Promenons-Nous Dans Les Bois ...

Après un week-end chez nos parents respectifs, mon amant Xavier est venu me chercher chez ces derniers… A peine monté en voiture, nous étions déjà excités, 2 jours sans ce voir s’était beaucoup trop ! Nous avions cette attirance physique, ce désir de sexe et de jouissance en communs. Nos conversations tournaient sur nos rapports sexuels et sur les envies de mon partenaire. Nous passions à côté d’une forêt, il me regarda l’œil pétillant et le sourire coquin. Il prit la direction du chemin forestier et naïvement je lui demandai :
« Mais, ce n’est pas la route ?
- Bien sûr que non, mais j’ai très envie d’une nouvelle expérience » me répondit-il ….
Il s’enfonça dans les bois et gara la voiture. Nous marchions 5-10min et il me plaqua contre un arbre, m’embrassa très langoureusement, tout en glissant une main sur mon sein. Cela m’excita énormément et très rapidement. - Nous étions à la vue de tous. Nous pouvions être surpris en plein acte sexuel, dans notre plus simple appareil, secrètement c’est ce que j’espérais ! « L’idée que des passants s’arrêtent pour nous regarder, soient excités par notre fougue, me stimulais. » - Il me leva la jambe droite, souleva ma courte jupe et glissa deux doigts dans mon vagin, déjà bien mouillé. Je lui enlevai son pantalon, son boxer et empoigna sa bite bien durcie.
Je me mis à genoux pour le sucer. Je caressai ses fesses et glissai un doigt sur son anus. Il se mit « à l’aise » les mains appuyées contre l’arbre, les jambes écartées et légèrement fléchies. - Je sais qu’il aime se le faire titiller. - Je mis mon autre index sur le point H (périnée) et commençai à faire des rotations de plus en plus rapides, quelques gémissement s’entendirent. Il était à point, autant excité que moi, j’arrêtai de le sucer, me plaçai le cul à hauteur de sa bite et je fis les premiers va et vient. Il me pencha la tête en avant, j’avais le cul bien tendu, toute ouverte. Une main sur ma hanche, l’autre sur mon clito, et il m’enfonça son sexe aussi loin qu’il put.

- Je sens encore les mouvements de sa queue en moi. – et jouit en moi assez rapidement.
De retour vers la voiture, je lui fis part de mon insatisfaction, tout en lui touchant le sexe. Arrivés à la voiture, il me dit, en se déboutonnant le jeans’ :
« Ne monte pas tout de suite, regarde, je crois qu’elle a encore envie de toi ! »
Il ne m’en fallu pas plus pour rebrousser chemin et aller le sucer comme une vraie petit salope. Je la pris à pleine bouche, la lécha et la suça autant que je pu. Il me hissa à son niveau, enleva ma jupe, et me fit un cunnilingus. Il se mit début, m’appuya le dos contre la carrosserie, prit mes jambes pour les mettre sur ses épaules et me pénétra, s’était la première fois que je pratiquais cette position et j’ai adoré. Je ressentais les moindres contours de sa bite dans mon vagin. Les va et vient de son sexe dans ma chatte trempée me remplissais de jouissance, je n’arrivais plus à me contenir, je me laissais aller à cette jouissance inconnue et très agréable ….
Il me remit les pieds à terre, j’étais tremblante. Il ouvrit la porte arrière et me plaça en missionnaire sur la banquette, il me maintenait les jambes, mes cuisses touchaient mes seins, et me dit qu’il ne m’avait jamais vu mouiller autant.
De sa salive il mouilla son pouce et me l’enfonça tout doucement dans mon anus, il s’amusa avec, me doigta, j’étais coincée et il pouvait faire ce qu’il voulait de moi ! Il me demanda si j’en voulais encore et ma réponse était sans appel : « ho oui oui oui oui, c’est trop bon. J’aimerais beaucoup de sentir dans mon cul !
- c’est ce qui est prévue ma douce … » me dit-il tout en commença en me pénétrer …
Il rentra son sexe, étape par étape, afin que je le sente progresser en moi. « Ummmmmmmmm, j’ai tout ta queue en moi ! ». Il me sourit. Nous étions très excités, il commença ses allées et venues doucement, il accéléra le rythme, je jouis, rapidement. Je lui demandai de ne pas s’arrêter et d’y aller encore fort, ce qu’il fit !
« haaaaaaaaaaaaaaaaaaaa, putain s’que c’est bon ! » cria-t-il.
Il venait de jouir. Etourdie par toute cette jouissance, je restai allongée quelques minutes pour reprendre mes esprits. Lui sur moi, à nous câliner …
Nous repartons de cette foret, que me laissera un très bon souvenir !