Jacques Et Marie-Sophie
Jacques et Marie Sophie. La suite.
Résumé des épisodes précédents. Javais connu Jacques dans un cinéma porno de la capitale et nous avions fini chez lui ou plutôt dans son bureau des Champs Elysées par faire lamour ensemble.
Jétais à tel point amoureux des femmes BCBG portant un cardigan en cachemire ras du cou que je métais rendu dans ce ciné porno vêtu dun tel pull qui comportait de jolis boutons perlés.
Une fois dans le bureau de Jacques nous avions fait lamour et javais découvert quil était également fétichiste des cardigans en angora ou cachemire et je lavais sodomisé.
Il mavait expliqué quil résidait dans le 16ème arrondissement de Paris et que sa femme était frigide et ne répondait pas à ses attentes.
Plusieurs jours plus tard, je lavais rappelé pour lui proposer un marché.
Soit jarrivai à persuader son épouse de réaliser ses fantasmes soit nous continuions notre relation.
Il avait accepté et mavait donné un mois pour ce challenge.
Je métais donc débrouillé pour rencontrer son épouse « frigide » et essayer de lui faire découvrir lamour pour quelle puisse rendre heureux son mari.
Javais réussi mon pari et Marie Sophie, son épouse, mavait ouvert sa porte. Je prétendais lui vendre une assurance vie puis les choses avaient tourné en ma faveur et finalement nous avions fait lamour.
Ce nétait vraiment pas la femme que mavait décrit Jacques. Cétait une véritable bombe sexuelle et de surcroit elle aimait beaucoup porter des cardigans en cachemire.
Jen avais conclu que Jacques était homosexuel et quil navait plus dattrait pour son épouse.
Je suis sorti de lappartement de Jacques. Je venais de faire lamour avec sa femme et je ne trouvais aucune explication au fait que Jacques ne pouvait pas la satisfaire hormis son homosexualité.
Une fois dans la rue je me saisis de mon portable et appelai Jacques.
- Jacques? Je sors de chez toi! Tu as raison ta femme doit être frigide. Il ny a rien à faire!
Jai tout essayé mais elle semble insensible à toute drague et ne doit pas aimer faire lamour, mentais-je.
- Je te lavais bien dit. Cest une nonne! Tu as perdu ton pari Bruno.
- Oui je lavoue. Je ne peux rien pour toi.
- Oh si!, tu peux beaucoup pour moi. Nous allons nous revoir et faire lamour à nouveau comme tu me lavais promis.
- Daccord Jacques mais aujourdhui je ne peux pas. Je serai demain à ton bureau à midi.
- Ok alors à demain midi.
Sur ces bonnes paroles il raccrocha.
Je rentrai chez moi. Je venais de baiser son épouse et elle était lépouse idéale à mes yeux.
Jaimais les femmes mâtures et moi qui navait que vingt ans, le fait de me faire une femme ayant passé la trentaine me rendait fier.
Il me restait juste à passer la journée de demain avec Jacques.
Ca ne me déplaisait pas mais je préférait nettement passer un moment avec sa femme.
Le lendemain, à midi, je sonnai à la porte de Jacques.
Je portais un jean, une chemise et des mocassins.
Il me fit entrer.
A peine avais-je franchi le pas de sa porte quil me reprocha de ne pas porter mon cardigan.
Je lui répondais que je ne le mettais que lorsque jétais en période de drague et que ce nétait pas le cas.
Il me fit installer dans le salon et séclipsa un instant.
Il semblait en colère et ne mavait même pas proposé de quoi boire.
Il revint avec un gros carton et mordonna de me déshabiller entièrement.
- Choisis celui que tu veux!
Je contemplai le carton. Celui-ci était empli de gilets tous plus doux les uns des autres.
Il y avait aussi des porte jarretelles et de jolis bas.
Mon choix se porta sur un superbe gilet ras du cou en angora bleu électrique agrémenté de jolis boutons perlés dun blanc immaculé.
Je lenfilai et le boutonnai entièrement.
