D'Accord
Je suis en couple depuis 14 ans, jai aujourdhui 29 ans et je suis toujours folle amoureuse de mon compagnon.
Tout de fois, jai la mauvaise habitude, par période de tromper mon compagnon, et Dieu sait à quel point je laime, et je suis dautant plus contente de le retrouver ensuite
Niveau sexuel, ça na jamais été entre nous, il est ce quon appelle un éjaculateur précoce, ou qui ne dur par longtemps.
Jaime pourtant le sentir en moi, malgré que ça soit bref, il me désire toujours autant, il me désirait dailleurs quand jétais ronde, il maimait pour ce que jétais
Mais jai ce besoin de plus
Aujourdhui, je prends sur moi, je tente de ne plus le tromper, je lai fait bien assez de fois, il ne mérite pas cela, alors je suis sur un site, où je sélectionne les hommes avec qui je discute, je ne discute pas souvent, pas avec beaucoup dhommes différents, à croire que lorsquon saffiche en couple on est encore plus désirable ?
Ca fais des mois que je discute avec un homme âgé, séduisant pour son âge, on discute de tout, même de sexe, mais je ne ressens pas de côté pervers, je me confie si je puis dire.
Aujourdhui, mon compagnon fait la nuit, je vais aller manger un bout avec cet homme, sans arrière-pensée, bien sûr.
Dans mon bain, je me demande ce que je vais bien pouvoir mettre, je décide que je mettrais mon pantalon noir avec une blouse blanche très légèrement décolleté, mes talons blancs, des sous-vêtements blanc
Une fois arrivé là-bas, nous discutons de tout et de rien, rigolons ensemble, parlons de ses histoires passées, de ses petits-s, etc
On finit par retourner chez lui, assise sur le divan et lui le fauteuil en face de moi, nous continuons à discuter, toujours de tout et de rien, on repart sur certaine des conversations que nous avons eu sur le site, fumons une cigarette, buvons un verre.
- Est-ce que tu ferais plaisir à un vieil homme ?
- Dites toujours ?
- Jaimerais beaucoup te voir en sous-vêtements.
- Vous mavez déjà vue en photo. Dis-je en rougissant.
- Cest vrai, mais ce nest pas pareil sais-tu !
- Je peux vous poser une question ?
- Oui, dis-moi ?
- Vous voulez coucher avec moi ?
- Oh non, ce nest pas mon but, je ne compte pas te pénétrer si je peux te rassurer.
- Daccord, parce que vous savez que jessaie déviter cela le plus possible.
- Oui, et je respecte ton choix !
- Je vais vous faire plaisir alors.
Je me levais, un peu tremblante et retirait mon tee short, il me regardait attentivement et je déboutonnais mon pantalon, le faisant glisser le long de mes jambes et le retirant en nenlevant pas mes chaussures.
- Waou, tu es magnifique !
- Merci cest gentil
- Tu peux tourner lentement sur toi-même ?
- Oui
Je me my à tourner lentement sur moi-même, lui exposant mon string, mes fesses et arriver une fois face à lui, il me fit un sourire.
- Jaimerais beaucoup que tu retires tes sous-vêtements.
- Vous nexagérer pas un peu là ? Dis-je en rigolant.
- Tu ne peux pas dire que jai vu une photo de toi nue ! Dit-il lui-même en rigolant.
- Et moi, vous me faites plaisir comment ?
- Je toffre un autre restaurant ?
- Çà à lair pas mal
Toute gênée, je dégrafais mon soutien-gorge et le retirais, lui exposant mes seins, je jetais le soutien-gorge sur le fauteuil et mis mes mains sur les bords de mon string le faisant descendre le long de mes jambes, faisant passer un pied et puis lautre, redressée, je jetais mon string vers mon vieil ami.
- Un cadeau
Dis-je lévitant des yeux.
- Joli cadeau.. Répondit-il un peu désorienté.
