Double Dépucelage À La Cité Universitaire - 2 Éme Partie
Le reste de la semaine s'écoula avec une lenteur désespérante sans que les dieux ne m'autorisent la moindre rencontre avec Marie-Annick autre qu'un bref contact téléphonique pour fixer le lieu et l'heure de notre rendez-vous pour la surboum de HECJF, à la Maison de la Chimie, rue Saint-Dominique...A 7 heures, Pierre-François emmena une partie de notre groupe dont Marie-Annick et moi dans la 203 Peugeot que son père, pneumologue bien connu, avait mis à la disposition de son étudiant de fils, le vernis !...On s'était empilé à 6...dans la voiture si bien que Marie-Annick était assise sur mes genoux, en prenant bien soin de ne pas froisser sa jupe plissée bleu marine...On a dansé des slows, des blues et autres tangos ou rumbas et aussi un peu bu, mais sans plus...Marie-Annick était rapidement devenue ma danseuse de prédilection...J'aimais la douceur de sa joue contre la mienne, le contact de son corps et plus spécialement de sa poitrine ...et le goût de ses lèvres à la fin de " Petite Fleur " mon slow préféré. .. jusqu'à 2 heures du matin limite ultime fixée par le père de Josette la cavalière de Pierre-François à la sortie de sa fille...Mon copain nous proposant deux places dans son carrosse pour rentrer à la Cité, nous acceptâmes illico cette opportunité... Les transports en commun à cette heure de la nuit étant pratiquement inexistants et marcher de la rue Saint-Dominique au boulevard Jourdan relevant de l'exploit sportif !...
Une petite demie heure plus tard, Pierre-François nous déposait devant l'entrée de la Cité et continuait sa route vers le domicile dÉlisabeth, rue Lalo. A l'entrée de la Deutsch, Marie-Annick m'invita à visiter sa chambre.
" Maintenant ? lui dis je étonné car les visites nocturnes chez les résidentes de ces pavillons exclusivement féminins étaient strictement interdites tant par le règlement de la Deutsch que par celui de la Cité U....
"Mes copines m'ont expliqué qu'après minuit surtout le samedi, Cerbère est.
Elle riait ...Avec insouciance mais non sans une certaine inquiétude, la tenant par la main, je la suivis dans le hall. Le doigt sur ses lèvres m'exhortait au silence...que troublaient les ronflements sonores qui s'échappaient de la loge du gardien. Elle me guida, sur la pointe des pieds jusqu'à l'escalier que nous grimpâmes le plus discrètement possible...jusqu'au deuxième étage où se trouvait sa chambre....
La porte refermée sans bruit, je fis tomber mon stress en l'embrassant et laissait ma langue explorée sa bouche...Elle me repoussa gentiment et ôta son cardigan.
Si tu permets...installe toi sur mon lit... Je reviens dans un instant...
Elle ouvrit une porte et disparut de ma vue...Je fis rapidement, des yeux, le tour de la pièce meublée , selon les standards de la fondation, outre le lit sur lequel j'étais assis, d'une table-bureau, d'une étagère-bibliothèque, d'une armoire-penderie et de deux chaises... Elle sortit de son " cagibi " , son cabinet de toilette en fait, toujours souriante, pieds nus et ses escarpins à la main. Elle pris place à coté de moi...
J'ai bien réfléchis toute cette semaine...L'épisode de la visite à Chantal m' a troublé : je me suis comporté comme une bécasse ou plutôt comme l'oie blanche que je reste à vingt et un ans !... Ma mère m'a bien expliqué certaines choses, les règles, la reproduction et la grossesse en restant dans un langage... scientifique ... Je ne sais rien de plus que les potins toujours en sous entendus de mes amies...Ne voulant pas remettre mon éducation sexuelle au hasard, je souhaite que tu m'inities aux jeux de l'amour, comme dirait Marivaux. Je ne peux pas te dire que je t'aime...C'est encore trop tôt !... Mais j'ai très envie de toi, de tes mains sur moi...Ne me regarde pas comme un idiot !.. Ne me réponds même pas !:... Tu es mon prisonnier !
