Les Esclaves De L'Empire
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Le Maire.
Jour-1
Lhomme se tenait devant le bureau du maire. Il est de taille moyenne châtains, des favoris comme un homme du XXIème siècle. Sa combinaison grise, de navigant sans la moindre décoration lannonymeserait presque. En fait elle proclame quil se moque éperdument du regard des autres.
« Javais demandé dans mes messages que certains ajustements soient fait à votre minable colonie. Où en êtes-vous ? »
Les maire petit homme avec une couronne de cheveux blancs autour de sa calvitie hésitât à répondre.
« Nous avons fait certains travaux. Je suis sûr que vous les trouverez à votre goût. »
En fait pratiquement rien navait été fait, lorsque les croiseurs les avaient libérés des pirates puis informés quils étaient désormais tous des esclaves pour complicité de piraterie les conditions avaient paru si extravagantes que le maire navait pris aucune mesure. Le conseil municipal pensait que lon pourrait raisonner ce fou furieux qui se proclamait leur maître avec lappui de la Terre.
Maintenant il était de retour. En deux jours sa brigade de fusillers avait implanté des dispositifs de contrôle à toute la population. Le maire se souvenait de la démonstration lorsque le programme de douleur avait été activé. Limpression de geler et de brûler en même temps, le sentiment que tous ces os se brisaient. La vue qui se brouillait. Les plus courageux eux même névoquaient lépreuve quen tremblant. Et ce cinglé pouvait le refaire lorsquil le voulait.
« Jen doute, me prenez-vous pour un imbécile ? Je sais que ce que je vous ai demandé na pas réellement démarré. Le seul travail que vous puissiez me montrer est un trou. Je vous avais demandé un palais des mille et une nuits avec un harem. »
Sous lalgarade, le magistrat parut devenir encore plus rabougris.
« Lorsque ce sera terminé il sera magnifique plaida til. »
« Oui si vous aviez des plans à me montrer ce serait magnifique, mais nous savons vous et moi que vos plans ne sont que des ébauches faites en cinq minutes.
Le maire réalisât soudainement que ce type en face de lui était un mercenaire réputé. Ses plans étaient faits en détails il avait certainement préparé toute la conversation. Où ce diable dhomme voulait-il lemmener ?
« Nous ne demandons rien de mieux que de vous préparer un magnifique palais, Monseigneur. Nos ébauchent doivent vous permettre deffec le meilleur choix de style que diriez-vous de les revoir avec moi demain. »
Le maître compris quil avait gagné. Toutefois il lui restait à sassurer que désormais cela ne se reproduirait pas.
« Je serais ravis de revoir ces plans demains avec vous. Vous comprendrez cependant que le temps que mon harem soit bâtit je devrais résider dans votre famille. Après tous désormais tous les habitants de cette planète sont mes esclaves et je suis certains quune connaissance de première main de mes goûts vous permettra de mieux combler mes attentes. »
Le maire tremblât, il comprenait soudain le piège, il tenta une ultime manuvre dilatoire.
« Monseigneur, je ne désire pas vous contredire, mais il va me falloir expliquer à la population pourquoi nous sommes désormais vos esclaves. Les pirates nous ont envahis, nous avons subits viols et pillage et maintenant la terre nous traites comme des pirates alors que nous sommes des victimes. »
Le mercenaire sassit dans son fauteuil, les pieds sur le bureau du maire.
« Vous naviez quà savoir vous défendre. La Terre est lasse de devoir disperser des escadres aux quatre coins de la galaxie car les planètes ne savent pas se défendre et tombent les unes après les autres au mains des pirates. Donc considérez votre sort comme un moyen dencourager les autres. »
En fait la situation était bien pire que cela. Lesclavage nétait que lune des mesures prises. La flotte terrienne venait dallouer quarante pourcents de sa capacité de construction de vaisseaux de lignes à celle de croiseur lourds. Le commerce interstellaire était à lagonie. Seul les bâtiments escortés parvenaient à destination.
Le mercenaire le savait bien lui-même pour irriguer un minimum le secteur il avait neufs task-force qui se consacraient uniquement à lescorte des convois. Les propriétaires payaient pour cela des sommes atteignant quasiment quinze pourcent de la valeur de la cargaison.
