Ma Coloc De Prépa M'Initie
Nous étions en septembre. Javais dix huit ans et venais dobtenir mon baccalauréat.
Javais choisi de poursuivre ma scolarité par une prépa dans une école supérieure de commerce proche de la suisse.
Cétait une école mixte et jusquà présent mes parents avaient choisi une école privée réservée aux garçons pour ma scolarité.
Malgré mes dix huit ans jétais toujours puceau.
En octobre, la rentrée se passa sans problème. Je fis connaissance avec mes camarades de classe et il y avait autant de filles que de garçons.
Javais dû trouver en ville un appartement que je partageais avec lune des élèves de cet établissement.
Elle sappelait Claire et venait de Lyon.
Etant parisien, et né à Paris, je naimais pas particulièrement les lyonnaises. Je les trouvai ingrates et imbues de leur personne. Et elle devait en penser la même chose de moi. Parisiens et Lyonnais se sentaient le nombril de la France.
Mais Claire semblait toute autre. Et moi aussi.
Certes elle aimait porter des vêtements BCBG mais elle ne se prenait pas la tête et était très ouverte. Cétait une fille charmante,qui était issue dun milieu bourgeois mais nen faisait pas étalage.
Mes parents faisaient davantage partie de la classe populaire mais jadorai ce genre de filles et la façon dont ellesshabillaient.
La rentrée se passa bien et chaque soir nous rentrions pour dîner.
Au début nous dînions chacun dans notre coin car jétais assez timide mais après une semaine nous avions décidé deprendre notre repas du soir ensemble et de discuter de notre journée. Cétait sa troisième et dernière année dans cet établissement scolaire et moi je débutais. Elle comptait finir sa scolarité et intégrer un grand groupe financier pour effec des audits comptables.
Claire était assez grande et possédait un très beau corps. Ses seins étaient volumineux mais sans toutefois être énormes.
Nous nous étions tout de suite bien entendus tous les deux. Elle blaguait souvent sur ma timidité et aimait me faire rougir mais avec gentillesse.
Elle savérait très bonne en classe et je ne doutais pas un seul instant de sa future carrière. Elle possédait tout ce quil fallait pour réussir.
Intelligente, drôle, ordonnée ou plutôt organisée devrais-je dire, et acharnée au travail. Mais contrairement à dautres personnes elle savait faire la part des choses et aimait beaucoup samuser le week-end. Elle disait que cela lui permettait de décompresser et que rien ne valait une bonne fête le week end pour repartir du bon pied le lundi matin.
Les cours avaient débuté depuis trois semaines et javais un peu de mal à suivre. De surcroit, à cette époque, et dans les écoles de commerce préparatoires à HEC, il se déroulait une période de bizutage que je redoutais activement. Je nétais pas très sportif. Une carrure normale mais des abdos peu développés et surtout un manque de confiance en moi.
Ce bizutage durait une semaine entière et se composait de jeux pas toujours réjouissants et parfois humiliants.
Cest ainsi que je rentrai un soir en pleurs. Claire était déjà présente et préparait le dîner. Nous avions dun commun accord, décidé que nous nous partagerions les taches ménagères. Et par conséquent cétait son jour de cuisine.
Je filai dans ma chambre pour pleurer. Cétait en effet le dernier jour de bizutage et les « chefs » avaient décidés que sur une vingtaine de candidats les dix qui auraient le plus petit sexe devaient avoir un gage.
Et ce gage était « la bite au cirage ». Rien de bien méchant me direz-vous mais pourtant terriblement humiliant.
Je faisais partie bien évidemment des perdants et avait dû me soumettre à cette épreuve sans broncher.
Jen avais partout! Mes poils pubiens, mon sexe, mon gland. Toute cette zone était couverte de cirage qui avait durci.
Et maintenant cela commençait à coller et à me faire mal.
Allongé sur mon lit à me morfondre, jentendis toquer à ma porte. Cétait Claire. Elle mavait entendu entrer et souhaitait me signaler que nous allions passer à table.
Essayant d un sanglot je lui dit que je navais pas faim.
