La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 326)
Suite de l'épisode précédent N°325 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -
Lesclave brittany, contrite et penaude, se positionne tant bien que mal à quatre pattes, étant obligée de se déplacer par à-coups pour pouvoir se tourner et suivre le premier esclave mâle qui vient de prendre la laisse commune en main et de les positionner suivant les consignes de Monsieur le Marquis. Le deuxième esclave mâle met des bouchons doreille sur chacune et noue des foulards sur les yeux des deux jumelles. Se positionnant tous les deux, derrière la chienne-siamoise, ils la font avancer à coups de cravache, la faisant changer de direction régulièrement en frappant de petits coups sur le côté des cuisses et non sur la croupe. Les deux jumelles se déplacent difficilement, ayant totalement perdu le sens de lorientation, ne pouvant se diriger, ni au bruit, ni à la vue, devant pour autant chercher à coordonner leurs mouvements pour pouvoir avancer. Elles ont encore plus de mal à sadapter aux ordres qui leur sont donnés juste à laide de coups de cravache sur les fesses pour avancer et sur lune des cuisses pour tourner, que les deux esclaves mâles, sur les ordres malicieux du Marquis dEvans, samusent un peu à les faire tourner en bourrique par des ordres contradictoires tapant sur les deux cuisses à la fois, sachant que chacune des jumelles va vouloir chercher à obliquer de son côté. Plusieurs personnes qui se sont regroupées pour profiter du divertissement, que suivent aussi avec attention les deux Dominants, plaisantent allégrement de la maladresse des deux pauvres siamoises en bien mauvaise posture, et qui se sont effondrées à même le sol à plusieurs reprises, ayant du mal chaque fois à se remettre en position à quatre pattes, car elles doivent se relever absolument ensemble.
- Cher ami, je vous avoue que votre duo de soumises siamoises reste assez fascinant et ce petit amusement est fort à mon goût. Je pense que votre esclave brittany aura largement retenu la leçon après cet intermède, que je vous encourage à renouveler encore plus durement si ce nétait pas le cas après cette première sanction.
- Détrompez-vous, Edouard, je trouve même cela terriblement excitant de pouvoir profiter de lune et de priver lautre de tout plaisir quand il me chante. Il y a un petit côté pervers et sadique, je lavoue, à attiser sans cesse à la fois leur jalousie, mais aussi leur complicité et la cohésion que cela implique. De toute manière, elles sont détachées et ne deviennent « une » que le WE lorsque je les récupère dès le vendredi soir, car le reste de la semaine, elles ont une activité professionnelle normale et une vie sociale indépendante même si elles restent toutes les deux très proches lune de lautre, ce qui est le cas de beaucoup de vrais jumeaux. En ce qui me concerne, jai réparti les tâches, la siamoise de droite est celle qui peut écrire et faire plus de tâches matérielles, celle de gauche est donc celle qui a seule le droit de me répondre si je pose une question, quand elles ne sont pas bâillonnées bien sûr. Je mamuse à les intervertir régulièrement pour complexifier et renouveler le jeu, ce qui me donne aussi loccasion de trouver de bonnes raisons de les punir quand elles se trompent, mais je sais quelles apprécient, tant lune que lautre au vue de leurs multiples excitations, et leurs désirs communs à me satisfaire pleinement dans notre relation D/s à trois.
Le Marquis dEvans prend le temps de terminer sa coupe de champagne tout en ne perdant pas des yeux les deux jumelles qui font une distraction appréciable, pour les convives qui ne manquent pas de ponc leurs maladresses de rires et moqueries, ajoutant le geste à la parole pour tourmenter encore plus les deux pauvres malheureuses qui sont aussi pelotées par plusieurs mains inquisitrices qui nhésitent pas à leur pincer les seins et à fouiller leurs intimités.
- Cher Ami, que diriez-vous si nous les faisions maintenant arrêter de marcher et organisions un accouplement multiple. La plupart des femmes ont le fantasme dêtre prises par deux ou trois hommes en même temps. Combien de queues pensez-vous que nous pourrions faire entrer dans les multiples trous de votre esclave. Le challenge est ouvert, je vais faire venir plusieurs de mes esclaves qui seront plus que ravis de faire un peu de contorsion si je les autorise à pouvoir enfin sortir leur nouille de la cage dans laquelle elle se trouve enfermée.
