Nancy Et Lucie
Je profite de ma fatigue pour me reposer sur mon fauteuil en rotin au fond du jardin. Tranquille sans personne pour mennuyer, je suis dans une bulle agréable. Jai pris un bon livre que jai posé sur les genoux : joublie de le lire. Jécoute surtout ces oiseux pépier sans cesse. Je ferme les yeux pour faire un léger somme : je suis heureux de vivre.
Jai prévenue la gouvernante, une vielle dame que je conserve comme « servante » plus par habitude que par besoin : je ne suis là pour personne.
Vers 16 heures je suis dérangé : une jolie fille que je ne connais même pas sautorise de venir me voir pour une urgence. Jallais éclater de colère quand je vois son minois bien beau avant dapercevoir le reste de son corps. Une déesse de lOlympe est descendue près de moi. Elle parle de je ne sais quoi, je ne lécoute pas, je ne lentends même pas. Je nai pas envie de bavarder avec elle, à moins quelle sautorise à venir sur mes genoux pour, pourquoi au juste ?
Si, je sais je la caresserais longuement, lembrasserais sur la bouche, les seins et le reste.
- Que désirez-vous ?
- Vous parler Monsieur.
- Cest bien de vouloir me parler. Vous êtes qui dabord ?
- Votre voisine monsieur.
Tient jai une belle voisine que je ne connais pas ? Dommage dignorer cette jolie fille.
- Et que me veut votre visite ?
- Cest la faute à une branche de votre jardin qui surplombe le mien. Il faudrait la couper.
Jappelle ma gouvernante pour lui demander pourquoi elle a laissé entrer cette gamine.
- Elle a insisté vue lurgence.
Bien il faut couper rapidement une branche. La jeune dame montre de quelle branche il sagit. Tout juste une branchette.
Nous allons ensemble voir le litige. Cest bien ce que je pensais : il ny a rien de grave ni durgent
Jinvite linopportune à prendre un rafraichissement. Ce quelle accepte. Oh pas un alcool, simplement ce que je naime pas du tout, une espèce de bouteille sombre remplie dune tisane américaine au mauvais gout pour moi en tout cas.
Elle mexplique quelle nhabite là que depuis peu, quelle prend possession des lieux.
Etant assise, je peux voir presque la moitié de ses cuisses : sa jupe est remontée pas mal. Si le reste est aussi agréable que ces jambes je suis preneur pour la suite. Jappends quelle a 25 ans, quelle a hérité de la maison, quelle cherche du travail et important pour moi, elle est célibataire. Je sais aussi quelle sappelle Nancy. Elle me donne son nom de famille que je mempresse doublier. Son corsage en dentelle est presque ouvert sur ses seins. Jaimerai bien y mettre ma main.
Elle saperçoit que je la regarde avec envie : elle en rougit un peu.
- Vous êtes agréable à regarder, voue êtes charmante.
- Oh Monsieur.
A ce moment là la gouvernante sen va ailleurs dans la maison. Je la connais elle est dans sa chambre, connaissant la suite.
Je prends la paume de la main de la donzelle pour lembrasser. Elle me laisse faire. Ou elle est subjuguée, ou elle a une forte envie cachée. Mes lèvres montent bien haut, jusquà son aisselle. Elle me regarde simplement. Ma bouche monte bien plus haut, jusquà toucher à peine des lèvres.
Je suis un peu surpris quand même, quand elle pose sa bouche sur la mienne. Je la prends par la nuque pour être bien contre elle. Mon mouvement est suivi du sien, je sens sa main derrière ma tête. Mes bras lentourent simplement. Nous nous levons ensemble pour ne pas nous lâcher.
Cest mieux : nous sommes bien serrés, nos corps sont soudés. Je sens son ventre contre ma bite qui sest réveillée. Jessaie de lui caresser les seins avec succès. Nancy ne se démonte pas en prenant ma bite à travers le pantalon. Elle nest pas de la dernière couvée, je préfère ça à une vierge effarouchée.
Je la laisse faire, je vais lui toucher les fesses quelle tend vers mes mains. Un autre baiser au fond de sa bouche et je lentraine dans la chambre.
Elle obéit parfaitement. Je ne suis pas son premier cest certain.
Sa fourrure de la même couleur que sa chevelure est aussi douce que le reste. Pas possible, elle se peigne les poils chaque matin ! Je moccupe de sa chatte, elle sintéresse à ma bite, cest de bonne guerre. Deux doigts trouvent son bouton, deux de ses doigts font le tour de ma bite. Je commence à la branler, elle aussi me branle plutôt bien. Je sens quelle est très mouillée. Sans rien dire je vais entre ses jambes : elle les écarte assez pour que jy trouve ma place. Ma bite ne cherche plus dabri : elle le trouve dans son puits rapidement et bien.
