Leslie So02

Leslie SO02 – Souvenirs
Escorte occasionnelle, les premiers pas

La solitude, si elle nous donne la liberté, nous même parfois dans d’étranges situations…
Alors que j’étais seule à cette époque, j’en ai profité pour vivre une drôle d’aventure, en fait c’est assez simple, l’attrait de l’argent pour assouvir un achat, m’a amener à vivre ce qui suit…

À l’époque, j’avais un ami qui vendait son cabriolet Morgan, et je désirais l’acquérir, mais mes moyens de l’époque ne me permettaient pas de faire cette folie, mais le hasard m’a fait connaitre une fille, Lise, qui m’a parlé d’une relation de son père qui organisait des soirées privées très spéciales de rencontre et qui cherchait des jeunes filles et d’autres êtres consentants pour participer à ces soirées, et apparent selon Lise, cela payait bien et il n’y avait aucun risque, car Lise y avait participer, elle-même, en cachette de ses parents...
Ce n’est pas un réseau, me dit-elle, simplement une femme qui met en rapport des personnes majeures consentantes venant mettre un peu de féminité lors de ces soirées.
En y réfléchissant cela me donnait l’occasion de gagner un peu d’argent facilement en peu de temps et de pouvoir me payer le cabriolet de mes rêves. Et si en plus cela se passait en y prenant du plaisir, alors pourquoi ne pas essayer…

J’ai hésité tout de même et un jour, après plusieurs jours de réflexions, j’ai finis par me décider à téléphoner au numéro donné.
J’obtins un rendez-vous avec une dame très distinguée qui m’expliqua le concept, il s’agissait de participer à des soirées chez des particuliers ou dans des salons privés, et de distraire les hommes présents, elle m’assurait cependant que le contrat précisait des limites claires et qu’il ne s’agissait nullement de prostitution, mais que libre à moi de faire plus pour satisfaire un client pressant et désirant s’adjoindre ma présence pour des moments plus intimes.
Elle parût encore plus intéressée quand je lui avouais ma nature de transsexuelle, m’avouant ne pas en avoir dans ses relations, mais que ce profil était très demandé par des messieurs très coquins et en mal de sensations et de nouveautés.

Elle me donna rendez-vous pour le lendemain afin de me rencontrer, de faire connaissance et quelques photos pour le press-book qui servirait à me faire connaitre.

Le lendemain, habillée très chic et profitant d’un moment de liberté dans mon travail, je me suis rendue au rendez-vous, dans un bel hôtel particulier de la capitale.
J’avais, pour l’occasion, un joli string ficelle, pas de soutien-gorge sous mon corsage, des bas-coutures tenus pas un joli porte-jarretelles et un bel ensemble tailleur-jupe beige et des escarpins à hauts talons.
Lorsque la femme, Maude de son prénom, me reçut, à ses yeux j’ai vu que je faisais le meilleur effet qui soit, d’ailleurs elle me le confirma en disant :
- Très bien, en plus d’être jolie, vous vous habillez à merveille.
Nous avons conversé, me posant une tonne de questions auxquelles je répondais sans hésiter, puis elle a fait venir le photographe pour faire quelques photos de moi.
Je n’ai même pas refusé quand elle m’a demandé si je voulais bien en faire dans des poses, disons parlantes, mais pas vulgaires…
Puis, le photographe partit, elle m’a demandé :
- Alors cela vous intéresse de participer à des soirées et accompagner des hommes.
- Oui, pourquoi pas, cela peut être amusant.
- Et seriez d’accord pour faire des rencontres, disons plus personnalisées ?
- Vous voulez dire des têtes à têtes, enfin des rencontres intimes après les soirées ou même occasionnelles, lui demandais-je.
- Je vois que nous nous comprenons, disons que certains clients aiment bien poursuivre l’intimité dans la discrétion et certains préfèrent faire des rencontres d’un jour dans un cadre intime…
- A l’hôtel, par exemple…
- Oui c’est cela, mais libre à vous d’accepter, je vous téléphone ou vous envoie un message avec toutes les informations et vous me répondez par oui ou par non. Je me charge du reste si la réponse est positive.
- Et je suppose que c’est une activité en parallèle ou en plus de celle pour laquelle je suis là ?
- Disons que c’est une opportunité, mais rien ne vous oblige.
- Bon, pour être claire, je suis libre !
- C’est exactement cela.
- Et les tarifs sont de quel ordre, pour cette autre activité ?
- C’est vous qui voyez, je ne gère pas ce côté-là, moi je ne fais que mettre en relation des personnes adultes et consentantes pour des soirées d’affaires.
- Cela peut m’intéresser, dis-je, proposer et je verrais.
Elle m’a regardé avec un joli sourire, certainement trop heureuse de m’ajouter à ses contacts, et elle a rajouté :
- Pourriez-vous me montrer comment vous êtes faite, disons intimement, afin que je parle au mieux de vos charmes aux messieurs…
- Vous voulez me voir nue ?
- Si cela ne vous dérange pas, oui, ainsi je vous connaitrais mieux, disons dans le détail.
Je me suis mise nue devant elle, non sans avoir fait le nécessaire pour me mettre en valeur, ni trop vite, ni trop lentement, et une fois nue, je l’ai entendu me dire :
- Et vous aimez les filles comme les hommes ?
- Je n’ai aucun apriori et d’ailleurs je suis active, comme passive.
- Cela pourrait m’intéresser, me dit-elle, les yeux brillants de désirs.
- Vous n’aurez qu’à me contacter, dis-je en souriant !
Puis j’ai pris congé et en me disant au revoir, j’ai senti sa main toute moite dans la mienne, la serrant avec une certaine insistance.

