Une Bonne Cougar Rencontrée Grâce À Internet

Je ne sais pas pourquoi, j’ai toujours aimé fantasmé. Très tôt, je me suis lassé du sexe classique avec une fille qu’on aime et qui nous aime. J’ai eut des petites amies, des relations sérieuses mais pour moi le sexe devait être quelque chose d’autre, quelque chose de vibrant et plein d’adrénaline. Et je n’arrivais pas à être totalement libéré dans une relation charnelle avec quelqu’un avec qui je partageais des sentiments.
J’en étais arrivé à fantasmer mon rapport au sexe plutôt qu’à le vivre. Je ne concevais pas de tromper mes copines, de fait, je vivais mes aventures à travers mon imagination.
Je n’avais jamais dépassé le stade du fantasme jusqu’à mes 25 ans. Mon plus grand fantasme n’avait rien d’original, c’était le plus classique du monde ou presque, je rêvais de faire l’amour avec une femmes plus âgée.

Un soir, alors que j’étais seul chez moi, ma compagne étant sortie avec des amies, je me suis pris d’envie d’aller m’inscrire sur un site de rencontre. Je savais que mon amie n’y irait pas, ce n’était pas du tout son style. Le plus grand risque que je prenais était de croiser une tête connue et que l’on me reconnaisse. La curiosité étant plus forte que tout, ne pouvant résisté à ce petit interdit, je décidais finalement de m’inscrire.
Une fois mon profil créé, et mon annonce rédigée avec un peu d’humour, je décidais de commencer à feuilleter les pages de cet immense catalogue de l’amour. Instinctivement je commençais par regarder les profils des filles de mon âge. La plupart était très jolie, et je dois reconnaître que je n’arrivais pas à entamer la conversation avec qui que ce soit.
J’avais peur que toutes ces filles cherchent le grand amour et de leur faire perdre leur temps. Il faut dire que pour ma part, je ne savais pas exactement pourquoi je m’étais inscrit. Probablement, que je n’irais jamais jusqu’à un rendez vous et encore moins jusqu’à un baiser.
Au bout d’une heure, je me décidais à contacter une jeune fille d’origine asiatique avec des yeux en amande très expressifs et dont le profil spécifié qu’elle n’était pas à Paris pour longtemps.



Nos premiers échanges furent très cordiaux et nous parlions de tout et de rien. Elle s’appelait Alice et vivait normalement à Toulouse mais elle était en stage pour quelques mois à Paris et ne connaissait personne. Je n’osais lui dire que j’étais en couple dans la vie de peur de la faire fuir. En même temps, je me refusais à mentir si la question était abordée de front à un moment. Les jours passaient et malgré d’autres contacts plus ou moins suivis avec d’autres filles, Alice gardait toute mon attention.
Un matin, alors que je partais au travail, elle me demanda si nous pouvions échanger nos numéros. Jusque là, je n’avais jamais prévu cette possibilité. C’était un risque énorme si ma compagne tombait sur un sms. Mais par goût du risque et parce qu’au fond j’étais de plus en plus attiré par Alice, je décidais d’accepter.
Le premier texto me demandais si je la trouvais jolie. Je ne pouvais que lui dire qu’elle était magnifique. Je sentais déjà depuis quelques jours que nos échanges avaient évolués vers quelque chose de plus intime tout en restant très sobre. Nous échangions quelques textos durant la matinée où elle se mis à se confier sur sa vie personnelle, sur le fait qu’elle n’aimait pas la vie de couple et qu’elle ne se voyait pas vivre avec quelqu’un parce qu’elle aimait trop sa liberté. Je dois dire que ça m’a quelque peu soulagé et dans un élan de courage qui m’avait fait défaut jusque là, je lui avouais en m’excusant que j’étais déjà en couple.
Le délais qui s’écoula jusqu’à sa réponse me paru une éternité, un temps sans fin où je n’entendais que les battements de mon cœur dans ma poitrine. Puis son texto arriva, sobre et sans fioriture : « Aucun soucis, ça ne m’embête pas. On ne s’est rien promis. »
Ce fut à la fois un soulagement et un sentiment de honte. Qu’avais-je cru ? Que cette fille pourrait s’intéresser à moi ? On discutait et puis c’était tout.