Elle se rendit compte, au son de ma voix, que je nétais pas dans la meilleure des formes. Elle retoqua à la porte puis ouvrit celle ci. Je navais pas pris le temps de fermer la porte de ma chambre. De toute façon je navais pas à le faire car ici jétais en sécurité. Elle se tenait dans lentrebâillement puis constatant mon état se décida à entrer.
- Pourquoi pleures-tu Benoit? Quelque chose ne va pas?
- Cest assez personnel lui dis-je.
Elle me questionna et je lui avouai que la cause de ma détresse était liée au bizutage de ce jour.
Elle éclata de rire et me donna un baiser sur les deux joues.
- Que test-il arrivé?
Je ne savais que lui dire. Cétait difficile à expliquer.
- Tu sais Benoit, nous y avons tous eu droit et moi la première! Comme je suis plutôt bien fichue jai dûe me mettre entièrement nue et embrasser une fille. Et le dernier jour, certains anciens mont même obligé à leur faire une fellation. Ce nest pas si grave, cest lapprentissage de la vie.
- Jespère tout de même que tu nas pas eu à faire une fellation à lun des anciens? Elle riait davantage.
Je commençai à me détendre mais pleurai toujours.
Elle me prit dans ses bras. Elle posa ma tête contre son cardigan et jexplosai en sanglots.
- Vas- y, racontes-moi.
Je lui fit part de ma journée et que finalement javais eu droit à la « bite au cirage ».
Je comprends que tu sois choqué me dit-elle mais cest la tradition ici. Ny prêtes pas attention.
Il y a bien plus grave dans la vie.
Elle me consola et me demanda si nous pouvions aller dîner.
-Cest à dire que pour le moment jai toujours le sexe enduit de cirage et comme celui ci a séché
je vais avoir du mal à lenlever.
Elle déposa un léger baiser sur mes lèvres et me prit la main.
- Viens, suis-moi, je vais arranger ça.
Elle me dirigea vers la salle de bain et me fit déshabiller complètement. Jétais nu comme un ver.
Claire fit couler un bain bien chaud et me demanda dy prendre place.
Cétait la première fois que jétais nu devant une femme mais pourtant jétais loin davoir une érection tant la situation me rendait mal à laise.
Je minstallai dans la baignoire.
- On va nettoyer tout ça, me dit-elle.
Elle sempara dun savon et dun gant de toilette puis me savonna le dos et le torse. Elle avait remonté les manches de son pull pour ne pas le mouiller. Cétait une jeune femme active et ne perdait pas de temps.
- Il faut que tu trempes un peu sinon je narriverai jamais à décoller ce sacré cirage! Ils ne tont pas loupé, les bougres!
Elle continuait de sourire.
-Tu sais à présent je pense que je vais pouvoir continuer seul Claire.
- Non laisse moi faire je suis certaine que tu ne vas pas pouvoir tout enlever.
Elle sempara de la bouteille de shampoing et me lava les cheveux. Cest à cet instant que je pris conscience quelle pouvait aussi être vraiment très douce.
Ses mains parcouraient mon cuir chevelu tout en me faisant des massages. Elle sappliquait sur mon cuir chevelu et ses mains faisaient des ronds qui me donnaient des frissons.
Jétais maintenant tout à fait détendu.
La chaleur du bain semblait avoir eu un peu raison du cirage qui me faisait de moins en moins mal.
Javais de la mousse dans les yeux et Claire prit le pommeau de douche pour me rincer le cuir chevelu.
- Il ne me reste plus quà te nettoyer le sexe me dit-elle en souriant.
- Tu nes pas certaine que je puisse le faire moi-même? Jai un peu peur de ma réaction. Javais dû rougir et elle sen aperçut.
- Non nai aucune crainte je serai très douce et tu nauras aucun mal.
- Ce nest pas ça que je crains Claire.
Elle ne me répondit pas et pris une noisette de gel douche dans le creux de ses mains.
Ses mains se posèrent sur mes jambes. Elles étaient si douces que je ne pus que commencer à bander.
