … je vais te lécher devant monsieur Antonin, le vagin et l’anus car ils vont servir tous les deux …puis lorsque tu seras bien ouverte Charles te prendra sous les yeux de monsieur, lui ne feras que se branler, ça va aller ?
- Je n’ai pas le choix …
- Tu pouvais te sauver dans l’après midi ? te ne l’as pas fait, alors tu consens ! et puis tu as déjà tes examens avec mention dans la poche ma belle ! mais je suis sûre que ce n’est pas ce qui t’intéresse ? tu aime le cul, n’est-ce pas ?
- J’ai envie de vous bouffer, comme vous me l’avez fait tout a l’heure
- Tu ne l’as jamais fait avec des copines ? allez vient, après je t’attache
- Pas la peine, je veux baiser librement
- Si Antonin est d’accord, c’est un cérébral ! .

.. enfonce ta langue et tes doigts partout, je ne suis plus pucelle ! Tu verras comme la grosse pine de Charles est bonne !

Je lape voracement cette chatte de femme je fourre autant de doigts que je peux dans le fourreau vaginale et dan l’anus qui cède trop facilement, elle doit se le faire ramoner régulièrement par le jardinier, des flocs-flocs accompagnent mon doigtage, sa mouille coule abondamment entre mes doigts, je suis fière de faire du bien a une adulte ! Elle resserre soudain les cuisses

- Assez ! La soirée n’est pas finie, ils vont arriver, surtout ne va pas uriner maintenant tu comprendras pourquoi …met toi en position, les poignets attachés au lit et les jambes pendantes et très ouverte, surtout, n’essaie pas de résister a la pénétration du membre, au contraire, va au devant …
- J’ai très envie de baiser, alors autant que ce soit par une queue de taureau
- Bravo petite ! chuuuuut, les voilà !
- Alors elle est prête ?
- Anita a très peur, mais elle est courageuse
- Comme elle est belle, ne craint rien petite, je veux juste passer mes mains sur ton corps ….Huuuuummmm ces seins ….Hooooooooooo ce ventre plat…. haaaaaaaaaaaa ! je sens bien sa vulve sous mes doigts, le tissu est déjà imprégné de son jus …je vais le déchirer dés maintenant, je veux toucher et lécher son clitoris… Charles ? arrache ce bout de chiffon !
- Voilà monsieur le directeur... ahan !
- AIIIEEEEE !
- Tait toi Anita ! je ne veux pas de pleurnicheries ! écarte toi que je te bouffe le minou, c’est tout ce que je peux faire ! wooouuuaaaaahhhh ! une chatte sans poils quelle joie ! Huuuuuuuuuummmmmmmmmmmm hoooooooouuuuuuuuuuummmmm, c’est bon, pisse moi dans la bouche petite … allez ! dépêche toi j’attends …

Je me concentre … ça vient … il va en prendre plein la gueule ce vieux satyre… Aaaaahhhhhh ça fait du biiiieeeeeennnnn, ça ne s’arrête plus ! Je relève la tête pour voir le résultat ! Il est trempé, sa chemise lui colle a la peau, il se lèche les babines avant de plonger sa langue dans ma fente

- Ne me dépucelez pas avec votre langue monsieur ….
- AH ! c’est vrai, Jeanne préparez lui l’entrée
- Avec joie !
- Quelle salope celle-ci aussi ! commence à te déshabiller et prépare ta queue Charles ça va être a toi

Tandis que Jeanne me dilate l’entrée avec sa langue, et m’injecte un maximum de salive, je surveille du coin de l’œil le jardinier qui quitte se vêtements, c’est au tour du slip qui ressemble a un sac qui contient cinq kilos de pommes de terre, une verge encore molle pendouille entre ses cuisses, quand je dis une verge, c’est un tuyau poilu de vingt centimètres de long et au moins huit de large, posé sur deux boules recouverte elles aussi d’une toison hirsute, il bave et me fixe d’un regard avide en manipulant la peau de ce manche, il décalotte la tête qui se développe dés qu’elle est a découvert , le gland rougit et gonfle, des varices bleues qui zigzaguent sur la longueur se formes , un cri accompagné d’un frisson nerveux traverse mon corps de vierge , Jeanne qui croit qu’elle vient de me faire jouir se relève

