Laeti34_2
Quelques semaines plus tard, le deuxième à prendre possession de ma minette chérie, a fait ça rapidement, avec juste quelques caresses préliminaires. Il a éjaculé après quelques allers retours, me laissant sur ma faim.
Je passe sans commentaires sur les trois suivants, ceux-ci ne m'ayant pas laissé de souvenirs mémorables quant au plaisir que j'ai pu en avoir.
Le sixième garçon, lui, me laisse un bon souvenir, insolite.
J'ai fêté mon anniversaire quelques jours plus tôt, et ce soir-là, je suis à une soirée organisée par un copain, Michel, né le même jour que moi et qui fête lui aussi cet évènement.
Cela se passe dans une salle, genre salle des fêtes. Il y a beaucoup de monde. L'âge maximum des invités doit être de vingt-cinq ans. Depuis un moment, j'ai remarqué un garçon qui me regarde. Je lui souris. Je ne le connais pas. Il s'approche de notre hôte, ils discutent quelques instants puis, Michel nous présente l'un à l'autre et part rapidement pour s'occuper de ses invités. Denis est là, devant moi. Il est grand, baraqué, mais naturellement, pas à coup de séances de gym ou de culturisme même s'il doit faire du sport.
Ses épaules, carrées, se dessinent sous sa chemisette, ses muscles jouent sous la peau de ses bras découverts par les manches courtes. On sent une puissance physique, une force tranquille se dégager de ce mec. Il a les cheveux clairs mais pas blonds, coupés très courts ce qui le fait ressembler à un militaire. Il est déjà bronzé en cette fin de mai, on pourrait croire qu'il rentre de vacances. Il a la voix grave, agréable à écouter et j'aime bien l'entendre. Il me drague et ça me plaît. Nous dansons, n'importe quoi souvent n'importe comment. Nous nous arrêtons pour nous désaltérer et discuter puis nous dansons de nouveau.
Série de slows.
Je me blottis dans ses bras, ma tête sur son torse, mes seins s'écrasent sur son corps, mes bras entourent sa taille. Il a posé une main sur mon épaule, l'autre au creux de mes reins.
Il me serre légèrement pour que nos deux corps restent l'un contre l'autre. Il me fait un bisou dans le cou, c'est bon. Il me raconte de ces choses merveilleuses au creux de l'oreille :
«- Tes yeux ressemblent à un océan de délices dans lequel j'aimerais me perdre, ...». Vous voyez quoi, ce genre que nous aimons tant entendre, nous, les filles.
Il me fait des bisous, je suis bien, j'aimerais que cela dure longtemps. Un baiser, un deuxième, il embrasse bien, sa langue vient faire des mamours à la mienne, s'enroule autour, chatouille mon palais. C'est bon. Petit à petit, je sens contre mon ventre, quelque chose de dur qui s'insinue entre nos deux corps, il commence à bander. La légèreté de son pantalon d'été laisse transparaître la dureté de sa queue. Cela me semble normal, je ressens également une douce chaleur dans le bas-ventre, chaleur que je connais bien, annonciatrice d'une envie de faire l'amour. J'en profite pour l'exciter un peu plus en me frottant à lui, en jouant du bassin contre son sexe dressé.
Ses mains me caressent, le dos, les épaules, s'aventurent jusqu'en haut de mes fesses, je ne les repousse pas, elles me caressent carrément les fesses, c'est bon !
«- J'ai envie de te faire l'amour ! Me dit-il simplement.
- Moi aussi, j'ai envie !
- Viens !»
Il m'entraîne, je le suis. Nous allons aux toilettes, nous enfermons dans une cabine. Bisous, baisers, pelotages en tout genre, je me retrouve le dos à la porte, les mains appuyées sur le réservoir de la chasse d'eau, chemisier ouvert, seins pendants. Ma jupe est relevée, ma culotte enlevée. Les cuisses écartées, les fesses en l'air, j'attends le mâle. Il ne traîne pas. Sa bite se présente à l'orée de mon fourreau et s'y enfonce doucement. C'est bon. Je sens sa queue écarter mes parties intimes et prendre possession de ma chatte. Je jouis. Sa pine arrive au fond de mon antre, elle me remplit complètement. Denis m'att par les hanches et me baise, doucement d'abord, puis de plus en plus vite, avec des mouvements de plus en plus amples.
