La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1465)
Lesclave salope au Château (suite de l'épisode N°1448) -
quand au bout de longues minutes, il lâcha Sa semence dans de longs râles de mâle en rut
Je mapplique donc à ma tâche et commence à renifler les couilles du Maitre. Je suis comme une petite chienne en chaleur et en recherche de quelque chose avec son museau à lodorat perfectionné. Il mest tellement difficile de juste renifler et de ne pas pouvoir prendre le Maitre en bouche. De ne pas pouvoir Lui donner du plaisir, même si je sais aussi que le plaisir, la satisfaction du Maitre sont dans mon obéissance la plus absolue et dans ma docilité la plus parfaite envers Ses Exigences
Cest ainsi que jy mets donc toute mon adoration que je ressens envers les magnifiques couilles et le sexe du Maitre, à renifler, à humer avec insistance. Avec le temps, jai appris à Vénérer la divine Verge du Maitre autant que Lui-même, et jai donc un immense plaisir à juste renifler Ses superbes couilles et le Vit du Noble
Et savoir que je lui apporte aussi du plaisir en voyant Son énorme Sexe gonfler de mes reniflements de petite chienne en chaleur, Son excitation à ce que Son emprise et de Sa Supériorité envers moi lexcite beaucoup, eh bien mexcite aussi tout autant. Parfois comme exigé par le Maitre, je me permets de laper ces couilles avec ma langue, à leur donner des petits coups de langue mais aussi de les lécher doucement de ma langue râpeuse et je sais quIl adore ça. Je le constate à la réaction de Sa Verge qui se met à bander, à durcir et à se redresser plus fortement
. Cest un claquement de doigts qui me fait comprendre lordre silencieux darrêter mon long léchage de Ses testicules que jadore. Je me mets donc à genoux, mains derrière le dos, tête baissée, en position dattente sans que mes fesses ne touchent mes talons, le buste bien droit...
Monsieur le Marquis se lève, et je vois Ses pieds se diriger vers ma cuisine, et revenir quelques secondes plus tard avec une gamelle pleine deau, quil pose devant moi.
- Oui Ma petite chienne, tu dois avoir soif davoir utilisé toute ta salive de chienne en chaleur à lécher mes couilles. Alors à quatre pattes et quand je claquerai des doigts, tu seras autorisée à boire, jusquà que ta soif soit étanchée
Je me positionne donc à quatre pattes devant ma gamelle comme exigé, et j'attends ainsi, alors que le Maitre me tourne autour, jusquà sarrêter devant moi. Ensuite, il dirige Son pénis vers ma gamelle deau et urine dedans. Le contenu de ma gamelle est donc maintenant un mélange deau et de pisse. Une fois finie, le Maitre claque des doigts, je commence à laper ma gamelle. Jai effectivement soif, et malgré le goût et lodeur durine, le cul bien relevé je lape une bonne moitié de ma gamelle avant de me remettre à quatre pattes, devant et dattendre les prochaines Exigences du Noble. Un moment après, le Châtelain va sasseoir sur le canapé, puis me siffle et m'appelle.
- eN69, aux pieds. Allez viens Ma chienne, viens par ici
Cest donc à quatre pattes que je vais jusquaux pieds du Maitre, où je my assoie, cest à dire à genoux, mes fesses sur mes talons et mes deux pattes avant poser devant moi.
- Cest bien, Ma chienne, donne la papatte maintenant
Je donne donc une de mes pattes au Maitre, qui me félicite, et je me gratte doucement derrière les oreilles, comme une vraie chienne animale. Je me sens vraiment être cette chienne animale et cette situation, cette animalisation mexcite tellement. Le Noble me fait reposer ma papatte par terre et dirige Sa main vers mon sexe. Il y passe Ses doigts qui, sans surprise, ressortent pleine de mouille. Ensuite il me présente Ses doigts à ma bouche, sans avoir besoin de parler, je comprends et je lape avec gourmandise ma cyprine à Lui nettoyer Sa main.
- Bien Ma belle, ça texcite d'être à ta place naturelle de chienne, d'être dans ta condition danimale de compagnie. Voilà lèche bien, quil ne reste plus une trace de ta mouille de salope en chaleur sur Mes doigts, lesquels tu as eu lhonneur quils viennent fouiller ta chatte de pute
.