- Voilà, elle est prête monsieur
- Bien … ma petite Anita c’est moi qui vais te déflorer par verge interposée, comme je ne peux pas te satisfaire, je vais tenir ce beau morceau de viande et le guider entre tes jambes, Charles n’aura qu’a pousser, admire comme il est raide malgré son imposant volume, c’est a peine si j’arrive à la plier avec mes deux mains, j’adore te branler mon vieux salaud…et le prendre quelque part aussi, muuuummmm ….avance toi entre ses cuisses…Jeanne ?
- Oui monsieur ?
- Positionnez vous à califourchon sur elle, ça ne fait rien si votre chatte goutte sur son visage, maintenez lui sa vulve ouverte, n’ayez pas peur de tirer sur les lèvres, Antonin, si tu voyais l’intérieur de sa chatte … un vrai calice débordant de nectar
- Je me doute monsieur…je vais lui remplir le ventre
- Elle a bien pris sa pilule ?
- Oui monsieur, ainsi Charles ne peux la féconder
- Dommage je voudrais bien engendrer un autre moi-même !
- Ça suffit ! pousse que diable, ton gland est bien en face du cratère

Je retiens mon souffle, une chose ronde et chaude pèse sur ma moule, par petites touches il force sans résultat

- Attend, je vais cracher sur ton nœud… Teuuu ! Teuuu !

Malgré son obstination, toujours pas de membre en moi, ça m’énerve, ma chatte réclame son dût, je tire sur mes entraves et bouscule Jeanne qui se frotte le vagin sur mon nez

- ASSEZ ! Assez ! Libérez-moi, je vais me l’emmancher seule dans la cramouille cette bite de monstre
- ANITA ? tu veux bien participer ? détache là Jeanne
- Lâchez cette queue monsieur, je vais la tenir moi-même

Entre mes mains la pine de cheval saute en l’air, j’avance mes fesses au maximum, pose mes mollets sur ses épaules et a deux mains, positionne le braquemart suintant de liqueur sur ma fente poisseuse je vais me ‘poignarder’ la chatte avec ce poignard de chair

- Poussez aussi fort que vous pouvez Charles
- Oui petite, je vais te prendre jusqu’aux couilles, même si je dois te péter la connasse

Les lèvres repoussées forment une couronne ronde autour de son gland, il disparait à moitié, ressort, avant de reprendre sa progression, une fois le gland a moitié disparut il bloque encore

- Retirez vous légèrement et …POUSSEZ !!!!!
- HAAANNNNNN !
- OOOUUUHHHHHAAAAAAAA !

Le manche commence à entrer, ça me brule un peu, mon pucelage doit être éclaté car un filet de sang suinte sur la queue, je ressens les bienfaits du frottement des varices sur mes parois vierge

- Bon-dieu, ça y est ! il là baise ! ça fait quoi Charles ?
- J’ai l’impression d’être dans un four qui m’éclate la queue tellement c’est chaud et étroit ! ça y est je touche le fond …
- Tu n’as pas tout mis ?
- Retirez vous jusqu’au gland Charles, et reprenez moi en force plusieurs fois de suite
- Oui mademoiselle, vous avez une bonne chatte !
- Et vous un pieu qui va me faire jouir comme une dingue
- Ramone là bien Charles, je viens de décharger dans mon slip ! nettoyez-moi avec votre langue Jeanne
- Oui monsieur

Une fois occupés tous les deux je peu me consacrer a ma baise, j’ondule du bassin sur le membre qui entre encore … encore …. Encore deux centimètres et ses poils vont me chatouiller le mont de vénus …mes yeux se révulsent, une chaleur monte dans tout mon corps, vais-je défaillir ?
Les secousses formidables de la bite me ramènent a la réalité, un torrent brulant et discontinu jaillit, mon vagin gonfle …je me laisse tomber en arrière vaincue par l’orgasme formidable, mais le jardinier n’arrête pas de me ramoner la moule qui accepte aisément la totalité et la cadence soutenue de son coït

- Prend moi dans tes bras Charles, et laisse-moi m’empaler sur ton pic
- Accroche toi a mon cou …je te tiens sous les fesses, baise a ton gré, tu veux bien que j’enfonce un pouce dans ta rondelle ?
- OUI ! OUI ! élargit moi et encule-moi
- Tu es folle ?
- Essayons au moins …je suis ouverte de partout !
- Reste en l’air, je vais poser mon nœud sur ton anus… laisse peser le poids de ton corps … ça fait mal ?
- C’est supportable … je veux simplement que tu décharge dans mon tunnel
- Monsieur ?
- Oui Charles ? mais tu l’encule ?
- Ben oui, juste un peu, branlez moi à deux mains, elle veut que je lui balance mon foutre dans le boyau
- Celle-ci bat toutes les autres filles ! elle ira loin, avec mentions, médailles et autres récompenses