Sur Un Banc
Cette histoire est vraie, elle mest arrivée cet été. Il faisait chaud, cette nuit là, une nuit de moiteur où je ne trouve pas le sommeil, je tourne et retourne en nage dans mon lit sans parvenir à mendormir et cette démangeaison dans mon bas ventre, ce désir qui augmente et qui sinsinue au creux de mes reins et tourne à lobsession
. Mais il est tard. Il ny plus ni bus ni métro et je nai pas envie daller draguer à pied. Tous les lieux que je connais sont loin.
Je me décide pourtant à me lever et à sortir faire un tour dans le quartier, je ne mattends pas à trouver un plan cul, vu lheure, mais au moins lair me paraît plus frais dans la rue et marcher me calmera un peu. Jemporte néanmoins une capote à tout hasard. Jenfile juste un short et un t-shirt, pas besoin de boxer ou de chaussettes, et me voilà dans la rue. Lair est effectivement un peu plus respirable que dans mon studio surchauffé, il y a un bref filet de vent qui renouvelle un peu lair et me fait du bien.
Je erre sans but dans mon quartier, quasi désert en ce mois daoût. Dordinaire, même à 2h30 du matin il est plus vivant. Il y a de nombreux bars tout près et ils attirent une jeunesse étudiante toujours prompte à faire la fête, moi-même il ny a pas si longtemps
Voilà bien une demi heure que je traîne mon ennui, ne croisant que quelques fantômes éméchés, titubant pour regagner leurs lits. Les bars sont en train de fermer et chacun rentre chez soi. Je nai toujours pas sommeil mais je fatigue un peu et avisant un banc dans un petit espace vert en bordure du boulevard sur le quel je marche, je décide de my asseoir. La chaleur au creux de mes reins sest apaisée mais lenvie tenaille toujours mon bas ventre et assis là sur ce banc, jentre en semi érection en repensant aux quelques beaux garçons que je viens de croiser. Jen aurai volontiers accosté plus duns sil avaient été seuls, mais soit ils étaient avec un groupe damis, soit avec de jeunes filles, et ce nest pas un lieu de drague ici.
Je nai donc accosté personne et jen suis à penser renter me satisfaire en solo à la maison, ce qui maidera à dormir, quand un bonhomme sapproche en titubant. Il ne semble pas mavoir remarqué, il titube sans se soucier de ce qui lentoure et après un bref coup dil je mapprête à faire de même. Mais il sapproche, viens se positionner face à un des arbres qui entourent mon banc, défait sa braguette et se met à pisser, visiblement trop saoul pour sapercevoir quil est en train de pisser sous mes yeux sans que je ne puisse rien rater du spectacle, ou pour seulement sen soucier. Cest un maghrébin, plus âgé que moi, je dirai milieu ou fin de quarantaine. Il est mince, les cheveux ras, grisonnant, et un air vaguement gamin sur le visage, en dépit de la fatigue et de lalcool. Son sexe est de bonne proportion, circoncis bien sûr, et il relâche un jet durine dru et odorant dont le fumet me parvient aux narines. Ce nest vraiment pas mon genre de mec et je nai pas envie de lui. Cependant je ne suis quà 2 mètres de lui et, par correction, tandis quil soupire daise en se soulageant, je décide de me racler la gorge pour signaler ma présence. Il lève la tête et me jette un regard avant de baisser la tête vers son sexe quil secoue alors pour évacuer les dernières gouttes et se rajuste. Il vient saffaler sur le banc et me tend la main en articulant péniblement « salut ». Jai gagné, je vais me taper la discussion avinée du poivrot en manque damis et dont jaurai toutes les peines du monde à me défaire. Je serre néanmoins sa main (en faisant abstraction de ce quelle tenait il y a quelques secondes encore) et répond à son salut. Il me demande avec un fort accent, si je vais bien, comment je mappelle et ce que je fais là tout seul si tard. Gagné, il veut discuter ! Pourquoi ça tombe toujours sur moi ? Je lui donne mon prénom, répond que je vais bien merci, et que je prends le frais car chez moi il fait trop chaud et je narrive pas à dormir. Il me demande alors si jétais dans un bar avec des amis, je lui réponds que non.