Partout où il était possible de trouver un point daccroche des pirates bricolaient des vaisseaux à partir de composants de cargos. De minables avisos mal armés, mais omniprésents. La seule difficulté des pirates était de se procurer du Trillium ce matériau que lon ne trouvait que dans les étoiles à neutrons ou que lon fabriquait dans des réacteurs, qui seul permettait de faire les coques des navires hyperspatiaux ou les centrales á fusion.
Les mondes coloniaux face au besoin pressants de ressources étaient prêts à tout pour acheter les marchandises qui leur manquaient et les pirates pouvaient revendre les cargaisons trois à quatre fois leur prix de revient.
Il se murmurait que de grand trusts fournissaient même des pirates en pièces détachées. Bref hormis une zone autour de la terre lanarchie régnait dans le reste de la zone colonisée par les terriens. Lheure étaient aux conquérants aux conquistadors qui par la force de leurs armes sauraient créer des zones pacifiées.
Le mercennaire regarda son vis á vis. Se rendait-il compte de tout cela ce pauvre homme qui pensait juste gérer quelques querelles de voisinnage lorsquil avait été élu ? Non, il était clair que le pauvre bougre était peu conscient de la situation. Sa colonie vivait bien presque en autarcie car ils avaient eu la chance de trouver une planète ne réclamant quune terraformation minimale.
« Donc nous sommes sacrifiés pour le bien commun ? » demanda ce dernier dune voie chevrotante.
Calmement le spatial expliqua :
« On peut le voir comme cela. Les routes de lespace doivent être pacifiées pour que la colonisation et le commerce deviennent viable. La Terre ma demandé daider dans ce secteur et croyez-mois depuis votre petite aventure nombre de planètes nous contactent pour renforcer leurs défenses. »
Le maire eut un sursaut.
« Mais nous sommes des victimes ! »
Il avait raison, ignorant des réalités galactiques ils avaient consacré peu de moyens à leur défense. Les colons pacifiques avaient été surpris lorsquune escadre de pirates avait surgit et fait de la planète une de leurs bases. Pendant des mois leurs ressources avaient été pillées, leurs maisons avaient servis de lieu de villégiatures aux pirates. Heureusement ceux-ci peu nombreux, avaient causés peu de dégâts. Puis le mercenaire était arrivé. Il sétait introduit en catimini dans le système et ses vaisseaux navaient eu quà tirer une seule salve. Ensuite les débris fumant des pirates navaient plus eu besoin de se rendre. Au sol les combats contre les quelques pirates débarqués avaient été plus violents, mais les criminels manquant darmes lourdes ils sétaient fait écraser par des troupes en armures de combats, avec robots dassauts, chars et navettes dappuis.
Le soudard sesclaffa en repensant à ces événements. « Seul le résultat compte. Et puis le trafic desclaves est en train de se répandre dans toute la galaxie. Il faut bien trouver la matière première. Dans une société robotisée comme la nôtre il ny a quune seule raison davoir des esclaves : La perversion. Croyez-moi cest probablement après lidiotie la chose du monde la plus répandue. Les esclaves ont un avenir immense devant eux. » Il ponctua sa phrase dun rire énorme et pourtant très ironique. Il se rendait compte de ce qui se passait. Alors oui il allait en profiter pour assouvir ses phantasmes, mais il ne pouvait sempêcher de se demander ce quil resterait de lhumanité après cet âge de barbarie.
Le maire, lui, pensa quil allait avoir en effet loccasion de sen rendre compte. Ils avaient eu loccasion de comprendre que la technologie venait de rendre lasservissement des humains non seulement possible, mais facile. Les systèmes de contrôle constituaient un garde dans chaque esclave.
Le soir contraint et lédile avait été contraint de mener son nouveau maître chez lui.
Sa femme Annalea avait été prévenue. Son premier réflexe avait été de faire fuir les s mais le mercenaire avait semblé anticiper la mesure.
« Assurez-vous que vos trois filles soient bien chez vous ce soir elles auraient du mal à revenir si jactive leurs dispositifs de contrôle. Croyez-moi, cest une sale mort. » La remarque fait dun ton calme presque anodin avait terrifié les colons.
