Rencontre À Bruxelles (1)

Ca faisait quelques jours qu'il pleuvait et quand je me suis levé en voyant le ciel bleu, je sus que la journée serait bonne. Je décidai donc d'aller me promener dans une rue commerçante très fréquentée. C’était vraiment une belle journée, les femmes léchaient les vitrines et présentaient leurs postérieurs aux passants qui, comme moi, préféraient admirer leurs jupes plutôt que les devantures.
Après une heure de flâneries, je remarquai une femme dont l’anatomie éveilla un grand désir en moi et presque sans m’en rendre compte, je commençai à la suivre. Au détour d’une allée de sous-vêtements, elle me remarqua, me sourit et continua à parcourir le magasin. Elle essayait de ne pas me regarder mais je la savais très consciente de ma présence, j’apercevais dans ses yeux une lueur d’excitation qui m’incitait à poursuivre notre chasse.
Elle marchait avec une grâce des plus excitantes et me donnait tout le loisir d’admirer la chute de ses reins qui me rendait de plus en plus fou. Je ne réalisais pas bien la situation, j’étais ivre de désir et elle faisait de moi ce qu’elle voulait.
Elle entra alors dans un grand magasin de vêtements et choisit une robe légèrement transparante qu’elle fit pendre à son bras. Elle m’attira ensuite près des cabines et entra dans celle du fond sans refermer la porte derrière elle.
Je m’arrêtai quand même quelques secondes pour essayer de réaliser ce qui était en train d’arriver et puis la suivis. Ces quelques secondes lui avaient déjà permis d’ôter son chemisier qui pendant maintenant au mur. Son corps était magnifique, des hanches superbes, un ventre plat mais généreux et des seins parfaits.
Elle se tenait là, debout, devant moi, sans rien dire, et me regardait avec une intensité qui me mettait mal à l’aise. Elle le sentait bien et s’en amusait. Elle commença alors à défaire sa jupe et la fit lentement glisser à ses pieds, alors je ne tins plus et commençai à caresser son flanc.
Elle continuait son manège en ignorant mes gestes, elle s’abaissa pour se déchausser, me présentant ainsi ses fesses rebondies.

Mes mains glissèrent et commencèrent à palper ses fesses. Je mettais de plus en plus de pression et d’intensité dans mes gestes mais elle ne réagissait toujours pas.
Alors, au lieu de se relever, elle s’accroupit et commença à défaire mon pantalon. Elle le fit tomber au sol et malaxa mon sexe déjà rigide depuis un moment à travers mon boxer. J’appuyais tout mon dos contre le mur et étais convulsé par l’envie. Mon vit était à présent à l’air libre et elle le branlait lentement. Le temps était distendu, je ne savais plus depuis combien de temps nous étions entrés dans cette cabine.
Elle suce maintenant ma bite, masse mes testicules d’une main et de l’autre parcourt mon torse sous ma chemise. Elle perd peu à peu son stoïcisme et se laisse gagner par l’ivresse. Ne tenant plus, je la redresse et la retourne violemment contre le mur. Je m’accroupis à mon tour et glisse ma langue entre ses jambes. Son odeur me met dans un état d’excitation incomparable. J’essaie de ne pas faire de trop grands mouvements dès le début, mais j’ai du mal à réfréner mes ardeurs. J’exerce une pression de plus en plus forte entre son sexe et ma mâchoire. Je la sens se contracter, elle m’empoigne la tête, les cheveux, les malmène, me plaque, me tire.
J’en oublie presque que nous sommes dans une cabine d’essayage quand tout d’un coup, alerté par le bruit, un vendeur vient toquer à la porte.
“Qu’est-ce qui se passe, là dedans?”
Alors, pris de panique, nous nous rhabillons en hâte.
“Ouvrez.”
Je referme vite ma chemise tandis que mon inconnue remet son chemisier.
“Je vais vous demander de sortir, vous comprenez que nous ne pouvons pas tolérer cette attitude”
Nous sortons alors sous le regard du vendeur. J’ai encore le visage couvert de cyprine et nos cheveux ébouriffés ne laissent aucun doute quant à ce que nous faisions à l’intérieur. Après encore quelques remontrances, le temps que nous ramassions nos dernières affaires, nous quittons rapidement le magasin.

Je lui propose alors de venir chez moi, histoire de terminer ce que nous avions à peine commencé

à suivre.

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