La Conversion De Marie À La Luxure 8 (Sans Retenue))

Après le départ d'Albert, Marie me dit qu'elle avait passé la soirée et la nuit les plus intenses sexuellement de sa vie. J'ironisai en lui faisant remarquer qu'elle me l'avait déjà dit, il y a un mois lors de sa deuxième nuit avec Pierre.

- Si je comprends bien, dès que tu as un nouvel amant, il est meilleur que le précédent. Vu les cris que j'ai entendus, les tressaillements de ton bas-ventre que j'ai vu, je me demande ce que ce sera au prochain et aux suivants. Il faudra que j'insonorise mieux la maison et que je te donne des calmants.

- Tu peux causer, toi, qui m’as laissé seule avec lui, et en plus conduite à passer la nuit dans notre lit. T'es quand même un peu fuyard.... Et en plus, ne me prends pas pour une gourde ! Tu avais tout prévu et organisé avec lui. Je me demande même si le coup du paiement de notre hébergement à Honfleur n'était pas un coup monté pour m'amener à coucher avec lui. Je serai une sorte de remboursement en nature ?..... Et peut-être que Pierre aussi, c'était un piège.

- À toi de penser, ce que tu veux ; mais pour l'instant, tu t'en plains pas de mes amis et anciens collègues. Même si au départ, il faut souvent te pousser un peu.... En parlant de ça, maintenant que tu t'es vautrée dans le stupre et la fornication chez nous avec Albert, il serait pas mal que lorsqu'il en aura fini avec ses escapades pseudo-professionnelles à Marseille, on accueille aussi ton doudou, chez nous. Il ne faut pas faire de jaloux. Comment il va ? T'as des nouvelles ?

- Il bosse comme un malade. Il n'est même pas rentré sur Paris pour ce weekend.

- Bon, quand tu l'auras, dis-lui de venir passer le weekend prochain. Je vous propose même de vous laisser tous les deux seuls, le samedi après-midi. Je me trouverai quelque chose à faire et vous rejoindrai le dimanche matin. J'apporterai les croissants, je suis habitué.

- Pourquoi pas, s'il accepte. Mais on en reparlera plus tard, si tu veux.

Là, je vais aller dormir un peu. J'ai pas beaucoup dormi cette nuit et toute cette gymnastique m'a éreintée. Je n'ai plus vingt ans.

Je profitai de son sommeil pour envoyer les photos que j'avais pris la veille, à Pierre. Et je lui demandai si je pouvais l'appeler d'ici une demi-heure. J'eus très rapidement une réponse :

« Tu appelles quand tu veux, je suis à l'hôtel à Marseille sur un boulot de con. Ça me détendra un peu. »

Je le fis tout de suite... Je commençai par lui dire qu'Albert avait passé la soirée et la nuit chez nous et lui racontai les péripéties de notre Marie. Il me répondit qu'au vu des photos, elle n’avait pas dû s'ennuyer, qu'Albert avait l'air d'être un sérieux baiseur et qu'il trouvait ça bien. Que maintenant, ça la rendrait moins rétive à toute nouvelle expérience. Je lui dis que Marie allait l'appeler et de quoi il s'agissait. Il était d'accord.

- Mais du coup, il va falloir que j'assure. Il faudra que tu me suggères quelque chose pour tenir mon rang.

- Écoute, je vais y réfléchir, et je te dirai... Tu remontes quand ?

- Normalement, jeudi prochain, et je repars le lundi matin. Même pas le temps de faire une petite balade en forêt avec ta douce comme j'ai fait à Honfleur.

- Ne le dis pas à Marie. Dis-lui que tu ne rentres que vendredi soir. J'ai une petite idée. Je vais en étudier la faisabilité et je te rappelle.

Cela faisait un moment que j'avais une idée pour la punition que j'avais promise à Marie pour son escapade au bureau de Pierre et la référence de Pierre à leur balade en forêt, commençait à davantage lui faire prendre forme. Marie se leva vers 11h, toute guillerette. Je parlai avec elle de ses débordements de la veille sous mes yeux et lui demandai si elle ne se sentait pas coupable. Elle me dit que c'était des sentiments diffus. Mélange de plein de choses.

- Reste naturelle, fais-toi plaisir. Y'a pas de honte à se faire du bien.
Profite ! Du moment que tu fais de mal à personne !
- Oui, mais toi, mon chéri, ça te fait pas de mal ?
- La seule chose qui me fait mal, c'est que tu me mentes ! Ou que tu me caches des choses.
D’ailleurs, tu n'as toujours pas eu la punition que je t'ai promise, il y a quinze jours. … Est-ce que tu as une réunion vendredi prochain en fin d'après-midi ?
- Pourquoi ? Je crois pas que j'ai quelque chose.
- Une surprise. Il faudra que tu sois à la maison à 18 h.

