Marthe 2
À l'hôpital, Léon et mon épouse nous attendaient. Mon beau père se sentait assez bien malgré une légère somnolence résultant de l'anesthésie.
Lorsque le chirurgien est venu il nous a dit qu'il était satisfait de l'opération et qu'il n'envisageait aucunes complications compte tenu de la remarquable robustesse de son patient. Durant la conversation, il demanda à mon épouse si elle pouvait rester encore une nuit au moins au chevet de son père car le personnel de nuit avait annoncé une grève et l'effectif serait réduit. Ma femme proposa à sa mère de rester, mais Marthe refusa en disant que les travaux avançaient bien ainsi et qu'il était important de continuer sur notre lancée. Léon plaisanta en disant qu'il était heureux de se faire câliner par sa fille et nous remercia pour la lecture que nous lui avions apportée.
En nous raccompagnant dans le hall, mon épouse, d'humeur charmante apostropha sa mère en lui recommandant bien de prendre soin de moi et Marthe lui répondit avec un grand sourire :
- Ne t'en fais pas, il est entre de bonnes mains
Sur le chemin du retour, ma belle mère me fit prendre un autre chemin pour me montrer des champs et un bois lui appartenant. Elle me demanda de m'avancer dans une allée bordant une forêt domaniale et me fit garer la voiture au bout du chemin au coin d'un bois lui appartenant depuis peu me dit elle.
Descendant de la voiture elle me dit :
- Viens voir, au bas du bois il y a un joli étang.
- Je ne savais pas que vous aviez acheté ça
- Le coin m'a plu et je n'ai eu qu'une somme modique à ajouter pour l'acheter. En fait je l'ai échangé contre un joli champs qui permettait au fermier des Grands Aulnes de joindre plusieurs de ses terres. Maintenant ça lui fait un grand morceau d'un seul tenant
C'était passé à l'as au moment du remembrement pour des raisons obscures et aujourd'hui j'en suis très heureuse
Nous avons suivi un sentier qui traversait le bois et Marthe m'avait pris par la taille pour se coller à moi.
Se collant à moi elle m'expliqua que la limite de sa propriété se trouvait à environ quinze mètres du bord opposé de l'étang et qu'elle était marquée par une clôture qu'on avait du mal à distinguer dans le jour déclinant. Elle m'embrassa à pleine bouche et me reprit par la main en me disant :
- Viens, nous allons sur la petite plage, j'ai envie de me baigner
- Il y a même une plage ! ais je répondu en riant.
- Oui, tu verras, c'est du sable fin
Arrivés sur la dite plage, nous nous sommes à nouveau embrassés et elle a commencé à me déshabiller en disant :
- Viens, allons nous baigner
l'eau doit être très agréable
Nous avons posé tous nos vêtements dans l'herbe sur le bord de la petite plage et, main dans la main, nous nous sommes approchés de l'eau dans la lumière affaiblie du crépuscule. Nous sommes entrés dans l'onde délicieusement fraîche et nous nous sommes séparés pour nager. Marthe restait près du bord car elle ne se sentait pas assez bonne nageuse pour gagner l'endroit le plus profond.
J'ai traversé l'étang d'une brasse tranquille puis je suis revenu vers elle. Dès que j'ai été assez près, elle s'est collée à moi et m'a embrassé avec passion. Je sentais son pubis velu frotter contre ma cuisse qu'elle serrait entre les siennes. Tout en m'embrassant elle a saisi mon sexe et a commencé à me masturber lentement.
Lorsque ma queue a été totalement dressée, elle a desserré ses jambes et se tenant à mon cou elle s'est placée face à moi en se soulevant le plus possible. Elle a passé les jambes autour de ma taille et s'est caressé la chatte sur ma virilité tendue en faisant basculer son bassin en cadence. J'avais de l'eau jusque sous les côtes et je bandais férocement.
