Sur La Route De La Perversion... (Épisode 2)
J'étais rentré chez moi et me sentais perdu. Qu'étais-je en train de devenir ?...
Une semaine plus tard, Georges, mon initiateur, me recontacta. Il voulait me revoir, et savait que, bien que perdu, j'étais toujours excité à cette idée. Il profitait d'ailleurs de mes questionnements pour accroître son influence sur moi, il aimait de manière perverse me transformer ainsi. J'allais donc une nouvelle fois chez lui, un après-midi, ne sachant pas ce qui m'attendait. Je me retrouvais à son domicile, et le vît habillé identiquement à la première fois, l'air au moins aussi vicieux. Il me dit que nous devions aller faire des courses, et bien que surpris, je le suivis.
En réalité, Georges savait ce qu'il faisait. Il avait compris mon fantasme d'humiliation par l'exhibition de mon rôle de soumis à un homme mur et visiblement cochon. Je ne tardais pas à la comprendre dans le supermarché. Il se mit au milieu des rayons à me passer la main sur les fesses. J'eus un mouvement de recul, gêné de cette situation, mais il me plaqua contre lui. Il approcha sa bouche de mon oreille et je sentis son souffle chaud. Il me dit alors : « allez petite salope, je sais que tu aimes ça, que ça t'excites. Je veux que les gens voient que tu es ma petite pute, qu'ils t'imaginent au lit avec moi... ». L'excitation me fît alors m'abandonner à lui, et je le laissais abondamment tripoter mon petit cul. Poussant l'humiliation toujours plus loin, il s'arrêtait au rayon des saucissons où une mère de famille d'une trentaine d'années saffairait vers son chariot, et me dit à haute voix : « je suis sur que tu aimerais avoir ça en bouche, tu pourrais me refaire ton regard de pute ». La femme nous observa, choquée, et je me sentais honteux. Georges était souriant pour sa part. Cela continua encore une trentaine de minutes, jusqu'à ce que nous retournions chez lui.
Il me demanda alors de me diriger dans sa chambre. Il me suivait et je sentais ses attentes lubriques, tellement palpables, en me demandant ce que j'allais subir.
Puis il m'ordonna de me mettre à quatre pattes, et sorti du tiroir de sa table de nuit un tube de lubrifiant. Je me raidis car je craignais la sodomie vu la difficulté à être doigté la dernière fois. Il me précisa qu'il fallait que je me détende sinon j'allais avoir mal, et que ce n'était pas cela qui l'arrêterait, car il savait que je jouirai quand même, et que cette situation l'excitait même. Il me déposa le gel sur l'anus serré, et sortit du coffre un baillon-boule qu'il me mit. Je me sentais abandonné, soumis aux fantasmes de ce vieux cochon vicieux, qui profitait de moi. Je n'étais plus que sa petite pute. Il s'inséra alors en moi et je ressentis une douleur chaude dans les fesses. Il saisit ma laisse, me cambrant davantage, et bougeait lentement son sexe. Il déclara : « j'aime te voir là: tout attaché et baillonné, à quatre pattes, cambré comme une salope que tu es, et prendre ma queue en toi ». Puis il se mit à accélérer le mouvement générant en moi un mélange de douleur et de jouissance inconnu. Je couinais mais le baillon étouffait mes sons.
Au bout d'un moment, il se retira et me demanda de me mettre sur le dos. Il se réintroduit alors en moi et continuait à me culbuter allégrement. Je sentais son corps chaud me recouvrir, son ventre rond et velu frotter sur le mien, sa sueur perler sur moi.
Après quelques secondes, il me regarda, en souriant toujours lubriquement, et me dit : « j'aimerais rencontrer tes parents »...
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