Le mardi, elle m'informa que comme on l'avait dit, elle avait invité Pierre, mais qu'il ne viendrait que le samedi après-midi, il arrivait de Marseille vendredi soir. Elle me dit qu'il lui avait envoyé un extrait du "con d'Irène" d'Aragon. Je le savais déjà, puisque je l'avais eu au téléphone la veille et que c'était moi qui lui avais fait parvenir ce texte, en même temps que je lui avais dit ce que j'attendais de lui pour le vendredi. Vendredi matin, en partant je précisai à Marie ce que j'avais prévu pour elle :

- Ce soir, ce n'est pas moi qui te donnerais ta punition pour m'avoir honteusement menti et aller te faire sauter dans un bureau de la Défense aux aurores. Tu trouveras dans le tiroir de ta table de nuit, les consignes que tu devras respectées, à la lettre.

Voilà ce qu'elle trouva dans une enveloppe :
Avant de partir tu t'habilles avec lingerie OUVERTE offerte. Par-dessus, une jupe assez ample, un corsage léger avec boutons devant. Tu mets ton étole noire autour de ton cou.

Direction forêt de Marly. Itinéraire pour punition.

Depuis chez nous, tu prends l’A12 direction A13. Immédiatement au triangle de Rocquencourt, tu prends la sortie Marly, comme quand on est sorti lors de ta représentation de soubrette. Tu prends direction Marly. Si tu veux, tu programmes sur ton GPS la " route de Bacchus".

Tu vas passer devant le Lycée de Broglie, tu connais. La route de Bacchus est 500m après à gauche. Tu la prends.
Au premier carrefour à droite, tu as une impasse qui donne sur des bâtiments, on les voit de la route. Toi, tu continues sur ta gauche. Tu vas passer un espace parking. Puis tu arrives sur un aménagement avec, à gauche une allée aménagée et à droite, une grande pelouse ovale avec un chemin de terre qui en fait le tour. Tu le prends et tu continues lentement sur le chemin forestier, pendant environ 300m. Tu vas voir à droite une grande clairière résultat de coupes de bois. Juste avant tu as un petit bout de chemin dans un renfoncement qui aboutit sur une autre clairière, toute petite. Tu t'y engages, tu te gares et là tu gardes ton téléphone portable près de toi.... Quelqu'un te guettera, il te verra arriver. Je lui ai donné ton numéro....

Le lendemain à 18 h, Marie mis en œuvre le plan que je lui avais fait.... Arrivée dans la clairière son téléphone sonna. Elle ne pouvait pas savoir que c'était moi, j'avais supprimé l'affichage du numéro.

Elle lut ce message.
"Sors de ta voiture, dirige-toi vers le grand chêne en face de toi, fais-en le tour. Sers-toi de ton étole pour te faire un bandeau bien serré sur les yeux appuie-toi des deux mains en avant, sur l'arbre et ne bouge plus. On va venir te chercher."

Je l'attendais avec Pierre que j'étais passé récupérer à la gare. Nous avions garé la voiture un peu plus loin dans le chemin afin qu'elle ne la reconnaisse pas. Nous nous étions bien dissimulés derrière un bosquet. Quand elle eut mis le bandeau, nous la rejoignîmes. Un ami comédien, qui doublait beaucoup de voix pour le cinéma, m'avait prêté un transformeur de voix. Je lui dis :

- Soulève ta jupe derrière ! Puis remets tes mains sur l'arbre.
-
Surprise par cette voix, elle essaya d'enlever son bandeau. Pierre lui attrapa les mains et les lui attacha avec des menottes que je lui avais demandé d'apporter, avec une petite corde de bondage, il les relia à l'arbre au-dessus de sa tête.

- Mais qui êtes-vous ?
- Des amis de René, qui nous demandé de vérifier l'état de tes orifices.
Il nous a dit que tu devais nous obéir. Que nous étions ta punition pour lui avoir menti, avoir couché avec ton amant sans le lui dire et en lui racontant un gros bobard.

Pierre lui coinça sa jupe à la taille, et après lui avoir déboutonné son corsage, il attacha les deux pans derrière son dos, libérant les seins dans le soutien-gorge ouvert, les mamelons et les tétons sortaient entre les deux bandes de tissu en dentelle.