- Edouard, Vous avez toujours des idées de génie, digne du Grand Maître D/s que Vous êtes, que nous sommes si nombreux à admirer pour Vos capacités incontestables de Dominant, Votre grande sagesse, mais aussi Votre imagination sans borne que nous retrouvons également dans Vos écrits, car je suis aussi pour ma part, un lecteur assidu de Vos magnifiques uvres, tantôt nous parlions de mythologie et bien sachez comme jaime lire votre histoire des 12 servitudes dHélène !
Mais revenons à votre idée et au risque de vous décevoir, je ne suis pas sûr que Vous puissiez concrètement arriver à utiliser en même temps tous les six trous de ma brittany.
- Je relève le défi, très cher. Si jéchoue, je vous laisserai en gage mes six mâles qui se seraient révélés incompétents pendant une semaine pour que vous puissiez en disposer comme il vous plaira, que ce soit sexuellement ou même pour des tâches plus bassement matérielles.
Le Marquis dEvans tape dans ses mains en direction des deux esclaves mâles qui font encore serpenter sous leurs yeux les deux jumelles de plus en plus harassées.
- STOP ! Cette petite chienne-siamoise doit avoir assez chaud aux fesses vu la couleur rouge de ces deux postérieurs. Je pense aussi que la punition aura servi de leçon à cette esclave qui ne faisait pas assez attention à respecter les exigences de son Maître, qui aura toute la latitude de poursuivre le châtiment si nécessaire.
Les deux esclaves mâles sexécutent immédiatement reposant leur cravache et lâchant la laisse de brittany quils déposent au sol. Le Marquis dEvans toujours confortablement installé dans son fauteuil fait signe aux deux esclaves pour quils retirent sans tarder les deux foulards, les quatre bouchons doreille et les deux baillons-boule. Les deux jumelles sont presque étourdies de retrouver ainsi lusage de leurs sens, elles sont en nage après lexercice périlleux auquel elles se sont livrées. Elles nosent pas bouger, sentant que tous les regards de lassistance sont portées sur elles deux, se demandant chacune dans leur tête comment leur Maître, Sir Akhen-Aton, a pu apprécier leur prestation qui ne fut pas des plus élégantes en matière de démarche canine, mais qui fut particulièrement excitante pour toutes les deux qui ont le bas-ventre en feu et la vulve gonflée, sûrement aussi rouge que leurs fesses, leur excitation abondante ne fait aucun doute. On devine aisément quelles ont apprécié cette épreuve Le Châtelain demande à la soubrette daller chercher quatre autres chiens-mâles inoccupés qui attendaient patiemment agenouillés le long des murs, tête basse, et de les ramener à Ses pieds, accompagnés aussi des deux autres qui avaient été assignés à jouer de la cravache sur le double fessier.
Les six esclaves mâles sapprochent, sagenouillent et sinclinent jusquà poser leur front contre le sol, bien trop heureux davoir la chance dêtre appelés par le Maître en cette soirée anniversaire, prêts à obéir au moindre des ordres de Celui quils servent docilement et vénèrent profondément.
- Debout, mes fidèles chiens. Approchez un après lautre, je vais vous ôter la cage de chasteté qui enserre votre sexe rabougri, lempêchant de bander et aussi de pouvoir éjaculer. Je veux vous voir tous les six vous accoupler avec cette chienne-siamoise qui a six trous, soit un pour chacun. Débrouillez-vous comme vous voulez, mais je veux la voir pleine avec six sexes actifs et gonflés qui pourront se répandre, tachez donc de bien en profiter pour vous vider les couilles le plus abondamment possible.
