Collection Puceau - Pucelle. Ma Nuit De Noces (1/2)

• Belle-maman, que pensez-vous de ces petits objets où nous pourrons mettre les noms de chaque invité pour qu’il trouve leur place à table ?

Belle-maman, c’est Maryse, la mère de Johnny, reste de l’époque où elle était jeune et fan, non même groupie du chanteur.
Je viens d’aller faire le dernier essai de ma robe de mariée et celle de Nouzha et Claire mes demoiselles d’honneur.
J’avais bien mieux aimé le premier modèle que j’avais passé, mais belle maman m’en a dissuadé.
Bien sûr, le modèle était le plus beau, au point d’être dans la vitrine, chaque fois que je passais devant je révais de l’avoir lorsque Johnny m’a fait sa demande en mariage.
Hélas, trop chère.

• Pourquoi mettre les noms sur les tables de cinq à six personnes que j’ai déjà préparées alors que j’ai imprimé un plan ?
Une seule feuille A4 en couleur mise sur la porte de la salle suffira.
À la limite, je te conçois une deuxième feuille sur l’autre battant.

Belle maman est comme ça, un peu pingre, mais c’est elle qui règle tout.
À part mes rêves de jeunes adolescentes d’un mariage de princesse, même jusqu’au diadème, certes, faux que j’aurais eu dans mes cheveux avec la robe de la vitrine.
Belle maman qui dans ses préceptes éducatifs a réussi à inculquer à son fils que sa future et lui-même doivent arriver vierge au soir de leurs noces.
À 20 ans, fréquentant Johnny depuis quatre ans, je suis encore vierge alors que ma chatte me démangeant, je me masturbe fréquemment.
Je le fais jusque dans les toilettes de leur petite maison dont elle est très fière alors que c’est une famille qui à cause de mon beau-père ayant perdu une grande partie de leur bien en jouant au casino.
C’est à ce moment que mon portable sonne, c’est Johnny.

« Lionne. »

Oui, je sais, un connard de l’état civil a accepté que mes parents m’appellent de ce nom.

« J’ai bien réfléchi, je suis loin d’être prêt à fonder une famille à 25 ans, je suis trop jeune, je pars vivre ma vie.


Ma mère m’étouffe. »

• Qui est-ce ?
• Jhonny, regardez, un cadeau pour vous.

Elle regarde, porte ses mains à son cœur et je tourne les talons.
Je venais de me faire larguer par un simple message sur mon portable.
Celle qui jusqu’à cet instant était ma belle-mère m’a regardé partir sans un mot.

Quinze jours, quatorze très exactement.
Aucune nouvelle de cette famille de tarés.
Par leur faute, j’ai perdu quatre années où j’aurais pu baiser avec Johnny.
Seule Nouzha et Claire sont venues prendre de mes nouvelles, elles sont restées à la porte de ma chambre.
Je l’ouvrais simplement pour prendre le plateau que maman me préparait attendant que j’ai entendu ses pas redescendant de l’étage où se trouve ma chambre pour le récupérer.
Je voulais rester seule.

• Lionne ou vas-tu dans cette tenue, elle est un peu vulgaire.
Crois-tu que ce soit prudent de sortir le jour où tu devais épouser Jhonny ?

Rien à foutre, je quitte notre maison bien décidée de vivre ma nuit de noces avec un beau blond aux yeux bleus.
Je déambule jusqu’à passer devant un café d’où s’échappe de la musique, j’hésite, mais je rentre tout de même.
Que des hommes, si je cherche du sexe, ici, j’ai une chance de perdre mon pucelage pendant ma nuit de noces.

• Que voulez-vous mademoiselle, êtes-vous sûr de vouloir boire dans mon bar ?
• Pourquoi il est interdit aux femmes ?
• Non, mais...
• Une vodka.

Il me sert, je la bois cul sec.

• Mustapha, je vous offre un verre.
• Êtes-vous algérien ?
• Non, Kabyle, eux sont algériens.

Ils sont six, sept avec Mustapha.

• Une vodka.