Il sen étonne et me dit quà mon âge je dois mamuser (super le couplet sur la façon de je dois mener ma vie, jattendais que ça !!!) et que lui il en profite, sa femme la mis dehors alors tout les soirs il sort boire un verre (un seul ? vraiment ?) et samuser avec les jolies femmes (mouais). Je lui réponds que je sors souvent boire avec des potes mais que ce soir je nen avais pas envie et que maintenant je vais rentrer dormir. Il acquiesce et me dit quil va rentrer aussi et me tend la main pour me dire au revoir (ouf !!). Et tout en me serrant la main, il me dit que ça lui a fait plaisir de me rencontrer et de discuter avec moi, que je suis gentil etc.
Je souris poliment en lui disant au revoir pour la 5 ou 6ème fois mais il nen finit pas de me dire au revoir tandis que sa main gauche réajuste ostensiblement son entre jambe, et me propose de faire un bout de chemin ensemble parce quil habite le quartier. Je refuse un peu plus fermement. Il me dit alors que jai raison, quil est tard et que lui aussi est fatigué et il finit quand même par me libérer. Je tourne les talons pour repartir chez moi. Visiblement je lui ai tapé dans lil... bah il a juste envie de baiser et la première personne quil lui tombe sous la main fera laffaire
et puis il a quand même beaucoup insisté sur le fait quil draguait des femmes
mais enfin je vais pas imaginer quoique ce soit avec lui, voyons !!! Jai beau être en manque je me respecte suffisamment pour pas me taper le premier poivrot venu !!! Il nempêche que cette démangeaison dans le bas ventre est toujours là
Oui mais, mais il est saoul et puis circoncis, et je naime pas tellement les mecs circoncis
circoncis cest vrai mais jolie queue
voilà que je recommence à bander
et puis après tout pourquoi pas ? Je fait demi tour et retourne hésitant vers le banc. Il ny est plus bien sûr et je suis presque soulagé quand je laperçois au loin marchant en direction du canal. Je décide alors de le suivre et dans ma tête les idées se bousculent : je le ratt et lui propose de le raccompagner chez lui ? Je linvite chez moi ? Nous longeons à présent le canal et je le vois alors sapprocher dun abris bus où patiente une femme black un peu forte et dont la tenue et lattitude ne laissent pas de place à linterprétation : une pute ! Il a envie de baiser et son choix est fait visiblement !! Je nai plus quà rentrer chez moi.
Je le regarde pourtant encore alors quil palabre avec elle, mi soulagé mi rageur de ne pas avoir saisi cette occasion et mon bas ventre qui me travaille de plus belle, je bande presque totalement maintenant et heureusement quil est tard car je suis nu sous mon short en lin et il ne dissimule rien de mon état. Je vais repartir quand je le vois faire de même, seul. Il a laissé la pute là et recommence à marcher, je le suis donc à nouveau et accélère la cadence, bien décidé à le rattr et à ne plus laisser fuir une chance de menvoyer en lair, quitte à me faire jeter ! Au passage et devant mon état décidément bien visible, la pute minterpelle à mon tour à grand coup de bonsoir chéri, tu as besoin on dirait
je lui fait non de la tête et continue ma poursuite. Trois cent mètre encore et il sapproche de la porte dun immeuble, il tape un code sur le clavier alors je mélance pour le rattr avant que la porte ne se referme. Trop tard la porte claque à quelques centimètres de mes doigts mais par chance elle est vitrée, je le vois agripper la rampe dun escalier et il est déjà à mi hauteur
Alors je frappe au carreau pour lui signaler que je suis là. Après une deuxième série de coups, il sarrête et se retourne vers la porte. Il maperçois et redescend. Il ouvre et tout surpris me demande comment je lai trouvé, comment je suis arrivé là ? Je lui souris et lui dit que jai encore envie de parler avec lui, il se caresse lentre jambe et me dit « tu veux parler ? » « oui parler
ou autre chose
» Il me chuchote alors « viens ! Et ne fait pas de bruit
mes voisins
je veux pas quils sachent
» Jacquiesce et lui emboîte le pas dans lescalier. Parvenu au 2ème étage, il me renouvelle ses consignes sur le silence et ouvre la porte dun petit studio, très sommairement meublé dune kitchenette, dune table et dune chaise, et dun matelas à même le sol dont les draps mériteraient bien un tour de machine à laver. Il membrasse alors et malgré son haleine chargée au whisky, jy prends plaisir, il a une grosse langue un peu molle qui doit faire des merveilles sur un gland.
