Allan Ou Les Débuts D'Un Désireux De Découvrir Le Libertinage

Histoire vraie

Nous avions décidé ma tendre et moi d’explorer les rives inconnues du libertinage.
En couple illégitime, nous avions déjà découvert quelques facettes des rapports de dominance entre nous.
Sophie, avait découvert qu‘elle aimait être soumise durant nos rapports. Je m’étais fait un plaisir de la dominer en utilisant un langage cru ainsi que des accessoires, comme les menottes, les godes, bref, tout ce qui pouvait pimenter un peu nos délires.

Je découvris également qu’elle aimait parfois dominer et je me prêtais au jeu découvrant que je pouvais aussi trouver beaucoup de plaisir à être son jouet… Nous étions allés chercher des godes, un harnais et d’autres artifices, dans un sex-shop où ni l’un ni l’autre n’avions mis les pieds auparavant.

Ce fut un pic d’adrénaline que les plus adeptes des jeux libertins accueilleront comme une banalité, mais qui nous fit beaucoup d’effet. Comme entrer dans un espace où tout semble permis, un espace de liberté fascinant et luxuriant.

Nous donnant l’un à l’autre, nous désirions aller plus loin pour prouver à l’autre ce que nous étions capables de faire par amour.

De façon assez naturelle, nous décidâmes d’aller voir des sites de rencontres libertines.
Nous fîmes quelques photos toutes plus banales les unes que les autres n’osant pas trop, mais allant quand même trop loin. Notre présentation et nos photos, attirèrent tout un tas d’hommes qui ne correspondaient pas toujours à nos attentes. Nous allions de déception en déception lorsqu’un jour un étrange pseudo nous contacta, il se disait maître et se proposait de nous accompagner sur les rives inexplorées des plaisirs interlopes.

Son pseudo même de « Comte »nous semblait attirant et nos fantasmes rejoignaient alors ceux d’un marquis fort connu. Il fut patient et nous pûmes lui poser toutes sortes de questions et entrer petit à petit dans ce monde fascinant de la soumission que nous avions choisit d’explorer pour nous prouver notre attachement.


A défaut de visage nous pouvions déjà mettre un nom sur nos fantasmes.

Nous finîmes par le rencontrer mais l’aventure tournât court et notre trio ne tînt pas ses promesses. Notre compagnon de route s’était montré imprévoyant et Sophie n’avait pas pu être pénétrée pour une bête histoire de préservatif.

Las, nous ne nous avouions pas vaincu et décidâmes de retenter l’aventure. ALLAN se présenta sur le site, il semblait réellement connaître son affaire et se montrait, à notre égard, assez directif, mais sans trop insister.
Il nous mettait en condition d’aller plus loin parlant à demi-mot sans trop se dévoiler mais répondant à toutes nos questions.
Nous avons réussit à passer le cap de notre timidité et nous l’avons appelé. Il m’a paru très sur de lui et très libéré. Je fut rapidement conquis et insistais pour que Sophie accepte de lui téléphoner aussi.
Elle fut conquise par sa voix grave et douce et ne put même pas le tutoyer ce qui laissait augurer des meilleures suites…



Lorsque nous étions seuls, nous incorporions ALLAN de plus en plus fréquemment à nos fantasmes le décrivant comme celui qui avait toute les qualités pour nous conduire beaucoup plus loin dans le libertinage.
Sophie se faisait de plus en plus à l’idée de lui appartenir entièrement. Elle était prête à se donner à lui comme un amante et plus encore. Elle acceptait peu à peu l’idée qu’il serait notre guide.

Notre désir s’alimentait de nos fantasmes les plus débridés. Elle voulait se donner à lui et qu’il me transforme en BI même si pour cela, il devait me soumettre également.
Je savais intérieurement que pour satisfaire les fantasmes de Sophie, il faudrait qu’on me « force » un peu la main et le passage par la case soumission semblait de plus en plus inéluctable.

ALLAN dut le sentir puisque peu de temps après, il m’imposait une épreuve :
Je devais porter toute une journée, un lien autour de mes couilles et les prendre en photo.
Je devais même les lui envoyer.
J’hésitais un moment, puis me décidais à passer ce test.
ALLAN en fut fort satisfait et se montrât impatient de nous voir tous les deux.

