Ma Belle Mère Me Rend Dingue

Ma belle mère m’excite vraiment, je ne me lasse pas de la voir. Elle a 67 ans mais ne les fait pas. Elle mesure 1m65 doit peser dans les 50 kilos. Elle est fine, ses petits seins sont toujours bien tenus par un soutien gorge qui lui grossit sa poitrine et ses fesses trônent magnifiquement en haut de ses fines jambes pour laisser place à une taille étroite. Elle est toujours habillée de façon à me faire profiter des ses atouts de femme ce qui ne fait qu’augmenter mon désir pour elle.
A de nombreuses reprises lors de visites chez mes beaux parents, j’ai pu subtiliser ses dessous sales et me masturber en léchant l’intérieur de ses culottes tout en pensant au sexe de ma belle mère, ce qui me faisait jouir avec le plus grand plaisir. Je pense qu’elle ne se doute de rien mais elle est toujours sensible à mes compliments et n’hésite pas à m’offrir des visions torrides lors de nos rencontres.
Sa fille était partie travailler en province pour la semaine et le lundi soir Françoise m’a appelé pour me demander si elle pouvait venir dormir à la maison pour prendre un train à Paris très tôt le jeudi matin. Comme ça elle pourra aussi m’apporter un lustre qui doit trôner dans mon entrée. J’ai accepté avec joie en imaginant des moments excitants passés seul avec elle. Notre discussion téléphonique était agréable. Je la sentais différente et détendue. Et à un moment elle m’a demandé si elle pouvait venir dès le mardi pour faire du shopping et voir des amis sur Paris sauf si ça me posait un problème. J’ai bien entendu dit oui aussitôt.

C’était l’été et il faisait très chaud. Elle est arrivée avec sa valise vers 10H du matin. Je venais de me lever et j’avais juste un pantalon thaï sur le dos, et mon érection matinale était difficile à cacher. Je n’y croyais pas, elle portait une jupe noire droite assez courte et une chemise bleue qui moulait sa poitrine de façon indécente. Les boutons de sa chemise étaient tendus et ses seins gonflés les écartaient à fond.

Je ne pouvais pas m’empêcher de mater dans son décolleté à chaque fois qu’elle se penchait en avant, ce qui me laissait voir les bords de son soutien gorge gris en dentelle. Ses petits seins me donnent très envie je ne peux pas le nier. A chaque mouvement sa chemise s’ouvrait entre les boutons. Je voyais son soutien gorge. Après mettre habillé on est parti chercher le lustre dans sa voiture. Il tenait tout juste dans l’ascenseur, on s’est retrouvé collé. Ma bite frottait ses fesses, ce qui me fit bander aussitôt. Elle devait le sentir et m’a souri en disant on est bien serré dans ton ascenseur mais ça tient.
On a décidé de l’installer aussitôt. Françoise est montée sur l’escabeau que je tenais pas sécurité. J’ai vu ses fesses moulées par sa jupe me passer devant le nez. C’était super j’avais envie de lui caresser le cul à pleine main. Je me suis retrouvé sous elle, je voyais ses cuisses nues et en me penchant pendant qu’elle s’affairait j’ai vu les bords de sa culotte qui tenait ses fesses bien rondes. Elle galérait pour l’installer du coup j’ai touché ma bite toute dure pendant que je profitait de la vision de son cul. Sa culotte était en coton gris et lui collait au sexe je devinais son minou, ça me rendait dingue. A un moment elle s’est retournée vers moi pour me demander un tournevis et elle m’a vu mater sous sa jupe. Elle m’a dit ça va pas tu es en train de regarder sous la jupe de ta belle mère, j’en reviens pas. Tu es vraiment obsédé c’est très génant. J’ai dit je suis désolé mais je n’ai pas pu m’en empécher de là ou je suis, la tentation était trop forte. La peau de vos cuisses nues a l’air si douce et la vision de votre culotte en coton qui maintient vos jolies fesses rondes était incroyable. Jusque là je ne mettais pas rendu compte de tout ça. Elle est descendue de l’escabeau. Elle m’a dit c’est gentil de dire ça mais quand même tu exagères. J’ai 67 ans et je suis ta belle mère. Oui Françoise mais vous êtes encore une très jolie femme pour votre âge en tant qu’homme je ne peux pas le nier.