À la troisième, le blond aux yeux bleus devient brun aux yeux noirs.
Quand je regarde son jean, il moule ce que je suis venue chercher.
Plutôt bien, je dois dire, un vrai paquet comme disent Nouzha et Claire lorsqu’elle parle du sexe de leurs amants.


• Tu viens, j’habite tout près.

Il me porte presque, car après ce troisième verre, je me sens dans le brouillard.
Derrière moi, j’entends que l’on parle certainement en arabe derrière moi.
Certainement les six autres qui entrent aussi chez eux.
Dans la nuit, je vois que nous entrons dans le chantier d’un immeuble et il me fait entrer dans un bungalow.
Il y a des gars qui eux aussi lisent ou jouent aux dominos.
Deux sont à genoux et parlent à qui vous savez.
Mon premier réflexe, c’est d’aller leur mettre un coup de pied au cul.
Un moment de lucidité, la religion pas touche.
J’entends parler comme tout à l’heure, en arabe.
C’est Mustapha.
J’ai l’instinct de partir, mais mes jambes refusent de me porter plus loin.
Je suis prêt au sacrifice, ma nuit de noces, c’est ici qu’elle se fera.
Un jean dégrafé et une première verge, celle de celui qui m’a conduit ici.
La première, pour la première fois que je me mets à sucer.
En quelques secondes, il y en a de toutes couleurs plus ou moins foncés et de toutes grosseurs.
Comme dirait un chanteur célèbre, c’est la fête, surtout quand j’en vois deux entrer un matelas.
Deux de plus voulant faire partie de la fête, de ma fête.
Je reçois les premières flèches de sperme dans ma gorge et sur mon visage.
Rapidement j’ai un œil qui devient inutile.
Je me rends compte, que d’une main je masturbe un engin impressionnant, impossible de faire entrer dans ma chatte.
Elle est trop petite et de l’autre, je tiens la bouteille de vodka, je quitte la bite pour retrouver le goulot.
Oh ! ivrogne, tu bois au goulot.
C’est l’image de belle-maman qui traverse mon esprit, mais je l’efface quand Mustapha me propulse sur le matelas grade et adorant.
Nue en quelques secondes devant combien de Maghrébins ?
Je l’ignore, ce que je vois par mon seul œil, c’est le poignard qui va me faire femme et qui me fait femme.

L’alcool semble inhiber la douleur que je m’attendais à ressentir.
Où est ma bouteille, j’ai soif, je dois fêter dignement ce moment incroyable dans ma vie de jeune femme ?
En guise de vodka, c’est encore du sperme qui entre dans ma bouche alors que la bite me fait partir vers les sommets du plaisir.
Dépucelé et Lionne en chaleur quand l’orgasme montre de mes reins.
Nouzha et Claire m’ont parlé du grand frisson, voire même de la petite mort.
Ma mort est grandiose quand ma première bite me quitte et que sans rien comprendre, je me trouve sur celle d’un autre homme sentant aussi mauvais que mon matelas.
Une nouvelle bite entre dans ma bouche et c’est au niveau de mes fesses que la sensation est étrange.
L’un d’eux me les écarte et me fait entrer un fer rouge dans le cul.
Là encore, Nouzha le fait, pas Claire, elle appelle ça une double pénétration.
C’est un chantier, à part tous ces hommes, je peux hurler de plaisir, je dois le dire, à gorge déployée, personne pour me dire de me taire.
J’espère seulement que belle maman entende que de moi-même Lionne est devenu chienne.
Est une chienne.

• Mustapha que faite-vous, vous êtes devenus fou de laisser faire ça, aller me chercher une couverture.

Je sens que l’on me saisi, j’ai chaud et je m’endors de fatigue.
Ou suis-je, les draps sont doux, certainement de la soie.

• Ça y est maman, elle se réveille.

C’est vrai, je reprends pied sur terre petit à petit.
Je suis dans une chambre immense.
Je suis morte tuée par tant de bites, je suis au paradis des princesses dans une chambre de princesse.
Mon prince blond aux yeux bleus me tient la main...

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