Je la sens encore. J'essaye de l'aspirer. Elle se met à grossir et m'envahit au bout de quelques instants pour me baiser une deuxième fois. Le mec y va de bon cur, à longs coups, se retirant presque complètement à chaque fois. Je sens le renflement de son gland à l'entrée de ma grotte à chaque fois qu'il se retire. Ce qu'il fait, il sort de moi. Je me retourne, étonnée.
«- Ce n'est pas bon ?
- Si ! Attends !»
Sa bite est au garde à vous, recouverte d'un préservatif, son pantalon tire-bouchonné sur ses chaussures, il me relève, s'assoit sur le bord de la cuvette, cuisses très écartées. Sa queue se dresse vers le plafond, elle est grosse, le gland est gonflé, prêt à éclater. Je m'installe au-dessus de Denis, les jambes de chaque côté, de façon à pouvoir m'asseoir sur lui et je me laisse descendre vers sa pine que je saisis pour la guider vers ma fente béante et ruisselante.
Je m'empale d'un coup sur ce gourdin tout turgescent de mec. Mon con est envahi brusquement par ce pieu gonflé d'envie. Je m'accroche aux épaules de Denis et je me cabre, j'agite le bassin d'avant en arrière, monte et descends le long de cette colonne de chair qui me fait tant de bien. Le mec en profite pour me tripoter. Il caresse mes seins à pleines mains ou bien triture mes tétons dressés comme sa bite qui me fouille.
Ou bien encore, il tripote le haut de ma chatte, créant des décharges électriques dans mon corps entier lorsqu'il s'amuse avec mon clitoris, tellement excité qu'il apparaît, décapuchonné d'entre mes lèvres, érigé comme la tour Eiffel au milieu du Champ de Mars. Ou alors, ses mains glissent vers mes fesses et les caressent en douceur, les doigts parcourant de temps en temps ma fente culière bien ouverte, et s'attardant à caresser mon petit trou. Ses mains sur mon corps, ses lèvres sur ma bouche, mon cou, mes seins, partout là où elles peuvent aller m'excitent au plus haut point, et je jouis, un orgasme très fort très bon. Il me faut quelques petits instants pour réaliser que Denis n'a pas joui, lui, et que sa bite est toujours dans ma chatte, bien plantée et toujours toute raide. Alors, je reprends un rythme plus soutenu, je veux la faire jouir, cette queue qui vient de me faire prendre mon pied, je la sens en moi, impérieuse. Je m'agite, à la tension qui s'empare de mon amant, je sens qu'il va jouir, j'accélère mes mouvements et je sens, au fin fond de ma caverne d'amour, que le mec éjacule à nouveau. Je maudis les capotes, j'aurais tant aimé sentir le sperme du mec s'écraser contre mes parois intimes. J'imagine ce jute blanc en train de gicler en rafales du bout gonflé de la queue qui me possède et tapisser le fond de mon con et cela déclenche en moi un nouvel orgasme.
Nous sortons des chiottes après nous être rhabillés. Nous pouvons voir les sourires ironiques de quelques-uns des invités. Sûrement des jaloux ! Nous avons dû faire du bruit. Nous restons ensemble le reste de la soirée.
Rendez-vous est pris pour le lendemain.
Il m'accueille dans sa chambre d'hôtel et me fait merveilleusement l'amour une bonne partie de l'après-midi.
Il est effectivement militaire, en permission depuis deux semaines, il est passé ici pour l'anniversaire de son ami d'enfance, Michel. Il est arrivé hier, après avoir passé sa permission chez ses parents en province.
Deux autres mecs vont réussir à me baiser entre cette fin de mai et le début du mois de juillet, un an plus tard, moment de mon départ en vacances.
Je passerai sur leurs médiocres performances qui ne m'ont pas laissé de souvenirs particuliers pour arriver à ces vacances et à ma première fois avec deux mecs ainsi qu'au dépucelage de mon petit orifice.
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