- Tout est clair, Maitre, et je Vous remercie pour ces nouvelles Exigences, que jai hâte et plus que hâte de vivre, deffec. Merci de prendre de Votre temps pour mon éducation de soumise esclave à Vos pieds Maitre
- Bien Ma chienne, Ma putain, si tout es clair, pour ces nouvelles Exigences. Passons à autre chose. Vas te mettre sur ta table basse, allongée sur le ventre, cuisses bien écartées
Cest donc à quatre pattes que javance vers la table basse, et que je my allonge comme exigé par le Maitre. Il arrive derrière moi, et mattache pour commencer chacune des chevilles aux pieds arrière de la table, ensuite il mattache mes deux poignets sur les pieds avant de la table. Et pour finir, il fait passer une corde autour de mon ventre qui me maintient aussi à la table. Attachée ainsi je nai pas la possibilité de bouger, à part ma tête que je peux légèrement bouger sur les côtés. Pour finir, le Châtelain me pose un bandeau sur les yeux, me retirant la vision.
Je commence à gémir doucement de plaisir, excitée par Ses délicieux traitements. Cest quand je suis au bord de lorgasme, que le Maitre sarrête, et quIl retire Ses mains de mon corps, j'essaye de bouger mon corps pour réclamer encore des caresses telle une petite chienne en chaleur mais attachée ainsi je ny arrive pas. Tellement prise dans lexcitation du moment et mon impossibilité à jouir, il me faut quelques secondes pour sentir la chaleur de ma peau rougie sur mon cul, qui tombe doucement
Un silence arrive car je nentends plus le Noble durant de longues minutes. Et puis tout dun coup, je sens quelque chose de très chaud couler dans le creux de mes reins. Cest presque bouillant, mais ça reste supportable, je comprends alors quil sagisse de la cire de bougie
Le Maître déplace apparemment une bougie allumée, positionnée et tenue dans Sa main à lhorizontal afin de faire couler la cire au-dessus du creux de mes reins
La cire chaude et coulante remonte doucement en suivant toute ma colonne vertébrale. Jen ai des agréables frissons excitants
Arrivée à la base de ma nuque, le Châtelain de Son autre main déplace mes cheveux sur le côté pour que la cire se dépose sur mon épaule opposée. Puis Il descend le long de mon bras, jusquau poignet et remonte.
Quand il redescend la cire dans mon dos, je gémis de plaisir. Ensuite, il commence par maculer de cire mes fesses charnues, à les enrober à sa convenance. La chaleur mexcite
Alors que je pensais quil sarrêterait là, une fois mes fesses bien arrosées de cire, voilà que le Maître précise la chute de la cire juste en haut de ma raie anale
Tout dun coup, je sens, de Sa seconde main, quIl mécarte mes fesses pour y déposer de la cire, jusquà mon anus
Je ne sais plus si jai jouis malgré moi à ce moment-là ou bien si jai ressenti une vive douleur au même moment, mais javoue que ce sont les deux à la fois qui mont provoqué cette extrême excitation
Surtout que dans la foulée, de la cire chaude est venue se déposer sur mon clitoris et sur mes lèvres intimes, me faisant littéralement jouir, malgré moi. Oui je ressens cette douleur chaude et cuisante, mais cette dernière me provoque un fulgurant orgasme incontrôlable que je nai pas pu réprimer. Je sais très bien que là, en effet, jai joui sans Son autorisation, et que je mériterai une punition, mais mon masochisme a véritablement été plus fort et plus puissant à sexprimer que mon devoir absolu à lobéissance
En tout cas, cet orgasme violent et spontané a été dune rare intensité
Alors que je me remettais de ma jouissance involontaire, la cire sarrêta de couler
Et de nouveau le silence
Deux ou trois minutes sans aucun bruit, où je suppose, le Châtelain savoure le spectacle, celui de mon corps ciré et exposé à Son regard gourmand, de cette uvre dart laquelle je suis le sujet et le Maître en est le peintre, le sculpteur
(A suivre
)
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