Mon Cousin Thomas (2)
Mon cousin Thomas (2)
Le petit déjeuner dura au moins une heure. Tout le monde discutait avec entrain, et Thomas semblait particulièrement à laise. Pour ma part, jétais pensif. Je me remémorais la nuit précédente et toutes les sensations que Thomas mavait fait découvrir. Je naurais jamais cru quun mec, quun homme, pouvait me donner autant de plaisir. Par contre, lattitude de Thomas, le détachement quil affichait me déconcertaient. Javais limpression de nêtre quun orifice au service de pulsions sexuelles de mon cousin, juste un trou dans lequel il avait vidé ses couilles. Je voyais bien dailleurs à ses allusions matinales quil avait bien lintention de recommencer.
Je mefforçais cependant de participer à la conversation familiale, jetant furtivement un coup dil de temps à autre à Thomas. Il était diablement beau. Sa carrure de rugbyman dégageait une impression de puissance et sa pilosité fournie accentuait sa virilité masculine, adoucie pourtant par son beau regard bleu. Je me demandais dailleurs combien il avait eu de filles dans son lit. Javais du mal à croire quaucun mec navait sollicité ou même obtenu ses faveurs. Thomas se demandait pourquoi je navais jamais été violé dans les douches alors que moi je me demande maintenant pourquoi aucun mec ne sest jeté sur sa queue avant moi.
Le petit déjeuner sachevait dans la bonne humeur quand ma mère sadressa à moi :
- On va débarrasser cette table puis on va filer pour profiter de cette belle journée.
- Laisse nous faire Stéphane et moi répondit Thomas. On va nettoyer tout ça comme il se doit. Vous avez mieux à faire que de vous embêter avec ça.
Une petite demi-heure plus tard, nos parents quittaient la maison tandis que jemmenai la vaisselle dans la cuisine et la rangeais dans le lave-vaisselle. Thomas finit de nettoyer la table avant de me rejoindre dans la cuisine.
- Je te trouve bien silencieux ce matin Stéphane
Détends-toi, on est en vacances dit-il il en posant négligemment sa main sur mes fesses.
- Je sais bien quon est en vacances, cest juste que jai besoin de récupérer un peu de mes
de mes émotions
- Ne fais pas tant de chichis
on sest juste un peu amusé hier soir et ça nous a fait du bien à tous les deux.
- Cétait juste un jeu pour toi ?
- Ben
le sexe cest comme le sport, on sagite un peu et on se sent mieux après.
- Tu as peut être raison
- Jai raison, et je te rappelle que cest toi qui est venu sucer ma bite
cest toi qui as abusé de moi en fait me dit-il avant déclater de rire.
Je me mis à rire à mon tour. Il ne se trompait pas en disant que je lavais cherché.
- Bon, moi je vais me baigner, cest ce quil y a de mieux à faire avec ce temps me dit Thomas.
- Je vais profiter aussi de ce soleil pour bronzer un peu.
Je partis alors chercher quelques affaires dans la cabane puis je revins au bord de la piscine. Jétendis alors une grande serviette sur la pelouse près du bord du bassin et mallongeai sur le ventre. La journée sannonçait chaude et le soleil commençait déjà à me caresser la peau. Je profitais pleinement de cette agréable sensation et me laissais aller sans trop prêter attention au monde extérieur. Je restais les yeux fermés quand jentendis les pas de Thomas qui sinstallait à côté de moi.
- Tu vas rester sur ta serviette ? me demandât-il.
- Jai envie de bronzer un peu, cest la meilleure façon de profiter du soleil.
- Moi, je préfère goûter à leau de la piscine me répondit Thomas.
Je ne pris pas la peine douvrir les yeux tandis que mon cousin plongeait dans la piscine en méclaboussant légèrement au passage. Le bruit de leau mindiquait quil faisait quelques longueurs dans le bassin. Il sécoulât un long moment avant que Thomas ne ressorte de leau en minterpellant.
- Tu devrais vraiment y aller, leau est délicieuse.