Une heure passa, je m’attelais à mon travail lorsque mon téléphone vibra.
C’était un MMS d’Alice. Je l’ouvrais par réflexe et je ne compris pas tout de suite. Le texte disait « Ça te plaît ? Pour plus RDV à . » et une adresse suivait. La photo était un peu sombre mais on distinguait clairement ses jolis yeux et une pose très suggestive qui suggérait qu’elle était complètement nue.

Je ne savais pas quoi faire. Si j’y allais, ce n’était plus un jeu. Ça devenait réel. Je ne pouvais plus me mentir sur la nature de cette relation et je devrais accepter de tromper ma compagne. En même temps, c’était tout ce que j’avais toujours voulu. Vivre une sexualité libre de toute contrainte et sans tabou.
Sans réfléchir, je pris mes affaires, je prétextais un problème à mon domicile et je me rendis à l’adresse indiqué.

Arrivé devant, ça n’avait rien d’un appartement. Je vérifiais l’adresse, il n’y avait pourtant pas d’erreur. Je me trouvais devant une sorte de boîte de nuit. Je n’étais pas naïf, c’était une boite libertine ouverte 24h/24. Je me dis qu’elle s’était bien moquée de moi et que je méritais de m’être fait prendre.
Reprenant mon portable, je lui dis que son petit jeu avait fonctionné et que je m’étais fait avoir que j’avais l’air idiot devant cette boite échangiste alors que je croyais la retrouver elle.
J’étais en train de retourner vers ma voiture quand mon téléphone vibra. « Ce n’était pas une blague. On ne se connaît pas bien mais si tu n’es pas trop choqué, entre me retrouver. »

J’avais des doutes, peut être se moquait-elle encore de moi. Et j’avais encore la possibilité de partir et de faire comme si tout ça n’avait été qu’un fantasme.
Je décidais, après quelques hésitations, de rentrer.
L’endroit n’avait rien de ce que je m’étais imaginé. C’était très chaleureux. La décoration sensuelle n’avait rien d’outrancière et si l’on ne pouvait douter de la destination première du lieu, il n’y avait rien qui puisse heurter le bon goût. La personne à l’accueil vit que je n’étais pas habitué.
Elle se chargea de m’orienter et de m’expliquer le fonctionnement du lieu. Je payais donc mon droit d’entrée et j’allais me mettre plus à l’aise dans le vestiaire. Je décidais de conserver mon boxer comme un unique rempart, mon dernier point d’accroche avec la réalité. Tant que je n’étais pas nu, tant que je n’avais pas consommé, tout ça était encore de l’ordre du fantasme.

Les téléphones étaient interdit à l’intérieur. Je me demandais comment retrouver Alice et comment elle avait fait pour me contacter. Après avoir fait le tour des salles, je du me rendre à l’évidence, elle n’était pas là. Elle m’avait bien eut.
J’allais partir quand une femme m’interpella.
« C’est la première fois que tu viens ?
_Heu… oui.
C’était une femme très belle. Elle devait avoir dans les 50 ans, elle avait des cheveux bruns long et raide. Ses hanches étaient larges et magnifiques, sa poitrine me semblait énorme et très ferme, de larges tétons pointé à travers sa lingerie quasi-transparente. Elle me fit immédiatement penser à Mme Vertoux, ma professeur de français de seconde qui m’avait fait tant fantasmé.
_Tu ne sais pas ce que tu fais là, hein ? Me dit-elle en souriant.
_Je me suis fait avoir par quelqu’un.
_Avoir ? Tu es ici au paradis. La personne qui t’a amené ici, t’a fait un cadeau.
_Sans doute mais elle n’est manifestement pas là.
Elle pris ma main.
_Si elle n’est pas là, sans doute accepteras-tu de me tenir compagnie ?