Tout en membrassant il glisse une main sous mon t-shirt et me tripote les tétons, je ne suis pas en reste et ma main sévertue à déboucler sa ceinture, je sent sous son jean un jolie bite bien gonflée, il en veut le salaud ! Dun coup il se recule, va sappuyer contre la kitchenette et déboutonne son pantalon, le message est clair je magenouille, baisse son jean et découvre un slip style papy, gris et dune propreté douteuse, cependant, je suis trop excité désormais pour faire marche arrière. Je le branle un peu à travers le slip, puis je le baisse et il senroule autour des cuisses libérant la jolie bite que javais aperçu tout à lheure. Désormais en forme, elle mesure plus ou moins une 20 aine de cm, circoncise donc, avec un gland brun, et totalement glabre. Seule une petite touffe de poils bruns et courts orne le haut du pubis. Les couilles sont grosses et pendantes, dépourvues de poils elles aussi ce qui traduit les habitudes du monsieur en matières de rasage intime. Je me saisi du morceau et après quelques coups de langue sur le gland, jenfourne ce bel engin, désormais insensible aux odeurs ou même au goût, je ne suis plus quune bête assoiffée de sexe et peu importe lhygiène sommaire de mon partenaire. Ses mais se posent de part et dautre de ma tête et il mimprime alors le mouvement et la vitesse qui lui plaisent, me baisant littéralement la bouche au point de me provoquer plusieurs haut-le-corps quand il senfonce trop brusquement. Sucer une bite circoncise nest pas ce que je préfère, je les trouve moins réactives aux stimulations, je fait cependant virevolter ma langue autour de sa queue tout en aspirant autant que je peux et lui prodigue une bonne pipe. Tandis que je mapplique à le sucer, ma main droit sactive sur ma propre bite et ma main gauche, glissée entre ses cuisses, lui soupèse les couilles alors que mon majeur titille son fondement. Je sens que la chaleur dans mes reins sest muée en appel irrésistible, mon trou commence à se contracter et se relâcher, réclamant sa pitance. Recrachant son chibre, je lui murmure « prends moi » il me demande de le sucer encore, je le reprends alors en bouche et augmente laspiration de son membre ainsi que la pression sur son petit trou, mon doigt sy enfonce. Il gémit faiblement murmurant des paroles tantôt en français, tantôt en arabe (du moins je suppose) dont la teneur méchappe mais qui sont incontestablement crues, voire insultantes. Je saisis plus ou moins «
bonne salope
», «
aime la bite... » et « prends la bien sale pute » dans la litanie de murmures quil éructe. Je nen ai cure, je suis effectivement à genoux à bouffer de la bite et je nai quune envie, me faire mettre profond ! Prendre de bons coups de bite et me faire ramoner le cul comme jamais on ne me la ramoné. Mon cul palpite comme jamais et ma raie est toute humide, je nen peux plus tellement jai faim de me faire prendre. Je recrache à nouveau sa queue et me relève pour ôter mon short que je navais que baissé pour me branler, et mon t-shirt. Il comprend et mimite, envoyant voler ses baskets à lautre bout de la pièce, bientôt suivies de son polo. Je lui tends la capote que jai récupérée dans ma poche et mallonge sur son matelas, cuisses écartées et bassin relevé, dans une position totalement impudique qui lui permet dun seul coup dil de voir mon ma bite tendue, mes couilles et jusquà mon orifice intime quil ne va pas trader à visiter. Il sapproche alors en se masturbant, son jean et son slip toujours enroulés sur ses cuisses, il sen débarrasse au pied du matelas et enfile la capote avant de me rejoindre. Il sagenouille devant moi et sempare de ma bite quil branle dune main alors que de lautre il me fouille la raie, puis enfonce 2 doigt dans mon anus affamé, je réprime un gémissement dextase. Il se couche alors sur moi, repoussant mes jambes avec ses épaules et présente sa bite à mon orifice il pèse un peu dessus et pousse pour entrer mais dé. Il reprend la position et guide son intromission avec sa main droite. Ca y est il entre en moi, mes chairs sécartent. Même si jen meurs denvie et que jen ai déjà pris dun gabarit