- Dis donc, vu les dessous que tu nous a mis, t'es une belle salope ! Tu fais tout pour montrer la direction à prendre ! Et en plus, pas mal foutue du tout pour une qui a déjà bien vécu. Je crois qu'on va pouvoir s'amuser avec toi.
-
Elle semblait un peu inquiète et circonspecte.

- C'est toi, René ? Arrête ! Tu camoufles ta voix, c'est bien un truc de ton style !

Elle n'eut pas la possibilité d'en dire plus. D'une main ferme Pierre lui avait écarté les cuisses, et de l'autre lui avait fermé la bouche. Il enleva sa cravate, et avec un mouchoir, s'en servit comme bâillon.

Il lui recula au maximum les jambes du tronc de l'arbre. Puis, après avoir sorti son bijou de son écrin, il se colla contre elle et lui introduisit dans le con. Les jambes écartées, les mains en l'air, le string ouvert, tout facilitaient l'opération. Elle se rebiffa un petit moment, arriva à dire :

- Vous n'avez pas le droit !...
- Nous avons tous les droits sur toi. Et on va s'amuser un peu, chacun notre tour... Pour l'instant, c'est mon copain, après je m'occuperai de toi aussi.

Il n'y avait que moi qui pouvais parler. À un moment, je la sentis en pleine interrogation... Elle se laissait davantage faire... Et finit par dégager avec ses dents, la cravate qui l'empêchait de parler.

- Je crois que je sais quelle est la bête qui me tient chaud et m'échine gentiment. Je l'ai beaucoup fréquentée ces derniers temps pour bien la reconnaître.

Puis, avec un certain humour.

- Et après tout, si ce n'est pas l'homme que je crois avoir identifié, pourquoi ne pas en profiter. Ça fera la nique à Pierre de m'avoir trahie, l'autre jour, en disant que j'étais passée dans son bureau.
-
Sûr, elle l'avait reconnu.

- Bon, Pierre, tu es découvert. Mais tu ne m'as pas fait venir pour rien. Moi, je n'ai jamais eu droit à tester la qualité de ses trous, alors que j’en ai toujours rêvé. Tu m'en as dit le plus grand bien. René aussi, et il m'a dit que tu étais prioritaire, mais que j'aurais droit aussi à mon petit tour de manège quand tu t'arrêterais. Voilà ce qu'on va faire. Tu continues par derrière, dans sa foufoune, mais pas dans la même position !

- Dégage-là de l'arbre. Allonge-toi par terre, assied-la sur toi, dos à toi, en cavalière, garde lui les mains attachées et vérifie que le bandeau est bien serré. Parce que je vais lui présenter, par devant, quelque chose qu'elle n'a pas beaucoup de chance de reconnaître.

Quand elle fut en position. Je lui écartai encore un peu plus les cuisses, et pendant que Pierre continuait à lui secouer le bocal, je lui caressai le clito avec un concombre.

- Mais c'est quoi, c'est pas tes doigts ou ton sexe, toi !

Le fait qu'on ait admis que celui qui la lutinait était bien Pierre, la rassurait. Même si elle ne savait pas encore vraiment qui était l'autre.

- C'est peut-être mon sexe ! Pas mal monté hein !
-
Elle commençait à avoir les cuisses qui s’agitaient sous l'effet conjugué du sexe de Pierre et de l'excitation de son petit bouton, que j'accompagnais de temps en temps de petites tentatives d'introduction en forçant légèrement l'entrée, à côté du vit qui la pénétrait. Voyant qu’elle devenait, de plus en plus participative, je fis signe à Pierre de se retirer. Et dès qu'il fut sorti, j'entrai complètement la cucurbitacée dans sa moule, bien ouverte.

- Alors, qu'est-ce qu'on en dit ?
- Mais c'est quoi ce truc ? C'est énorme !

Personne ne lui répondit. Elle n'insista pas. Pierre s'agenouilla derrière sa tête et lui introduisit sa queue dans la bouche. Il se pencha sur elle et lui lustra le mignon, avec les doigts, pendant que je faisais travailler le légume. Il ne fallut pas longtemps pour qu'elle entreprenne de réveiller les écureuils, les marmottes, les loups et les hiboux qui, au crépuscule commençaient à s'assoupir. Elle poussait des hululements qui auraient pu rameuter tous les mâles de la forêt. Après quelques minutes, d'abord doucement, puis en flots saccadés, elle se mit à couler.

- Il faudra revenir un jour pour voir ce qui aura poussé là, grâce à ton eau de jouvence.