- Jai bien lintention de me baigner, mais la journée ne fait que commencer. Jai juste envie de
En relevant ma tête et en ouvrant mes yeux je découvrais avec surprise Thomas debout face à moi, complètement nu.
-
envie de prendre mon temps dis-je en reprenant ma phrase interrompue par cette vision intensément érotique.
- Cest vrai que la journée ne fait que commencer me répondit-il en me faisant un clin dil que je ne savais comment interpréter.
- Tu
tu te baignes nu toi ?
- Ben
on est seuls, je ne vois pas où est le problème
et tu as déjà vu ma bite en plus
de très très près.
- Je ne sais pas, quelquun pourrait venir ?
- Nos parents sont dehors pour la journée. Relax ! Comme ça je naurai pas la marque du maillot. Tu devrais en faire de même.
- Je suis très bien avec mon maillot moi
- Dommage, je ne pourrai pas mater ton adorable petit cul.
- Tu ne penses quà ça !
- Oui, jaime la baise
il ny a pas de mal à ça. Mais en attendant je vais faire comme toi et faire un peu de bronzette à côté de toi.
Je mallongeai à nouveau sur la serviette en évitant toute pensée sexuelle. Thomas étendit sa serviette à côté de moi et se mit sur le ventre. Je pouvais sentir la chaleur de son corps ce qui fit monter dun cran mon excitation. Ma verge comprimée entre mon ventre et la serviette commençait à gonfler mais jessayais de me contrôler et déviter de regarder vers mon cousin.
Tout dun coup, je sentis une main chaude se poser sur mon épaule, et Thomas qui me murmurait à loreille :
- Je vais de passer un peu de crème, ne bouge pas
- Non, ça ira lui répondît-je
- Pas de chichis. Cest plus prudent et après tu pourras me passer de la crème à ton tour.
Thomas commençât à me tartiner le dos avec sa crème. Ses gestes se faisaient de plus en plus caressants. Il faisait à présent des mouvements circulaires des deux mains, caressant et massant mon dos, sattardant sur mes épaules et sur ma nuque. Ses gestes doux maidaient à me détendre mais mon érection était de plus en plus violente.
De temps en temps, les doigts de Thomas saventuraient sous lélastique de mon maillot de bain, palpant le haut de mes fesses, explorant la naissance de ma raie, le tout dans un silence trouble.
- Je vais te retirer ton maillot, ça sera plus simple me dit Thomas.
Je ne répondis pas, me laissant faire tandis que Thomas me retirait le maillot, dénudant les globes fessiers qui étaient ainsi livrés à son regard. A ma grande surprise, Thomas commençât à caresser et à masser mes cuisses et mes jambes. Ses gestes étaient précis, presque professionnels et me prodiguaient un bien être mêlé dexcitation érotique. Thomas prenait son temps, tout son temps. Je ne réagis pas quand les grandes mains de mon cousin se mirent à masser mes fesses, ses pouces sinsinuant dans ma raie offerte. De temps en temps, Thomas écartait mes lobes fessiers, exposant mon intimité dénudée à sa vue. Je ne le voyais pas, mais jimaginai son regard sattardant sur ma fente duveteuse quil avait prise de ses assauts quelques heures auparavant.
Ma seule réaction fut de me relâcher encore plus malgré mon érection. Je ne réagis pas davantage lorsque je sentis la langue humide de Thomas sinsinuer entre mes fesses, humidifiant ma raie tiède. Thomas donnait de grands coups de langue baveuse, léchant mon repli fessier comme il lécherait une boule de glace. Cette sensation délicieuse décupla lorsque je sentis la pointe de sa langue forcer mon anus. Sous leffet de cette caresse buccale, mon trou se desserrait progressivement, et une sensation électrique se propageait dans mon ventre. Soudain, thomas interrompit ses caresses et me murmura dune voix douce :
- Mets-toi sur le dos, jai envie de te donner du plaisir.
- Tout ce que tu voudras.
- Je ne te veux que du bien dit-il en souriant
Rien de tel que de bons préliminaires avant de
- Avant de quoi ?