N'oublie pas que Cerbère veille aux portes du Palais ! ..Tu es charmant avec tes grands yeux étonnés.
Littéralement stupéfié par cette requête, j'acceptais d'un hochement de tête.
Tu es vraiment sur de ce que tu veux ?...J'en ai autant envie que toi mais je ne sais pas si je suis aussi compétent que tu le crois !...Je n'ai pas d'expérience de cela...
Elle m'interrompit, allant au devant de mes questions en me prenant dans ses bras et membrassant avec l'ardeur d'une Vénus déchaînée...Nos langues se retrouvèrent très rapidement et senlacèrent...Je caressais sa nuque...Je devinais ses yeux fermés..J'étais quasiment aussi ignare qu'elle malgrè mes quelques expériences homosexuelles et les refus de mes amies de dépasser le stade du pelotage...Passant dans une rapide caresse sur sa joue si douce, ma main descendit sur son corsage et atteignit son sein...Au travers de la soie, je sentais son mamelon...A ce contact, mon sexe commença à gonfler...Ses mains entreprirent de me débarrasser de mon blazer. Elle caressait mon dos pendant que je m'escrimais à déboutonner son corsage pour découvrir sa poitrine encore emprisonnée dans un joli soutien-gorge vert Nil...Je m'immobilisait, remplissant mes yeux de ce délicieux spectacle...Elle profita de mon émoi pour ôter complètement son corsage et m'enlever ma chemise. J'étais torse nu maintenant, ses doigts titillant mes mamelons pendant que je me débattais avec la fermeture de son sou-tif...Gagné ! Avec son aide, j'enlevais prestement son sous vêtement libérant ses deux seins dont la seule vue fit monter mon taux dadrénaline !..De larges aréoles brunes entouraient ses mamelons en pleine érection...tendus vers mes lèvres...Lorsque le contact se fit avec celui de droite, ma main gauche s'occupant de l'autre, Marie-Annick eut un long frisson et, me repoussant doucement, elle sallongea de tout son long, sur le lit. M'agenouillant auprès du lit, je repris possession de ses seins titillant leur pointe, l'une avec mes doigts, l'autre avec ma bouche.
J'en ai autant envie que toi...mais est tu certaine de ce que tu veux, ?...Je ne suis pas aussi ... expert que tu sembles croire !..
Arrête tes discours !...dit -elle. ...Laisse-moi seulement respirer une minute!...Je n'en peux plus !...C'est trop bon !...
Conformément à ce que j'avais promis, je libérais sa poitrine de mes étreintes..;A moitié nue, elle était étendue sur son lit , les joues empourprées... Mes mains entreprirent un doux déplacement vers son bas-ventre...Ma langue explorait son nombril ...La ceinture de sa jupe stoppa mon mouvement...Que cet obstacle tombe et cétait les portes du paradis à portée de ...main ! Je me redressais quand elle me prit dans ses bras et m'embrassa ...goulûment !
- Vite, continue s'il te plaît , Alan .. . Encore !... encore !...
Je lui demandais de m'aider à ôter sa jupe...Elle se releva et dégrafa la fermeture de son vêtement qui tomba sur ses chevilles . Son strip-tease était presque terminé...A genou devant elle, ma bouche à la hauteur de son sexe encore dissimulé sous le tissu de son slip, j'étais terriblement " ému " par le spectacle qui s'offrait à mes yeux ...Ma verge manifestait son désir de liberté...tandis que je la regardais dans les yeux, cherchant à déterminer sa volonté ...Elle me tira vers elle...Je me relevai ...la pris dans mes bras, lembrassais tendrement...laissant ses mains se débattre avec la ceinture de mon pantalon...Quelques secondes passèrent et je sentis mon vêtement glisser le long de mes jambes et s'affaler sur mes chevilles. Je dus enlever mes mocassins pour me libérer de ces entraves...et apparaître en slip aux yeux ébahis de Marie-Annick qui lorgnait avec curiosité la bosse imposante que mon sexe turgescent formait sous le coton...Ne pouvant résister, elle toucha du bout des doigts, provoquant une violente décharge électrique dans tout mon corps.