Mon cœur battait plus fort que jamais. Cette femme magnifique qui était l’ersatz même de mes fantasmes les plus fous, fleurtait clairement avec moi à moitié nue.
_Sans doute que ce serait possible, dis je timidement.
Elle m’entraîna vers une table et s’assit à quelques mètres de moi.
Sa ma se posa sur ma cuisse nue et se fut comme une décharge dans tout mon corps.

Tout ce qu’elle disait se perdait dans la mince distance qui nous séparait. Je n’arrivais plus à penser, ma respiration était saccadé.
Je n’avais jamais aussi bien et aussi mal à l’aise à la fois. Je voyais ses yeux, de grands yeux verts briller.
Elle avait le regard d’une prédatrice près à se jeter sur sa proie. J’étais une proie très consentante. D’un seul coup, je me sentais bien perdu et totalement démuni mais j’aimais ça.

Ses lèvres s’avancèrent vers les miennes et le contact de sa bouche pulpeuse sur la mienne me renvoya à des milliers de fantasmes inassouvies depuis des années. Je me sentais enfin libre.

Pris d’un élan dont je ne m’aurais pas cru capable, je lui retournais son baiser, ma langue cherchant la sienne et caressant langoureusement ses lèvres. J’avais envie de goûter chaque centimètre de son corps et de me perdre dans les méandres de ses reins. Mes mains glissèrent de son cou à son dos et bientôt nous nous étreignons langoureusement au milieu de ce club. Il n’y avait aucune pudeur dans ce lieu. Chacun était libre, et si l’envie m’en prenait j’aurais pu la prendre là sur la table.

Sa main avança sur ma cuisse, son souffle était de plus en plus court, je sentais son cœur battre dans sa poitrine collée contre la mienne. Doucement, elle glissa sa main dans mon boxer à la rencontre de mon membre fièrement dressé. Elle le caressa doucement, lui permettant de sortir de sa prison de tissu. Puis décollant ses lèvres des miennes elle vint m’embrasser dans le cou.
Toutes ces secondes étaient exactement pareil à tant d’autres moments passés dans les bras d’autres femmes et pourtant elles étaient parfaitement différentes, strictement meilleures et mieux que je n’en avais rêvé.

