Baise Sous Louis Xv
Malgré notre bon Roy Louis XV, je pensais rester dans ma campagne fraiche, toujours avec mon futur, Henri, un bon gars, un bon mari possible. Il ma fait des avances. Monsieur le curé ne voudrais pas trop que nous allions nous promener dans les bois
. Cest si agréable quand il membrasse sur la bouche, quil promène ses mains sur mon corps. Jai refusé quil passe une main sous la robe : le coquin voulait me tripoter.
Mon père sévère sait ce quil va marriver chez nous, une flopée de gamins et gamines, impossibles à élever. Il mexpédie à Versailles chez un couple de bourgeois originaires de chez nous, il sera plus tranquille pour ma vertu, cet avantage qui se perd vite trop vite daprès lui. Le voyage est court, à peine deux jours.
Je me trouve avec mon petit bagage dans un galetas au dernier étage de la maison, au même que le reste du personnel : un cuisinier qui pourrait être mon père, une liseuse et un cocher.
Le lendemain, la majordome me demande de loccuper de monsieur. Il est semblet-il malade, couché su son lit. Son ordre est simple :
- Ouvres moi les draps.
Ouvrir un lit nest pas compliqué, ma tâche va être facile.
-Dégage ma chemise de nuit.
-Comment monsieur ?
- En le levant.
- Mais je vais voir votre
sexe, monsieur.
- Tu vas plus que le voir, te le ranimeras aussi, caresses le bien :
Il me force à toucher son engin, moi qui me suis bien garder de tripoter mon amoureux Henri. Je me dois dobéir, sinon cest le retour pas glorieux chez moi, dans mon trou. Je me force à regarder son sexe mi bandant. Tans pis pour moi, je le prends délicatement dans la main comme un petit oiseau tombé du nid. Il est chaud, a des mouvements incompréhensibles pour moi. Je le tiens en entier dans ma main gauche, la droite est sur lui, je caresse doucement depuis la haut jusquen bas : il gonfle. Sans le faire exprès je fais descendre une peau du le haut. Jai du le blesser.
- Continue sorcière. Encore, tu te débrouille bien.
Entre Madame, elle me regarde, me félicite du plaisir que je donne à son mari. Elle vient tout près de moi, je la sens à mes cotés, sa chaleur irradie vers moi. Je narrête pas ce que je faisais. Elle regarde la fin avec intérêt :
- Fais le jouir, enlève-lui le sperme. Il ménerve avec se liquide que je naime pas. Goutte le toi pour me dire si tu aimes.
Surprise de cette demande je ne peux la refuser. Ce fameux sperme sort dun coup du milieu en haut du gland. Je reste surprise de la quantité qui sort. Je me dépêche pour y mettre la langue. Cest gluant, à peine salé. Pas mauvais finalement : je garde tout ce qui sort dans la bouche. Madame me demande de tout avaler. Sans problème de dégout javale doucement la semence. Je me demande ce quelle a contre.
- Cest bon son liquide.
La suite est innadentue. Madame me demande de venir dans sa chambre, juste la voisine. Elle me tourne le dos, je dois défaire tous les rubans qui tiennent sa robe, il y en a beaucoup. Dun seul coup tout tombe. Je vois des fesses plus belles que le mienne.
- Embrasses moi le cou.
- Pardon Madame,
- Embrasses moi le cou, juste sous les oreilles.
Je sens sa bonne odeur mêlée de sueur. Mes lèvres sattardent sur elle avec plaisir. Je me surprends à la lécher un peu. Elle prend mes mains, les fait passer devant. Je suis e de caresser des seins plus gros que le mien, caresser un nombril profond et surtout aller vers ses poils den bas.
Pour moi jévite toujours cet endroit maléfique.
- Entre tes doigts, nest pas peur, ça me faire du bien, mieux encore quà mon mari.
Jhésite beaucoup à aller dans cet antre personnel. Elle insiste beaucoup alors je me décide : doucement je mets un doigt dans sa fente. Mon Dieu quelle est mouillée. Je trouve des bosses des creux des trous pleins de trous. Je frôle tout ce que je trouve. Elle dit des mots sans suite, je crois comprendre que cest bon, je le la branle bien.
- Mais caresse moi, entre tes doigts, mets même ta langue, jaime les langues de filles sur mon con.
- Je nose pas faire tout ça. Monsieur le curé mavait prévenue.
- Et quest quil y connait ton curé. Ici, il nous baisent comme nos hommes, les nomes nous lèchent sans cesses, alors ton curé
.. Et pus ça suffit, lèche moi le con. Je te le rendrai après.
Jexécute ses ordres. Malgré ma répugnance à passer ma mangue là où elle fait pipi, je fais comme un petit chien, je lèche partout. Mais instinct joue bien son rôle, je lattache à lécher justement ce que je craignais, son bouton. Il a goût à son urine. Cest meilleur, jaime son gout ambré. Cest de la gourmandise. Elle se tait, tient ma tête à deux mains. La soulève un peu quand elle veut que je change de place. Je sens ses mouvements quand elle me dit jouir.