Sophie se montrait également impatiente et j’avoue que de mon côté, je commençais à compter les jours qui nous séparaient de notre rendez-vous avec ALLAN.
Lorsque nous parlions tous les deux, il m’appelait parfois « ma petite salope » car d’expérience, il savait qu’il faudrait me pousser pour que j’aille plus loin.

Le rendez-vous fut pris et j’allais le chercher en voiture pour monter chez Sophie.
En route nous avons parlé de tout sauf de notre rencontre. Il me racontât comment il en était arrivé au libertinage, mais rien de plus. L’ambiance dans la voiture était à la fois détendue et électrique. Un détonnant mélange qui me rendait un peu fébrile.

Je n’arrêtais pas de penser qu’il allait partager nos jeux et je me demandais comment il allait s’y prendre. Il semblait tout à fait sur de lui. Beau gosse, Athlétique, le jeune Quinqua plein de vie et d’expériences.
Tous les scénario que nous avions élaboré Sophie et moi, tournaient et retournaient dans ma boite crânienne prête à exploser.

Plus je me rapprochait de l’hôtel et plus j’avais du mal à contenir ces fréquentes montées d’adrénaline.
- Allait-il immédiatement prendre les choses à son compte ?
- Allait-il nous laisser complètement faire et s’immiscer imperceptiblement entre nous pour un trio ?
- Allait-il nous guider d’entrée de jeu ?
- Allait-il directement participer avec nous dans un trio directif où il m’écarterait lentement pour profiter de Sophie ?
- Serait-il dur ? tendre ?
Je ne parvenais pas à faire le tri et plus je roulais plus je me demandais si je parviendrais à faire taire ma jalousie car quoi, CET HOMME ALLAIT POSER LES MAINS SUR SOPHIE !!!
Mon bel amour allait embrasser, sucer et peut-être même se faire pénétrer par cet homme.

Lui semblait serein … Qu’était-il en train de penser ?
Sa voix était un peu rocailleuse dans les graves avec des modulations de douceur et de dureté mêlées…
Je sentais poindre par moment une certaine tendresse lorsqu’il parlait des femmes et j’en vins à penser qu’il était un homme respectueux, sachant où il allait, ce qu’il désirait et comment l’obtenir.

Je sentis que nous allions passer un excellent moment même si implicitement, nous lui laisserions les reines de notre relation…

Nous arrivâmes à l’hôtel en même temps que Sophie.
Elle était comme à l’accoutumée, belle, grande les cheveux courts, blonds, elle avait le pas léger laissant onduler les rebords de sa jupe au vent léger et sa magnifique poitrine au rythme de sa marche. Rien ne pouvait laisser entrevoir que cette femme distinguée, venait dans cet endroit pour un trio amoureux avec son amant et un homme pratiquement inconnu à qui elle laisserait le privilège d’explorer ses formes généreuses, somptueuses et tellement gracieuses.

En m’approchant d’elle je vis toutefois, qu’elle était nerveuse, son regard trahissait une grande envie teintée d’une non moins grande anxiété . Elle aussi avait bien sur réfléchit au même choses que moi.

ALLAN, sur de lui et en homme fort courtois, nous entrainât dans le salon de l’hôtel pour boire un café, discuter et ouvrir le livre de notre aventure encore vierge.

Excellent moyen de faire connaissance et de nous détendre un peu car nous étions Sophie et moi tendus comme des arcs…
Nous avons discuté de tout et de rien comme de bons amis . ALLAN savait y faire car je commençais à me sentir mieux, pour tout dire en confiance et je voyais que Sophie s’installait de façon plus confortable dans son fauteuil, signe qu’elle aussi commençait à se sentir mieux.

Vînt l’instant d’émotion où nous dûmes accepter de nous lever de ces sièges protecteurs pour monter vers l’inconnu… qui sait, le septième ciel ???
Nos jambes tremblaient à l’approche de cette porte qui s’ouvrirait sur les mystères encore insoupçonnés des jeux secrets dont seul ALLAN semblait avoir les clefs…

Il n’y avait pas lieu d’être inquiets outre mesure car ALLAN est un parfait gentleman.

