L'Été Dernier - 2Ème Partie

2

La nuit était bien avancée. J’étais rentré dans mon bungalow sans un bruit. Mon y dormait à poings fermés, saupoudré de quelques ronflements. J’ai été pris d’une grande fatigue et je crois aussi que je ne voulais pas réfléchir et ressasser plus longtemps cette soirée et son déroulement. Je me suis glissé dans la chambre à coucher. Ma femme était étendue sur le lit. Elle devait avoir été prise d’une grande agitation pendant son sommeil, car elle avait fait valser le drap de ses jambes. Ce dernier ne recouvrait plus que le haut de son corps, jusqu’aux hanches. Comme à son habitude l’été, elle ne portait rien. J’admirai la finesse de ses jambes et la rondeur de ses fesses, éclairées à la lumière blanche de la lune. J’avais comme une photo en noir et blanc sous les yeux. Sa pose était à la fois glamour et sexy, sans être indécente. Ma main s’est alors aventurée à la caresser. Alors que je remontais lentement de ses pieds à sa cuisse, je sentais la douceur de sa peau glisser comme de la soie. Du bout des doigts, je suivais désormais la courbe de ses fesses. J’ai soudain perçu une intensité plus forte dans sa respiration. Il faut croire que mes attouchements influençaient ses rêves. Je me suis rapidement dévêtu, et je me suis blotti nu contre elle. À peine étais-je installé, qu’elle repoussa son cul en arrière pour mieux l’appuyer sur mon pubis. Elle commença ainsi à se frotter à moi. J’observais ses hanches se mouvoir contre moi. Il ne me fallut pas longtemps pour oublier ma fatigue. Mon sexe se redressait et je sentais un profond désir m’envahir.

— Vas-y, prends-moi, me dit-elle dans un murmure.

Il ne m’en fallait pas plus. Elle ne bougeait pas, et ne se réveillait pas plus. J’entrepris de glisser mon pénis durcit entre ses lèvres en attrapant mon engin et en l’orientant vers sa vulve. Mon gland décalotté caressait le bord de son intimité. Je sentais la cyprine couler sur ses petites lèvres et son clitoris, et lorsque son orifice fut suffisamment lubrifié naturellement, j’ai commencé à appuyer mon gland plus fortement sur son entrée.

Elle a alors avancé son bassin et resserré ses cuisses pour m’empêcher de la pénétrer.

— Non, pas celui-là, me murmure-t-elle à nouveau, en se tournant lentement sur le ventre.

Sans avoir ouvert les yeux, elle se tenait désormais à plat ventre, les jambes légèrement écartées, et le cul relevé. Ce n’était pas dans nos habitudes. Nous n’étions pas un couple adepte de la sodomie, mais il nous arrivait, quelques fois dans l’année, de pratiquer cette position. Cela étant, c’était la première fois qu’elle me demandait de commencer directement par son anus. Et je percevais vraisemblablement qu’il n’y aurait que lui à pénétrer ce soir. L’idée de la prendre uniquement par le cul, alors qu’elle était étendue là, presque somnolente, finit de durcir comme il se doit ma bite. Je me suis redressé et positionné derrière elle. La lune éclairait très bien notre chambre, et je pouvais aisément observer sa lune à elle, douce et ferme.

En vraie sportive qu’elle était, ma femme avait de longues et belles jambes surmontées d’un fessier galbé. Son physique lui avait d’ailleurs permis de faire quelques shooting photos pour des marques de collants ou de chaussures. Elle était devenue modèle « jambes » pendant ses études universitaires. Et ce talent, ce physique, elle le devait à sa pratique assidue du handball depuis sa jeunesse. Même une grossesse compliquée n’avait pas entaché ses formes presque parfaites. Elle était belle, elle était femme et elle était mienne.

J’admirais son fabuleux derrière encore quelques instants, puis je posais mes mains sur chacune de ses fesses en les écartant doucement. Son orifice fermé s’offrait alors à ma vue. Ma femme était passée chez l’esthéticienne avant notre départ, elle avait fait une épilation intégrale. Aucun poil n’obstruait son trou auburn pâle. Une certaine odeur d’excitation remontait à mes nasaux. C’est alors que j’eus envie, pour la première fois, de goûter la saveur de son petit oignon. J’ai approché ma bouche de ses fesses, y ai déposé plusieurs fois des baisers, puis du bout de ma langue, j’ai léché le sillon du creux de ses reins, jusqu’au bord de son trou.
Plus je m’en rapprochais, plus je sentais qu’elle tendait le cul pour mieux me l’offrir. Je compris alors, qu’elle aussi, pour la première fois, désirait recevoir un anulingus. Elle avait dû y penser durant toute la soirée, parce qu’avant de se coucher, elle avait, pour ainsi dire, préparé le terrain.