- Mets un porte jarretelles et des bas! Et ne me fais pas patienter. Tu as perdu ton pari!
Je choisis un porte jarretelle bleu et des bas bleus. Il était rare de trouver de la lingerie de cette couleur mais Jacques avait tout ce quil fallait.
Il me tendit des chaussures à talons hauts et mintima de les porter.
Jétais maintenant devant lui. Vêtu comme sa pute et plutôt excité.
Mon sexe pouvait en témoigner.
Jacques se déshabilla. Son sexe était déjà dur.
- Tu as perdu alors suces-moi la bite petite cochonne.
Aujourdhui je vais te la mettre bien profondément.
Il se posa sur un fauteuil et mintima de me poster entre ses jambes.
Je mexécutai et memparai de son sexe. Je nen avais pas trop envie mais je navais pas trop le choix et malgré tout jétais excité à la vue de son membre.
Il me prit par les cheveux et me força à sucer son sexe.
Désormais sa queue forçait ma bouche et je ne pus que me résoudre à le sucer.
Jaimais bien cela mais javais toujours en mémoire le temps passé avec son épouse qui mavait comblée.
Je le suçai avidement. Sa queue était très douce et me plaisait. Je navais pas le choix alors autant prendre du plaisir.
Il me demanda de me mettre à quatre pattes sur le tapis et de bien me cambrer.
Il sinstalla derrière moi, mit un préservatif et posa sa langue sur mon anus.
Je souhaitais vraiment mettre un terme à cette relation mais jétais excité. Jétais habillé comme il le souhaitait et je me sentais sa pute.
- Déboutonnes ton pull cheri!
Le ton de sa voix ne me laissait pas le choix.
Jenlevai un à un les boutons perlés de mon pull et présentai mon anus ouvert à sa queue.
Jacques enfonça son sexe entre mes reins dun coup brutal. Javais mal et le lui disais.
Mais il sen moquait et enfonçait son sexe au plus profond de mon anus.
- Tu es une sacrée pute! me dit-il
Il me besognait et mon anus nen pouvait plus.
Je pensais quil allait éjaculer mais ce nétait pas le cas.
Il me fit mettre sur le dos, remontant mes jambes bien haut pour que je puisse lui offrir ma rosette.
Il me pénétra dun coup. Cette fois je navais plus mal et je sentais que jallais jouir.
Je lui demandai de me prendre encore plus fort. Il accéléra la cadence et jouit dans mon fondement.
Ce salopard avait bien pris son pied et me laissait sans avoir joui!
- Tu sais je tadore toi! Tu seras ma femme désormais. Et chaque fois que tu viendras je tappellerai Sophie. Ton cul est fabuleux. Tu peux te rhabiller tu mas bien fait jouir petite salope.
Il me roula une pelle et me dit quil était temps quil reprenne son travail.
Notre entrevue avait été courte et purement sexuelle. Il était clair que Jacques me prenait pour son objet et de temps en temps jaimais varier les plaisirs.
Cependant il nétait quune aventure pour moi.
Heureusement javais désormais le numéro de téléphone de son épouse et maintenant je ne lui devais plus rien.
Je méclipsai en lui disant que nous allions nous revoir bientôt. Ce quil ignorait était que maintenant jallais baiser son épouse qui me plaisait bien davantage que lui.
Certes javais pris du plaisir avec Jacques mais javais également découvert que jétais bien plus davantage attiré par les femmes que par les hommes. Il mavait laissé sur ma faim.
Et sa femme était tellement à mon goût quil aurait été bien dommage que je ne profite pas de son corps.
Je sortis de son immeuble avec le cul en compote. Javais quand même pris mon pied mais je ne pensais plus quà une chose. Revoir Marie-Sophie pour lui donner tout lamour quelle méritait.
A peine sorti de son immeuble, je mempressai dappeler sa femme.
Marie-Sophie décrocha immédiatement.
- Bonjour cest Bruno. Comment vas-tu ma puce?
Jaimais bien appeler mes compagnes « ma puce ». Elles appréciaient et se sentaient aimées.