Il nous laissât commencer Sophie et moi … comme nous l’espérions l’un et l’autre … il viendrait plus tard.
Il était venu, comme nous le lui avions demandé avec un appareil photo car il nous avait avoué sa passion pour cet art.
Il s’était proposé de faire de cette séance un « shooting day ». Sophie et moi en étions même venus à penser que ce n’était que ça ... pour nous rassurer… fallacieux prétexte …

De fait, nous avons commencé à nous embrasser, nous effeuiller, nous aimer devant cet homme qui semblait soudainement avoir disparu.
Les déclics de son appareil étaient à peine perceptibles et nous les avons oublié rapidement nous goûtant l’un l’autre comme si nous avions été seuls… Entièrement seuls.
C’est à peine si nous avons senti le matelas s’affaisser légèrement lorsqu’il posât doucement les genoux sur le lit. J’étais en train de prodiguer à ma tendre une de ces caresses linguales dont nous raffolons tous les deux.
De sa voix caressante, il nous dit :
- « Vous êtes très beaux tous les deux, très amoureux, continuez … »
Il se mit à caresser Sophie qui se pâmait sous les douces sensations de ma langue sur son clito et des mains d’ALLAN sur ses joues, ses épaules, son ventre, ses jambes…
Il me caressât la tête.
- « C’est bien, fait la monter encore dans les tours… »
De nouveau ses mains sur le corps de celle à qui je m’évertuais à donner du plaisir et qui frissonnait de plus belle lorsque les doigts de notre invité se posèrent délicatement sur ses seins, agaçant les pointes et les faisant se dresser.

Il se penchât sur elle et l’embrassât à pleine bouche la caressant encore laissant descendre ses doigts sur son clito pendant que ma langue tournait à l’intérieur de sa fournaise toute humide d’envie et de désir…
Je me mis à lécher les cuisses pendant qu’il la doigtait doucement.
Sophie se tortillait de plus en plus et coulait comme rarement … elle ne savait déjà plus ce qui se passait réellement et laissait monter la jouissance en elle.

Je l’avais préparée et ALLAN la finissait aux doigts elle inondait sa main. Il récolta le précieux nectar et m’en barbouillât la figure.
- « Regardes et sens comme elle aime… elle est toute chaude… »
Il m’appuyât sur la tête pour que je reprenne mon office pendant qu’il retournait l’embrasser.
Je n’avais même pas remarqué qu’il était NU !!!
A genoux près de Sophie qui se remettait à peine de ce subit éclair de jouissance, il profitât de ce qu’elle tournait la tête vers lui pour s’avancer vers elle lentement en la couvrant d’un regard qui semblait lui dicter la conduite à tenir en pareil cas.

Il n’eût pas besoin de prononcer un mot et je vis le visage de ma belle s’approcher silencieusement de ce sexe dressé, conquérant et gorgé de désir pour le caresser de ses lèvres rouges et pulpeuses, y hasarder une langue timide et sur une silencieuse et invisible injonction l’accueillir entre ses lèvres ouvertes…
CA Y ETAIT , ELLE LE SUCAIT !!!
Je continuais mon œuvre linguale et je la sentais vibrer de plus en plus fort. Ses jambes se serraient autour de ma tête, spasmodiquement au rythme de mes coups de langues qui, au passage, buvait goulument le liquide qui s’échappait de sa chatte.
Elle n’était plus très loin .

Dans sa tête, ce devait être le même séisme que dans la mienne. Elle sentait ma langue sur et dans sa chatte trempée, mais en même temps, elle était en train de sucer la bitte d’un homme qu’elle n’avait encore jamais vu une heure avant !!!
Sa jouissance montait, montait, fulgurante, incontrôlable explosive et soudain, gémissant sur cette queue qui obstruait sa bouche et étouffait ses cris, elle se crispât et jouit dans un râle rauque en mordant au passage le gland d’ALLAN qui sursautât et retirât son gland le plus rapidement qu’il pût.
Ma jalousie m’avait fait battre le cœur de façon soudaine et prévisible, mais l’incident m’amusât…
Ce sentiment s’immobilisât instantanément lorsque profitant de l’état extatique de Sophie, il s’allongeât près d’elle pour un long moment de tendresse ou tous les deux souriaient, s’embrassaient, se caressaient… On aurait dit deux amants et Sophie ne semblait plus du tout aussi nerveuse, caressant ce corps athlétique et musclé.
Hasardant ses doigts sur les bosses abdominales parfaitement dessinées, sur ces pectoraux impeccables … et finalement sur ce sexe toujours tendu.
Elle en appréciait les contours, en flattait l’épaisseur, suivant d’un doigt mutin la grosse veine bleue qui palpitait … Lui, fermait les yeux en embrassant ses seins et en caressant ses formes gracieuses.