Les boutons de sa chemise avaient sauté, elle ne se rendait pas compte mais je pouvais maintenant voir ses seins moulés dans son soutien gorge gris carrément transparent. Ses tétons bruns avaient l’air tout dur. J’adorai la voir dans cette tenue face à moi. J’ai proposé d’en rester là et je me suis excusé de mon impolitesse. Elle m’a dit ne t’inquiètes pas tout ça restera entre nous et allons déjeuner. On a préparé le repas, ses seins bougeaient dans sa chemise qu’elle n’avait pas refermée. J’étais toujours aussi excité par cette situation. Après le repas J’ai dit que j’allais faire une sièste. Je suis allé me branler en pensant à son cul et à ses seins et je me suis endormi. A mon réveil Françoise était partie. Elle m’avait laissé un mot qui disait qu’elle rentrait en fin de journée. Je me suis rué sur sa valise qui était dans la chambre d’ami. Tout ses vétements étaient bien rangés, très vite j’ai vu le sac en tissu qui contenait ses dessous. Je l’ai pris et je suis retourné dans ma chambre. C’était superbe il y avait de belles culottes, certaines en dentelle et d’autres plus sages, ses soutien gorges assortis me laissaient imaginer sa petite poitrine bien calée à l’intérieur. Je me suis branlé en touchant ses culottes en prenant soin de jouir à coté.

Vers 20h elle est arrivée, toute guillerette. Elle avait bu 2 verres de vin avec une amie.
Vu son état j’ai proposé de prendre l’apéro au salon. Je suis allé chercher une bonne bouteille de vin blanc et je me suis assis en face d’elle sur un fauteuil. On a discuté en buvant la bouteille sans s’en rendre compte. Peu à peu sa jupe était remontée le long de ses cuisses et elle passait ses mains sur ses cuisses sans arrêt ce qui me rendait dingue. Elle avait envie de parler et je l’écoutais en me délectant de ses charmes. J’ai même aperçu sa culotte à un moment quand elle a pris son verre. Elle m’a dit qu’elle était pompette et commençait à avoir chaud. J’ai dit je comprends mettez vous à l’aise on est entre nous.

Elle a défait 2 boutons de sa chemise et a agité les 2 pans pour se faire de l’air. Je voyais ses seins moulés par son soutien gorge gris. Je ne sais pas si elle se rendait compte que je voyais ses seins mais en tous cas ça ne lui posait pas de problèmes. Je plongeais mon regard dans son décolleté sans me cacher. On a continué nos discussions et à chaque mouvement son soutien gorge m’offrait une vue magnifique sur sa poitrine. A un moment elle l’a remarqué et elle m’a dit que ça la génait d’être aussi dépoitraillée devant moi en essayant de cacher ses seins. J’ai dit c’est pas grave nous ne sommes que tous les 2. En plus je trouve que votre soutien gorge est très mignon et met votre jolie petite poitrine en valeur. Tu exagères avec tes compliments, je ne suis plus la femme sexy que j’ai pu être en plus c’est un vieux soutien gorge tout à fait banal. Mais malgré tout ça me fait plaisir d’entendre tes mensonges. En rigolant elle a écarté les pans de sa chemise pour me montrer se seins. Tu vois il n’y a rien d’extraordinaire juste mes petits seins dans un soutien gorge tout simple. La vision de ma belle mère la poitrine offerte m’a vraiment excité. Voilà c’est tout pour aujourd’hui. Elle a fermé ses boutons aussi vite qu’elle les avait défait.