Ses mouvements étaient très lents et sensuels. Comme si elle voulait me préparer à quelque chose dinattendu.
Petit à petit, elle faisait mousser le gel douche, elle glissa sa main sous mes bourses et sactiva à les nettoyer.
Le cirage partait peu à peu et sécoulait dans leau savonneuse.
Mon sexe avait maintenant une érection maximale et elle ne pouvait sen apercevoir.
Malgré tout elle continuait mon lavage avec minutie et ne semblait pas du tout se préoccuper de mon membre.
Elle nettoya mes bourses jusquà ce quaucun morceau de cirage ne soit présent puis sattaqua à mes poils pubiens.
Ceux ci étaient couverts de cirage noir et commençaient seulement à se décoller malgré ma présence depuis un moment dans le bain.
Elle prit soin de bien leur enlever cette substance collante et si désagréable puis se décida à me laver le pénis.
Elle reprit le pommeau de douche pour me rincer puis enduit une nouvelle fois ses mains de gel douche.
Je ne savais plus que dire. Ses mains parcouraient tout mon membre avec délicatesse et enlevaient chaque morceau de cirage qui tentait de lui tenir tête.
Elle me décalotta. Ses mains sur mon gland étaient une première pour moi mais cétait si bon.
Alors quelle avait presque terminé mon lavage intime je sentis lexcitation et le plaisir menvahir.
Je me crispai et déversai de long jets de sperme dans la baignoire. Cétait la première fois quune main féminine mavait fait autant de bien.
Je mexcusai auprès de Claire et lui dit que cétait parti tout seul. Je navais pas su contrôler mon plaisir.
Elle prit une serviette et me demanda de me lever. Elle messuya les cheveux, le dos, le torse, les jambes et mon sexe sur lequel elle sattarda.
Elle se baissa et posa un délicat baiser sur mon gland.
- Allez habilles- toi Benoit, tu es propre maintenant et le dîner nous attend.
Je retournai dans ma chambre, pris un jean et un pull et oubliai même de mettre un slip.
Ce moment avec Claire resterait à jamais gravé dans mon esprit. Cétait la première femme qui mavait vue nu et mavait procuré un orgasme. Je me sentais bien mieux quune heure auparavant.
Quand jarrivai dans la cuisine Claire avait mis la table et mattendait patiemment pour dîner comme sil ne sétait rien passé entre nous.
Elle avait toujours son cardigan en cachemire vert bouteille mais elle avait enlevé son chemisier et je constatai quelle ne portait plus de soutien gorge. Une mini jupe écossaise agrémentait sa tenue et elle avait pris soin de mettre des bas noirs sur lesquels de hautes chaussettes en laine venaient embellir ses jambes.
Jaurai à cet instant pu croire quelle voulait me tester. Mais ma honte de la journée était toujours présente et ma timidité également.
Elle avait préparé le couvert et installé nos assiettes lune à côté de lautre.
- Ce soir c'est sushis et sashimis avec du riz! Heureusement car sinon le repas serait brûlé.
- Je te remercie tu es un ange.
Elle avait déjà disposé sur la table de la sauce soja agrémentée de wasabi. Dans une coupelle étaient disposées des lamelles de gingembre.
Je minstallai. Elle posa sur la table les plats japonais et me proposa de commencer notre repas.
Je me rendis compte que son cardigan en cachemire était assez ouvert pour laisser percevoir le début de ses seins.
Sans doute un oubli.
Je nosai pas lui en parler. Visiblement elle navait pas été troublée par notre séance dans le bain mais pour ma part cétait déjà un bon début mais aussi une toute nouvelle expérience.
Nous avons dîné tranquillement et alors que jallais débarrasser la table elle me fit signe quelle allait le faire.
Elle se leva et pris soin de mettre les assiettes, les bols et les tasses dans le lave vaisselle.
Elle se penchait et je pouvais voir quelle avait mis des porte jarretelles pour soutenir ses bas.
Après mon épisode sous la douche je ne savais plus quoi en penser.
Elle mavait fait jouir si naturellement que je me demandais si finalement je devais vraiment mattacher à Claire ou bien si elle avait agit tout naturellement.