J’étais à la fois dévoré par la jalousie et admiratif de l’intrinsèque beauté du tableau animé que Sophie et ALLAN offraient à mes yeux.
Je pris l’appareil photo et mitraillais la scène. Les scènes qui se succédaient. Leur 69 somptueux et fiévreux…FLASH
ALLAN à genoux et Sophie en levrette la bitte dans la bouche… FLASH
Les doigts d’ALLAN sur le clito de ma bien aimée qui se tord de plaisir… FLASH
4 doigts dans sa chatte et ses yeux qui se révulsent de bonheur… FLASH, FLASH, FLASH.
Et puis ses embrassades pleines de sourires complices… j’avais le triste sentiment de ne plus exister …
Je vivais ma frustration mais la beauté de ces deux corps enlacés, m’hypnotisait.
Je décidais cependant d’y mettre fin en revenant sur le lit. ALLAN toujours gentleman, me laissât faire.
Je caressais mon amour, partout où ALLAN avait posé les mains. Je posais mes lèvres partout comme pour effacer d’invisible traces. Lui, avait repris l’appareil et nous laissât nous aimer tous les deux. Enfin, je pouvais me laisser aller, oubliant ALLAN, à aimer cette femme comme bon me semblait… ENFIN !

J’existais de nouveau sous les mains, les baisers, la langue et la bouche de Sophie et ALLAN nous couvait d’un regard remplit de tendresse amusée.
Je présentais mon sexe dur l’entrée de la fourche ouverte de Sophie qui m’attendait, me désirait, me voulait en elle. Pour la « punir » de s’être si bien donnée, je décidais de la faire languir un peu en ne lui accordant pas tout de suite ce qu’elle voulait tant !

Je laissais glisser mon gland sur les grandes lèvres trempées, sur les petites vibrantes et sur le clito gonflé, ce qui lui arrachât des soupirs d’impatience.
J’immobilisais mon gland sur cette entaille trempée et sous le regard bienveillant et photographique de notre invité, je pesais pour entrer doucement… juste le gland avant de …m’immobiliser à nouveau.

Sophie râlait de dépit balançant son bassin vers le mien. En toréador expérimenté, j’évitais ses charges vigoureuses. La laissant essayer et essayer encore de s’empaler.
Lasse d’essayer, elle se décidât à me laisser faire m’accordant le droit de guider les choses à ma guise.
J’appuyais un peu plus et elle m’accueillît, heureuse, au plus loin de ses intimes profondeurs, baignant mon sexe de ses tendres moiteurs.
Nous nous laissâmes emporter dans les remous amoureusement érotiques sous l’œil attentif d’ALLAN qui shootait le défilé de ces scènes.
Profitant, de la levrette que Sophie m’offrait, ALLAN s’approchât lentement de Sophie qui avait posé sa tête sur le drap.
Il lui pris les cheveux sans brutalité et levât son visage à la hauteur de ce sexe toujours fort. Sans se faire prier et comme s’il se fut agit de quelque chose d’absolument naturel, elle ouvrit la bouche et le laissât pénétrer l’espace ouvert de ses lèvres gourmandes.

Ma jalousie n’était plus aussi gênante et je profitais pleinement de ce fantasme que Sophie et moi avions tant de fois évoqué en pensant justement à ALLAN … Je n’étais pas le seul et Sophie semblait aimer ce rôle de femme offerte, guidée et consentante.
ALLAN semblait savourer cette pipe dont Sophie le gratifiait en même temps que l’imperceptible ascendant qu’il prenait doucement sur nous…

Je m’en rendis compte lorsqu’enlacé avec Sophie, ALLAN vînt derrière moi et posât un gode sur … MON CUL !!!
Il l’enfonçât brusquement, en une seule fois, mais j’étais tellement pris par la tendresse que je partageais avec mon amoureuse que je ne sentis la douleur de la pénétration que de façon diffuse même si elle fut soudaine et fulgurante. Tellement que je restais sans rien dire… juste un gémissement…
Le plus surprenant, c’est que j’attendais une suite … qui ne vînt pas !
Il m’avait mis le gode, puis l’avait retiré tout aussi rapidement… puis plus rien.