semblable, sa pénétration, sans douceur excessive, me provoque une légère douleur, heureusement elle nest pas insurmontable et se dissipe bien vite. Il me lime de plus en plus vite au fur et à mesure que lexcitation de ses va et viens me détend. Je resserre mes jambes autour de lui, lemprisonnant entre mes reins et caresse ses fesses pour accompagner sa besogne, jai très envie de me branler mais la position nest pas favorable. Il coulisse a présent en moi sans problèmes et je contracte mon anus pour ne rien perdre des sensations que me procure sa magistrale sodomie, je ne sais sil préfère les hommes ou les femmes mais il connaît son affaire !! Ses couilles battent la mesure et il me besogne ainsi durant un laps de temps que jévalue, sans certitude, à une dizaine de minutes, avant de se retirer. Un vide menvahit alors tandis quil sagenouille, hors de moi. « Tourne toi ». Soulagé quil nait pas fini de me baiser, je me retourne sur le matelas, me redresse à quatre pattes et lui tend ma croupe. Agenouillé derrière moi, il se saisit de mes reins et mencule à nouveau sans autre forme de procès. La lime reprend, plus rapide et plus forte, je narrive plus à contenir mes gémissements malgré ses rappels incessant à la discrétion vis-à-vis de ses voisins. Il sarrête un instant et se penche en arrière avant de reprendre sa baise, et me plaque alors sur la figure un tissu que je nidentifie pas tout de suite et dont il essaie de me bâillonner. La forte odeur de pisse et de sueur ma fait comprendre quil essaye de me faire taire avec son slip, mais je ne suis plus maître de moi, je ne suis quun cul qui se fait superbement tringler. Ma résistance ne dure que quelques secondes et il enfonce son slip dans ma bouche, accélérant alors ma sodomie. Le tissu simprègne de ma salive qui elle même se charge des effluves du sous vêtement et que je suis contraint davaler à chaque déglutitions mais sa queue est la plus forte, elle me fait oublier cette humiliation par le bonheur quelle me procure dautant que je peux désormais me branler. Toujours en rut il continue de me pilonner le fion, redressant sa jambe droite pour la poser contre ma hanche, il sagrippe à mes épaules et se couche sur mon dos. Son souffle court, saccadé, brûle ma nuque et tandis quil me dose le cul, ma main coulisse de plus en plus vite sur ma bite, mon bas ventre se contracte dangereusement. Le slip ne suffit plus à contenir mon extase, je le recrache et mord loreiller devant moi. Il ahane désormais et des gémissements quil contient à grand peine séchappent de sa bouche. Il se redresse dun coup agrippant mes fesses pour mieux les baiser et jexplose alors, dans un cri étouffé, répandant mon foutre sur ses draps tandis que mes sphincters se contractent violemment. Cette brusque contraction autour de son membre lachève et il explose à son tour, expulsant son foutre par de violents coups de bite saccadés au fond de mon cul endolori, avant de seffondrer sur moi, vaincu. Nous restons ainsi un moment étendu sur le lit, mon pubis baignant dans la flaque de sperme qui petit à petit imprègne les draps, lui sur et en moi, reprenant lentement conscience et notre respiration. Je me tourne vers lui et lembrasse. Il me rend mon baiser puis décule et ôte la capote qui est bien remplie. Le vide menvahi et bien que douloureux, mon cul me semble amputé dune partie de lui-même. Je souris tandis que nos bites redeviennent flasque, soulagées de cette tension qui nous avait pris, de cette rage de baiser à laquelle nous avons sacrifié. Je me rhabille très vite et la sueur fait que mon t-shirt me colle à la peau tandis que mon short devient poisseux sous leffet de la mouille de ma raie et du sperme étalé sur mon bas ventre. Après quelques échanges de compliments et de remerciements je me sauve, ma conscience me ratt et même si je suis comblé de cette baise splendide, je ne peux mempêcher de me sentir souillé. Le bien être se mélange à la honte davoir été ainsi baisé, sans retenue, par un parfait inconnu saoul et sale rencontré sur un banc.
admin
Jan. 31, 2023
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