Le bout de ma langue tournait autour, j’appréciais de sentir les multiples replis de la peau à cet endroit. Je pouvais sentir l’huile de palme et l’orchidée, le parfum mélangé de son gel douche. Quelle coquine ! Comprendre qu’elle avait tout planifié m’excitait davantage. Je goûtais à cette nouvelle sensation. Je tenais fermement ses fesses écartées le plus possible, et je déposai maintenant des baisers de plus en plus appuyés sur son auréole. Je l’entendais commencer à gémir de plaisir et je dois dire que moi aussi, je commençais à être pris de violents spasmes d’envie. Je me suis alors mis à sucer son trou. C’était bon et chaud. Rien que de penser à ce que j’étais en train de lui faire, me donner du plaisir et je sentais ma bite tressaillir d’impatience. Le pourtour s’était considérablement détendu sous mes baisers et mes sucions. Les lèvres toujours colléés à son trou, j’avançais ma langue, la zone devenait moite et molle. J’enfonçais lentement le bout à l’intérieur. Elle plongea la tête dans l’oreiller pour un râle. Je faisais maintenant des allers et venues du bout de la langue dans son anus, elle déversait tellement de mouille entre ses cuisses que le drap et le matelas commençaient à être trempés. J’étais excité comme un fou, cherchant, à chaque coup, à aller plus loin. C’est ce que je fis, je tentai d’enfoncer ma langue le plus loin possible. Elle convulsait de plaisir, son bassin montait et descendait, sa respiration était haletante mais elle ne relevait pas son visage de l’oreiller. Elle transpirait de sueur et ruisselait de plaisir. Soudain, elle tendit les mains en arrière et attrapa ma chevelure. Elle m’imposa un rythme de va et vient. Et puis, sa respiration se coupa, ses pieds se relevèrent et elle crispa ses mains dans mes cheveux.
Tous ses muscles étaient tendus à souhait. La jouissance envahissait tout son corps et je savais qu’elle vivait pour la première fois, un orgasme anal. Je ne m’arrêtai pas pour autant, et je forçai même le mouvement. Ma langue s’enfonçait de trois bons centimètres en elle. C’est alors que son orgasme diminua, ses muscles se relâchèrent, mais son excitation resta intacte. Elle n’avait pas relâché son emprise sur mes cheveux et me les tira pour me signifier qu’il fallait que ma langue cède sa place. Il était temps de passer aux choses sérieuses.

Elle avait resserré ses jambes pour me permettre de me placer à califourchon sur elle, les genoux de part et d’autre de ses hanches. J’avais coincé mon sexe dans la raie de ses fesses et de mes deux mains je les resserrais. Ma bite était prise en sandwich, comme elle peut l’être entre des seins pour une branlette espagnole. Là, il s’agissait d’une branlette grecque : la bite coincée entre les fesses. Nos peaux glissaient l’une sur l’autre, sans que l’on ait besoin de gel de massage. C’était agréable, et avec ce qui venait de se passer, j’étais à un point très avancé du plaisir. D’ailleurs, après quelques frottements, je me suis arrêté net, car j’ai senti la sauce monter. J’arrive assez bien à me contrôler, et alors que j’étais prêt à balancer la purée dans son dos, je me suis retenu. Une simple goutte de liquide séminal a perlé sous mon gland. C’était le signal : il ne fallait plus trop que ça traîne. J’ai dirigé ma queue vers l’entrée de son cul. Mon gland touchait son petit trou, où la rigidité des premiers instants s’en était allée. La zone était chaude, très chaude, molle et humide. J’appuyai lentement sur ma bite et je sentis son anus se dilater et accepter mon organe. Le bout s’enfonçait tout doucement, je le voyais disparaître en elle presque millimètre par millimètre. Puis soudain, son trou du cul avait entièrement avalé mon gland. Cette vision me ravagea d’excitation. L’afflux sanguin était à son paroxysme, alors je ne cherchai plus à prendre mon temps, plus de douceur, plus de tendresse.
J’avais envie de venir vite et fort, de la bourrer jusqu’au plus profond de ses entrailles comme une bête brutale. Un mouvement sec en avant de mes reins et tout mon sexe s’enfonça en elle. Elle émit un petit cri, moins à cause de la douleur que pour la surprise de mon geste et la brutalité avec laquelle je maltraitais maintenant son cul. Elle était ma femelle, ma soumise, je l’enculais fortement, et elle gémissait de plaisir. Elle prenait autant de plaisir à se sentir possédée ainsi, que moi à la traiter de la sorte. Je la pénétrais si violement que mon bas ventre claquait sur ses fesses. Ma bite gonflait à chaque coup de rein, j’étais prêt à éjaculer, et là malgré tout le self control dont je savais faire preuve, j’aurais été incapable de me retenir. L’ivresse du plaisir anéantissait toutes nos inhibitions.