Dans l'eau je n'avais aucune peine à la baiser debout malgré ses mouvements violents. Marthe s'empalait sur ma verge sur un rythme soutenu, on aurait dit que ce bain décuplait son appétit sexuel. Brusquement elle s'est crispée avec un cri rauque, puis elle s'est détendue et ma' embrassé à pleine bouche avant de dire :
- Allons sur la plage, je veux que tu me prennes en levrette
Elle s'est accrochée à moi sans me laisser me retirer et le l'ai portée sur la berge encore profondément enfoncé dans son intimité brûlante.
Lorsque nous sommes parvenus près de nos vêtements, elle a détaché ses jambes de ma taille et je me suis retiré dans un bruit de succion très sympathique. Marthe s'est agenouillée devant moi et a pris mon membre dressé dans sa bouche. Elle m'a sucé lentement et je sentais sa langue chaude faire le tour de mon gland, j'ai commencé à onduler du bassin et j'ai baisé sa bouche gourmande. Reculant la tête pour libérer mon sexe elle m'a dit :
- J'adore ta bitte ! Viens, prends moi en levrette, j'ai envie de te sentir bien au fond
Surtout ne te retire pas et décharge bien au fond, j'aime sentir ton sperme qui m'envahit. Si je t'avais connu trente ans plus tôt, tu m'aurais fait plein d's tellement je trouve ça bon
Marthe s'est installée à quatre pattes devant moi et malgré la nuit tombante je voyais son cul onduler d'impatience. Je me suis approché et me suis enfoncé dans sa chatte d'un violent coup de reins.
- Ouiiii ! Baise moi encore
Bourre moi comme j'aime
à fond, vas y
Je me suis mis à la besogner sauvagement et chacune de mes pénétrations s'accompagnaient d'un han de bûcheron auquel elle répondait par un ah guttural.
Rapidement j'ai senti que je ne pourrais pas tenir plus longtemps, j'ai agrippé ses hanches et j'ai lâché une puissante éjaculation en m'enfonçant au maximum.
La nuit était maintenant tombée et la respiration encore saccadée elle m'a dit :
- Il faut que je trouve une solution, je ne vais pas pouvoir me passer de ta queue
- Il faudra bien puisque nous vivons à six cent kilomètre de chez vous
- Je vais venir habiter chez vous
Tu vas faire un petit à Laure et je viendrais m'en occuper pendant que vous travaillerez
- Ne vous en faites pas Marthe, maintenant que votre libido est à nouveau éveillée vous trouverez facilement un mec plus près de chez vous
- Peut être, mais je compte sur toi pour baiser quand nous en aurons l'occasion
Je me suis retiré et je me suis levé, elle s'est assise et s'est remise à sucer mon gland
- Non Marthe, il faut rentrer maintenant, nous n'allons pas passer la nuit là quand même
- Tu as raison, allons rejoindre le confort des draps de lit
En attendant je te remercie pour cette tringlée en pleine nature, ça m'a rappelé ma jeunesse
Ma belle mère s'est levée et nous avons enfilé nos vêtement sans sous vêtement sur notre peau encore humide. Elle m'a pris par la main et m'a dit :
- Viens, je te guide, je connais le chemin même de nuit
Nous avons rejoint la voiture en silence ns sous vêtements à la main. Lorsque nous nous sommes assis, Marthe a allumé le plafonnier puis elle a relevé sa robe jusqu'à la taille et m'a demandé :
- Tu la trouves belle ma chatte poilue, il parait que ce n'est plus à la mode
- C'est vrai que les filles d'aujourd'hui ont tendance à se raser complètement
Moi, je préfère quand il y a des poils
Ceci dit, je pense que vous devriez tailler dans la masse, il y en a un peu trop
- C'est pas pratique à faire
- Les esthéticiennes font ça très bien, ou Léon si vous lui demandez gentiment
- Non, avec ses grosses pattes il va tout saccager et en plus ça fait bien longtemps qu'il ne veut plus me voir
Il n'y a que le toubib et toi qui voient mon minou
Tu voudras bien le faire ?
- Si vous voulez
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