- Tais-toi et mets-toi sur le dos ;
Je mexécutai sans trop réfléchir. En me retournant je découvris Thomas à genoux, ses pectoraux étaient saillants et bandés. Sa bite était dressée à la verticale, le gland gonflé et décalotté, la hampe turgescente. Le mâle dans toute sa splendeur. Une fois allongé sur le dos, Thomas saisit mes cuisses en les écartant et recommença à me lécher lanus. Les poils de sa barbe frottaient mon entre-fesse, exacerbant mon désir.
- Je vois que tu bandes dur
mes efforts ne sont pas vains.
- Oui Thomas tu me fais de leffet.
- Jai juste envie de te donner du plaisir
après ce que jai pu découvrir hier soir
.
Thomas remonta alors vers mes couilles, les saisissant une par une dans sa bouche tout en triturant mon trou avec ses pouces. Puis, dun coup il aspira ma verge tendue. Sa langue tournait autour de mon gland, sa bouche faisait de rapides mouvements de va et vient autour de ma tige. Je nen pouvais plus dexcitation quand je sentis lindex mouillé de Thomas senfoncer dans mon trou moite. Je sentais mon orifice intime souvrir petit à petit pour mieux aspirer le doigt de Thomas et je commençais à couiner sous leffet du plaisir quil me donnait
Mais jen voulais plus, je ne pouvais me satisfaire de cette pénétration digitale aussi douce soit-elle.
- Baise-moi Thomas, je nen peux plus
- Dis-moi que tu veux ma bite dans ta chatte ! dis-le-moi !
- Oui Thomas, prends ma chatte, elle est à toi.
- Cest toi qui le veux ?
- Oui, je veux tavoir en moi, je veux sentir ta bite au fond de moi, je veux que tu prennes possession de mes entrailles
- Tinquiète, de la bite je vais ten, donner et je vais te linonder ta petite fente !
- Tout ce que tu voudras Thomas
je suis à toi.
Thomas plaça mes jambes sur ses épaules. Je le vis enduire sa bite de sa salive puis il plaça son gland à lentrée de mon cul. Jappréhendais ce moment mais en même temps je ne voulais quune chose, que sa bite turgescente prenne possession de mon antre humide et moite. Thomas enfonça son gland et le laissa ainsi un court instant, pour que mon anneau rectal se détende davantage, puis il enfonça sa verge dure et turgescente dans ma fente, progressant centimètre par centimètre. Malgré la douleur, je tendais les fesses à mon enculeur, écartais les cuisses pour mieux sentir le pieu de Thomas qui me transperçait le ventre. Mon cousin commença alors à me pilonner de son chibre monstrueux :
- Putain comme jaime ton petit trou de mec. Serré comme il faut.
- Vas-y Thomas prends moi
Mon trou est à toi.
- Ecarte bien les fesses, montre-moi que tu es une chienne en chaleur. Tu la sens bien ma bite ? elle est rentrée complètement là !
Mon cousin entrait en moi et son gland venait buter au plus profond de mon trou de mec. Je sentais son pubis buissonneux contre mes couilles. Se couilles velues et pleines claquaient contre mes fesses. Ses mouvements étaient lents au début, comme pour laisser mon rectum shabi aux dimensions de sa pine. Puis, Thomas accéléra le rythme tandis que je relevais les cuisses et pliais mes jambes sur son dos. Fesses relevées et cuisses ouvertes, je me donnais complètement à ce membre turgescent qui violait mon orifice intime et me transperçait le ventre.
- Oui, cest bon ça
écarte bien tes cuisses et ta chatte
Je suis bien en toi. Putain le pied ! Elle est moite et trempée comme jaime ta fente
.
- Oui, pine moi bien, jai envie de te purger de tout ton sperme
- Tinquiète, tu vas avoir tout mon yop mais jai envie de bien profiter de ta foune !