J’avais l’impression qu’il venait de me faire passer un test pour voir comment je réagirais. Mon absence de réaction venait sans aucun doute lui en apprendre beaucoup.

Il fit le tour de notre couple mêlé et préparât le cul de Sophie de façon délicate et tendre.
Elle acceptât en soupirant le gode qu’il fit glisser en elle. Il le fit aller et venir pendant qu’elle m’embrassait et que je la doigtais amoureusement.
Sans prévenir je la sentis vibrer, elle se mit à miauler et à me griffer le dos en cherchant à me mordre…
NON, CE N’ETAIT PAS POSSIBLE !!!

… Elle venait de jouir sourdement…

SON TOUT PREMIER ORGASME ANNAL !!!

Et c’est ALLAN qui venait de lui offrir ce cadeau qu’elle venait d’accepter sans sourciller et visiblement heureuse de cette découverte !!!

Sophie et moi étions abasourdis au delà des mots… vivant la surprise intensément, silencieusement.
Décidément, il était habille notre cher ALLAN observateur et patient.

J’avais la nette impression qu’il prenait mentalement des notes sur ce qu’aimait Sophie, sur son potentiel extatique, ses aptitudes à se laisser guider ainsi que les miennes…
Il devait sans doute éprouver nos limites … pour plus tard …
Bizarre quand même parce qu’il nous avait dit qu’il ne faisait pas dans les relations suivies…
Il se relevât et me gratifiât d’un regard satisfait et conquérant qui me glaçât les os. Il semblait me dire :
« Tu vois, je suis capable de la faire jouir comme tu n’y aies jamais parvenu. Non seulement elle s’est laissée aller mais en plus, elle en est heureuse … nous y reviendrons plus tard… tu verras. »

Ce ne fut qu’un éclair, mais j’avais reçu le message. Un message qui m’excitait et m’effrayait en même temps.

ALLAN s’approchât de moi et me dit :
« On va essayer un truc ok ? »
« … Heuuuu oui ok… »
Il allât fouiller dans une petite valise qu’il avait amené avec lui et revînt avec des menottes, un bâillon latex, un collier et un crockr…

« Regardes Sophie… »

Il me menottât les poignets devant, installât le bâillon et le collier sous les yeux grands ouverts de Sophie qui sentait qu’on basculait là, dans un domaine absolument inconnu, où nous n’avions aucun repaires et où il fallait s’en remettre uniquement à ALLAN qui oeuvrait en homme sur de lui et de son savoir.

IL penchât Sophie sur mon ventre en lui disant :
« Fais le grossir, remets le en forme. »
L’ordre avait été lâché doucement mais ne supportait pas d’être enfreint. Sophie le comprît qui se penchât sur mon sexe et me fît grossir dans sa bouche.
ALLAN lui indiquât comment serrer la base de ma bitte pour maintenir ou accen mon érection. Puis il passât lui même le cockring à la base de ma queue.

Il prit une corde et l’enroula sur mes jambes, mon bassin et pour finir autour de ma queue. Sophie silencieuse regardait ébahie… encore des leçon qu’ALLAN mettait sans doute dans un coin de sa tête …

Sophie se remît à me sucer sur les conseils d’ALLAN qui se montrait présent et directif.
Il lui indiquait comment lécher mes bourses, remonter sur ma tige, agacer mon gland avec la langue ou avec les dents et Sophie obéissait en tout montrant ainsi son tempérament et sa volonté de le laisser nous guider.
J’étais au bord de l’explosion mais chaque fois, elle s’interrompait pour retarder ma jouissance… C’était à devenir dingue mais c’était tellement bon, tellement nouveau, tellement troublant de la voir faire, de la voir obéir et d’en tirer un tel plaisir …

ALLAN se plaçât derrière Sophie toujours en levrette et qui me suçait avec ardeur. Il insinuât sa queue entre ses fesses et j’ai vraiment cru qu’il allait la prendre je ne savais s’il allait entrer dans sa chatte ou pire … DANS SON CUL …
J’avais fais découvrir la sodomie à Sophie quelques semaines auparavant mais je n’étais pas prêt à la laisser donner (ou se laisser prendre) par le cul.