Il ne me quittait pas des yeux, et dit :
- Viens tasseoir sur le bord de la table s'il te plait, que je puisse bien regarder ton entre jambe.
Sur le coup, si javais pu me cacher, je laurais fait ! Jallais donc masseoir face à lui, sur le bord de la table et écartai les jambes, me penchant un peu en arrière.
Il se leva et parti dans la cuisine, mapportait un verre deau et se prit un verre de vin.
- On fait un jeu ?
- Lequel ?
- Je vais te poser un tas de question gênante, tu dois répondre sincèrement.
- D'accord
- Alors dis-moi, aimes-tu sucer ?
- Oui
- Est-ce que tu avales ?
- Non
- Et te laisses tu faire une éjaculation faciale ?
- Oui, ça arrive.
- Et la sodomie ? Tu as déjà pratiqué ?
- Non
- Pourquoi ?
- Je ne sais pas, je naime pas
- Daccord
Dis-moi trois de tes fantasmes ?
- Jaimerais le faire avec deux mecs, le faire en étant e et le faire en étant regardée.
- Coquine ! Dit-il en se levant.
Il partit derrière moi, je lentendis ouvrir un tiroir et il revint, arrêté derrière moi, il passait un collier autour de mon cou.
- Laisse-moi te regarder, ah oui, tu es mignonne !
-
Je ne dis rien ne sachant pas quoi dire
- Attends (sapproche de moi) voilà ! (met une laisse au collier)
- Euh
- Tu me fais confiance ?
- Euh, oui
- Je te promets que lon ne fera pas lamour, rien de tout ça.
Il me fit me lever et le suivre en tirant doucement sur la laisse, il ouvrit une porte et on en descendit les escaliers, était-ce la fameuse pièce dont il mavait parlé ? On arrivait dans la cave, une cave tout ce quil y avait de plus normal, mais il ouvrit une autre porte, il allumait la lumière, celle-ci restait sombre et donnait limpression dêtre prête à séteindre à tout moment.
Je regardais un peu dans la pièce et y vit au fond une cage, sur les murs des menottes accrochées à des chaines, une table avec des choses que je naurais su définir doù jétais.
- Je ne tavais pas mentis ! Me dit-il.
- Oui, cest vrai
- Tu as peur ?
- Non, mais disons que tout cela nest pas rassurant vu ainsi
- Suis-moi. Dit-il en passant devant moi et tirant sur la laisse.
Il ouvrit la cage et me fit rentrer dedans, à genoux, il prit mes mains et les attachais aux menottes qui passait par-dessus. Il la refermait à laide dun cadenas et me dit :
- Comment te sens-tu ?
- Enfermée
- Ah oui, ça cest le moins que lon puisse dire. Dit-il en rigolant.
- Vous allez faire quoi maintenant ?
- Tu es à ma merci, non ?
- Oui
- Je pourrais te garder indéfiniment aussi.
- Oui
- Ça texcite dêtre ainsi ?
- Oui. Dis-je baissant la tête, de honte
- Retourne-toi, face aux murs, les menottes te le permettent.
Je me retournais, jétais face au mur, je sentis un coup sur ma fesse gauche, pas trop fort mais assez pour me faire sursauter, je tournais la tête comme je le pouvais, il me dit de me remettre face au mur, et de remercier à chacun des coups. Jeu le temps de voir quil avait une cravache à la main.
Et une dizaine de merci se fit, je sentis bien quil ne cherchait pas à faire mal, sinon il aurait fait plus fort. Il me fit se remettre face à lui, saccroupis et me regardais pendant un moment.
- Çà va toujours ? Dit-il sinquiétant vraiment.
- Oui.
Il ouvrit la cage, détachait mes menottes et me fit sortir, javais tout de même des lancements aux fesses. Il mamena près des menottes accrochées au mur et plafond, il accrochait mes mains au menottes retombant du plafond, elles étaient en cuir, mes chevilles était accrochées à des menottes qui était dans le bas du mur, mécartant complètement les jambes. Il me mit un bandeau sur les yeux et me dit alors :
- Comment tu te sens ?