Alors Annie, vingt ans, Léa dix-huit ans et Claire dix-sept ans, se tenaient derrière la porte. La brute arriva salua dun geste puis leur commanda de sinstaller à table. Une fois quil eut lattention de tout le monde il commença à pérorer.
« Bon comme vous le savez votre père a joué au plus malin avec moi. Cest donc à vous quil revient de régler la facture. Ces prochains temps, je résiderais chez vous et vous serez punies. »
Transie la famille le regardait sans oser rien dire. Il attrapa la mère par les cheveux et lui tira la tête vers son sexe. Comme la malheureuse faisait mine de résister il dit.
« Toute résistance tout refus se paiera, vous jouerez au dés. Si vous faites un six vous passez au niveau de punition suivant. Le premier est que vous maccordiez vos faveurs sexuelles. Le second le fouet, le troisième les s non mortelles, le quatrièmes les s mutilantes ou mortelles. Lorsque vous serez toutes les quatre à ce niveau votre père aura épuisé son délai de grâce. Il sera alors exécuté et vous intégrées à mon harem. Sil termine sa tâche avant il sera épargné et je me contenterais de vous inviter de temps en temps comme les autres. »
Fermement guidé la mère venait douvrir la braguette et comprenant ce qui était attendue delle, elle se mit à sucer. Mais comment sy prenait-elle ? La tête plaquée de force contre le braquemart elle parvenait à peine à lentrer dans sa bouche. Lusage de la langue nétait pas connu delle et si elle ne résistait pas elle était loin de parvenir à réellement exciter son bourreau.
« Tu ne te donne aucun mal garce. Cela te fait deux coups de dés. Tous les soirs celle dentre vous qui sera la moins avancée lancera un dé. »
De fait la pauvre femme navait jamais été préparée par son éducation ou sa vie à ce genre de traitement. Elle se croyait á cent lieu de toutes ces perversions réservées á de pauvres filles moins chanceuses. Elle peinait á surmonter son dégout. La position nouvelle pour elle la martyrisait, le goût de lorgane la répugnait les poils dans sa bouche la chatouillait. Le monstre lui continuait semblant ne rien remarquer.
« En plus de cela vous lancerez pour toutes les fautes que vous ferez. Votre mère vient de gagner deux jets de dés. Toi lainée vient prendre sa place quelle puisse jouer. Une fois que ce sera fait je vous détaillerais les fautes. »
Annie brune les cheveux raide en chignon compris à cet instant que résister ne servait à rien. Docilement elle se mit à genoux et commença à exécuter sa tâche.
La mère lança deux dés. Trois et quatre. Le maître sesclaffa.
« Tu ne fais aucun effort, bon mettons-nous à laise. »
Il fallut le déshabiller. Puis il invitât chaque fille à se mettre en petite tenue. Léa copie de sa sur avec de beaux cheveux bouclés se fit tirer loreille et gagna le droit de tirer le dé. Heureusement après avoir longtemps hésité le dé sorti cinq.
« Bon la veille fais-moi un siège de ton visage que nous puissions continuer. »
La mère ne sachant comment se mettre hésitât. Immédiatement dun geste impérieux le maître lui indiqua le dé. Cette fois le six sorti.
« Bien, il semblerait que nous ayons une gagnante. Il aurait été dommage que vous ne puissiez pas profiter de votre soirée. »
Il cala ses fesses sur le visage de la mère et continua à se faire sucer par lainée.
« Vos erreurs, vous vaudrons chacune de lancer le dé.
Tout dabord le fait de refuser une de mes demandes ou simplement dhésiter, comme viennent de le faire votre mère et votre sur.
Ensuite lorsque vous serez frappées, fouettez torturés, si vous me cassez les oreilles.
Bien évidement si vous sortez de position vous jouerez aussi.
Lorsque vous commencerez à coucher avec moi vous devrez vous assurer dobtenir mes faveurs par devant et par derrière. Manquez-moi et vous serez punies.
Lorsque vous serez retenues pour coucher la nuit avec moi vous devez me faire jouir plusieurs fois. Jattends que si une dentre vous est seule quelle me fasse jouir quatre spermes, ça veut dire dans ses trois trous et en facial.