Le calme revenu on s’est fait livrer japonais, on a bien bu et bien rigolé. Après le repas on a discuté longuement et à un moment elle m’a dit qu’elle regarderait bien la télé après s’être mise à l’aise. Elle est partie dans la salle de bain, j’en ai profité pour passer mon pantalon thaï sans rien dessous pour avoir mon sexe bien libre vu que mon excitation ne faisait que le faire grossir. Quand elle est revenue elle portait une tunique en coton très près du corps. Elle n’avait pas de soutien gorge en dessous et ses tétons pointaient franchement sous le tissu. Je me suis approché d’elle. Ma remarque est venue naturellement. Superbe tenue Françoise, cette tunique vous va à ravir et enfin je peux profiter de vos petits seins libre comme l’air.
J’ai pris ses bras et je les ai écartés. Elle se laissait faire. Ils sont mignons, bien arrondis et les pointes dures ne me laissent pas de marbre. Je dois vous dire que je vous trouve attirante habillée comme ça. Elle m’a souri et a dit tu es vraiment un petit coquin si j’avais su je ne serai pas revenu avec cette tunique. En plus je suis toute nue en dessous, non seulement je n’ai pas de soutien gorge mais je n’ai pas de culotte non plus. Je vais vite mettre une culotte avant que tu ne me sautes dessus. Je n’en reviens pas de l’effet que j’ai sur toi, ça fait bien longtemps que le regard des hommes ne m’a pas autant indisposé. J’ai dit arrétez vous savez bien que je ne suis pas indifférent à vos charmes mais restez comme ça on regarde un peu la télé et au lit. Elle a dit d’accord en se mettant dans le canapé avec la télécommande, je me suis mis dans le fauteuil face à elle. Elle était bien saoule et ne se rendait pas compte que sa tunique m’offrait une vue incroyable sur ses cuisses et que ses seins pointaient toujours autant. Je me touchais discrétement la bite, c’était trop bon. Puis on est allé se coucher sans autre forme de procès.

Le matin je me suis levé, ma belle mère était dans la cuisine. On a pris le petit déjeuner tous les 2 dans la cuisine. Sa tunique me laissait voir sa poitrine et les fesses moulées par le tissu me faisaient bander surtout que les positions qu’elle prenait les mettaient en valeur. Elle m’a dit qu’elle allait se doucher. Je me suis touché la bite pour me calmer. Françoise est sortie de la salle de bain, toute habillée et m’as dit qu’elle allait retrouver des amies pour faire du shopping. Une fois seul en pensant à notre soirée je me suis excité tout seul, j’ai fouillé dans ses affaires et j’ai trouvé ses dessous sales. Sa culotte était pleine de traces, je pense que la veille ma belle mère avait mouillé comme une vraie coquine et en la léchant l’odeur m’a fait jouir abondement.
Je suis allé déjeuner avec des amis et je suis rentré vers 15h.
J’ai entendu du bruit du coté de sa chambre, je me suis approché doucement. Françoise était allongée sur son lit. De là ou elle était elle ne pouvait pas me voir. Elle gémissait, elle avait la chemise ouverte et elle se caressait les seins qu’elle avait sorti de son soutien gorge noir en dentelle. J’ai sorti ma bite et je me suis branlé derrière la porte. Elle a écarté les cuisses en soulevant sa jupe et a glissé une main dans sa culotte noire assortie. Françoise se masturbait devant moi. Notre soirée avait du l’exciter. Elle a baissé sa culotte et elle avait maintenant les cuisses très écartées. Je voyais son minou poivre et sel dont je rêvais. Le mouvement de sa main allait de plus en plus vite. C’était incroyable, ma belle mère était une vraie chaude. Elle se frottait le clitoris et enfonçait son doigt dans sa chatte sans retenue. Je suis retourné dans ma chambre et je suis revenu en faisant du bruit. Elle était redressée la jupe baissée, mais elle n’avait pas eu le temps de refermer sa chemise. Je voyais ses seins moulés par son soutien gorge transparent. Elle était génée et m’a dit j’ai vraiment chaud alors je me suis mise à l’aise et je ne me doutais pas que tu reviendrais si tôt. Je vais me changer pour être plus à l’aise. Elle s’est levée et a traversé la pièce sa poitrine sautait au rythme de ses pas, elle a vraiment de beaux petits seins.