- Impuissante
- Tu es très belle, sache-le !
- Merci
Ses mains caressaient mon visage, mon cou, ma poitrine, mon ventre, mon entre jambes, les jambes
Il me caressait partout ! Il sabsentait et revint, je fus surprise quand je sentis ce froid, il passait avec un glaçon sur le long de mon corps, sattardant sur mon entre jambe, lorsque celui-ci fut fondu, il fit de même avec deux glaçons, cette fois sattardant sur le bout de me seins, un tas de sensations se faisait en moi, je ne me contrôlais plus vraiment.
Il sentait, ou voyait que je mexcitais, que jaimais en quelques sortes cette situation
Lorsque les glaçons furent fondus et coulait bien de mon sexe, il sy remit, men remettant quatre
Il décidait darrêter, me mit une petite gifle, comme pour me réveiller.
- Alors, tu aimes ?
- Oui !
- Tu es excitée ?
- Oui
- Et je suppose que tu as chaud ?
- Aussi
Il me versa un seau deau sur moi me faisant pousser un cri.
- Ça va mieux ? Refroidie ?
- Pourquoi vous avez fait ça ?
- Pour te refroidir pardi !
II détachait les menottes à mes chevilles et me fit me retourner, il les rattachais et les étendais me forçant à me pencher, les fesses vers lui, bien exposée.
- Tu nas rien à me demander ?
- Non, pourquoi ?
- Je pensais que tu voulais que jécarte ton anus.
- Non
- Je vais pourtant le faire, mais jaimerais mieux que tu me le demande.
-
- Je te promets de faire attention et doucement.
- Voulez-vous bien mécarter mon anus s'il vous plait ?
- Demandé si gentiment !
Il mit une crème, un lubrifiant sur ses doigts et je sentis ceux-ci venir caresser mon anus, se frotter, faire des ronds dessus, remettre de la crème, senfoncer peu à peu, il y allait lentement, progressivement, lubrifiait assez souvent, javais tout de même quelques sursaut
Après un bon moment, javais deux de ses doigts dans mon cul.
- Tu les sens ?
- Oui
- Et ça va ?
- Oui
- Je vais te doigter le cul que tu les sentes mieux.
Et il se mit à me doigter le cul, me semblant quil se donnait à cur joie ! Et puis il sarrêtait, se reculait et me dit « je vais te mettre un plug dans le cul, ça va permettre quil reste écarté », je neus pas vraiment de réaction et sentis quil appuyait et poussait comme un mini gode dans mon cul, me faisant me redresser le plus que je pouvais et souffler.
Sa main passait sur mes fesses, puis il menlevait mes liens, attachant juste mes mains dans mon dos et me remis la laisse, on remontait dans son salon et il me fit boire un verre deau après mavoir assise sur le fauteuil.
- Ça va ? Pas trop traumatisée ?
- Non, ça va !
- Ah, tu me rassures, parce que je ne veux pas que tu le sois quand je vais toffrir à mes 3 petites fils.
Je ne sus rien dire et fit des grands yeux étonnés.
- Je rigole ! Déstresse
- Jai eu peur
- Jai vu ! Je te détache pour que tu fumes une petite cigarette ?
- Oui, s'il vous plait.
- Mais à la condition que tu fumes dune main et te caresse de lautre !?
- Daccord, si je peux vous faire plaisir
Il me détachait et me passait une cigarette, je massis sur le bord de la table face à lui, mallumais la cigarette et me mit à me caresser de ma main qui était libre, nhésitant pas à faire rentrer mes doigts dans mon jardin secret.
- Je pense que tu devrais sucer ton copain jusquau bout avant de coucher avec.
- Je lai déjà masturbé jusquà le laisser éjaculer
Ça ne change pas grand-chose
Dis-je avec un peu de mal au vu de mon excitation.