Elle se saisit des baguettes japonaises et des verres et se baissa encore davantage. J'avais une belle vue sur ses bas, son porte jarretelles et son string.
Jétais prêt à la prendre par les hanches mais ne pût me résoudre à le faire. Elle avait sans doute rendez vous avec un copain plus tard dans la soirée.
Je lui informai que jallai me coucher pour réviser un peu et lui fis une bise sur ses deux joues.
Javais pourtant tant envie de la prendre! Mais ma timidité me faisait agir autrement.
Je me dirigeai vers ma chambre. Je me dénudai entièrement et me mis sous la couette.
Jétais bien et avais du mal à dormir. Je ne cessais de penser à cet orgasme que Claire avait sû me procurer. Cétait si inattendu.
Je fermai la lumière et tentai de dormir un peu.
Après une telle journée faîte dhumiliation et de bonheur je ne tardai pas à trouver le sommeil au bout de quelques minutes.
Je me réveillais en pleine nuit. En fait jignorai totalement lheure hormis le fait que je venais de me soustraire à un profond sommeil.
Après avoir jeté un oeil à mon réveil je constatai quil nétait que 23H30.
Dans cette location je possédais un lit deux personnes et je me rendis compte rapidement que quelques chose ne tournait pas rond.
Mon bras droit était en effet disposé sur une matière douce qui navait rien à faire dans mon lit.
Il sétait entouré tout simplement autour du corps de Claire qui mavait rejoint et en fait je caressais son pull doux.
Je nen croyais pas mes yeux malgré la pénombre. Je devais rêver.
Jallumai la lumière. Claire dormait. Son visage et son corps étaient tournés vers moi. Son gilet était déboutonné partiellement et je pouvais voir pour la première fois de ma vie une partie de ses seins de femme. Elle dormait paisiblement à côté de moi et après chaque respiration profonde ses seins se dressaient.
Elle avait du avoir peur du froid pour garder son pull pour dormir.
La lumière ne semblait pas la déranger. Elle dormait toujours. Je défit les trois boutons de son gilet qui voulaient me résister.
Elle bougea légèrement mais ne séveilla pas. Javenturai une main sur sa poitrine imposante. Elle était magnifique. Splendide même.
Je la caressai un moment. Sa respiration semblait saccélérer mais elle ne se réveillait pas pour autant.
Plein de pensées me vinrent à lesprit et jen arrivai à la conclusion que si elle sétait habillée si sexy lors de notre dîner elle lavait fait pour me séduire ou maguicher.
Je me décidai à explorer son corps plus amplement. Cétait une vraie découverte pour moi.
Elle dormait et javais toute latitude pour pouvoir la caresser.
Ma main alla vers son sexe. Elle était parfaitement rasée et son minou était tout doux.
Jy introduis un doigt. Mais très doucement car je ne souhaitais pas la réveiller.
Cétait ma première fois et je constatait que sa vulve était toute chaude.
Jinsérai un second doigt très délicatement. Son corps se mit à se cambrer comme si elle y prenait du plaisir.
Alors que je continuai très délicatement à la masturber elle se mit à bouger puis se cambrer encore davantage.
Jétais persuadé quelle dormait mais jentendis une voix me dire: Lèches- moi sil te plait Benoit.
Je sursautai mais mexécutai. Je balançai la couette au dessus du lit et pris place entre ses jambes.
Je ne savais pas comment faire. Japprochai ma langue de son sexe et la léchai. Ses mains mouvrirent son clitoris et je me délectai de son petit bouton. Instinctivement ma langue et ma bouche lui procuraient de légers sucions sur son clito. Elles sactivaient comme une pompe et aspiraient ce petit bout de chair qui métait jusqualors inconnu. Je continuai à mappliquer à lui lécher son petit bouton damour et lui remis deux doigts dans sa chatte. Instinctivement, jaccélerai la cadence et Claire me prit par les cheveux et poussa ma langue au plus profond de sa grotte.
- Oh oui Benoit, continues comme ça!
Je navais plus trop de souffle et elle me tenait la tête si serrée entre ses cuisses que je manquai d.