Elle s’est penchée pour prendre des affaires dans sa valise. Son cul était moulé par sa jupe, je voyais les marques de sa culotte ça m’excitait vraiment. J’ai proposé de sortir pour qu’elle se change. Elle m’a dit que ça ne la dérangeait pas que je reste, maintenant que je l’avais vue dans cette tenue. Je suis resté sur le pas de la porte. Elle s’est tournée et a retiré sa chemise. Son soutien gorge noir en dentelle même de dos était très beau. Je n’ai pas pu m’empécher de faire une remarque sur son soutien gorge. Elle s’est retournée et m’a dit c’est vrai qu’il est mignon je viens de l’acheter et je l’adore même si il est vraiment transparent. Il ne cachait rien de ses seins, la dentelle laissait tout voir ses tétons pointaient, elle était très excitante. En plus la culotte est superbe tu vas voir, elle a baissé sa jupe. Elle était face à moi en culotte et en soutien gorge et elle prenait la pose. Je voyais les poils de son minou et quand elle s’est tournée je devinais la raie de ses fesses sous le tissu. J’ai dit vous avez bien fait Françoise de les acheter ces dessous sont magnifiques et mettent en valeur votre corps. Elle a rigolé et a dit tu es mignon mon gendre mais je suis quand même une grand mère. Arrétez de dire ça Françoise vous avez un corps qui ne correspond pas à votre age je vous le confirme. Tu es vraiment un séducteur petit coquin. Même si je sais que tu aimes mater dans mes décolletés je n’en reviens que je te fasse cet effet. J’ai dit je trouve que vous êtes une belle femme pour votre age et je tenais à vous le dire. Vos jolies jambes et votre cambrure mettent en valeur vos belles fesses et votre jolie petite poitrine. J’ai passé ma main dans son dos, elle s’est aussitôt cambrée sous ma caresse son cul ressortait encore plus. J’ai posé une main sur son sein et là elle m’a dit arrete tu vas trop loin tu ne vas quand même pas caresser ta belle mère. Maintenant laisse moi je vais m’habiller. Je suis parti fou de désir.


Je suis revenu vers 21h après avoir bu quelques verres sans savoir ce qui m’attendait. Françoise avait préparé le repas et m’a accueillie très joyeuse. Elle m’a dit qu’elle était désolée de s’être emportée tout à l’heure. Elle m’a offert un verre de vin et on a trinqué. Elle portait une robe d’été légère avec des boutons sur le devant, si légère que sous le tissu je pouvais deviner un soutien gorge et une culotte blanche. Une fois assis dans le canapé, son décolleté m’offrait une vision sur ses seins, très vite je me suis détendu. Elle m’a dit j’ai bu quelques verres en t’attendant parce que je m’en voulais d’avoir été si indélicate avec toi alors que je sais qu’un gendre comme toi est rare et précieux. Quand on est tous les 2 je me sens bien, ton regard d’homme me redonne confiance en moi. J’adore entendre que tu me trouves encore attirante, j’adore sentir que tu as du plaisir à me regarder, jamais je n’aurais pensé en te rencontrant pouvoir me déshabiller devant toi sans aucune gène. Mais de là à passer à l’acte c’est trop pour moi, même si aucun homme ne m’a touchée depuis des années, je n’arrive pas à le concevoir. Elle se livrait comme jamais, l’alcool avait délié sa langue. Je l’écoutais en fixant ses seins qui bougeaient sous sa robe et ses cuisses nues vu que sa robe était remontée très haut surtout qu’elle se les caressait comme par réflexe. Je l’imaginais offerte à moi et ça m’excitait terriblement. On