- Ça lui ferait surement plaisir en tout cas ! Sinon, aimes-tu que lon joue avec toi comme ça ?
- Oui
- On va recommencer, daccord ?
- Oui.
On redescendait et une fois dans la pièce, il me dit de faire le tour, ce que je fis et marrêtais près dune sorte de banc ovale.
- Cest quoi ça ?
- Tu veux que je te montre ?
- Oui, si vous voulez.
- Couche-toi dessus sur le ventre.
Je me couchais alors dessus sur le ventre, il prit mes mains et les amenas près du pied du « banc
» auquel il mattachait avec des attaches déjà mise dessus, il fit pareil avec mes pieds
Une
nouvelle fois, je me retrouvais à sa merci.
- On commence ?
- Je nai plus trop le choix
- On a toujours le choix sais-tu.
- Oui, mais bon
- Tes mignonne ! Dit-il souriant.
Il repassait derrière moi et bougeais dans la pièce, lorsquil revint, il enfonçait tout doucement un vibromasseur dans mon sexe, lactivant, il repassait devant moi.
- Ce nest pas du jeu. Dis-je.
- Tu es à ma merci, ton corps mappartient. Dailleurs, choisis parmi ces objets.
Je me retrouvais devant moi avec des godes de plusieurs tailles, un concombre, une banane, des « godes » bizarre, mais qui me semblait faire trop mal.
- La banane
- Tes désirs sont des ordres.
Il repassait derrière moi et me retirait le plug, minsérant la banane et faisant des va et viens dans mon cul avec.
- Quest-ce que ça fais de se faire enculer par une banane ?
- Cest humiliant
- Tu aimes ça, nest-ce pas ?
- Oui...
Il revint devant moi et déposait un tabouret, il retirait ses chaussures et chaussettes et mis son pied dessus, je compris directement ce quil voulait et me mit à lui embrasser son pied et puis lautre.
- Que dirais-tu de rester ainsi jusquà demain matin ?
- Non
- Et que jappelle des amis pour quil tadmire ?
- Non plus, s'il vous plait
- Je vais encore un peu aller jouer avec ton cul, si tu me le permets.
Il repassait derrière et se remit à jouer avec la banane, menculant avec apparemment beaucoup de plaisir, il passait ensuite au concombre, mes cris lexcitait apparemment très fort !
Il finit par me détacher, je restais à genou, au sol, le regardais, jétais excitée
- Baisez-moi !
- Non, désolé.
- Pourquoi ?
- Je tai dit que je ne le ferais pas !
- Mais jai envie !
- Allez vient ! Me dit-il en me prenant par le bras.
Il mamena dans la cage et mattachait comme la première fois, se mit face à moi et sortit son sexe, il se mit à se masturber pendant un bon moment et cracher tout sur mon visage. Lorsque ce fut fini, il partir au fond de la pièce, remplir un seau deau et le verser sur moi.
- Çà calmera tes ardeurs, je te laisse un peu, à tout à lheure.
Je restais là, pourtant toujours excitée et envie de me faire prendre, il ne revient pas spécialement longtemps après et me fit sortir, il mit un drap autour de moi et me fit remonter, assise sur le divan, je le regardais un peu dégoûtée davoir été repoussée !
- Et donc, on ne fait rien ?
- Non, rien. Dit-il.
- Pourquoi ?
- Parce que je tai dit quon ne ferait rien simplement.
- Mais ..!
- Non !
- Mais vous faites chier !
- Je te fais chier ?
- Oui !
- Debout !
Je me levais un peu surprise et il ajoutait.
- Retire tout ce quil y a sur la table.
Je retirais tout et lamenait dans la cuisine, lorsque je revins, il était debout, un air sérieux.
- Couche-toi dessus sur le ventre et ne bouge pas !