- Oh cest toi Bruno? Tu mas manqué Chéri. Pouvons nous nous voir cet après midi?
Il nétait que 13H30 et javais encore du temps. Dautant que Jacques, son mari, ne mavait pas fait jouir.
- Bien sur Marie-Sophie ce sera un plaisir.
- Alors je tattends dans une heure. Il faudra que jaille chercher ma fille à 18H00 à lécole.
Ca devrait nous laisser un peu de temps. Je vais me préparer pour toi Bruno.
- Ok Bébé je serai à lheure.
Je rentrai en vitesse dans mon studio et pris une douche. Mon anus me faisait encore mal.
Jacques ny avait pas été de main morte. Je me doutais quil était plus attiré par les hommes que les femmes et je comptais moccuper de son épouse. Sil nen était pas capable alors je navais aucun scrupule à le remplacer.
Je mis un costume, de jolis souliers, une chemise et une cravate.
A 14H30 jétais devant la porte de Marie-Sophie.
Je sonnai et elle me répondit à linterphone que je devais me rendre au second étage.
Lascenseur était déjà là et je ne dus pas patienter.
Au second étage Marie-Sophie avait ouvert sa porte et je mengageai dans son appartement.
Je refermai la porte en la claquant. Je restai dans lentrée et ne bougeai plus.
- Viens ici Chéri.
Javançai et me dirigeai vers le salon.
Elle était allongée sur le canapé. Elle portait bas et porte jarretelles couleur chair et avait pour seul haut le cardigan quelle mavait acheté deux jours plus tôt.
Ses seins pointaient sous le pull. Elle se caressait doucement. Son visage était souriant.
Celui dune femme qui redécouvre le plaisir de lamour et de la vie.
Son corps entier laissait transparaitre un sentiment de bonheur.
Visiblement elle était déjà très en chaleur.
- Merci dêtre à lheure mon Chéri.
Javais envie de lui sauter dessus et de lui lécher le sexe mais je me retins.
- Tu es superbe! Je vois que mon pull te plait. Il te vas à ravir. Quen a pensé ton mari?
- Je lai mis hier soir mais il ny a même pas prêté attention. Je ne lui plais pas je pense. Mais lessentiel est que je te plaise à toi désormais.
Mes doutes sur lhomosexualité de Jacques se confirmaient. Il avait une splendide femme au foyer prête à tout pour lui et ne savait quen faire.
Et cétait bien dommage pour lui.
- Il a bien tort car tu es la plus sensuelle des femmes lui-dis je.
- Tu es gentil Bruno. Jai pensé à toi toute cette matinée. Je dois tavouer que je me suis même masturbée en timaginant dans mes bras. Veux tu boire un verre? Un café, un soda?
- Je naurai rien contre un café si tu veux.
Elle se leva mais au lieu de se diriger directement vers la cuisine elle vint à ma rencontre et se colla à moi.
Sa bouche sempara de la mienne et nos langues ne tardèrent pas à se mêler. Javais une main sur son pull si doux qui tentait de caresser ses seins dressés et lautre se dirigeait vers sa fente humide.
Si javais continué je crois quelle aurait jouit immédiatement.
Elle me repoussa tendrement et sen alla préparer le café.
Son corps contre le mien, juste pendant quelques instants, mavait procuré une érection. Javais vraiment envie de cette femme.
Elle refit son apparition moins dune dizaine de minutes plus tard et déposa sur la table basse deux Nespresso.
- Je sais que je ne devrais pas te dire cela mais je crois que je taime. En fait je ne le crois pas mais jen suis certaine.
- Tu sais nous ne nous sommes vus quune seule fois. Il ne faudrait pas précipiter les choses.
- Si je tassures, Bruno. Je suis mariée avec Jacques depuis dix ans, jai eu et ai encore de nombreux amants mais cest toi que jaime. Tu mas donné tout le plaisir dont javais envie. Sans que tu ne le saches tu as su découvrir tous mes atouts et mes goûts. Tu es un don du ciel!