a continué à boire en discutant de nous et quand la bouteille fut finie, elle se leva aussitôt pour en prendre une autre dans la cuisine. J’ai vu ses fesses moulées par sa culotte blanche onduler à chacun de ses pas et ça n’a fait qu’augmenter mon désir. Ma belle mère était très sexy et je n’ai pas pu me retenir de lui avouer. J’ai dit Françoise, quand je vous ai rencontrée je vous ai vue comme une bourgeoise distante et froide. Et au fil du temps, votre façon d’être avec moi, vos attitudes, vos tenues de plus en plus excitantes ont changé mon regard. Vous ne pouvez pas nier que vous aimez vous exhiber devant votre gendre, m’offrir de superbes décolletés et que parfois votre désir pourrait vous faire basculer dans le plaisir. Regardez ce soir cette robe que vous avez choisie en est le reflet parfait. Elle est suffisamment transparente pour que je vois vos dessous et à la fois très sage pour que je ne m’emballe pas. J’aurai d’ailleurs préféré que vous n’attachiez pas les 2 boutons du haut pour que je puisse plus facilement plonger dans votre décolleté. Elle n’en revenait pas de ma déclaration. Elle s’est levée et défait 2 boutons de robe en prenant soin de replacer ses seins pour que la vue soit imprenable, c’était très excitant de la voir faire ça devant moi. Tu as raison je prends du plaisir à choisir mes tenues quand on se voit, acheter de jolis dessous et te les montrer dès que je peux. J’adore te faire tourner la tête je ne le cache pas. On s’est souri et on a éclaté de rire. Je me suis rapproché d’elle, j’ai posé ma main sur sa cuisse et je l’ai caressée. Elle se laissait faire. J’ai dit vous pouvez me croire que ça fonctionne à merveille. Je vous avoue que je me masturbe souvent en pensant à vous. Je vous imagine offerte, les jambes écartées en train de vous toucher les seins devant moi et ça me fait jouir divinement. Françoise a repoussé ma main, elle a bu son verre de vin d’un coup, s’est recalée au fond du canapé en disant je crois qu’on est bien saoul tous les 2 et qu’il est temps d’arrêter de dire n’importe quoi et d’aller se coucher. J’ai proposé de regarder un peu la télé avant d’aller au lit pour nous calmer. On s’est retrouvé tous les 2 devant la télé et très vite elle s’est endormie à coté de moi. Après avoir attendu quelques temps en me touchant la bite je me suis levé pour mieux voir entre ses cuisses. Un doux ronflement me confirmait qu’elle dormait à point fermé. Ma belle mère me donnait envie et je n’ai pas pu me retenir d’oser la toucher. J’ai posé ma main sur ses cuisses écartées en remontant sa robe, je voyais sa culotte blanche, comme elle ne réagissait pas je me suis lancé. J’ai défait les boutons un par un pour découvrir sa poitrine moulée par son soutien gorge blanc. J’ai caressé ses seins tout doucement avec un vrai plaisir, ses tétons pointaient sous mes doigts. J’ai caressé ses cuisses douces et j’ai frotté son entre jambe. Mes doigts allaient et venaient sur le tissu, je sentais que son sexe s’offrait à moi. Elle commençait à gémir. Quand j’ai glissé un doigt sous le tissu j’ai senti son minou tout humide. Ses lèvres étaient ouvertes et de toucher son sexe trempé me rendait dingue. J’ai léché mes doigts qui sentaient bon l’odeur de la chatte de Françoise. Je me branlais devant ma belle mère endormie. J’avais envie de la baiser comme elle le méritait. J’ai refermé sa robe, j’ai éteins la lumière et la télé.