Le Marquis dEvans défait de sa ceinture un énorme trousseau de clés toutes rassemblées par un large anneau métallique. Le Noble choisis les clés portant le numéro de la cage pour chacun et commence à ouvrir et retirer lui-même les six cages de chasteté des mâles-esclaves, tenant à faire ce geste symbolique lui-même, caressant juste après de la main chaque pénis encore flétri et minuscule, dont certains commencent à réagir en se dépliant, presque de ce simple contact et du désir que le Maître a laissé naître entre eux, mais ils sont tous encore loin darborer un phallus digne de ce nom. Chacun sest agenouillé après avoir été libéré de la cage quil porte presque en permanence au Château et a déposé un baiser très respectueux sur la main du Maître, qui ayant terminé cette séance inhabituelle de « déshabillage » dattributs virils ajoute :
- Cest un challenge que je viens de relever avec mon très cher ami, Sir Akhen-Aton. Si vous échouez, non seulement, je vous remets immédiatement la queue en cage, mais ensuite, je vous offre en gage pendant une semaine à Sir Akhen-Aton qui sera libre de faire de vous ce quil voudra à sa seule convenance. Ceci ne vous dispensera pas de la punition que je vous imposerai à votre retour, pour navoir pas été capable de répondre favorablement à mes exigences. Tacher donc de faire gonfler vos queues rapidement, avec vos mains si besoin, car nous navons pas de temps à perdre à vous regarder vous secouer le poireau.
- Edouard, je vais être fair-play. Votre esclave N°13 qui est toujours là à mes pieds, a une bouche suave, je suis sûr quelle va bien aider ces minuscules petites choses, endormies et recroquevillées davoir été encagées, à reprendre une forme plus propice à la pénétration. Je la mets à la disposition de vos six esclaves, car je souhaite moi aussi que Vous puissiez réussir ce défi, car il me plairait bien de profiter du spectacle final et de voir enfin mon esclave brittany comblée comme jamais.
Sir Akhen-Aton se retourne vers N°13 et la poussant vers lavant en lui donnant une petite tape sur les fesses, il linvite à aller au-devant des six mâles qui sont maintenant au centre de lattention de tous les Invités. De sa bouche, elle branle, caresse, aspire et suce, tour à tour les six sexes qui durcissent et gonflent dautant plus rapidement quils savent quils sont sous lil attentif et directif du Maître Vénéré quils nont pas envie de décevoir, sans compter que lexcitation est forte chez les six esclaves à lidée de pouvoir jouir enfin, ce qui ne leur est pas souvent accordé en raison de leur condition servile qui leur impose dabandonner le droit de pouvoir accéder librement au plaisir et à la jouissance, afin de se remettre totalement entre les mains du Maître quils ont acceptés de servir et à qui ils appartiennent tous, corps et âme. Quelques minutes plus tard, ce sont six statues dont le corps de mâle est peint de couleur argent, portant encore collier et plug anal, qui se tiennent droites devant le Maître, têtes baissées et verges dressées.
- Lesclave brittany est à vous. Alors, voilà ce que vous allez faire. Les deux premiers, les plus petits, toi et toi (dit-IL en les désignant du doigt) se glissent dessous côte à côte et envahissent les deux chattes humides. Tâchez de vous serrer car lespace est réduit. Les deux suivants, les plus gros, donc toi et toi, lui fourrent la bouche. Mais attention, vous ne les étouffez pas quand même, car leurs têtes sont attachées ensemble et quelles devront agir concomitamment. Le plus simple sera de les laisser vous lécher tranquillement, je suis sûr que ce sont deux bonnes suceuses siamoises. Là où cela se complique, ce sera pour les deux derniers qui vont devoir la sodomiser par les deux petits trous, mais qui nauront pas beaucoup de place pour se faufiler au milieu de lamas de corps et aussi pour prendre appui.
Les esclaves se mettent en place, les quatre premiers ne posent pas de difficulté et ils commencent à pénétrer lesclave siamoise qui est onctueuse à souhait car terriblement excitée de se savoir ainsi au centre de lattraction, et surtout à lidée de se faire remplir par six hommes ce que, ni lune, ni lautre, navaient jamais pu imaginer même dans leurs fantasmes les plus fous. Le cinquième mâle approche sa queue de lanus de la première des jumelles, mais il se rend compte que pour lenculer en sandwich, il lui faudrait pouvoir écarter les jambes pour les passer de part et dautre des jambes des deux esclaves allongées sur le sol qui encadrent déjà les deux jambes intérieures accolées des siamoises, ce qui de fait empêcherait une sixième et dernière pénétration. Il essaye donc décarter les jambes de ceux qui sont au sol pour se faire un peu de place, mais il narrive pas nécessairement à trouver léquilibre pour se tenir, craignant de prendre appui sur les deux jumelles qui sont déjà mises à lépreuve, sollicitées et contorsionnées. Il fait signe au sixième esclave pour quil sapproche à son tour, lui attrapant la main pour faire contrepoids. Mais ce dernier ne parvient pas à avancer assez près pour glisser sa queue dans le dernier trou de libre. Il ne renonce pas pour autant, prenant appui sur un seul pied et soulevant sa jambe quil fait reposer sur celle de son collatéral, il se penche en avant en tendant la main qui a trouvé un appui sur celle de lesclave qui est juste sous lui en train de baiser la chatte de la même jumelle. Dans un équilibre assez précaire, retenu également par les mains libres des deux mâles restés debout en plein coït facial, il avance son bassin de manière à faire pénétrer sa queue dans le dernier anus béants sous les applaudissements de toute lassistance et lil ravi de Monsieur le Marquis dEvans qui sexclame alors.