Elle me demande limpossible : ma langue sur son cul. Tout mais pas ça. Elle me force dicte, je glisse de son sexe à son périnée ; Je sens une autre odeur, celle de son cul. Tant pis pour moi, je lèche avec le bout de la langue un anus affamé. Elle ouvre les fesses comme une malade. Ma seule sauvegarde est dentrer ma langue ; Je force à peine pour pénétrer. Elle pousse des cris de victoire, de jouissance et dorgasme.
Elle me fait tourner, lève ma robe et mon jupon. Je suis les fesses nues comme elle. Sa main caresse mes jambes, je suis inondée de mouille. Elle na aucune pitié, elle me caresse tout le sexe.
- Donne moi tout ton con que je le lèche. Tu dois être bonne à sucer ;
Je nose pas me faire lécher.
Je vais te lécher, mon mari te léchera, toute ma maison te léchera si je veux
Je ne veux pas que tout le monde me passe dessus. Elle ira pour le moment. Elle me veut, je me donne en venant sur elle. Je suis presque assise sur sa bouche. Je sens presque immédiatement sa langue pointue.
Elle me fait sursauter plusieurs fois. Je ne sais même plus où elle a casé sans langue. Je jouis encore plusieurs fois, je ne pensais pas la chose possible. Ce que je ne croyais pas cest que je pouvais être donnée facilement à une bite. Cest elle qui me pousse en avant. Je me trouve entièrement sur son visage. Mais là derrière, vers lanus arrive le sexe de lhomme. Lui je ne le veux absolument pas.
Mais que faire quand une bite vient sur vous, quelle force à peine un vagin mouillée qui a déjà jouit ? Je reste une faible femme poussée au péché par un couple licencieux. Et puis es-ce péché que te répondre à une poussée de la nature. Non, je me donne.
Cest un don de Dieu qui entre qui pénètre qui défonce, que fait du bien qui me fait jouir ainsi. Le mari et la femme jouissent de moi, je jouis deux ou est la mal.
Quelques jour plus tard je dois participer à une fête dite galante. On me prête une ceinture de diamant qui brille atour de ma taille en descend dur ma fourrure intime, une simple robe blanche pour le reste Je me sens désirable. Peut-être un noble sintéresseras ma petit personneopurr n faire sa maîtresse, une concubine !
Le destin joue bien son rôle cest la marquise de
.. qui la première veut de moi. Elle cache sous sa robe un bel os de gigot. Sa proposition daller le partager ailleurs me plait. Tout le long du court voyage dans son carrosse il me tarde davoir en moi cet engin.
Nous sommes dans sa chambre, les domestiques ont été prié daller voir ailleurs. Je la déshabille calmement en lembrassant souvent. Nos baisers deviennent incessants. Sa langue est toujours dans ma bouche. Enfin nues, nous sommes attentives au plaisir de lautre. Ses mains ses doigts, ses lèvres sont sur moi, je ne peux que lembrasser quand jen a loccasion.
Le grand moment arrive ; Sans pudeur elle me demande mouvrir les jambes, les lèche de bas en haut.
Je suis presque écartelée. Jai mal, elle mencule. Je nai plus mal, cest bon, ça fait du bien. Si Henri était là, peut-être que cest lui qui menculerais. Cette marquise veut aussi sa jouissance. Elle vient sur moi en 69. Je vois sa vulve ouverte. Jy mets toute la langue. Elle se resserre contre moi. Je la sens jouir. Elle fini de me donner du plaisir, elle prend los pour le planter à son tour dans son cul. Elle me donne envie moi aussi avoir mo os personnel. Je me contente du sien, elle me le met parfaitement bien, elle comble mes trous avides. Si non venons en 69, cest un nirvana connu que de quelques unes aussi folles que nus.
Je nai que 19 ans je suis vicieuse comme pas mal à Versailles. Je fais partie de celle qui regarde dabord la forme de la bite avant le visage.
Jécris à mon chérie de toujours en gros :
Je taime, je te veux, je veux que tu me baise que tu mencule, que me suce longuement. Si tu veux je te procurerais des amants bien monté pour tenculer ou que te sucer, cest bon de sucer une bite qui coule dans la gorge.
Il vient près de moi, même si cest mal nous vivons pas loin, je veux connaitre ses conquêtes, les partager sil le veut. Je suis la maîtresse dune puissante dame noble. Je nai plus damants qui me baissent à leur demande seulement. Je baise quand je veux avec ma chérie, ma compagne. Pourvu quen Henri trouve une bite ou un con à sa mesure. Je crois quil a en vue une jeune brodeuse pas débutante dans les plaisirs.
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