Je l’ai réveillée en disant Françoise il faut aller au lit vous serez mieux pour dormir. Elle était complétement dans le gaz, elle m’a dit je veux bien un coup de main, je suis complétement saoule. Je l’ai aidée à se lever. Elle rigolait en trébuchant. Heureusement que mon gendre adoré est là pour aider sa belle mère. Elle ne se rendait même pas compte que je l’emmenais dans ma chambre. Je l’ai allongée sur mon lit. Tu as raison je suis bien mieux à l’horizontal, je sens que je vais dormir comme un bébé. J’ai dit après mettre assis au bord du lit, vous n’allez pas dormir dans cette tenue il faut vous mettre à l’aise. Vous dormirez beaucoup mieux. Je vais vous aider si vous le souhaitez. Elle a fait un signe de la tête qui disait non. Je peux très bien me déshabiller toute seule. Je suis sorti de ma chambre en laissant la porte légérement ouverte. Elle a enlevé sa robe avec difficulté, de la voir en dessous m’a bien chauffé. Elle s’est allongée et a mis la couette sur elle en disant un peu fort si je peux avoir un verre d’eau ce serait super. J’ai été chercher un verre d’eau et je suis entré dans ma chambre, je me suis assis à coté d’elle. Elle s’est assise pour boire, je voyais ses petits seins tenus par son soutien gorge elle m’attirait plus que jamais. Elle s’est rallongée en poussant un grand soupir sans pour autant cacher sa poitrine. Elle m’a dit et toi tu n’as pas sommeil parce que moi je suis fatiguée. J’ai dit que j’allais un peu lire avant de dormir si ça ne l’embétait pas. Fais comme tu veux mais moi je dors. Je suis allé prendre un livre au salon et quand je suis revenu je me suis glissé dans le lit discrétement. Françoise dormait déjà. J’ai tiré la couette pour découvrir son corps. Je bandais comme un fou et je me suis touché la queue avec plaisir en regardant ses petits seins bouger à chaque respiration et sa petite chatte moulée par le tissu de sa culotte. J’ai posé une main sur un sein, je la pelotais et elle ne bougeait pas, c’était trop bon. J’ai descendu la bretelle de son soutien gorge et j’ai extrait son sein. Je prenais son sein à pleine main et je le malaxais en faisant durcir son téton brun. Elle a poussé un gémissement sans pour autant se réveiller. J’ai écarté ses jambes, son minou collait au tissu, j’ai tiré sur sa culotte pour voir son pubis gris, c’était très excitant. Ma belle mère était offerte et je me branlais à coté d’elle. J’ai baissé sa culotte sur ses genoux et j’ai caressé l’intérieur de ses cuisses pour enfin toucher son minou. Très vite son sexe est devenu humide sous mes doigts. Ses lèvres s’ouvraient sous mes doigts. Enfin je pouvais lécher mes doigts plein de son jus divin. J’étais comme un fou. J’ai pris sa main et je l’ai posé sur ma bite en faisant des mouvements. Elle me branlait sans le savoir. J’ai failli jouir. Je me suis levé pour me glisser entre ses cuisses écartées et j’ai commencé à la lécher. Le gout de la chatte de ma belle mère m’enivrait, ma langue s’aventurait sur son clitoris et se baladait entre ses lèvres. Elle écartait les jambes encore plus et gémissait à chaque coup de langue. Françoise s’est réveillée et s’est rendue compte de la situation. Elle m’a dit tu es fou ça n’est pas bien de faire ça mais j’ai envie que tu continues. Tu me fais du bien, tant d’années sans plaisir me laissent à ta merci. Je ne m’arrêtais pas. Elle a sorti ses seins et s’est caressée. Continue c’est trop bon j’adore quand tu me lèches comme ça. Après un moment je me suis approché de sa bouche et j’ai dit sucez moi Françoise. Je n’en revenais pas ma belle mère passait sa langue sur mon gland et léchait mes couilles. Elle a englouti ma bite et m’a sucé comme une déesse, je la branlais en même temps. J’adorais l’entendre gémir la bouche pleine. Elle s’est arrétée et m’a dit vas y prends moi j’ai envie que mon gendre me fasse jouir ça fait si longtemps. J’ai enfoncé ma bite dans son sexe, elle était trempée. On a baisé comme des fous. Ma queue allait et venait dans sa chatte ruisselante. Au moment de jouir j’ai dit Françoise je veux éjaculer sur vous, je veux que vous sentiez mon sperme chaud sur vos seins. Elle m’a dit viens fais toi plaisir. J’ai joui sur sa poitrine et sur son visage, elle me regardait en poussant des petits cris à chaque giclée. Elle étalait mon sperme sur elle. Cette vision m’a retourné. On s’est endormi et le lendemain elle avait disparu.

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