- Explique moi ce que je dois faire...Je veux jouir et te faire jouir...mais je ne sais que faire avec tes ...outils !...
Jembrassais la bouche qui se rendait vers moi . Je lui fis toucher mon prépuce et lui montrai comment décalotter mon gland...en tirant la peau de ma verge vers sa base ...puis effec l'opération inverse...
Nous sommes en train de me masturber...Si tu fais la même chose avec ta bouche, c' est une fellation...ou une pipe, comme tu veux !...
Puis je m'allongeais sur elle , mon visage au niveau de son mont de Vénus... le sien a hauteur de ma bite...Mes doigts en explorant ses petites lèvres, découvrirent le bouton gonflé de son clitoris. Jentrepris un doux massage puis ma bouche pris le relais...Je sentis le corps de Marie-Annick se cambrer violemment sous mes caresses...Ma langue abandonna le bouton maintenant décapuchonné pour s'introduire dans son vagin doù s'écoulait un flot de cyprine... Absorbé par mes caresses et mon plaisir, je m'aperçus à peine qu'elle avait pris ma verge dans sa bouche et qu'elle s'activait vivement dessus, l'absorbant jusqu'au fond de sa gorge puis la renvoyant...avec la participation active de mon bassin qui amplifiait ses va-et-vient...Sur le point d'éjaculer, j'abandonnais mon cunnilingus déjà bien avancé...Elle haletait quand jôtais mon gland dont la grosseur la stupéfia...Elle attendait une suite...Les choses ne pouvait sarrêter ainsi !... semblaient dire ses yeux...Je lui demandais de se retourner sur le ventre et de m'offrir ses fesses....Je l'aidais à se mettre en levrette, son arrière-train tendu vers moi ...J'écartais ses jambes de manière à mieux découvrir son petit trou...A défaut de lubrifiant adéquat, je suçais longuement mon majeur puis le fit pénétrer doucement dans l'orifice.
Un petit cri de surprise marqua ma tentative...qui fut couronnée de succès par un mouvement de son bassin ...Son illet fut enfoncé sans plus d'ambages et mon doigt était maintenant au cur de la place qu'il parcourait de lents va-et-vient...La respiration de Marie-Annick s'accélérait, ponctuée de gémissements de plaisir...Je retirais mon doigt et le remplaçait par ma langue...Le bassin de mon amie se tortillait frénétiquement maintenant...et elle protesta quand je cessais de lui brouter la motte, me suppliant de continuer...Pour aller de l'avant, je présentais mon gland super gonflé à l'orée de son cul et tentait de pénétrer la place en poussant sur sa rondelle. D'un vif retrait du bassin, elle fit échouer ma manuvre.
- Non, Alan...Pas par là ! Je t'en prie...Aïe !... j'ai mal, très mal !...Arrête !...Je
ne veux pas ! ...
Conformément à mes engagements, je stoppais mon action et me laissais glisser à coté d'elle...Elle me souriait peut-être un peu honteuse et s'excusait
- Ça m' a fait trop mal !...Je ne pouvais pas supporter...et puis c'est dégueulasse ce
truc !...Prends moi par devant...C'est naturel...
Je l'interrompis ...
De toute manière, il y a trop de risques... nous n'avons ni préservatif ni lubrifiant !...Mon zizi est trop gros pour ton anus et sans doute aussi pour ton
minou...Je veux bien te déflorer mais il ne faut pas que ce soit dans la
douleur, a fortiori que tu tombes enceinte !... ( je vous rappelle, cher lecteur, que
cette histoire se situe avant la découverte de la pilule et de la loi Weil !..) Remettons
la suite à plus tard !..
Elle acquiesça, les larmes aux yeux. Il était près de quatre heures du matin et la sagesse et la fatigue de cette nuit agitée nous amena à renoncer à toute sortie clandestine du pavillon...Nous nous endormîmes très vite dans les bras l'un de l'autre ...jusqu'à 10,30h... Je me levais, me douchais et me rasais grâce au rasoir jetable qu'utilisait à l'occasion, Marie-Annick . Quelques secondes plus tard, j'étais habillé...J'enfilais mon blazer
Remettons ça à Mardi si tu veux bien...chez moi...Le concierge est moins sourcilleux .... D'ici là, on se téléphone...J'oubliais : ma chambre, c'est 436,
quatrième, droite.
