La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 325)
Suite de l'épisode précédent N°322 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -
Le Marquis d'Evans laisse pour lheure sa magnifique Marquise Aurore quIL vient de faire danser si langoureusement et voluptueusement lui promettant de revenir la chercher à la fin de la soirée avant de monter ensemble se coucher au petit matin dans la chambre nuptiale. IL cherche du regard sIL aperçoit son compagnon David à qui IL a confié son assistante émeline MDE, mais dans tous les recoins du Château la nuitée orgiaque bat son plein, des amoncellements de plusieurs corps dénudés en train de forniquer dans des positions plurielles si entremêlées quelles ne pourraient même pas être répertoriées dans le Kâmasûtra. Les soupirs de plaisirs et les râles de jouissance se mêlent à la fois aux bruits plus lointain de lorchestre qui joue toujours en continue pour ceux qui viennent prendre un peu de répit sur la piste de Danse, à tous les sons plus cinglants et sensuels que lon peut entendre dans le Grand Hall qui a été aménagé en donjon D/s pour toute la soirée. Les claquements des fouets, les bruits plus sifflants des cannes qui fendent lair, ceux plus secs des cravaches et paddles, répondent aux cliquetis des chaines à maillons en métal. Mais ce sont surtout les halètements et gémissements en tous genres qui ont pris le dessus au fur et à mesure des heures qui passaient, le désir charnel croissant des Dominants autant que des dominés lemportant sur le besoin de faire croître encore lexcitation qui est déjà à son comble. Le Maître des Lieux est ravi du bon déroulement de Sa soirée anniversaire où sexe et perversité se côtoient si bien dans cette communauté D/s quIL aime à réunir en son Château réputé.
Tandis quIL sapprête à entrer dans le Grand Hall, IL aperçoit son vieil ami de toujours Sir Akhen-Aton qui est installé dans un grand fauteuil, une coupe de champagne à la main. IL sapproche pour prendre le temps déchanger quelques mots plus personnels, quand IL sinterrompt découvrant tandis quIL sapproche quune de ses esclaves quIL ne peut identifier car elle est toute en dorée comme toutes les femelles, est agenouillé sur le sol, recroquevillée, fourrée entre les cuisses du Dominant et occupée vraisemblablement à le sucer, vu la position.
- Edouard, Très Cher Ami, approchez. Jaimerai tellement Vous dire personnellement combien japprécie dêtre parmi Vous ce soir. Auriez-vous quelques instants pour que nous puissions trinquer ensemble ? Il y avait si longtemps que je nétais pas venu au Château des Evans. Depuis que je me suis installé dans le Sud de la France, je deviens plus casanier profitant des bords de mer si accueillants et des chaudes nuits de la Côte dAzur. Mais très sincèrement, lambiance de Vos soirées D/s ne trouve pas encore son pareil sous le soleil méditerranéen, même dans les nuits folles BDSM de Saint-Tropez.
Le Marquis dEvans sapproche, faisant signe à lune des soubrettes qui sempresse de mettre à sa disposition un autre fauteuil et daller Lui chercher une coupe de champagne comme IL vient de lexiger dun simple claquement de doigts si expressif.
- Votre petite esclave N°13 que jai pioché pour la soirée est exquise, elle a une bouche dune douceur et dune profondeur merveilleuse. Ce chiffre a lair de mavoir porté chance, et je ne Vous la rendrais pas avant mon départ, si Vous le permettez.
- Faites, très cher ! Je suis content de savoir que cette chienne vous donne toute satisfaction, car si cela nétait pas le cas, elle serait fouettée car je ne pourrai tolérer que lun des esclaves de mon cheptel puisse ne pas Me faire honneur, surtout lors dune soirée anniversaire, de plus est le Mien ! Jexige deux une obéissance totale qui doit être accompagné dun dévouement absolu, et ils sont tous dressés pour être avant source de plaisirs. Cest une condition sine qua none pour rester sous Mon joug, devant pouvoir accepter avec velléité mes exigences les plus érotiquement perverses.
- Je garde la tête de cette chienne entre mes cuisses depuis un long moment, la bouche grande ouverte, différant sans cesse, en la faisant sinterrompre à temps dans ses mouvements de va-et-vient, le moment suprême où je souhaiterais à nouveau me répandre.
- Oui, cest vrai ! Jai aperçu lorsque Vous êtes arrivé sur le perron en début de soirée, votre étrange cortège. Comme je navais pas bu, je me suis dit que je ne pouvais pas encore voir double, mais cétait vraiment comme si ma vision sétait dédoublée. Vos deux soumises se ressemblent tellement que je me demande toujours comment vous faites pour les différencier.
- En fait, je cherche de moins en moins à les différencier. Au début, quand jai pris comme soumises ces deux jumelles, je ne savais pas dans quelle aventure je me lançais. Elles semblaient inséparables et voulaient toujours tout faire ensemble, et dun autre côté elles narrêtaient pas de se chamailler comme des gamines, ce qui mobligeait à les punir très souvent car cela minsupportait à la fin. Alors, jai imposé à chacune de venir séparément lors de séances D/s, mais cétait comme si lune ou lautre avait perdu quelque chose et ne pouvait se donner entièrement. Je suppose que Vous avez entendu parler du mythe de lâme sur.
