Il Est Mon Maître, Je Suis Sa Soumise !
Il est mon Maître, je suis sa soumise !
Après quelques semaines de frustration et dattente, que Pierre sest amusé à minfliger ; un soir en pleine semaine, il avait pour projet de venir dans mon appartement. Javais reçu pour ordre de ne pas parler, même en cas de jouissance, et de laccueillir dans une tenue légère quil mavait choisie. Sétait un porte-jarretelle, seul, avec des bas noirs.
Je lui ouvris ; jai vu dans son regard quil était satisfait par mon obéissance ; me prit par la main fermement et memmena dans ma chambre. Il appuie sur mon épaule pour me faire mettre à genoux, enlève sa ceinture, déboutonne son jeans et sort sa magnifique verge déjà durcie par lexcitation, me prend la tête de ses deux mains et dirige ma bouche grande ouverte pour que je le suce. En bonne soumise que je suis, je mexécute. Je la pris à deux mains, lavala et glissa ma langue chaude sur tout le pourtour de son phallus, tout en le masturbant.
« Jaime lui faire plaisir ! ».
Puis, il me prit par la mâchoire pour me faire remonter à son niveau, membrassa brièvement et me poussa sur le lit. Il se rhabilla, me banda les yeux la sonnette retenti Il se dirigea vers la porte, jentends une voix dhomme inconnue, plus jeune
Pierre lemmena à la chambre, fit de brèves présentations et lui dit :
« je te regarde faire jouir ma ptite chienne
»
Et je le senti sassoir juste à côté de mon visage.
- Etant privée de ma vue, je sens mes quatre autres sens se décupler. Javais limpression dêtre comme dans un cocon, libre de pouvoir me libérer sans aucune gêne ou pudeur.
Linconnu commença par parcourir tout mon corps à laide dun objet fin et légèrement froid, un frissonnement sempara de moi. Lobjet continuait à explorer mes courbes, me caresse les lèvres vaginales, puis remonta jusquaux seins, tétons. Je frissonnais.
Pierre, dune main me tenait la tête et de lautre empoignait mes cheveux.
De son objet, linconnu me fouetta légèrement les seins, puis les tétons pour descendre au clitoris.
« Hummmm une cravache, mon jouet préféré ! », pensais-je.
Cet agréable élancement me procure beaucoup de bien, je gémi, commence à me tortiller de plaisir, je mouille ! Lanonyme sarrêta, me mit des liens aux chevilles et poignets.
- Jaime me sentir « une femme objet », juste là pour procurer la jouissance de mon Maitre et du poulain quil ma choisi.
Létranger se déshabilla et de me demanda douvrir la bouche, il approcha son sexe rigide, cest mon Maître qui me guidait, qui pilotait ma tête, il gérait le rythme la fellation ! Une fois de plus il prit possession de moi et cela mexaltait. M. X, tout en se faisant sucer, me doigtait. Un, deux, puis trois
quatre doigts sur maintenant dans mon vagin. Il me doigtait de plus en plus fort, jétais trempée. Il se retira de ma bouche car il voulut mentendre le supplier de continuer ces préliminaires.
Linconnu demanda à mon Maître de retirer ses mains, afin de me positionner en levrette, le cul bien tendu, ouvert aux moindres désirs de mon second maître. Pierre se leva pour aller admirer la vue et en profita pour me fesser. Je senti létranger me chevaucher pour mieux me pénétrer.
- Ca y est, elle est en moi. Je sens mon vagin se resserrer autour du phallus
« Ho put*** que cest bon ! ».
Le jeune homme commença par me mettre des petits coups de reins, son gland tapait au plus profond de moi, puis les allers et retours se faisaient de plus en plus vite.
« Continues, jen veux encore! Vas-y plus vite ! » Cirais-je.
Je mouillai comme jamais.
- Serait-ce le fait que jai les yeux bandés ? Ou que mon Maître observe la scène et ma montée au Nirvana ? Que je fasse lamour à un parfait inconnu que je ne connaitrai et reconnaitrai jamais ?
Je sentais mon corps trembler à chaque coups de bite, je ne me contrôlais plus, je me laissais emporter par un vent de jouissance, les larmes me montaient aux yeux, JE JOUIS!
« Ne tarrêtes pas, vas-y, vas-y, vas-y ! » bafouillais-je tout en reprenant mon souffle.
Il continua quelques minutes, puis se retira et à son tour pour jouir sur mon dos, à son tour.
- Jadore sentir cette semence chaude sur mon corps rempli de satisfactions sexuelles. -
Mon vénéré lui demanda de me nettoyer ainsi que de me détacher, puis de partir. La porte claqua, Pierre me demanda, tout en enlevant mon bandeau :
« Tu as bien jouis, ptite salope ?
- Ho oui, je vous en remercie Monsieur. »
Tout en me prenant par la mâchoire, il poursuivi :
« Je ne tavais pas donné un ordre ?
- euuuuuh oui, peut-être ! Répondis-je déboussolée.
-Je ne tavais pas demandé de te taire? Et tu las respecté ?
- Non Maître, veuillez men excuser !
- Non ! Et tu seras punie ! répondit-il sèchement. »
Je me mis à genoux et le supplia dêtre clément, pour cette fois ci. Il me dit avec un regard noir :
« - À chaque faute que tu commettras, tu seras punie. Et jamais de la même manière. Parfois, je te laisserai plusieurs heures, voire plusieurs jours sans en reparler, et la sanction sera exécutée au moment où tu ty attendras le moins. Cest efficace pour remettre une soumise indisciplinée dans le droit chemin.
- sûrement, répondis-je »
Il continua, tout en se déshabillant :
« - Pour te faire comprendre la leçon, tu vas recevoir cinq coups de cravache. Je veux que tu les comptes et je tinterdis de changer de position ! »
Il prit la cravache, qui 30min auparavant servait de jouet, sassit sur le rebord du lit, me positionna le ventre contre ses cuisses brulantes, les fesses légèrement remontées et commença ma punition.
« Un, deux
, ciiiiiiiiiiiinq! Aie! »
Jai eu mal. Il me demanda comment je me sentais et je lui répondis avec un sourire timide :
« Punie
- cétait bien le but
» me répondit-il comblé.
Délicatement, il me massa les fesses afin datténuer la douleur, tout en parlant de cette sanction. Puis nous nous sommes allongés, couvert dun plaid, lun contre lautre, emprisonnée dans ses bras, javais besoin dêtre cajolée, rassurée après ce moment éprouvent.
Il est mon Maître, je suis sa soumise et je dois lui obéir.
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