Elle ne pouvait pas répondre. Elle était ailleurs. Je la voyais chercher l'air, ce qui m'incitait à agiter le concombre encore plus vite, tout en veillant à ne pas lui faire mal.

- Arrêtez, s'il vous plaît ! J'en peux plus !

Je demandai à Pierre d'aller reculer la voiture. Je relevai Marie qui avait toujours son bandeau et les mains attachées, la conduisit jusqu'à la portière arrière. Je demandai à Pierre de s'asseoir. Et sans la laisser respirer un peu plus, je lui fis baisser la tête, mettre les mains (toujours attachées) sur le siège, au-delà des jambes de son amant et prendre sa bite à pleine bouche. En même temps je lui écartai les jambes et lui enfonçai mon sexe dans son petit anneau (d'ailleurs, il n'était plus aussi petit, depuis qu'Albert lui avait fait vivre quelques bonnes dilatations).

Outre le plaisir que je tirais du fait que je pouvais maintenant avoir droit à un endroit dont j'avais beaucoup rêvé, mais dont l'entrée m'avait été longtemps interdite, cela permettait qu'elle ait du mal à identifier mon sexe comme elle venait de le faire avec celui de Pierre. Tout en la travaillant, j'accompagnai ses mouvements de tête sur le sexe de Pierre, pour les accélérer ou les rendre plus profonds.

Elle essayait de s'enlever de ce manche qu'elle était obligée d'envelopper, pour s'exprimer, mais n'y parvenait pas. Je ne voulais pas la lâcher tant que je n'avais pas envoyé la sauce et mélangé mon sperme aux coulures de sa fontaine. En même temps, je voulais faire durer le plaisir. Elle renvoya un nouveau jet qui m'inonda les testicules et eut pour effet de me faire tout expulser. Je prolongeai au maximum mon "bonheur". Je crois que j'ai dû lui en donner plus que tout ce que je ne lui avais jamais donné, depuis la première fois que je l’avais baisée. Je la relevai, fit signe à Pierre de venir.

Après l'avoir assise sur le siège conducteur. Nous l'avons laissée respirer un bon 1/4 d'heure. Et malgré ses protestations, nous l'avons attachée au volant, afin qu'elle n'ait pas la tentation d'enlever son bandeau. Après, nous lui avons posé la clé des menottes dans une main et sommes allés récupérer, rapidement, notre voiture dans un petit chemin parallèle. Quand nous sommes repassés devant la clairière, nous avons pu voir qu'elle n'était pas encore parvenue à enlever ses menottes.

J'avançai quelques mètres plus loin et demandai à Pierre d'aller discrètement vérifier qu'elle s'en sortait. Il revint très vite, en courant, pour me confirmer qu'elle y était arrivée.

Après avoir déposé Pierre, et récupéré les caméras espionnes, dont je ne voyais plus d'utilité à ce qu'il les ait. Je rentrai. Marie arriva vers 21h. J'étais dans le bureau affairé sur un dossier.

- Dis donc, ça a été long ta petite escapade punitive. Tu as l'air de ne pas avoir détesté.
- Te fous pas de ma gueule, t'étais avec Pierre. J'en suis sûre !
- Ah bon! Ecoute, crois ce que tu veux ! Mais, je te conseille de téléphoner à ma secrétaire pour qu'elle te dise où j'étais ce soir.

Je savais qu'elle n'oserait jamais appeler Jacqueline. Et que si jamais elle le faisait, Jacqueline lui dirait que j'étais en réunion à 17h30, quand elle était partie, et qu'elle ne savait pas à quelle heure ça c'était terminé. Je vis une moue interrogative sur son visage.

- Salaud ! Mais, alors, c'était qui le type qui m'a fait plein de saloperies, avec Pierre.
- Quand je l'ai appelé pour lui parler de mon plan, Pierre m'a dit qu'il ne voulait pas être tout seul.

Albert n'était pas disponible. Alors j'ai cherché, dans tes connaissances quelqu’un qui me semblait en pincer pour toi. Tu sais qu’il y en a beaucoup. Rappelle-toi cette fête où quelqu’un t’a dit que tu avais les yeux qui sentaient la bite ! Beaucoup de mecs se sont regardés avec un petit sourire en coin. J'en ai contacté un que tu fréquentes très régulièrement. Après un premier moment d’étonnement, on a discuté et il a fini par accepter ma proposition. Il y a mis une condition : - que tu ne puisses pas le reconnaître. Elle m'écoutait, et je la voyais de plus en plus mal à l'aise. Je repris.