- Je te remercie Marie-Sophie mais je ne vois pas de quoi tu parles. Nous avons fait lamour intensément et cétait divin mais je ne pense pas être un amant exceptionnel.
- Détrompes toi Chéri, tu mas donné bien plus que tu ne le penses!
- Peux tu me lexpliquer car je ne vois pas vraiment où tu souhaites en venir?
Jai beaucoup aimé faire lamour avec toi et dans le cas contraire je ne serai pas là mais je ne me considère pas comme un surhomme. Jai un sexe de taille normale et ne suis pas non plus un Apollon.
- Je nai que faire dun Apollon. Ton sexe me convient parfaitement et a su combler tous mes trous mais ce que jai aimé en toi est ton amour pour les femmes telles que moi. Pendant des années jai pensé quune femme BCBG, mère au foyer, était lépouse idéale et jai vite déchantée.
Jai tout fait pour plaire à mon époux mais sans résultat. Et ma rencontre avec toi a fait basculer ma vie.
Tu as su me mettre en confiance et apprécier mes tenues. Je les portaient pour être désirables mais me suis rendu vite compte que mon mari y était insensible. Alors quand jai vu dans ton attaché case que tu transportais un superbe cardigan en cachemire provenant décosse mon sang na fait quun tour. Et quant tu mas avoué quil tappartenait et que tu aimais le porter jai bien cru, que jallais mévanouir tant cétait une splendide nouvelle.
- Tu sais, enfin non tu ne le sais pas encore, mais jadore les hommes comme toi qui portent des cardigans en cachemire ou en angora féminins, poursuit- elle.
Jen ignore la raison mais je trouve cela très sensuel. La laine douce sur leur peau me procure un plaisir auquel je ne saurai me soustraire. Et si telle est ton envie alors nous sommes vraiment faits pour nous entendre.
- Cest très gentil de ta part mais je dois te dire que tu mas acheté le dernier cardigan dont je disposais. Mais cela ne mempêchera pas de te faire lamour.
- Tu sais je mesures 1m76 et jen possède plus que tu ne peux limaginer. Attends-moi une minute et tu verras que tu seras ravi me dit elle avec un léger sourire au coin des lèvres.
Elle se rendit dans sa chambre, du moins je le suppose, et apparut les bras chargés de cardigans en cachemire.
- Chéri, je ne sais pas si tu es désireux de souscrire à ma demande mais jaimerai que tu portes un cardigan en cachemire tout comme moi.
Je ne possède pas dangora mais le cachemire pour moi est bien plus doux et plus sensuel et jadore les hommes qui en portent.
- Mais pourquoi donc? me risquai-je à lui demander
Cest tout de même un vêtement féminin et tu as pu constater que je suis plutôt viril.
- Oui tu es viril et je tadore comme tu es. Dailleurs cette nuit je me suis un peu interrogé sur ton fétichisme.
Tu ne corresponds pas du tout à lidée que je me fais des hommes. Il y a peu de temps jaurai pensé que tu puisses être homosexuel mais je ne le crois pas du tout. Je ne suis pas psy mais jaimerai bien que tu me racontes ton histoire.
Sil te plait.
Javais un peu honte.
La seule chose dont jétais certain était que je nétais pas homo. Certes javais eu une expérience concluante avec son mari mais elle nétait basée que sur le sexe.
- Tu veux que je dises la vérité Marie-Sophie?
- Oui, je sens que tu portes un poids en toi dont tu as envie de libérer. Et si je peux taider jen serai ravie.
- Et bien pour être franc avec toi je suis effectivement fétichiste, ou plutôt amoureux des femmes BCBG comme toi qui portent un cardigan ras du cou depuis ma plus tendre enfance. Je naime pas trop ce mot de fétichiste. Je le trouve réducteur et malsain.