Elle accepta, un peu désemparée quand je la laissais, nue sur son lit, un coin du drap cachant son sexe.
La sortie de la Deutsch s'effectua sans problème : il n'y avais pas l'ombre d'une activité en cette fin de matinée de dimanche....Arrivé chez moi, je n'avais qu'une idée en tête : dormir, encore dormir !...
Dès le lundi, je me mis en quête d'une pharmacie où je me procurais sans difficulté en suivant les conseils d'un préparateur un peu goguenard, un paquet de capotes anglaises, taille médium et un gros tube de vaseline médicale. Marie-Annick me rappela au téléphone dans l'après-midi.... Après m'avoir confirmé son désir irrévocable de " jeter son bonnet par dessus les moulins " et demandé si j'avais trouvé le matériel nécessaire à une telle " opération ", elle me proposa de me rendre visite le lendemain après midi autour de 3 heures... Mon emploi du temps prévoyait une après-midi d'éducation physique et sportive !... Mon choix fut immédiat : les activités sur le terrain céderaient le pas au " sport en chambre "... Une fois n'est pas coutume !... Au besoin, je demanderai à Claude de " voter " pour moi lors de l'appel !...
Ainsi fut fait et le lendemain, juste un peu après 15 heures, elle frappait très discrètement à ma porte. Comme vous pouvez l'imaginer aisément, j'ouvris, la fis entrer et refermais à clé sans tergiverser...Elle était là, dans un sweat-shirt bleu ciel et un jean noir, dans mes bras... Nos bouches se joignirent, impatientes. Tandis que nos langues se livraient un doux combat, je réfléchissais à la stratégie à mettre en uvre...mais mes mains étaient déjà à l'ouvrage sous son sweat-shirt, l'une caressant l'un de ses seins l'autre uvrant pour dégrafer son sou-tif...Douceur et patience étaient les conditions du succès de son dépucelage...Ma main droite se glissa sous son soutien-gorge et emprisonna son sein avant d'entreprendre de caresser son mamelon déjà turgescent. Sa respiration saccéléra un peu...Elle garda les yeux fermés et la bouche entrouverte un court instant avant que je ne cesse mes caresses pour la faire asseoir sur mon lit étroit...Elle profita de ce répit pour ôter son sweat-shirt et son sou tif que ma chemise ne tarda pas à rejoindre sur le sol. Déjà, je m'activais sur la ceinture de son jean. Je la regardais pendant que je faisait descendre son pantalon le long de ses cuisses.
Es-tu bien sure de ce que tu veux ? ...Un dépucelage, c'est irréversible !...Je ne veux pas que tu me le reproches ensuite... Je ne veux pas prendre d'engagements !...
Oui, pour ma " première fois ", je veux faire l'amour avec toi...Je ne te demande quune chose Fais le !...et fais le bien...Je veux connaître un orgasme !...Vite, baise moi !..
Ses mains s'affairaient sur la ceinture de mon pantalon...lequel glissa sur mes chevilles bientôt suivi de mon slip....Je neus pas le temps d'émettre une objection qu'elle prenait mon sexe en bouche et entreprenait de me démontrer combien elle avait bien assimiler mes leçons !...La laissant à cette activité très jouissive, je mordillais le bout de son mamelon durci, confiant son autre sein à ma main gauche. Sa langue explorait mon gland, titillant son méat.... Je me dégageait de cette caresse qui affolait mes sens et magenouillai entre ses jambes écartées pour embrasser son abricot...Ma langue agaçait son clitoris que je sentais gonfler sous ma caresse...Elle frémissait et appuyait de ses deux mains sur ma tête pour que je la pénètre davantage. ..Le nez dans sa toison, ma langue dans sa vulve, je sentais mon vit s'impatienter dans le vide...J'abandonnais ma position frustrante et l'allongeait sur mon lit découvert...