- J’ai contacté Georges, pour qu'il lui prête un transformeur de voix, qu'il est allé chercher cet après-midi.
- Mais qui c'est alors ce type ?
- Non, je lui ai promis que tu n'en saurais jamais rien. Peut-être que s'il a aimé et s'il accepte, je l'inviterai un jour à visage découvert, lors d'un rassemblement de tous ceux qui t'auront baisée.
- Tu dis que je le vois souvent. Mais, je vais plus savoir où me mettre maintenant avec les mecs que je vois.
- Écoute, je ne peux te dire qu'une chose : c'est un homme marié. Et tu es très copine avec sa femme. Donc, dans ceux qui répondent à ce profil, s'ils y en a qui te sourient avec un air un peu bizarre, ça te permettra de procéder par élimination.
Là, c'était le coup de grâce. Elle commençait vraiment à croire à mon histoire.
- Je ne veux pas le croire, tu m'as fait ça avec quelqu'un que je connais à ce point ?
- n'a pas eu l'air de trop te gêner avec Albert. Et puis, toi, qu'est-ce que tu m'as fait en me racontant que tu organisais le départ d'un voyage, je ne sais où, alors que tu allais te faire sauter. En totale contradiction avec tous les principes qu'on avait fixés.
- Bon, je te promets cette fois, je te mentirai plus. Mais toi quand tu organises des trucs, tu me dis avant.
- D'accord, donnant donnant. Alors à part ça, ils ont été sympas ? J'avais donné carte blanche à
Pierre pour le contenu et lui avais dit qu'il en profite, comme il t'avait pas vu et que tu l'avais lui aussi trompé avec Albert.
- Non, tu as fait ça, tu lui as tout dit pour Albert ?
- Oui, et il n'était pas fâché, visiblement. Je lui ai dit aussi qu'il t'avait trouvé très bonne et réciproquement.
- Et qu'est-ce que je vais faire, moi, demain. Je vais avoir l'air de quoi ?
- D'une femme qui aime ça. Mais ça, je crois qu'il l'a compris depuis longtemps. Allez, soit nature et laisse toi aller. Ne va pas chercher des problèmes. Profite !
Quand elle sortit du bureau, je m'empressai d'envoyer un message à Pierre:
"Ne vends pas la mèche. Ne lui dis en aucun cas que c'est moi qui étais avec toi. J'ai réussi à lui faire croire que c'était quelqu'un qu'elle connaissait, que j'avais choisi."

Suivaient toutes les explications que j'avais données à Marie. Je lui dis que je la lui laissais pour lui seul toute l'après-midi du samedi, jusqu'au dimanche matin. J'ajoutai que je passerai l'après-midi à me promener à Montmartre, que je dormirais à l'hôtel. Il me dit qu'il avait l'intention de proposer à Marie de sortir en club à Paris, le samedi soir. Il me parla du "Cupidon" qui, à son avis correspondait à ce qui lui convenait, à la fois en genre de public (tous les âges et plutôt classe), pas trop de monde et aussi style et cadre sympa. Je lui demandai de m'informer si elle lui donnait son accord et de me dire à quelle heure ils iraient, ça me donnait envie de m'y rendre éventuellement.

Le lendemain je partis donc vers 14h. À 18h, je reçus un texto de Marie, suivi quasiment immédiatement d'un autre de Pierre.

Marie:
" Tout va bien - On a visité toute la maison - debout, à quatre pattes ou en rampant - Il a visité tous mes trous - Ils veulent tous que je réussisse ton défi. - Pas loin des 2€ - On va restau - Ce soir, m'emmène en Club -J'espère que tu ne t’ennuies pas trop - Bises, je t'aime"

Pierre:
"Déchaînée - De plus en plus à l'initiative - On a fait toutes les pièces - Le tapis berbère épais de la salle de jeu d's valait le détour - Passé aspirateur - Pas avalée que la poussière - Bureau, ouvert un nouveau dossier - la lune, exploration de la face cachée - Visite aussi jardin - Réussi à la faire parler de ses fantasmes... - Les blacks, plusieurs - Les rugbymen et les pompiers - Et prise dans son sommeil la nuit par surprise - On va Cupidon - dans le 1er, à Paris ? - On y sera vers 22h30 -Tu viendras ?"