Sa langue, sa bouche, ses lèvres, ces quelques centimètres d’elle qui était alors tout mon monde, remontèrent à mon oreille pour me chuchoter :
« Allons dans un endroit plu intime ».
Sans que je ne dise rien, elle pris ma main et m’attira plus loin. Dans l’obscurité, là où nous serions seuls pour vivre cet instant.
Je ne réfléchissais plus, je n’avais plus envie de me poser de question. J’agissais comme par instinct. Un instinct qui me poussait inexorablement vers cette femme sublime du double de mon age mais qui me plaisait comme aucune autre femme en m’avait plu jusque là.
J’étais son élève, elle était mon centre de gravité. Dans cette marche qui nous menait vers les tréfonds du club, elle marchait devant moi et chaque mouvement de ses hanches me faisait bander encore plus fort.
Soudain, alors que j’étais perdu dans mes rêves, elle se retourna, me fit mettre à genoux et s’avança. Mon visage était à la hauteur de son sexe encore caché par quelques dentelles.
« Tu vas être bien sage et me goûter maintenant mon chéri ».
Sa voix était à la fois douce et directive. J’étais dominé par cette femme et j’en éprouvais un plaisir encore jamais ressenti. Elle avait pris le dessus sur moi et je m’abandonnais pleinement à cette femme dont je ne connaissais même pas le nom.
Doucement j’approchais mon nez de son antre jambe, j’aimais son odeur. Elle poussa ma tête un peu plus en avant pour me faire signe de ne pas traîner. Je baissais son string noir et pour la première fois, je goûtais à un de mes fantasmes.
Je jouais quelques instants avec son clitoris qui pointait fièrement entre ses lèvres imberbes. J’embrassais son sexe qui s’ouvrait pour moi. J’entendais ses gémissements et sentais ses sursauts.
_Continu ! M’intima t-elle.
Deux de mes doigts se glissèrent doucement à l’intérieur d’elle et de mon autre main je caressais son anus. D’un coup, je me sentais capable de tenter ce que je n’avais jamais oser avec une femme. J’étais un homme et elle une femme et nous échangions ce qu’il y a de plus simple et de plus complexe entre deux êtres.
Après quelques coups de langues, je la sentis tressaillir et son orgasme fut fulgurant. Elle se mi à crier de plaisir. M’obligeant à me redresser, elle m’embrassa en retirant son soutien gorge. Ses seins jaillirent face à moi. Je m’empressais de les prendre dans mes mains et d’en caresser chaque millimètre de creux et de plein de son corps pour être l’explorateur de ce nouvel eldorado.
Je me sentais sexuellement libre face à une femme sexuellement libérée.
Je l’embrassais et d’un coup je la retournais en la plaquant au mur. Je n’avais jamais agi de la sorte mais je me sentais pousser des ailes. J’avais eut peur qu’elle s’en offusque mais elle se laissa faire.
_Prend moi ! Me dit-elle. Baise moi immédiatement comme une chienne.
Elle me tendit un préservatif.
Mon sexe dressé n’attendais pas autre chose, je le sortis pour la seconde fois de l’après midi de son emprise de tissu et passant le condom autour de mon membre dressé, je l’enfonçais profondément au creux des reins de mon amante.
Elle poussa un râle de plaisir. Tout son corps était fait pour l’amour. Elle avait les deux mains appuyées sur le mur et agrippé à ses hanches larges et voluptueuses, j’entendais à chaque mouvement de rein ses gémissements de plaisir se faire plus grand. Avide de sexe et de plaisir elle venait à la rencontre de chacun de mes mouvements. Sa main placée sur son sexe pour augmenter son plaisir, toute son expérience se révélait dans cet instant.
Je réalisais mon plus grand fantasme et j’aimais ça plus que tout.
Pris dans mon élan, je sortais de son mont de vénus et me plaça à l’entrée de son anus. Elle ne dit rien et je pris ça pour un accord. Je m’enfonçais alors doucement dans son cul. Le plaisir était immense, c’était au delà de tout ce que j’avais pu connaître jusque là.
Son corps se cabrais et elle m’encourageais à continuer.
Je n’entendais plus que sa voix qui criait « Baise moi », « Vas y », « Oh oui ». Tout ce plaisir montait en moi et je ne pouvais pas me retenir bien longtemps.
D’un coup, elle s’écarta de moi et délia nos deux corps. Je n’en pouvais plus, j’avais envie de continuer.
Elle se retourna et me posa un doigt sur la bouche.
« Je veux goutter à ton jeune pénis. » dit-elle d’un ton rieur.
Elle se mit à genoux face à moi. Elle retira le préservatif et passa sa langue sur mon pénis. C’était divin.
Ses grands yeux ne quittaient plus les miens. Elle me regardait comme en transe pendant que sa bouche s’activait sur mon membre prêt à exploser.
Je n’en pouvais plus et je finissais dans un orgasme qui me envoya tout mon plaisir retenu au fond de sa bouche.
Elle se releva, souri, s’essuya langoureusement la bouche puis m’embrassa.
_Tu vois, ce n’était pas si terrible cette première expérience, me glissa-t-elle.
Elle ramassa ses affaires et partie.
Je restais là quelques instants sans réaction. J’étais en plein rêve.
Je ne pensais plus à Alice et c’était tant mieux, j’avais trouvé ce que je cherchais : être sexuellement libre. Depuis je suis devenu accro aux femmes matures ; j'ai fait pas mal de bonnes rencontres, je préfère aller directement en choper en club échangiste : rien à voir avec les endroits glauques et animalesques qu'on imagine au début...

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