Elle se lâcha et je vis tout son corps trembler. Elle jouissait dans ma bouche et ne sarrêtait pas de gémir.
Peu à peu elle reprit ses esprits. Elle membrassa tendrement et me remercia.
- Je ne sais pas si cest la première fois que tu lèches une femme mais je peux te dire que tu ty prend très bien.
Cest mon premier orgasme de la rentrée.
Cétait la première fois que javais loccasion de faire un cunnilingus à une femme et le fait quelle y ait pris du plaisir me rendait fier.
- Mmm cétait si bon! me dit -elle.
Je la pris entre mes bras et la remerciai.
- Pourquoi me remercies-tu? ce serait plutôt à moi de te le faire.
- Je te remercie car tu es la première femme de ma vie que je fais jouir et le fait que tu maies laissé te lécher la chatte ma fait très plaisir.
Nous étions totalement éveillés malgré lheure tardive.
Elle me fit mettre sur le dos.
De mon côté je continuais à lui caresser les seins et sa vulve encore trempée.
Sa langue chercha la mienne une nouvelle fois et nous nous embrassions comme deux êtres inséparables.
Claire prit soin de me lécher tout le corps, de membrasser la nuque, de me mordiller loreille puis descendit très doucement vers mon bas ventre.
Sa bouche se posa sur mon sexe en érection. Elle me léchait maintenant les testicules et la hampe.
Jamais aucune fille ne mavait fait celà.
Claire ne se servait pas de ses mains mais juste de sa bouche et de sa langue.
Elle remonta ma hampe et sa bouche engouffra mon pénis. Elle serra davantage et me fit décalotter tout en continuant ses allers-retours sur mon sexe. Jai bien cru que jallais encore éjaculer précocement comme dans la baignoire mais elle savait y faire et cadençait ses mouvements de manière à ce que je ne jouisse pas.
- Tu aimes Chéri?
- Oui Claire, tu es divine, ne stoppes pas.
- Je vois bien que ça te plait mais jaimerai sentir ton sexe en moi.
Jétais assez paniqué car cela ne métait jamais arrivé de pénétrer une femme et javais peur de my prendre mal.
- Tu sais je suis encore puceau, Claire. Je suis désolé.
- Ne sois pas désolé Chéri je vais toffrir le cadeau que tu mérites depuis tant de temps.
Claire membrassa à nouveau et me caressai le sexe.
Jétais toujours sur le dos.
- Tu vas voir, tu nauras pas mal.
Elle me chevaucha, prit mon sexe et le posa délicatement sur sa vulve. Puis très délicatement elle lintroduit en elle et le fit coulisser. Cétait ma première fois et je ne ressentais que du bonheur.
Javais la sensation dêtre chevauché par une vraie femme qui était en train de me faire lamour et de me dépuceler.
Elle accéléra le mouvement. Mon sexe était maintenant introduit profondément dans son vagin et elle allait au rythme de mes mouvements de reins. A chacune de mes poussées je pouvais voir son cardigan sentrouvrir et me laisser découvrir ses seins majestueux.
Elle les malaxait et mordonnai daccélérer la cadence. Je sentis son corps et son bas ventre semparer de mon sexe et jéjaculai au fond delle. Mon sperme chaud sécoulait le long de ses parois.
Elle gémissait. Elle se courba et me donna un long baiser. Sa langue me semblait aussi douce que son sexe. Nous nous sommes endormis ainsi. Elle au dessus de moi et ses bras autour de mon cou.
Le lendemain matin fut tout aussi fabuleux. Un nouvel amour venait de naître entre nous.
Je dormais profondément. Javais passé un début de nuit torride.
Je voulais me tourner sur le dos mais une main me maintenait sur le ventre. Jétais inconscient et me laissai faire.
Je continuai à somnoler et à rêver. Je rêvais souvent et me rappelai de mes rêves la plupart du temps.
Bien que nétant pas encore éveillé je continuai à rêver que javais fait lamour avec Claire. Je suppose que je bandais.