Réponse à Marie: "Heureux pour toi - Profite ! - Amuse-toi ! - Laisse-toi aller. »

Réponse à Pierre : « Très bien. - Arriverai 22h - Ne dois pas savoir que je suis là.- Vu sur internet « Glory hole» au Cupidon ? - Lui offrirai mon sucre d’orge - Puis verrai suivant monde, Marie et pénombre - Révélerai ma présence à la fin »

Je décidai de dîner près du club. A 22h, dès l’ouverture, j’entrai, commandai une boisson et entrepris de visiter l’endroit. Malheureusement l’info. Glory hole était éventée. Je trouverai autre moyen de ne pas me faire reconnaître. Je remontai au bar d’accueil. Trois couples et trois hommes seuls étaient arrivés. Je m’assis à côté de l’un d’eux. Un homme assez « solide » d’une quarantaine d’années. J’entamai la discussion avec lui. C’était un habitué. Il recherchait des femmes plus âgées que lui. Me disant « en général celles qui viennent ici sont bonnes et on n’a pas de mauvaises surprises ». Je lui expliquai que j’en connaissais une qui n’allait pas tarder avec son mec qui venait pour la première fois, mais que je pouvais lui garantir qu’elle était bonne et pas farouche, dans tous les endroits. Je lui demandai s’il connaissait d’autres personnes présentes. Il me montra un couple, et me précisa que la femme était bi. Qu’elle était déjà venue la semaine passée.

A 22h45, je vis Marie et Pierre arriver. Ils ne pouvaient pas me voir, j’étais dans un recoin un peu camouflé. Je fis un signe à mon interlocuteur. Quand ils furent assis, il alla à leur côté avec son verre. Je les vis discuter environ un quart d’heure, puis, il prit les devant et les précéda pour descendre dans les coins câlins. J’attendais que le très jeune couple que le type m’avait indiqué bouge, pour descendre aussi. Cela faisait maintenant bien dix minutes que tout le monde était descendu. Eux ne bougeaient pas. Je résolus d’aller les voir. Et directement, je les interrogeais :

- J’ai cru que Madame aimait aussi les dames ?
- Euh ! Oui ! Pourquoi ?
- La femme blonde qui est descendue, tout à l’heure avec deux types. Je la connais, et je suis sûr qu’elle ne détesterait pas une petite expérience avec vous.

Nous nous levâmes. A peine arrivés en bas, nous entendîmes des plaintes entremêlées. Dans le coin, face à nous, une femme était attachée à la croix de Saint-André, deux gars s’occupaient d’elle. Un lui broutait le minou, pendant que l’autre lui « caressait » les fesses avec un plumeau, par petits coups. C’était l’une des instrumentistes.

Les autres plaintes venaient d’une alcôve à droite de l’escalier. Comme je n’avais vu qu’une autre femme descendre en plus de Marie, j’en déduisis que c’était elle l’émettrice de ce second concerto.

Nous entrâmes. Il faisait assez sombre, mais je pus la distinguer. Je la vis sur une très grande couche. Elle était déjà presque nue. Il ne lui restait plus que son porte-jarretelles et ses bas. Elle était allongée sur le dos, les jambes en l’air, appuyées sur les épaules de mon compagnon de bar, qui la besognait de mouvements longs et lents de pénétration, comme s’il voulait que chaque parcelle de sa queue frotte tranquillement tous les millimètres des parois de sa grotte.

Pierre, quant à lui, était à genoux à côté de la tête de Marie et lui envoyai des petits coups de son outil dans la gorge. On aurait dit une chorégraphie. A chaque retrait de Pierre, elle envoyait un petit cri langoureux.

Je fis signe à mes nouveaux amis de se joindre à la fête. Contrairement à Marie, Pierre avait vu que quelqu’un était entré. Je lui fis signe pour la femme. Il leva le pouce. J’indiquai à l’homme d’aller de l’autre côté de la tête de Marie. Quand sa compagne fut nue. Je la conduisis prendre la place de Pierre. Celui-ci tourna la tête de Marie vers le nouvel arrivant pour qu’elle effectue le même travail que lui. Elle n’eut aucune attitude de refus ou de gêne.

La femme s’allongea le long d’elle. Puis, retourna la tête vers elle et, lui retournant de nouveau la tête de son côté, au détriment de son compagnon, elle l’embrassa goulument, tout en lui caressant les seins. Marie n’avait exprimé aucun geste de repli ou de refus. Après quelques petites minutes, je fis reprendre la bite du jeune homme à Marie. Je voyais bien que si la petite était bi, elle n’était pas capable de prendre, elle-même, d’autre initiative que le bécotage.