Les mots de Thomas mexcitaient et ma seule réaction était douvrir mon trou davantage et de me livrer sans pudeur à ses assauts copulatoires. Alors que des vagues de plaisir commençaient à memporter, Thomas sétendit sur moi. Je pouvais sentir, ses pectoraux durcis contre mon torse, ainsi que la chaleur de sa pilosité. Sans trop réfléchir, je me mis à caresser sa nuque. Je pouvais sentir son souffle chaud sur mon visage, les poils de ses pectoraux frotter contre mon torse imberbe. Sans cesser de me limer vigoureusement, il rapprocha sa bouche de la mienne et membrassa goulument. Sa langue fouillait ma bouche sans relâchement tandis que son membre viril allait et venait dans la moiteur de mes muqueuses anales. Je sentais ses couilles butter contre mon anneau distendu. Jétais rempli de toute part, Thomas me mangeait littéralement la langue, fouillant ma bouche sans ménagement. Dans le même temps, son pénis durci par le désir allait et venait dans mon anus écartelé et offert. Thomas me remplissait la bouche et le cul, et je pouvais sentir toute sa musculature en action ; il me dominait complètement ! Je mouvrais autant que je le pouvais, me livrant sans retenue à ses assauts de mâle en rut.
A un moment, il se redressa alors quil était toujours en moi et commença à masturber mon sexe bandant. Cela ne fit que décupler mon plaisir, et alors que je sentais le plaisir sexacerber, mon cul, ma chatte de mec, commençât à se contracter, ce qui fit réagir immédiatement Thomas.
- Putain, tes en train de me baiser avec ta chatte
Tes une vraie salope, taime exciter les mecs
- Je veux juste profiter de ta bite mon Thomas
- Oui, je vais te la féconder ta ptite chatte
tu vas prendre une douche de sperme
- Oui ma chatte est à toi
je suis à toi
- Oui, tu vas tasseoir sur ma bite
Je mexécutais sans tarder. Je nopposais aucune résistance au désir de mon cousin. Jétais assis face à lui, empalé sur sa pine géante, donnant mon cul sans retenue, perdant tout ce qui me restait de pudeur
- Ce que tu es beau Thomas
un vrai fantasme
- Ouais, cest surtout ma bite qui te fait fantasmer
Jaccélérai mes mouvements sur sa verge, de manière à mieux sentir ce gourdin qui était en moi. Thomas lui, soulevait son bassin, de manière à me pénétrer le plus profondément possible tandis que jécartai les jambes pour mieux me donner à lui. Je lenlaçais vigoureusement, ressentant la chaleur de son corps en même temps que sa moiteur.
Après de longues minutes à aller et venir sur son sexe, jéjaculais violemment sur son torse et sur celui de Thomas, secoué de spasmes de plaisir. Thomas ne tarda pas à jouir, en me prévenant :
- Putain, je vais lâcher la purée
ça monte
.
- Oui, lâche toi
mon cul est à toi Thomas
Je sentis alors des flots de foutre chaud se répandre dans mon rectum. Puis, le foutre commença à suinter de mon cul, alors que Thomas membrassait à nouveau avec la même ferveur que tout à lheure
Mon anus était complètement ouvert, encore rempli par la bite de Thomas qui ne semblait pas disposer à me déculer pour autant.
Nous restâmes ainsi un long moment. Lérection de Thomas ne retombai pas le moins du monde. Mon cul et ma raie étaient barbouillés de sperme. Je me redressais alors en titubant, ivre de désir, mon cul cassé par cette baise frénétique
.
- Où vas tu me demandât Thomas ?
- Je vais aller me doucher, je dégouline de sueur et de sperme
- Stéphane, tu ne vas pas me nettoyer la queue ?
- Euhhh
Je restais à le regarder, sa bite toujours dressée et gluante
Sans mot dire, je magenouillai en face de lui et entrepris de nettoyer son membre de son sperme
Thomas ronronnait de plaisir, écartant ses cuisses sous leffet de mes caresses buccales
- Oui, vas-y lèche bien mon bâton
il sera bientôt prêt à resservir
- Pas possible
tu as encore envie ?
- Jai toujours envie
et je ne saurai pas résister à ta petite fente presque vierge. Et puis, tu ne mas pas encore passé la crème à bronzer
- Je me douche et je te tartine le dos
- Ya pas que le dos Stéphane
certains de mes organes ont besoin de plus dattention que mon dos
A suivre
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