Expérience Cuisante

J’ai été contacté il y a quelque temps par un homme un peu plus âgé que moi et qui disait aimer fesser un autre homme. Cela fait partie de mes fantasmes depuis longtemps et je ne l’avais encore jamais réalisé. Après avoir discuté sur Internet, nous nous sommes rencontrés et le courant est très bien passé entre nous, ce qui fait que nous avons décidé de nous revoir chez lui.
Je lui avais fait part de mes autres fantasmes, entre autre celui d’être vu pendant une séance et il avait semblé amusé à cette idée.
Je me présente donc chez lui en début d’après-midi, nous discutons et plaisantons jusqu’au moment où il me parle de mon fantasme :
- As-tu envie d’essayer ?
Pourquoi pas, j’ai confiance en lui. Il m’explique alors qu’il a convié quelques amis partageant ses goûts, la séance se fera devant une webcam pour cette première fois.
- Allons-y, dis-je tout émoustillé à cette idée.
Nous sommes passés dans la chambre, son ordinateur déjà placé devant le lit et la webcam prête à fonctionner.
Il s’est d’abord connecté seul avec ses amis. Rapidement la question est venue :
- Alors, il est là ?
- Il est prêt, répondit mon ami.
Il m’a appelé et placé devant la webcam. J’étais habillé d’un pantalon et d’une chemise mais très vite j’ai entendu le cri unanime des voyeurs :
- A poil !
- Tu sais ce qu’il te reste à faire, dit mon ami.
J’ai donc déboutonné ma chemise et l’ai enlevée, puis ce fut la ceinture et les boutons du pantalon. Mon cœur battait très vite en enlevant ce vêtement et je restais ainsi un peu tremblant, vêtu de mon seul slip devant cet œil que je sentais me détailler de manière impudique. Cela semblait plaire aux voyeurs qui applaudirent à ce show.
- Il ne va tout de même pas rester avec ça, demanda l’un d’eux ?
C’est mon ami qui s’est approché de moi, il a posé ses mains sur mes hanches et a fait glisser le slip dégageant ainsi ma queue et mes fesses à la vue de tous.