Je la fis allonger sur le dos. Les pieds vers le mur, les jambes écartées. Je voulais que Marie lui fasse un cunni. Je pris sa tête et la retournai pour la mettre en contact avec la motte de la jeune. Elle se laissa faire et s’attela à la tâche normalement, comme si c’était une pratique qui lui était naturelle. Je crois que les deux y prirent rapidement goût. Sous nos yeux, la gamine avait commencé à agiter son cul dans tous les sens, ce qui eut pour conséquence de motiver encore plus ma chérie. La femme, lui prit la tête à deux mains et lui enfonça encore plus entre ses cuisses. On entendait Marie respirer fort, saliver et aspirer la mouille de sa partenaire.

Depuis, un moment déjà le type du bar avait décidé de ne plus être que spectateur, du gougnottage. Il avait pris la place du jeune et pelotait avec entrain les roberts de ma femme. Je fis signe au jeune gars de relever le cul de Marie, au-dessus des jambes de sa femme, de la mettre à quatre pattes d’enfiler un préservatif et de la pénétrer. Il me regarda et me demanda à l’oreille :

- N’importe quel trou ?

Je lui répondis à haute voix :

- Celui qui te fait le plus envie.

L’étonnant, c’est que Marie trop occupée ne reconnut pas ma voix. Je le vis, sans hésiter, orienter son joujou vers le trèfle qui se proposait à lui. Son sexe était bien proportionné, même s’il ne valait pas celui d’Albert. Il se mit à l’ouvrage de bon cœur. s l’impression que c’était sa première découverte pratique de cette entrée. Rapidement, il se mit à éructer, à souffler et lâcha tout ce qu’il avait amené avec lui dans ses burnes. Je le retirai, lui fit enlever sa capote et finir d’évacuer son liquide en caressant le trou, avec son gland.

Du trou jusqu’aux cuisses de Marie, un sperme très blanc coulait en fines bandes. Marie léchait toujours la jeune. Je lui abaissai son cul sur la tête de sa partenaire. Pour un 69 saphiste. La fille s’y mit aussi, pendant qu’elle excitait le minou de Marie, le sperme de son mec dégoulinait de son cul et aboutissait sur sa figure. Si bien qu’elle mêlait la semence de son amant et la cyprine d’une femme qui aurait pu être sa mère. Je sollicitai, Pierre et le gars qui m’avait fait découvrir les goûts de la jeune fille et lui dit :

- Bon, maintenant qu’elles se sont amusées, on s’y met vraiment.

Gentiment, ils séparèrent Marie et sa nouvelle copine. Pierre et moi, nous occupâmes de la jeune. Un en haut, un en bas. Elle regarda son homme qui lui fit signe de son accord et se laissa totalement faire. J’avais choisi de lui faire emboucher la trompette. Pierre, lui, après avoir enfilé son imperméable, s’occupait de son minou. Puis, nous inversâmes les rôles. De l’autre côté, mon gars s’était allongé sur le dos et avais fait asseoir Marie sur son sexe. Elle s’y mit avec ardeur.

A un moment regardant mieux ce qui se passait de l’autre côté de la couche, elle m’aperçut. Après une première mimique de surprise, Marie fronça d’abord les sourcils, puis un grand sourire. Cette découverte qui avait, dans un premier temps, ralenti son action ne fit à Marie :

- Chérie, dis-lui de se mettre debout ensuite qu’accroître son engagement sur le type.

À croire qu’elle avait à cœur de me montrer qu’elle était maintenant très libérée. Le jeune gars était là debout, ne sachant que faire. Je m’adressai sur le lit, tu vas bien accepter de le sucer, pour le récompenser de bien t’avoir fait briller la rondelle ?

Trop content, le gamin s’exécuta. Toute son attitude depuis le début semblait montrer que ce n’était pas lui qui avait été à l’initiative pour venir dans ce genre de lieu. Mon collègue de bar, était très endurant. Pas le cas du jeune qui, rapidement renvoya une nouvelle giclée, cette fois dans la gorge de ma douce, qui l’aspirait avec application. Quand elle eut fini, le gamin n'avait plus l'air de savoir de nouveau quelle place prendre avec cette femme mûre qui semblait l'impressionner. Tout en continuant de lutiner sa jeune femme, je lui demandai :

- Est-ce que tu as déjà eu droit à une cravate de notaire faite par une femme dont les seins te l’entourent complètement ?
- Non, Monsieur !