Cette addiction remonte à ma plus tendre enfance. Je suis né dans le 16 ème arrondissement de Paris, de parents pauvres mais travailleurs au milieu des années 60. La seule chose dont je me souviens est que je crois avoir eu mes premiers émois sexuels ,alors que javais 7 ou 8 ans. Jai sans doute été en contact avec une femme qui portait ce genre de cardigan et cest elle qui a été le point de départ de ma sexualité. Je ne pense pas que ce soit ma mère mais sans doute la maman de lun de mes camarades de classe ou une maitresse décole.
Toujours est-il que depuis tout ce temps je voue une admiration sans faille aux femmes BCBG en cardigan comme toi.
Dès que jen ai eu loccasion, et comme je navais pas de petite copine jai décidé den porter moi même. Ca me donnait limpression dêtre en compagnie dune fille que jaime. Cest assez bizarre et assez incompréhensible mais cest ainsi.
A tel point que jai attiré lattention des hommes et que faute de petite amie je me suis un peu rabattu sur eux.
Mais je naime pas vraiment ça. Cest purement sexuel mais jamais je ne pourrai éprouver aucun sentiment pour un homme.
Voilà. Je ne sais trop quoi te dire. Jen avais presque les larmes aux yeux. Je lui racontais une partie de ma vie.
Je pleurais désormais.
- Tu sais, faire lamour avec des hommes me déplait, continuai-je. Certes jaime bien me faire prendre de temps en temps mais cest juste parce que dans ma tête cest comme si je me mettais à la place de la femme que jaurai envie davoir pour compagne. Après lacte je suis empli dune honte indescriptible et dune grande culpabilité.
- Je taime chéri et je te comprend, rassures-toi. Tout ce que je veux est ton bonheur.
Ne pleures pas. Je suis là pour toi. Tu vois moi aussi jadore porter ces doux pulls, jadore leur douceur, leur forme, leurs petits boutons, et surtout je tadore toi comme tu es. Elle me prit dans ses bras, sécha mes larmes et membrassa.
Elle déposa tous ces pulls sur la table basse. Jétais abasourdi. Ils étaient magnifiques et aussi doux les uns que les autres.
Avec Marie Sophie nous avions la même taille et il métait aisé den choisir un dans sa collection.
Mon choix se porta sur un gilet bleu marine ras du cou orné de dix boutons nacrés.
Jenlevai ma chemise et enfilai ce pull. Sa douceur, sa chaleur et toute la volupté quil dégageait me firent bander immédiatement.
Javais un sentiment étrange. Je faisais la même chose avec son mari Jacques mais nen retenait que du sexe alors quavec son épouse Marie-Sophie je me sentais bien plus à laise et libéré. Ce nétait plus du tout une question de sexe mais damour, dérotisme et de sensualité.
Un lien bien plus intense semblait nous unir.
- Tu as fais un très bon choix Bruno. A ta place jaurai fait le même je crois. Jaurai peut-être hésité entre le bleu marine et le gris foncé. Mais cest bien, tu es superbe.
- Je choisirai le gris foncé la prochaine fois Maire Sophie.
Elle se dirigea vers moi et menlaça. Nous étions pull contre pull et je pouvais sentir ses battements de coeur.
Ma bouche se dirigea vers la sienne et souvrit pour recevoir sa langue.
Notre baiser était interminable et sa bouche dune douceur extrême.
Mes mains parcouraient son corps, ses fesses, ses seins durcis et excités par la situation, et son sexe humide qui ne demandait quà recevoir mon sexe.
Elle continuait de membrasser tout en prenant soin de menlever mon pantalon et mon slip.
Je retirai mes chaussures et mes chaussettes et nous étions dorénavant unis, lun contre lautre, prêts à faire lamour.
Elle continuait à membrasser tendrement. Jai pensé à cet instant que son mari Jacques ne lavait jamais embrassé aussi bien. Ses mains parcouraient mon corps tout entier.
Elle se baissa et pris mes testicules à pleines mains. Sa bouche me léchait les boules tout doucement et remontait vers mon gland.
Elle prenait son temps et sappliquait. Dès que sa langue sapprochait de mon gland elle en profitait pour redescendre vers mes bourses.