Viens ...Prends-moi !...vite, vite, je t'en prie !...Baise-moi bien !..
murmura-t-elle en me regardant, suppliante !...
Je me levais et sortis d'un petit placard au dessus de la tête de lit, le tube de lubrifiant et le paquet de capotes que j'avais achetés la veille. Je pris une noisette de gel sur mon index droit et l'introduisit dans sa vulve puis dans l'entrée de son vagin. Je létendis du mieux que je pus par des mouvements lents de va-et-vient...Elle fermait les yeux mais se cambrait à chacune de mes pénétrations, allant au devant de mon doigt. Jarrêtais, sortis un préservatif, l'enfilais sur ma bite raide comme une barre d'acier. J'enduisis la capote de gel lubrifiant et, enjambant Marie-Annick, je m'allongeais sur elle. Mon gland, bien quencapuchonné, trouva très vite entre ses petites lèvres, que ses mains écartaient, le chemin de son vagin...Je marquais un bref stop, la regardais. Les paupières fermées, elle attendait, un peu anxieuse, la suite...Je poussais et ma verge, gland en tête, pénétra doucement dans son vagin largement détendu par le lubrifiant...Il y eut un petit gémissement qui se transforma en bref cri, quand ma bite prit contact avec son hymen....Elle se cambra brutalement quand mon membre déchira la fine membrane de son pucelage....Ses jambes, dressées vers le plafond, lançaient de violentes ruades...propulsant son bassin sur ma bite. Elle gémissait
C'est trop bon !...Encore !...Enfonce la encore plus loin !...Baise moi comme une putain !...Oh, oui !..;Continue !.. Oh ! Je jouis...C'est trop bon !
Je m'activais comme un fou dans son intimité...Une grosse coulée de sperme jaillit de mon méat et resta emprisonnée dans le préservatif...Je ne sais pas ce que ressentit Marie-Annick mais elle se cambra violemment puis retomba sur le lit, totalement relâchée...Mon sexe avait perdu de sa superbe. Il pendait entre mes jambes, toujours enveloppé de sa capote, lourde de mon sperme. Je lôtais et la jetais dans la poubelle...Elle me sera dans ses bras avec violence, m'embrassa et me murmura à l'oreille :
C'était merveilleux, Alan !...J'ai joui comme...une vrai salope !... Ça m'a fait très mal, au début, quand ton gland est rentré dans mon vagin...J'ai cru que tu me déchirais le sexe entièrement !...Mais très vite après...c'était le feux d'artifice dans ma tête et dans mon ventre...juste avant le bouquet final !...Des étoiles partout !...J' en tremble encore...C'était super...merveilleux !...
Quelques gouttes de sang sourdaient de son sexe, mélangées à son foutre et formaient un filet sanglant qui s'écoulait sur son périnée. Je l'épongeais avec un gant de toilette et lui montrais la trace :
Regarde, c'est la preuve que tu n'es plus pucelle !..et moi non plus !...
Sans attendre ses commentaires, je l'aidais à se redresser et à se mettre en levrette. ...J'écartais ses genoux de façon à ouvrir sa raie et l'accès à son petit trou et à son sexe. Ce spectacle a eu un effet immédiat sur ma bite qui retrouvait du volume et de la vigueur. Mon index descendait doucement le long de sa raie ...s'attardait sur lillet de son cul...et s'introduisait lentement dans son rectum...Elle geignit ... puis protesta en repoussant ma main hors de son intimité.
Non, Alan...Ne m'en veux pas mais je ne suis pas prête pour ça !...Ma vulve est encore douloureuse.. .Je voudrai qu'on arrête pour aujourd'hui...et qu'on recommence très bientôt une autre séance...d'éducation sexuelle...S'il te plaît !...
Malgré mon sexe de nouveau prêt au débat, jacquiesçais à sa demande en souriant....J'étais certain que dans peu de temps , elle en redemanderait : nous avions eu trop de plaisir lors de cette initiation réciproque.
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