Tous les hommes bandent le matin après tout
Jétais donc dans mes songes les plus profonds. Je rêvais quune femme était en train de me sucer.
Il marrivait fréquemment de faire des rêves érotiques.
Cela me réveilla et jouvrais mes yeux un peux endoloris. Je mis quelques minutes à me rendre compte de la situation.
Claire, sur moi, était en train de me sucer. Elle ne portait que son cardigan vert bouteille de la veille et ses yeux bleus étaient plein de malice.
Mon sexe dressé, se laissait faire et mon corps bougeait au rythme de sa langue.
Je ne pris que peu de temps à me rendre compte que la réalité dépassait la fiction.
Claire était vraiment en train de me sucer.
Jouvris peu à peu les yeux. Elle sen rendit compte et moffrit un sourire accueillant.
Nous étions un samedi et navions pas cours.
Elle stoppa son geste et vint sinstaller sur mon corps.
- Comment vas-tu Chéri?
- Super bien et toi?
Je lembrassai tendrement.
-Je ne te remercierai jamais assez lui dis-je.
- Pourquoi donc?
- Tu mas dépucelé dune manière fabuleuse. Je ne ten serai jamais assez reconnaissant.
Tu es un amour.
- Cest toi qui est un amour, tu mas fait jouir comme jamais. Jai apprécié ta fougue et ton enthousiasme.
Je taime Benoit.
Elle me redonna un tendre baiser.
- Jai encore envie de toi me dit-elle à loreille. Tu es si fougueux. Tu sais me procurer tout le plaisir dont jai besoin.
Jaimerai que tu me prennes lanus sil te plait.
Je navais jamais fait cela et ça me paraissait une pratique sale. Je nétais pas tenté du tout.
- Si ça ne te dérange pas je ne préfèrerai pas lui dis-je. Allons plutôt prendre notre petit déjeuner.
- Tu as raison, je vais me préparer pout toi. Tu ne seras pas déçu.
Elle se leva, membrassa à nouveau et prit la direction de la salle de bain.
De mon côté je me disais que je navais pas rêvé et que javais bien fait lamour avec cette splendide personne quétait Claire. Elle avait pris mon pucelage de la plus belle des manières.
Jétais un homme maintenant!
Je restai dans mon lit en attendant que Claire ait terminé de se doucher.
Quand je nentendis plus de bruit je me dirigeai vers la salle de bain et me lavai copieusement.
Mon sexe était plein de sperme collé à mes poils et javais beaucoup de mal à débander tant la nuit passée avait troublé mon esprit.
Je terminai par un douche froide et retournai dans ma chambre pour mhabiller.
Claire m'attendait dans la cuisine.
Elle portait une nuisette blanche totalement transparente qui ne cachait absolument rien de ses jolis seins et de son pubis.
Elle avait par dessus cette nuisette pris la peine de vêtir un cardigan en angora rose pâle extrêmement doux pour ne pas prendre froid.
- Je t'ai préparé des oeufs et du bacon, du café, du jus d'orange pressé et des biscottes. Ca te va?
- Je ne pourrai rêver mieux. Tu es une fée du logis lui dis je en souriant.
- Cette nuit m'a donné faim Benoit. Pas toi?
- Oui je crois que je mangerai plus qu'un ogre. Je me sens si différent.
Je m'installai à table et Claire apporta tout ce qu'il fallait pour prendre un bon petit déjeuner copieux.
Elle était vraiment très belle. Sa nuisette ne cachait rien de ses seins et son doux cardigan la rendait encore plus sensuelle.
Nous avions tous les deux très faim après cette nuit d'amour.
Le petit déjeuner étant fini je me dis qu'il était temps que nous allions faire un tour en ville.
J'en fis part à Claire mais en guise de réponse elle approcha sa bouche de la mienne et me donna un baiser.
- Tu viens? lui demandai-je
- Non, il me semble que nous avions prévu quelque chose ensemble. Et maintenant je suis prête pour toi.
Vraiment prête.
Elle me prit la main et cette fois me guida vers sa chambre. Je n'avais encore jamais eu l'occasion d'y pénétrer mais elle était bien aménagée.