Tout ce que je vous donnerais vous devrez lavaler.
Si vous êtes deux, trois spermes chacune, si plus deux chacune. Tout manquement vaut un dé. Donc si vous me devez quatre et que vous obtenez deux vous devrez jouer deux fois. »
Léa leva la main. Le mercenaire lui fit signe de parler. Elle démarra dune voix fluette de peur de déclencher encore une punition.
« Mais si nous somme trois et que chacune doit vous faire aboutir deux fois cela veut dire six fois en une nuit, pourrez-vous assurer un tel rythme ? »
Il se retint de secouer la tête pour approuver. Cette petite comprenait vite.
« Bonne question. Mais ce nest pas mon problème cest le vôtre. A vous de me motiver pour que jy arrive sachant que si vous mempêchez de mendormir lorsque je le décide cest également un motif de punition. A vous de faire preuve de talent et dingéniosité. Cest vous qui serez punies. »
La famille frissonnât. Nul besoin dêtre très calée pour deviner que les nuits allaient devenir des pièges mortels.
« Lorsque vous aurez atteint le niveau maximal la moins avancé dans les statuts et la plus âgée bénéficiera de vos dés »
Lhomme se leva. « Bon, la grosse dit-il en sadressant cavalièrement à la mère as-tu encore un trou de vierge ? »
« Jai trois s Monsieur répondit la pauvre dame avec toute la dignité possible. »
Il se tenait devant elle debout. Elle a genoux tentait de soutenir son regard et déviter de trembler. Hélas quel espoir avait-elle dattendrir son bourreau ? Ses longs cheveux sur ses larges épaules, ses larmes tout constituait un tableau attendrissant, mais face au vit fièrement dressé devant sa bouche lon devinait sans peine que tant de candeurs allait être punie. Et de fait le monstre sexclama :
« Comment peut-on être aussi bouchée ? Je me doute bien que tu nes plus pucelle par devant, mais par derrière ? »
Le visage de chacune des femmes de lassistance et celui du maire se colorèrent de rouge.
« Dieu ne veux pas que nous nous accouplions bestialement, répondit-elle courageusement »
Il lui mit la main aux fesses le doigt pénétrant dans le trou il commenca à le lui chatouiller.
« Cest moi que tu traites de bête, ton maître ! Demanda celui-ci en éclatant de rire : Je devrais te faire rejouer au dés pour cela, mais ton insolence sera suffisamment punie dans quelques minutes. Nous dinerons ensuite, dit-il en entrainant lépouse médusée dans la chambre parentale sous les yeux de son mari trop terrifié pour répondre. »
Dans la chambre il força par les cheveux la femme à se mettre à genoux.
« Retire tes sous-vêtements, tu dois toffrir nue comme au jour de ta naissance. »
Avec réticence le soutient gorge tomba dévoilant une lourde poitrine encore ferme. Elle avait la peau très blanche, encore douce, la vieillesse et les grossesses navaient pas eu de prise sur elle. Les seins de porcelaine sornaient de larges auréoles plus brunes qui pointaient tout de même vers le bas. La petite culote après quelques mouvements pour la faire passer par les genoux atterrit à coté sur le parquet. Lhomme la releva alors brutalement et commença à lembrasser tout en lui manipulant les seins. Lépouse peut habituée à cette forme damour était raide et maladroite.
« Jattends de vous que vous soyez amoureuse, votre seule pensée doit être dexciter mon désir. Regarde-toi ! On dirait une godiche, dit-il en la projetant brutalement sur le lit avant de tomber entre ses cuisses avec la souplesse dun homme formé aux différents arts martiaux. »
Quelques larmes coulèrent sur les joues de cette innocente tandis que le boutoir se frayais sa route dans les chairs. Aucune subtilité nétait employée pour en faire une relation amoureuse, il sagissait de brutalité pure. Il la soumettait réalisa-t-elle. Elle comprit que la seule manière de rendre lacte moins brutal était de cesser de résister. Il sentit le corps de la femme devenir flasque sous lui, comprenant quelle se soumettait ainsi á la force. Il en fut frustré, ce nétait pas la victoire du mâle triomphant par les sentiments, ce nétait pas sa victoire, cétait lunivers qui violait cette femme. Luis nétait que la pointe par laquelle la contrainte sexprimait. Mécontent il redoubla de brutalité, se vengeant sur elle de sa frustration.