- Et tachez maintenant de me la faire grimper au firmament cette chienne en chaleur quelle se souvienne à tout jamais de cette soirée orgiaque où elle fut possédée par six queues à la fois.
La masse humaine constituée des six mâles et des deux jumelles au centre ondule au gré des différents mouvements de bassins et des gémissements de plaisir décuplés par la proximité des corps qui se soutiennent les uns les autres, mêlant leurs odeurs corporelles. Lexcitation de la situation est à son comble à la fois jouissive mais aussi exhibitionniste et originale, tout autant que troublante car lédifice est aussi chancelant quun château de cartes. Oubliant presque les contraintes despace et léquilibre précaire de cet enchevêtrement humain, les esclaves mâles se lâchent dans des mouvements plus affirmés, pourfendant les deux jumelles qui déferlent dans un orgasme fulgurant tandis que les mâles lâchent leur sextuple semence dans les multiples orifices de brittany qui nest plus que spasmes désordonnés et halètements encore accélérés. Elle saffale à terre à peine est-elle libérée de tous ceux qui avaient entrepris de la baiser de toutes les manières possibles, pour profiter amorphe de ce temps de bien-être qui suit lextase, quand la montée en puissance qui précède la jouissance commence à redescendre pour tendre vers le calme plat.
- Cher Marquis, je reconnais que ce petit divertissement ma beaucoup plu. Je ne les ai pas quitté des yeux, jen ai même joui dans la bouche de votre esclave N°13 tant jétais excité de regarder mon esclave ainsi mise à contribution comme objet de plaisir, remplie de tant de semence à la fois. Je pense quelle a bien mérité un peu de repos maintenant, je crois que je vais me retirer pour la nuit car, après tant démotions, un moment câlin à deux (ou trois aurait-il aussi pu dire) ne sera pas inutile.
- Cher ami, souhaitez-vous que je demande à ces esclaves de porter votre petite chienne brittany jusquà votre chambre, car elle me semble assez abattue pour trouver encore la force de monter les escaliers.
- Je vous remercie de Votre sollicitude et jaccepte avec grand plaisir Votre proposition. Je Vous souhaite donc une bonne fin de soirée et une très bonne nuit de Votre côté. Je quitterai le Château avec ma petite chienne-siamoise demain en fin de matinée, jespère que jaurai le plaisir de pouvoir Vous saluer avant mon départ pour vous exprimer toute ma gratitude pour ce si agréable moment passé entre Vos murs.
Le Marquis Edouard dEvans se lève, assez fier de ses esclaves-mâles et tout autant de lidée quIL a eu dorganiser cet ébat multiple. IL se rappelle quavant de sasseoir dans ce fauteuil au côté de Son cher ami, Sir Akhen-Aton, IL était parti à la recherche de son compagnon David à qui IL avait confié pour la soirée et la nuit son assistante émeline MDE. IL se rend compte quil ne nétait pas là parmi toute lassistance qui avait fini par se regrouper autour de ce pôle dattraction et plus généralement le Noble, fronçant les sourcils, se fait la réflexion queffectivement, IL ne la pas aperçu depuis la fin du banquet. Walter le Majordome semble également avoir déserté les lieux et en tout cas le Grand Hall aménagé en donjon. Pourtant le Châtelain est persuadé quen fidèle serviteur, son Majordome aura à cur de ne pas aller se coucher avant la fin de la nuitée orgiaque, continuant à veiller sur le bon déroulement de la soirée anniversaire et à rester éveillé la nuit entière sil le faut.
(A suivre
.)
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