J’ai entendu des cris de joies puis des « Fais voir de plus près ! ». Mon ami a donc approché la webcam afin que chaque détail de mon anatomie ne soit plus un secret pour ses amis. Cette sensation très particulière d’être ainsi offert à la vue m’a excité et je n’ai pas tardé à avoir une érection.
- Il aime ça, dit l’un des voyeurs, il n’a pas honte, ça mérite une correction !
- Il ne perd rien pour attendre, ricana mon ami.
Il s’assit sur le bord du lit, de profil par rapport à la caméra et me fit basculer sur ses genoux. Sa jambe droite bloqua mes jambes pendant que son bras gauche tenait mes poignets dans mon dos.
J’entendis les encouragements de voyeurs : « Vas-y, n’hésite pas ! ».
Mon ami n’a pas hésité et sa main a commencé à s’abattre sur mes fesses, d’abord en prenant son temps et en s’appliquant à frapper chaque globe alternativement, puis plus rapidement et plus fort. Chaque coup me faisait tressauter mais ma position m’empêchait de bouger, je finis par pousser des petits cris.
- Vas-y, il aime ça, je l’entends couiner, dit l’un des voyeurs !
Je ne savais plus combien de coups s’étaient abattus sur mes fesses mais je sentais la chaleur envahir le bas de mon dos.
Jugeant sans doute que la couleur commençait à lui plaire, mon ami cessa.
- C’est pas déjà fini, dit une voix, je suis sûr qu’il en a encore envie !
La main de mon ami se promenait sur mon postérieur, jaugeant la chaleur et en profitant pour s’immiscer entre les globes et entre les jambes pour une rapide caresse.
Au moment où je ne m’y attendais pas, une nouvelle claque arriva, suivi d’une autre, et d’autres encore. La fessée reprenait et devenait plus douloureuse. Après une douzaine de claques, je ne sais plus vraiment, il stoppa.
- Ne vous inquiétez pas, ce n’est qu’une pause pour changer un peu de jeu, dit-il à ses amis.
Il me libéra et m’aida à me redresser en me plaçant bien face à la caméra afin que les voyeurs ne perdent rien du spectacle.
Je jetais un rapide coup d’œil sur l’écran et pu ainsi voir que mes fesses avaient pris une belle couleur rouge uniforme.
Je restais ainsi, sentant des yeux me détailler ce qui m’excitait, je l’avoue. Pendant ce temps, mon ami plaça quelques oreillers en travers du lit, je me doutais de ce qui allait arriver mais je n’imaginais pas le scénario qu’il avait préparé.
Il me prit par la main et me fit m’allonger sur le ventre, le bassin rehaussé par les oreillers et les mains sur la tête. J’offrais ainsi le spectacle de mes fesses rougies aux voyeurs.
- Il vous plait comme ça, demanda-t-il ?
- Il manque quelque chose, répondit une voix.
- J’y viens, je n’ai pas oublié, dit-il en riant.
Je l’entendis ouvrir un tiroir et revenir derrière moi, ses mains écartant les globes pour découvrir mon anus. Je sentis son doigt et quelque chose de froid se poser sur ma rondelle, puis un lent mouvement, d’abord superficiel puis s’insinuant doucement dans le trou qui ainsi s’ouvrait sous la caresse. Il fit quelques aller-retour, s’enfonçant doucement, ressortant presque avec un mouvement tournant. Un deuxième puis un troisième doigt vinrent compléter le travail en cours, détendant le sphincter qui s’ouvrait sans peine. Il présenta alors un objet à l’entrée.
- Je vais te mettre un plug pour te garder bien ouvert.
Il poussa l’objet qui entra sans trop de peine et se mit en place. Quel spectacle devais-je offrir avec mon cul rougi et ce plug enfoncé ! C’était à la fois humiliant et excitant.
Il retourna prendre quelque chose dans le tiroir.
- Assez joué, passons à la suite !
La suite ? Je compris tout de suite en ressentant une brusque brulure en travers de mes fesses : il avait pris une ceinture et m’en fouettait maintenant me faisant sursauter à chaque coup. Autant les claques chauffaient, autant cet objet était douloureux, même s’il le maniait avec savoir-faire, et je ne pouvais m empêcher de pousser des petits cris.
Quand il fut satisfait du résultat, il cessa les coups et me caressa les fesses en feu.
Il se leva, me laissant dans cette position et revint quelques instants plus tard. Je fus surpris : à la chaleur succédait le froid : il me passait des glaçons sur les fesses !
Il se leva de nouveau, se plaça à côté du lit. J’avais toujours la tête baissée et je ne voyais rien de ce qui se préparait, ce qui accentuait l’aspect angoissant de la situation.
- Combien, demanda-t-il à ceux qui continuaient à se délecter du spectacle ?
- Dix, dit l’un
- Vingt, renchérit l’autre
- Commençons par dix, répondit mon fesseur.
A ce moment j’entendis un sifflement puis une morsure qui me fit crier et faire un bond. C’était le premier coup de martinet. Un deuxième suivit puis un autre, appliqué avec science et doigté sur chaque globe. Puis un autre atteignit la jointure de mes fesses et de mes cuisses m’arrachant un autre cri. D’instinct je tentais de me protéger avec la main mais mal m’en prit car il l’attrapa et la replaça vivement sur ma tête en disant « Si tu recommences, je repars à zéro et tu vas déguster ! ». Je subis ainsi les dix coups sans plus tenter de résister. Ce n’était plus de la chaleur, c’était une vraie brulure qui envahissait mon postérieur. Les voyeurs devaient se délecter du spectacle.
Passant sa main sur mes fesses meurtries, et sentant les boursouflures laissées par le martinet, il dit « Ce n’est pas mal, juste quelques finitions et ça ira ». Je reçus encore quatre autres cinglées, appliquées avec dextérité à l’endroit qui lui semblait opportun.
- Voila, dit-il, ça vous a plu ?
- Il a aimé ? Montre-nous sa queue pour vérifier !
Sans ménagement il passa sa main sous mon ventre et plaça mon sexe entre mes jambes sans ménagement.
- Il a l’air d’aimer ça mais je suis sûr qu’il voudrait autre chose, dit l’un des voyeurs.
- J’y viens, répondit mon tortionnaire, le bonus arrive.
Il tira sur le plug libérant ainsi mon anus qui resta ouvert.
Je l’entendis enlever son pantalon (il était torse nu depuis le début) puis son caleçon.
Le bruit caractéristique d’un préservatif ne me laissa aucune illusion sur ce qui allait suivre. Il se plaça derrière moi, écarta mes fesses et s’enfonça lentement d’un mouvement continu m’arrachant un soupir. Quand il fut entré tout entier, il commença des allers et venues, d’abord lents puis plus rapides, il me labourait le cul en poussant de petits gémissements. Je ne sais combien de temps cela dura, j’avais perdu toute notion depuis le début de la séance, mais je le sentis se raidir et jouir en moi en râlant. Il resta quelques instants à reprendre son souffle puis sortit de mon ventre me laissant pantelant.
- Beau spectacle, dit l’un des voyeurs, dommage que nous ne puissions en profiter à notre tour.
- Ne désespérez pas, ça viendra, répondit-il malicieusement.
Cette séance avait été angoissante et stimulante, je me sentais humilié et comblé.
La prochaine fois, les voyeurs seraient présents et ce ne sont pas les claques d’une seule personne que j’aurai à recevoir, mais de trois ou quatre, sans compter le bonus.

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