- Bien sûr ! Vous connaissez mon goût pour tout ce qui touche à la mythologie. Ce mythe de la recherche de lâme sur, ces âmes prédestinées à se rencontrer, est souvent évoqué lorsque lon parle de sa moitié Amoureuse, amicale et sexuelle, encore que dans notre communauté on parlerait plus de tandem Dominant/dominé que deux alter égo. Il est évoqué dans « Le Banquet » de Platon qui fait référence à landrogyne originel, qui nétait ni mâle ni femelle, constitué de quatre bras, de quatre jambes mais dune seule tête à deux visages opposés. Zeus craignant le pouvoir grandissant de ces êtres humains quil souhaitait anéantir, et non les faire disparaître comme il lavait fait pour les Titans, les auraient coupés en deux.
- Edouard, je vois que vous êtes toujours aussi passionné par lhellénisme et la mythologie en général mais dans mon cas, je pensais plutôt au mythe vu par Aristophane, qui rejoint en quelque sorte ce que Vous venez de relater, lorsque ce poète de la Grèce antique parlait de complétude et de correspondance parfaite entre ces deux êtres et âmes séparées par volonté divine, condamnées à passer le reste de leur existence à chercher la partie manquante, qui seule pourrait permettre de retrouver par complémentarité la plénitude et la félicité, avec ce désir presque inconscient que lAmour parfait pourrait transformer deux êtres en un être unique fusionnel.
- Cher ami, sans vouloir vous froisser, je ne suis pas un fervent partisan de cette théorie, cela mattristerait de mimaginer que je pourrai devenir seulement la moitié de quelque chose.
- Très Cher Marquis, je ne pensais pas à Vous, bien sûr, mais à mes deux soumises pour lesquelles jai fini par adapter le concept, obtenant deux fois plus de dévotion et de plaisir delles deux quand je les soumettais ensemble. Au départ, je les avais appelées soumise britty et soumise anny en référence à deux surs siamoises que lon avait pu opérer et séparer, tant ces deux jumelles vraies étaient proches lune de lautre et se ressemblaient comme deux gouttes deau.
Sir Akhen-Aton tape dans ses mains et interpelle ses deux soumises qui sont debout devant lui, immobiles, la tête baissée en position dattente.
- esclave brittany approche ici ! A genoux, jambes écartées.
Le Marquis dEvans est un peu surpris de la manière dont le Dominant a interpellé ses deux soumises, comme si elles deux nétaient plus devenu quune seule et même personne, avec une seule identité. Il est vrai quà larrivée de son ami, IL avait bien aperçu les deux soumises-femelles que Sir Akhen-Aton tenait en laisse derrière lui grâce à une chaine qui était accrochée à un collier double reliant les deux cous par une barre intermédiaire en métal de laquelle partait la laisse unique. Cet appareillage restrictif qui empêchait presque tous les mouvements de rotation de la tête, se complétait par un double bâillon boule, troué pour faciliter la respiration, qui les obligeait à garder leurs deux têtes de face presque légèrement penchées sur le côté, appuyées lune sur lautre. Mais IL ne sétait pas attardé plus que cela à dévisager ce doublon de soumise qui bien que dénudées dessous étaient recouvertes dune grande cape commune descendant jusquau sol et masquant en grande partie le reste des deux corps féminins. Les deux soumises approchant des deux fauteuils, le Châtelain constate que leurs corps sont vraiment contraints lun à lautre en plusieurs endroits et pas seulement au niveau du cou. Un large cerclage de métal entoure ensemble les deux tailles, deux autres anneau large en acier relient les deux cuisses intérieures juste en dessous de laine et juste au-dessus du genou. Les deux chevilles sont attachées ensemble côte à côte par une paire de menottes rigides laissant juste la place aux deux pieds de pouvoir reposer à plat lun collé à lautre. Si bien que pour se déplacer les deux soumises doivent adapter leurs gestes pour avancer dun même pas les jambes intérieures accolées qui nen font plus quune seule.
Les deux jumelles approchent dans une marche saccadée et rythmée rendue malgré tout difficile par le fait quelles sont collées lune à lautre sans aucune liberté de mouvements individuels autre que sur les membres extérieurs libres, à droite pour lune et à gauche pour lautre. Le Marquis dEvans se rend compte quil a du falloir des heures et des heures dentrainement pour arriver à obtenir une telle coordination de mouvements lorsquIL les voit sans le moindre mot sagenouiller, pliant dabord ensemble la double jambe interne pour pouvoir baisser la partie haute du corps, et pliant ensuite chacune la deuxième jambe externe quelles replient sous leur corps pour pouvoir sincliner profondément. Cest à ce moment-là que le Marquis dEvans constate que les deux bras internes ont été tirés vers larrière pour rapprocher les deux bustes presque accolés au niveau du cou et du torse. Les deux membres ont été attachés ensemble dans un mono-gant en cuir fermé par un laçage serré qui part de la main et monte presque jusqu'à lépaule, laçage nempêchant pas, tout de même la bonne circulation sanguine, et rigidifiant lensemble de ce faux bras unique qui est tendu et cadenassé au niveau du cerclage de métal qui enserre les deux tailles.