A chaque montée de sa langue je pensais quelle allait aspirer mon gland mais elle me faisait attendre et voulait que mon plaisir soit décuplé.
De mon côté ma main sagitait dans son sexe trempé et je navais quune seule idée en tête qui était de la faire jouir.
Non pas le plus vite possible mais le plus intensément.
Cétait un challenge et je ne savais pas qui allait le gagner!
Cest Marie Sophie qui céda la première. Javais introduit trois doigt dans sa fente et les avaient agités avec une telle force quelle navait su se résoudre à jouir et me fournir de grands jets de cyprine.
Elle haletait et nen pouvait plus tant son orgasme avait été intense.
Elle membrassa de nouveau, me prit par la main et me demanda de la suivre.
Son appartement était très grand et devait bien mesurer 200 mètres carrés. Au fond dun couloir se trouvait sa chambre.
- Voici mon petit nid damour Chéri me dit-elle. Allonge toi sur le lit.
La chambre était vaste et confortablement meublée. Un lit de style Louis Philippe trônait au milieu de celle ci.
Et des miroirs ornaient les murs et le plafond.
- Cest une idée de Jacques mavoua-t-elle. Mais il ny a jamais vraiment pris goût.
- Il a tort cest super de se voir en train de faire lamour! Personnellement jaime beaucoup.
Elle membrassa et me confia quelle aimait aussi beaucoup cette chambre mais quelle navait jamais pu en profiter comme elle le souhaitait.
- Allonges-toi, me demanda-t-elle.
Je pris place sur le lit conjugal. Jétais sur le dos, je bandais comme un âne et navait quune envie en tête.
Prendre sa chatte si douce et serrée.
Son corps se posa sur le mien. Je sentais ses seins au travers de nos pulls. Mon érection était maximale.
Elle se pencha sur ma bouche et me donna un baiser que je lui rendis. Sa langue était douce et excitait mes sens.
Jétais un gamin de 20 ans avec une femme de 35 ans.
Notre baiser semblait interminable. Son corps appuyait contre mon pubis.
Elle se leva et déboutonna son pull pour faire jaillir ses seins.
Ceux-ci étaient magnifiques. Elle dirigea ses mains vers mon pull et avec délicatesse et habileté le déboutonna entièrement.
Ses mains écartèrent les pans du pull et me caressaient le torse.
Mes yeux ne quittaient pas sa poitrine. Elle souriait.
Marie-Sophie était très excitée. Jintroduis deux doigts dans sa chatte qui était trempée. Elle gémissait et me demandait de continuer.
Je me décidai à introduire un troisième doigt et la branlai le plus vite que je pus. Elle jouit très rapidement et seffondra sur mon corps.
Elle était en nage!
Elle membrassa à nouveau et vint placer sa chatte juste au dessus de mon sexe sur lequel elle sempala.
Elle était déchainée. Je ne bougeais plus car elle avait pris elle même le rythme qui lui convenait et allait et venait sur mon membre.
Je ne la reconnaissais pas. Elle était hors de contrôle.
Ses seins et son gilet rythmaient ses allées et venues et rien ne semblait larrêter.
Elle serra son sexe et memprisonna. Elle allait de plus en plus fort. Sa poitrine et ses poumons semplissaient davantage dair à chaque mouvement puis elle finit par jouir abondamment en me précisant que jétais un superbe amant. Je déchargeai dans sa grotte au même moment quelle eut son orgasme.
Mes jets de sperme ne stoppaient pas tant le plaisir était indéfinissable.
Elle se retira alors que javais encore beaucoup à lui donner.
Marie-Sophie se pencha sur mon sexe et lengloutit pour profiter des derniers jets de ma semence quelle avala.
Elle me nettoya le gland et porta ses lèvres aux miennes.
- Tu es un amant fabuleux, Bruno. Je tadore.
Je lembrassai à nouveau et lui dit que ce nétait pas fini.
Je comptais en effet lui faire découvrir de nouveaux plaisirs mais sans son mari
A suivre
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