Je le fis mettre debout en face de Marie, qui avait compris ce que j'attendais d'elle. Quand il fut suffisamment proche, elle saisit sa bite, ses deux mains guidant ses deux seins. Ils la dissimulaient complètement. Seul le bout du gland sortait de temps en temps sur la gorge. Son galop sur le sexe de l'autre homme accompagnait les mouvements de ses roberts autour de la queue du jeune. Il me regarda et m'envoya un grand sourire de remerciement tout en m'interrogeant d'un mouvement de tête pour savoir si je trouvais que sa copine était bonne.

Elle n’avait pas dit un mot depuis que Pierre et moi, nous occupions d’elle alternativement.

Visiblement, elle, elle n'avait pas besoin de séquences d'initiation, comme son homme. Elle se servait de sa bouche et de son sexe avec une maîtrise qui ne pouvait qu'enchanter ses partenaires.
Je me dis qu'on pouvait peut-être tenter une double pénétration. Je fis signe à Pierre.

- Il y a un trou qu'on n'a pas visité, chez la demoiselle

Et m'adressant au gars.

- T'as déjà été à la découverte du trou du diable de ta copine ?
- Non, Monsieur, j'ai jamais osé.
- Et bien nous on va ouvrir la voie, et comme ça, après, quand tu seras rentré à la maison, tu pourras la pratiquer sans problème.

La belle blonde ne disait rien. Je m'adressai à Pierre :

- Je vais commencer. Ma queue est moins grosse que la tienne, il vaut mieux pour une première.

Nous n'avions pas besoin de changer de position. Il suffisait seulement que mon objet change d'écrin. J'y allais doucement. Après avoir lubrifié avec ma salive, je caressai la rondelle avec mon gland, puis introduisit un doigt, puis deux. Elle ne disait rien. Peut-être quelques petits sursauts, des petits gémissements de plaisir, mais pas de cri. Quand j'attaquai avec mon manche, elle eut, par contre, un mouvement de retrait, en même temps qu'un cri bref, mais puissant.

- Tu étais vierge de ce côté ?
- Oui
- Et bien, maintenant tu l'es plus.

En même temps, elle suçait toujours Pierre. J'attendis qu'elle commence à éprouver du plaisir par ce nouveau moyen pour que nous changions de position. Pierre s'allongea sur le dos. Je la guidai pour le chevaucher et s'embrocher dos à lui, le cul sur son mandrin. Bien que le trou ait été ramolli par mes soins, la différence de grosseur du sexe lui tira de nouveau une légère plainte.

- Bon, maintenant, c'est à toi de travailler. Tu sais, fais comme avec les petits s. Tu connais la comptine : au pas, au pas... au trop, au trop.... au galop, au galop.... Et le Ouououh qui termine, c'est quand tu vas jouir.

Quand elle commença à se lâcher et à avoir quelques râles significatifs, j'écartai les jambes de Pierre, m'installai face à la belle, la poussai en arrière et délicatement m'introduisit dans le trou libre.

Elle n'eut qu'une réaction d'étonnement. Je me mis en action, d'abord doucement puis plus vivement. Pierre, de son côté essayait aussi de s'agiter, même si l'ampleur de ses mouvements était réduite par sa position. Après près de cinq minutes, la jeune femme se mit à lancer des plaintes très significatives. Elle prenait un grand-pied.

- C’est bon ?
- Oohh ! Ouuh, oui, Monsieur !

Ce qui m'intéressait aussi, c'était d'observer comment Marie réagissait. Mon objectif était que ce soit aussi pour elle une séquence initiatique. Je ne voulais pas qu'elle connaisse, sa première double, ce soir, dans ce club, mais, que la vue de celle que nous étions en train de pratiquer l'amène à ne pas la refuser le jour où nous lui proposerions.

Nous terminâmes nos rotations en intervertissant les hommes. Pierre et moi revînmes nous occuper de notre femme. Je choisis les seins, Pierre le trou noir. Dans l'autre équipe, ils décidèrent aussi de prendre les mêmes positions. Le jeune était dans l'œil de bronze de sa compagne, l'autre devant.

Avant de partir, nous avons tous rapatriés le bar et tout en buvant une dernière coupe, nous avons échangé, sur nous et notre début de nuit. Le jeune nous a remerciés vivement, sa femme après lui.

Je suis reparti finir ma nuit à l'hôtel, pendant que Marie et Pierre repartaient finir la leur dans mon lit. Au matin, quand je rentrai, je n’avais pas accompli ma promesse de leur préparer le petit-déjeuner… Et pour cause, il était 10h30. Pierre était déjà parti. Il repartait le soir même pour Marseille.

À suivre…

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