Ce que je fis, il partit, je ne bougeais pas, et lorsquil revint mattachais les mains à chacun des pieds de la table, pareil avec les pieds et me mit un bandeau. Il me bâillonna et minséra à nouveau le vibromasseur.
- Tu vas avoir un peu mal au cul, je te préviens.
Je sentis quelque chose contre mon anus, cela semblant assez épais, et cétait le cas, il me lenfonçait peu à peu marrachant des cris par le baillons et puis fit des va et viens, mes mains sagrippaient aux pieds de la table, mes doigts de pieds se crispaient
Après ce long moment, mon cul en feu, il se mit devant moi et me dit « ça va ? » je fis oui de la tête bien que je nétais plus certaine de pouvoir masseoir prochainement
Il repassait derrière moi et se mit à fouetter mes fesses sans relâche, mes cris toujours étouffés par le bâillon
Lorsquil décida que cétait assez, il partit de la pièce, revint, javais toujours le « gode » dans le cul, il se mit devant moi et menlevait le bâillon.
- Dis-moi un chiffre entre 1 et 3.
- Euh, 1 ? Pourquoi ?
- Je vais te mettre un suppositoire dans le cul, après ça tu verras que tu iras facilement à la toilette.
- Mais ?
- Tu mas bien compris.
- Vous allez me mettre un laxatif dans le cul ?
- Oui, tu aimes être humiliée, tu vas te chier dessus !
- Non, non pas ça ! Je ne demanderais plus à ce que vous me baiser !
- Sur et certaine ?
- Oui !
- Daccord, mais tu vas être punie quand même.
Il menlevait mes liens et memmena à nouveau dans la cage, cette fois, javais une sorte de lange, attachée, il me dit.
- Tu vas rester là un bon moment, ainsi si tu dois faire quelque chose, tu nas pas à avoir peur.
-
- Veux-tu boire quelque chose avant que je ne me remonte ?
- Oui, merci
Il partit prendre un verre deau et lorsquil revint, le passait à travers la cage et me fit boire.
- Elle a un drôle de gout ! Dis-je avant de me faire bâillonner.
Je pu voir suite à ma phrase un sentiment de satisfaction, il partit vers la porte et je lentendis fermer à clé, jétais dans le noir, en cage et attachée avec un lange
Peu de temps après, je ressentis des crispations à mon ventre, il avait trouvé comment me punir autrement quavec le suppositoire, il avait fait dissoudre un laxatif dans mon eau, arrivait ce qui devait arriver
Et je restais ainsi pendant au moins une bonne heure.
Lorsquil revint, il allumait la lumière, je me sentais honteuse, il tenait une poubelle en main, et un seau avec un gant de toilette et du savon, il me détachait, menlevais le bâillon et me dit :
- Tu es une sale fille comme je vois ! Nettoies-toi le cul, je vais devoir te ramener.
Ce que je fis pendant quil rangeait, on remontait, il me fit prendre une douche et je redescendais, toujours nue.
- Tu te sens mieux ? Me dit-il.
- Oui
- Tu veux une cigarette ?
- Je voulais vous demander quelque chose ?
- Dis-moi ?
- Accepteriez-vous au moins que je vous masturbe ?
- Pourquoi ?
- Pour que je touche au moins une bite
- Ok, mais à une condition.
- Laquelle ?
- Tu la sauras après.
A genou devant lui, je détachais son pantalon et me mit à le masturber, il restait assis, tranquillement à me regarder, lorsquil sentit que ça arrivait, il prit son verre sur la table du salon et lâchait toute sa semence dedans, il me le présentait et me dit.
- La voilà ma condition.
Je reste bouche bée, le verre en main, je le regardais, puis regardais le verre et bu dune traite son sperme.
- Tu vois ? Ce nest pas sorcier ! Maintenant tu pourras faire des pipes complètes à ton copain !
Je me rhabillais, fumais une dernière cigarette et il me ramena vite chez moi avant que mon copain ne rentre
Je repris une douche, perturbée par ma soirée.
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