« Bon le devant est fait, voyons ce derrière non effleuré par ton mari. » Ce faisant il lui faisait signe de se mettre à quatre pattes. Tremblant de peur la dame se tourna. Quallait-elle subir ? Pour sûr, cette expérience ne serait pas agréable. Faite avec son mari ou un homme attentionnée elle eut pu y trouver le sel du phantasme et de la transgression. Mais là ?
Lorgane pénétra. Le trou, neuf, refusait de souvrir, quimporte, le bélier sonnait à la porte forçant petit à petit lentrebâillement. Les chairs se déchiraient sous la pressions quimporte, centimètre par centimètre son vainqueur progressait. Puis il atteignit le fond. Il la tenait par la taille la forçant à épouser son mouvement. Puis la bête cracha.
Comblé lhomme sallongea quelques minutes dans le lit. Il savait récupérer vite et alors que la femme commençait à profiter de sa pause il lattrapa par le coude et la ramena dans la salle à manger où les filles avaient mis la table et se tenaient prêtes à servir.
Il mit un coup de sa grosse pogne sur lépaule de lépoux.
« Ta femme manque un peu de tempérament, mais je pense quil y a du potentiel, tu verras après quelques jours elle sera un peu assouplie. »
Le maire et son épouse devinrent pivoine. La pauvre femme nue devant son mari et ses s tentait tant bien que mal de masquer ses attributs féminins. Le maître se riait de son comportement. La scène était réellement cocasse avec le mari en costume, lépouse nue et les filles en petite tenue.
Le diner fut heureusement rapidement servi même si seul le soudard fit honneur au plats.
« Faut manger les filles sinon vous naurez plus dénergie pour me servir. »
Péniblement bouchée après bouchée elles avalèrent leur repas. Lordre ayant été donnée aucune navait envie de subir le calvaire que leur mère venait de subir.
Puis vint le café, en sirotant sa tasse de café il sadressa à lainé des filles.
« Il reste le dé du soir. Ta mère ayant déjà gagnée cest toi la moins avancée et la plus âgée dit-il en lui montrant linstrument du destin. »
Encore une fois le maudit objet roula sur la table.
Trois, quatre, cinq, il roulait toujours puis
deux. Annie laissa échapper son soulagement.
« Normalement ton comportement te vaudrait de relancer, mais si à chaque fois que votre attitude ne correspond pas je vous fais relancer, votre père naura pas le temps de tirer un coup de crayon. Apprenez à vous contrôler car bientôt je ne serais plus si patient. »
Les filles sempressèrent de suivre le conseil.
La tasse de café vidée le maître regarda le maitre et annonça.
« Je crois quil est temps que nous allions nous coucher. »
Le maire se leva. « Je vais vous raccompagner à votre hôtel. »
Le second homme éclata de rire.
« Tu ne comprends rien petit père. Toi tu retournes à ton bureau pour travailler. Moi je reste ici. Ta femme a besoin dêtre un peu travaillée au corps. Allez file. »
Hagard, lédile tourna un instant sur lui-même, vacilla, puis au prix dun furieux effort parvint à articuler.
« Vous ne voulez pas dire que
Jai du mal comprendre bégayât-il. »
Comme sil navait pas remarqué que le pauvre homme était passé á deux doigts de lagresser le mercenaire lui répondit :
« Tu ma très bien compris. Je tai dit que jhabiterais ici jusquà ce que mon harem soit finit. Cest ce que je vais faire. En plus il est temps de faire découvrir les plaisirs de la vie à ta femme. A-t-on idée dêtre aussi bégueule à son âge. »
Il regardait le pauvre homme dans les yeux jusquá ce que celui-ci se rappelant leur conversation de laprès-midi ne baisse la tête.
Le magistrat vaincu se leva et franchit la porte.
Le maître fit signe aux fille de venir lembrasser lune après lautre sur la bouche pendant que lépouse le suçait. Cette cérémonie terminée il renvoya les filles dans leur chambre et attira lépouse dans la chambre maritale.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!