Elle glissa une main sur ma hanche et l'autre dans mes cheveux et m'embrassa goulument. Visiblement elle avait encore envie de faire l'amour.
Mes mains s'empressèrent de lui pétrir les seins et ses fesses si fermes et de caresser son gilet. Ce pull en angora me plaisait décidément beaucoup.
Je ne sais pas pourquoi mais il m'excitait autant qu'elle. Mais dans une moindre mesure tout de même.
- Je vais te faire découvrir ce que j'aime par dessus tout Benoit.
Claire m'ordonna de me dévêtir et de m'allonger sur son lit.
Je bandais comme un taureau.
Elle ouvrit son armoire et en sortit un flacon ainsi qu'un objet d'une forme assez bizarre.
En apercevant mon regard interrogateur elle me dit qu'il ne s'agissait que d'un flacon de lubrifiant et d'un plug anal.
- Un plug anal ? Qu'est ce donc?
- C'est un objet que j'utilise tous les jours chéri. N'aies aucune crainte. Il me permet juste de dilater mon anus pour me préparer à ce que tu me prennes. Tu verras c'est très pratique.
Je lui faisais confiance. Après tout alors que je n'avais que dix huit ans, pouvoir faire l'amour à une femme de trois ans mon ainée me paraissait extraordinaire.
Elle se planta devant moi et se décida à me faire un strip tease. Il faut avouer qu'elle n'avait pas grand chose à ôter.
Son corps ondulait au rythme de la musique qui se diffusait depuis sa chaine stéréo. Elle ressemblait à ces pin ups des années cinquante et je la trouvais très sexy.
Elle ôta son gilet puis me fit un numéro digne des plus grandes strip teaseuses de cabaret et enleva sa nuisette.
Elle continuait à danser nue devant moi puis se décida à remettre son cardigan en angora rose pâle.
Elle le boutonna entièrement mais la laine si douce me laissait entrevoir ses tétons durs et je bandais comme un cerf.
Claire se saisit du flacon, l'inclina, et pressa dessus pour laisser jaillir une fine couche de lubrifiant sur ses doigts.
Elle se mit dos à moi et cambra son corps au maximum. Je pouvais entrevoir sa chatte et son anus.
Un doigt s'inséra dans son anus, puis un second. Elle était en train de se masturber le cul. Jamais je n'avais été confronté à pareille situation.
Elle entra un troisième doigt ce qui sembla lui procurer encore davantage de plaisir. Ses doigts allaient et venaient dans son petit trou sans aucune gêne et je m'aperçus que de son autre main elle se branlait la chatte.
Claire s'empara du plug et l'enfonça dans son anus sans difficulté. Je n'avais jamais rien vu de tel.
Elle semblait dans un état second. Elle conserva le plug et déboutonna son gilet. Elle continuait à se caresser la chatte.
Elle s'approcha de moi et me sourit. Elle enleva son plug anal et prit position au dessus de moi en 69.
- Allez Benoit lèches moi le cul s'il te plait.
J'avais devant le nez sa chatte humide et son trou du cul grand ouvert. Ma langue s'attarda sur son anus et je lui administrai la feuille de rose qu'elle demandait.
Son cul était bien dilaté et elle se branlait doucement tout en me suçant langoureusement.
- Prends moi Chéri. J'ai vraiment envie de te sentir dans mon cul. Dépêches-toi.
Elle prit position à 4 pattes sur son lit et se cambra le plus possible. J'approchai mon sexe de son trou et poussai un grand coup. Elle gémit mais pas de douleur. Visiblement elle avait pour habitude de se faire plaisir de ce côté.
Son anus bien que distendu était serré en comparaison de sa chatte et c'était une toute nouvelle impression pour moi.
Je la ramonai de plus en plus fort et elle semblait prendre un pied incroyable.
Elle avait joui déjà deux fois mais ses cris et ses paroles eurent raison de moi. J'éjaculai au plus profond de ses reins en de longs jets.
Claire était parcourue de spasmes comme toujours et ne cessait de me dire merci.
A suivre....
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