Ses jambes me font prisonnières en me tenant entre ses pieds sur mes reins. Je suis au fond de son ventre : elle gémit longuement tout le temps de la baise, disons plutôt pendant quelle baise entre des orgasmes violents. Je suis obligé de serrer les dents pour ne pas jouir avec elle. Je préfère quelle jouisse avec ma pine dans son con.
- Oui, recommence, baises moi encore.
- Tu ne veux pas que je change dendroit ?
- Tu voudrais menculer ?
- Si tu aime pourquoi pas ?
- Jaime aussi ;
Pour me prouver son plaisir davoir une bite dans le cul Nancy me fait sortir de son vagin. Ma bite est pleine de son jus. Jen ai même trop. Quand elle se tourne sur le ventre, elle reste étendue dans lattente de la scène 2.
Elle me plait sacrément avec ses fesses bien pleines en vue. Elle écarte les deux hémisphères avec ses mains. Je nai pas de difficulté pour aller sur son trou. Je pose lentement ma queue sur son cul jentre doucement : ses chairs sécartent lentement. Je sens bien mon gland qui pénètre en entier dans le rectum. Elle souvre seule sans mon aide. Elle pousse surtout de longs gémissements.
Ses fesses suivent mes mouvements à moins que ce ne soit linverse.
- Je vais jouir encore, arrête juste un instant.
Je sens les contractions de son cul pendant quelle jouit.
- Recommences.
Finit son orgasme anal. Je vais lui en donner encore cette fois en la branlant. Sa fente est totalement envahie de cyprine. Jentre deux doigts dans le vain et le pouce sur le clitoris la branle complètement. Là je ne me retiens plus ; jouvre ma sortie de sperme. Il coule au fond de son cul en quantité.
Je débande lentement. Nancy voudrait encore baiser. Voyant que je suis à sec pour le moment, elle se lève de rhabille et part sans rein dire.
Je reste sur ma faim. Jen aurais voulu encore : elle baise si bien. Je commence à me rhabiller quand elle revient habillée autrement. Cette fois elle porte une mini jupe « ras de la touffe », un débardeur presque remonté. Triomphalement elle mannonce quelle est prête pour la nuit.
Je suis assis sur le lit, Nancy vient entre mes jambes, relève le peu de tissus de sa jupe, me donne aussitôt sa chatte à embrasser. La vache elle sait bien se faire faire du bien. Elle est toujours aussi mouillée. Je sens ma langue riper sur ses chairs intimes. Je reviens sur le clitoris : en laspirant dans ma bouche je ne pensais jamais lui faire découvrir une nouveauté. Il fut croire que personne ne la léchée comme moi. Elle parle pendant ce plaisir :
- Oui, lèches moi encore ; jaime me faire lécher, jaime me faire baiser et enculer. Jaimerai même quune autre fille soit là pour te baiser aussi. Tu naimerais pas une autre fille avec nous ?
Elle massomme avec ses bavardages : bien sur que jaimerais avoir une autre nana avec elle. Je suis capable de faire jouir deux filles à la fois et même de les regarder se donner du plaisir.
Je réponds oui à tout. Elle y tient : elle sort son portable pour appeler une copine qui arrive moins de 5 minutes plus tard. Ainsi Nancy est bisexuelle. Son amie est au moins aussi sexy.
- Tu as raison il est bien monté. Il a du bien te faire jouir, salope.
- Si tu veux tu le baise dabord.
- Il a jouit combien de fois ?
- Quatre je crois.
Tout en parlant la nouvelle venue est nue. Elles se tiennent par la taille déjà réunies pour la suite. Dans la chambre jai affaire à des furies, amies du sexe, aimant et ma bite et le con de lautre. Ainsi si elles ma caressent la bite leurs mains sont sur les abricots de lautre : elles en jouissent parfaitement.
Elles ne tardent pas à se mettre en 69 : je bande encore plus de voir deux filles saimer ainsi. Je minterpose comme je peux. Mes mains sont à la recherche de ce que je peux pendre. Je trouve chez lune un cul et chez lautre un sein. Je me contente de peu. Je les caresse toutes les deux sans en chercher une en particulier.
Quand leur étreinte est finie, cest la nouvelle venue qui a lhonneur de prendre ma bite dans le cul. Lucie semble aimer au moins autant que Nancy une bite dans le cul. Je suis sur le dos, cest donc volontairement quelle se fait enculer. Elle laisse ainsi la place à Lucie pour faire un 69. Je suis placé de telle façon que je vois la langue de Nancy sagiter dans les fesses de Lucie. Jai suffisamment de place pour entrer deux doigts dans lautre cul.
Je sais que je jouis, sans débander ce qui me permet de continuer à les baiser ensemble à leur grande satisfaction.
Le nuit tombée les deux filles partent : je suis un peu fatigué. Pourtant le lendemain jai à nouveau à visite de Nancy, comme tous les soirs qui suivent.
La gouvernante me dit un jour: tu exagère avec ces jeunesses.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!