- Vous voyez, cher Marquis, elles ne font plus quune depuis presque un an maintenant. Cest pourquoi jai choisi un nouveau nom plus adapté à mon esclave brittany qui a la particularité davoir deux chattes, deux anus et deux langues, mais aussi quatre seins à titiller et un double fessier à marquer. Ce qui est très bien dans cette histoire, cest quavant, je devais me fatiguer à en punir deux séparément, ne sachant pas le plus souvent celle qui avait fauté ou commencé à se chamailler avec lautre, maintenant la punition est ment commune. Dailleurs en parlant de punition, je crois quil va me falloir songer à sévir sans tarder.
Sir Akhen-Aton repousse lesclave N°13 qui était toujours entre ses cuisses, le suçant chaque fois quil la forçait à baisser la tête, attendant tête baissée et bouche ouverte quelques centimètres en retrait lorsquil la repoussait dun simple geste de la main pour faire redescendre lexcitation avant de recommencer. Pour sen débarrasser, il tend la coupe de champagne à N°13, un peu excédé, en présence et sous les yeux attentifs du Marquis dEvans, davoir à reprendre son esclave siamoise qui na pas fait attention à suivre précisément lordre donné. Il att la cravache qui est accroché à sa ceinture en cuir et cingle fortement à quatre reprises les fesses qui sont à sa portée.
- Ne tavais-je pas dit à linstant ! A genoux, jambes écartées ! Crois-tu que tu as obéi à mon ordre, brittany. Que dois-je faire de toi pour tapprendre les bonnes manières surtout en présence dun Grand Maître aussi respectable que peut lêtre Monsieur le Marquis dEvans ?
Lesclave siamoise sexécute, se redresse légèrement au niveau du double buste prosterné et chacune écarte tant bien que mal la jambe externe, conservant la jambe commune pliée à genoux. La position est relativement instable mais très excitante pour les deux jumelles qui se savent totalement exhibée, leurs deux sexes ouverts face aux deux Dominants. Elles gardent la tête basse, craignant la punition méritée qui les attend.
Reprenant la cravache en mains, Sir Akhen-Aton pose laplat sous le menton des deux, lune après lautre, pour les obliger à redresser la tête, tout en gardant les yeux baissés, assez honteuses de navoir pas fait attention en sapprochant, songeant juste à sincliner profondément ensemble, ce qui nest déjà pas si facile malgré lhabitude compte-tenu de leur mobilité réduite au niveau du haut et du bas du corps, et du fait quelles ne peuvent pas communiquer entre elles, ni même se voir ne pouvant pas tourner la tête lune vers lautre.
- Cher Marquis, quelle sanction me préconisez-vous pour punir ma petite esclave brittany qui nécoute pas toujours ce que je dis et ce que jexige delle ?
- Que diriez-vous de faire faire un petit tour dans la pièce à quatre pattes à cet équipage très particulier, même si cela est loin den faire des chiens de traineaux. Je suppose que cela doit être encore plus difficile de se mobiliser ainsi avec leur harnachement, surtout si nous leur bandons les yeux et les privons de louïe. Vous connaissez mon goût prononcé pour les démarches canines que jimpose à tout mon cheptel très souvent, surtout dans lenceinte du Château, que je trouve particulièrement sensuelles et excitantes chez les femelles. Jaimerai voir ce que cela donne dans le cas de vos jumelles accolées, qui auront ainsi tout le temps de réfléchir au bien-fondé de cette punition dans le silence et la nuit où elles vont être plongées. Je pense que nous pourrons trouver deux de mes esclaves qui se chargeront de leur faire rougir la croupe si elles navancent pas assez vite.
Le Marquis dEvans tape dans ses mains, et une esclave soubrette immédiatement sincline devant lui attendant ses ordres. Elle séloigne pour revenir quelques secondes plus tard avec deux cravaches dans les mains, immédiatement suivi par deux esclaves mâles inoccupés quelle est allée quérir. Ces derniers en arrivant près du Noble sagenouillent et sinclinent profondément. Le Châtelain se redresse et dune voix forte qui porte, IL annonce distinctement à lassemblée présente à ses côtés.
- Je viens de découvrir une nouvelle race de chienne-siamoise, un spécimen unique qui appartient à notre ami Sir Akhen-Aton. Si vous le souhaitez bien sûr, je vous invite à profiter du spectacle un peu inhabituel, petite séance de dressage qui est aussi une correction rendue nécessaire pour cause de désobéissance.
(A suivre
)
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