En même temps, dans ma position, je n’étais pas en mesure de m’opposer à quoique ce soit et le pire, c’était que Sophie ne s’était pas interrompu, comme si la chose allait d’elle même et qu’elle acceptait d’ores et déjà de laisser ALLAN entrer en elle comme il le désirait.
Il faisait aller et venir sa bitte entre les lobes fessiers généreux et magnifiquement rebondis de ma tendre fellatrice qui n’arrêtait pas de me sucer et devait en même temps sentir le gland d’ALLAN frotter alternativement sa chatte outrageusement ouverte et son anus qui sans doute palpitait ;.. comme lorsque JE lui faisait cette caresse.
Il jouait avec nos nerfs et …
Il se détachât de nous pour prendre de nouvelles photos !!??!!!

J’acquis à ce moment là, la certitude qu’il nous préparait pour une suite éventuelle où les choses iraient tout autrement…
Où il prendrait un contrôle plus grand … plus évident .

C’est lui même qui arrêtât Sophie qui semblait prisonnière d’une véritable de frénésie sexuelle. Nous savions lui et moi qu’il aurait pu profiter de ce moment pour prendre le contrôle de Sophie et de moi de façon définitive sans que ni elle ni moi n’opposions la moindre résistance, il nous avait préparés et nous étions à point.

Il n’en fit rien et profitât de ce que Sophie était assise encore hébétée pour me débarrasser de tous les accessoires non sans ajouter :
« Voilà, vous voyez comme il faut avoir confiance les uns dans les autres pour accepter ces choses là avec la certitude que ça ne va pas dér. C’est bien de m’avoir laisser le contrôle… »

… sous entendu… « Si je l’avais voulu… »

oui j’avais compris le sous entendu. Sophie émergeait doucement de son état de transe (sexuelle ha ha) et ne compris pas ou n’entendit pas ce que venait de dire ALLAN…

En réalité, elle n’avait pas exprimé le fait qu’elle l’avait compris. Pire, elle l’avait profondément intégrer sans le mentionner…

ALLAN pris encore beaucoup de cliché de nous deux en train de faire l’amour dans diverses positions. Sophie prenait un plaisir trouble à me laisser l’aimer sous les yeux d’un homme qui prenait physiquement et psychologiquement de plus en plus de place pour nous … entre nous devrais-je dire.
En effet, lorsque je voulu lui prendre les fesses, elle me le refusât jetant en même temps un coup d’œil vers ALLAN.
Je me sentis spoiler d’une part d’elle même. Avait-elle aussi senti que notre hôte avait des désirs de suites ?
Désirait-elle secrètement s’offrir à lui plus tard, entièrement et voulait-elle lui réserver cette entrée pour la fois prochaine…
Je restais sur ces considérations et me contentais de revenir dans sa chatte. Elle se donnât à moi et me laissât jouir en elle calquant sa jouissance sur la mienne.
Nous restâmes un long moment à nous câliner au son de l’appareil photo toujours là, capturant chaque instant d’amour et de tendresse.
Au moment où je voulus me relever, ALLAN m’appuyât sur la tête pour que je nettoies Sophie des filets de spermes qui lui engluaient l’entre jambe.
Silencieusement, je m’exécutais et nettoyais le sexe de ma belle sous le regard dur d’ALLAN.
La séance pris fin et nous dûmes repartir chacun de notre côté. Sophie remontât dans sa voiture après m’avoir donné un long baiser et ALLAN et moi remontâmes en voiture pour un trajet de retour durant lequel nous fîmes divers commentaires . Il était très satisfait et me redit que nous étions très beaux tous les deux .

Je sentis qu’il avait une idée derrière la tête mais je n’eus que cette impression car il refusât d’en dire plus.

Je vous compterais la suite véridique et très chaude de cette aventure si vous le désirez bien entendu.
Elle fera encore l’objet de deux autres épisodes.
Yann et Sophie

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