Deux jours plus tard, elle me contactait par message et j’acceptais ma première soirée…
Elle me donnait les instructions sur mon téléphone portable et me demandais de me rendre à une certaine adresse, vêtue de manière correcte, comme pour le rendez-vous et me donna également certains détails sur les sujets de conversation que je devrais être capable de tenir.
Le jour même j’ai posé quelques jours de vacances pour être plus libre de mes mouvements.

Le soir arrivée sur place au lieu de rendez-vous, une grande bâtisse bourgeoise, je fus accueillie, comme trois autres filles, par une bonne qui avait visiblement des instructions très précises.
Après nous avoir accueillies, elle nous fit passer dans une chambre et nous demanda de revêtir des tenues préparées à notre intention. J’héritais d’une jolie robe noire assez courte mais pas trop décolletée. Je dus également revêtir des sous-vêtements noirs assez minuscules, ainsi que des bas noirs à élastique.
Une fois toutes prêtes, nous fûmes amenées dans le grand salon de la maison, où nous attendaient six hommes, d’allure très distinguée, tous âgés de quarante à cinquante ans environ.
Le début de la soirée fut très courtois, conversation de prise de connaissance debout autour d’un verre de champagne, ce ne fut qu’après un long moment que le maître de maison choisit de mettre de la musique d’ambiance et de nous convier à danser ou à nous asseoir sur les nombreux canapés du salon.
Ne désirant pas danser, comme les autres filles, je me retrouvais alors à côté d’un homme aux tempes grises qui m’avait l’air d’un parfait homme du monde. Quelle ne fut pas ma surprise quand il se pencha vers moi pour me dire en substance :
- Nous savons que votre engagement pour cette soirée est très précis, mais en tant que nouvelle, je tiens à vous informer que vous pouvez faire plus en mettant un peu de bonne volonté pour terminer au mieux cette soirée.
Je répondis que c’était ma première soirée, mais qu’effectivement j’étais ouverte à toutes propositions et que je pouvais donc accepter quelques petits extras…
- Vous verrez, me dit l’homme, vous ne serez pas déçue, car nous sommes généreux.
Puis, l’homme sur un ton impératif, me demanda de me lever et d’enlever mon mini-slip, puis de relever lentement ma robe, jusqu’à ce qu’il voie à loisir mon intimité, intégralement épilé. Cela sembla lui faire de l’effet de voir mon membre en semi-érection, et dit :
- Voilà enfin la nouveauté que nous attendions tous !

Deux hommes, dans un coin de la pièce, étaient en train de s’occuper d’une des filles qui, suçant l’un se faisait doigter par l’autre, peu de temps après les trois complices se levèrent et disparurent pour aller dans une autre pièce de la maison, j’ai pensé à cet instant que l’affaire avait été conclue entre eux…
Les deux autres hommes qui dansaient avec les deux autres filles vinrent vers nous pour voir cette soi-disant nouveauté dont l’homme près de moi venait de parler, les filles aussi se joignirent aux deux hommes pour venir vers moi.
L’homme me demanda si j’étais d’accord pour prolonger la soirée de façon plus intime, et lui disant que je ne voyais aucun inconvénient à cela, il commença à s’occuper sérieusement de moi, de façon très intime…

L’homme me fit asseoir sur ses genoux, le dos contre son torse et prenant mon sexe en main commença à me branler, un des deux hommes s’approcha et me présenta son membre et je n’eus qu’à me pencher un peu pour le prendre entre mes lèvres et commencer à le sucer.
Le fait de me pencher pour sucer le deuxième homme fit découvrir mon œillet plissé à l’homme qui me branlait en étant sur ses genoux, il ne fut pas long pour qu’un doigt s’enfonce dans mon petit trou et ne me fasse gémir…
- T’es une bonne fille, le dit l’homme !
- Et elle suce comme une reine, ajouta l’autre.
Pendant ce temps, une des filles ‘approcha de nous et de ses lèvres gourmandes remplaça la main de l’homme, tandis que l’autre à genoux au pied du troisième, le suçait comme une démente. Il ne fut pas long pour qu’elle se retrouve à quatre pattes embrochée par le sexe qu’elle venait de sucer et les gémissements qu’elle poussait étaient la preuve du plaisir qu’elle prenait…
Alors que je suçais, tout en étant sucée, je sentis soudain la présence du gland de l’homme à l’orée de mon œillet, me redressant un peu, lentement je fis entrer le gland en moi qui força sans obstacle la barrière de mon sphincter, faisant réagir l’homme qui dit :
- Ahhh ! Ma salope, tu t’encule toute seule…
Le deuxième homme se dégagea de mes lèvres et se plaçant derrière la fille qui me suçait et la prenant par les hanches, la pénétra d’une seule poussée, la faisant hurler en libérant mon sexe.
A partir de cet instant chaque homme se déchaina sur sa partenaire, les filles furent pénétrées puis sodomisées, tout comme moi d’ailleurs…
La soirée dura jusqu’au milieu de la nuit, nos orifices furent visités à tour de rôle par les trois hommes, qui ne se privèrent pas de jouir en nous.

La soirée se termina par une distribution d’enveloppes et chacune de nous regagna sa maison.
Juste en partant, l’homme me dit :
- Je crois que nous nous reverrons bientôt…

A suivre…