Norbert Et Sa Chienne Suite

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Déjà plus d'un mois qu'Annie et moi on baise un peu partout. Mes amis disent que j'ai bonne mine et que j'ai l'air en forme!

Mais ça fait dix jours qu'elle et ses parents sont partis voir sa grand mère. Je lui ai offert un téléphone portable, elle m'appelle tous les soir en cachette. Je sais qu'elle reviens aujourd'hui. Je suis comme un gosse. Je tourne dans la maison tel un lion en cage, je guette par la fenêtre, je ne tiens pas. Il est 15h quand le taco de ses parents passe devant chez moi, lorsqu'elle sort de la voiture je me met a bander. Comme a leur habitude, ses parents lui hurlent dessus, l'insulte aussi. Soudain ma précieuse se prend une baffe de son père qui la fait tomber. Un sentiment de colère s'empare de moi, je débande aussitôt! Son père se dirige vers chez moi, il cogne a la porte. J'abandonne le spectacle horrifiant de mon objet de désir.
J'ouvre la porte:
- Hey Salut Jan, déjà rentrés?
- Ouais, dis t'aurais une minute? J'ai un gros service a te demander.
- Bien sûr entre, je verrai ce que je peut faire.

Il s'assied, je lui sert un verre de gnole. Je m'installe en face de lui.
- Voila Norbert, je pense qu'Annie ne peut plus rester à la maison, c'est une gourde, et je soupçonne même qu'elle se tape le petit des voisins.
- Pourquoi ça?
- Tu vois bien, c les seuls qui sont bourgeois du village, et Annie a un téléphone dernier cris. 500 balles au moins ça vaut cette merde.
- Et que voudrais tu que je fasse?
- N'importe quoi, je veut m'en débarrasser, je sais que tu voyages, t'es strict, bien sûr tu peux la corriger quand elle mérite. Je veux pu la voir. Elle me déshonore.
- Je verrai ce que je peux faire.
- Ce n'est pas pour longtemps cet été elle est majeure. T'as qu'à la foutre dehors!

Il se lève me salut et s'en va. Je suis abasourdi. Non seulement ma perle est définitivement délivrée de ce monstre.

Mais en plus je vais pouvoir l'avoir pour moi. C'est exquis....

Trois heures plus tard elle est la. Pleine de bleues, elle a étée battue, mais pour la première fois de ma vie, je sais que ça n'arrivera plus. Elle entre, je sens la honte qu'elle a.
- Annie, n'ai pas honte, je suis heureux, je t'aime, je prendrais soin de toi.

Vu son silence, je l'ai guidée jusqu'à notre chambre. Je lui ai montré toutes les choses qui étaient a elle, les vêtements et bijoux que je lui avaient offerts.
- Tu étais déjà a moi, maintenant ici tu es chez toi. Est-ce que tu continueras a m'obéir?
- Oui, toujours
- Es-tu heureuse de vivre avec moi?
- Oui.
- Deshabille toi! Lui avait-je ordonné.

Lentement elle se déshabillait. Elle pleurait. Son corps était couvert d'hématomes. Je l'ai enmenée a la salle de bain, doucement je l'ai lavée. Après l'avoir séchée, elle m'a enlacée, nous nous sommes longuement enlacés. Elle m'a guidé jusqu'au lit, elle m'a déshabillé. Puis elle m'a pris en bouche. La différence était extraordinaire. Elle en avait fait des progrès. Jamais une femme ne m'avait aussi bien sucé. Bien sur elle faisait ça avec tendresse et délicatesse retardant selon moi au maximum l'instant ou je j'éjaculerai. Lorsque je saisi ses cheveux elle plongea ses yeux dans les miens. Plus j'enfonçait ma bite plus ils se remplissaient de larmes. Mais son regard ne vacillait pas. Lorsque je sentit le plaisir monter je me suis retirer un peu pour que mon sperme remplisse sa bouche avant qu'elle ne l'avale. Elle l'avalait comme toujours sans rien dire.

Nous étions allongés tout les deux. On se regardait. Je crois qu'elle m'aimait.
- Tu sais que je n'ai pas saigné ce mois ci? C'est pour ça que papa m'a frappé et t'a demandé de me garder. Dis Norbert, pourquoi je n'ai pas saigné? Et pourquoi ça a mis papa en colère?

Elle n'avait pas ? Elle était enceinte? C'est vrai que je n'y ai jamais pensé. On a jamais utilisé de capote, je n'ai pas pensé a ça... Une excitation inconnue montait en moi, j'allais finalement être père et c'est la plus délicieuse des femmes qui allait porter mon .

- Annie, si tu ne saignes pas, c'est parce que tu portes mon , parce que tu es a moi. C'est encore un cadeau que je te fait.
Elle souriait. Mon sexe était dur comme a vingt ans. Pourtant je n'avait pas prit de viagra aujourd'hui.

Je me suis levé d'un coup. Je l'ai mise a quatre patte par terre. Je lui ai pénétré la chatte en douceur, comme jamais au par avant. J'ai commencé a lui titiller le cul. On savait elle et moi que seul mon plaisir comptait. Délicatement ma queue a commencé a écarté son anus bien serré. Puis j'ai alterné sa chatte, son cul, sa chatte, son cul... Si délicatement que je commençait a débander. Puis sur un coups de tête je lui ai pissé ds la chatte, puis dans le cul, j'ai fini par arroser son corps avec ma pisse.

Je la contemplait, a 4 pattes souillée par ma pisse. Elle le regardait docile. J'ai commencé a me branler. Une fois bien dur je m'y suis pris a son cul. Je l'ai travaillee jusqu'à ce qu'elle jouisse, lorsque son anus s'est refermé sur mon membre, j'ai commencé a la défoncer. Son petit cul bien ressérré, qui entourait ma bite. Elle qui hurlait entre la douleur et le plaisir. J'ai vite jouis.

Une fois rassasié je me suis allongé. Un instant elle n'a pas bougé. Puis difficilement elle s'est levé, avant qu'elle ne sorte je lui ai dit.

- Tu portés mon , mais tu es très jeune. Alors je vais te proposer quelque chose. Si tu as peur et que tu ne veux pas de cet , je vais t'enmener en clinique pour l'enlever. Je te trouverais un travail et un appartement. Et tu feras ta vie comme tu voudras, loin de moi. Si tu m'aimes comme moi je t'aime, bientôt tu auras 18 ans, je vais t'enmener loin d'ici et je te jure de t'epouser et de prendre soin de toi. Réfléchit bien cette nuit. Tu le donneras ta réponse demain.

Sans un mot elle est sortie...


Je me suis endormi.








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