— Prends-moi comme une pute !, me dit-elle soudain.

C’en était trop ! Le plaisir physique de cette position, ajouté à l’idée de la prendre uniquement et brutalement par derrière – et on sait combien l’imaginaire est une source puissante dans le domaine du plaisir – avec cette petite phrase, finit de m’envoyer au septième ciel. Je me suis collé à elle, et un long jet de sperme a explosé à l’intérieur de son rectum. Cette sensation de liquide brulant qui a envahi ses entrailles lui a provoqué un nouvel orgasme. Nous avons joui tous les deux, presque ensemble. Elle a lâché des petits cris aigus, qu’elle a essayé de contenir au début. Mais le plaisir était tel, qu’elle ne put se retenir et hurla. Tandis que moi, tout en continuant à éjaculer en elle, je continuais à ravager son cul de mes allées et venues. Lorsque je sentis que plus rien ne sortirait de ma bite, je me suis affalé sur elle, épuisé, le souffle court. Elle avait le rectum tellement inondé de sperme que le liquide ressortait en filet le long de ma queue. Nous nous sommes enlacés, l’un avec l’autre, et nous nous sommes endormis ainsi, les corps englués de nos échanges conjugaux. La soirée avait été parfaite.

Pendant les quelques jours qui ont suivi, chacun a fait comme si rien ne s’était passé. Ma femme et moi, avions retrouvé des rapports plus respectueux et moins bestiaux l’un envers l’autre. Nos ébats ne regardaient que nous, et dans l’intimité du couple certaines personnalités peuvent ressortir sans que quiconque n’ait à en pâtir ou ne le sache. Ça s’appelle l’amour et le respect de l’autre. Mais maintenant, je savais que ma femme aimait de temps en temps se sentir dominée, possédée et même un peu pute.

Quand à Katy, elle avait repris ses activités d’ado de dix-sept ans, c’est à dire bronzer auprès de la piscine, avec des écouteurs dans les oreilles et son smartphone au bout des doigts. Elle ne me jeta aucun regard appuyé, ni ne me parla plus qu’à l’accoutumée. Personne n’eut pu imaginer comment le retour du concert s’était passé. Elle s’était contentée de répondre que la soirée avait été bien, lorsque ma mère lui avait posé la question.


Un matin, nous avions laissé notre à mes parents pour aller à la piscine. Une fois sur place, ma femme me fit remarquer la présence de Katy étendue sur sa serviette, lunettes de soleil et casque mp3 vissé sur les oreilles. J’ai porté deux transats pour nous installer à côté d’elle. Ma femme et elle ont échangé des banalités sur la température de l’eau. Pendant que moi, je suis allé piquer une tête.

J’étais en train de me sécher, allongé sur mon transat, lorsque ma femme me demanda de lui passer de la crème solaire dans le dos. Je me suis assis sur le rebord, et j’ai détaché son haut de maillot de bain. Katy était juste en face de moi, de l’autre côté de ma femme. Au fur et à mesure que j’étalais la crème, tout en la massant, je sentais qu’elle nous observait du coin de l’œil. Ma femme adore mes massages, comme elle dit, j’ai des mains magiques ! Alors, je badigeonnais aussi ses jambes de protection UV. Ma femme avait alors tourné la tête vers Katy, elle lui intima qu’elle aussi devrait se remettre de la lotion antisolaire. Lorsque je remontai sur ses cuisses, je sentis un regard franc de Katy, dans notre direction. Je ne sais pas ce qui me prit exactement, mais je la fixais tout en faisant passer mes doigts sous l’élastique du slip de bain de ma femme. Je malaxais ses fesses, et je ne saurais dire si Katy était gênée ou envieuse. Je perçus sous ses pommettes et malgré ses lunettes de soleil « mange-visage » un léger rougissement.

Mes parents étaient partis pour le marché avec notre , et la petite de neuf ans. Cela faisait deux bonnes heures que nous étions installés autour de la piscine, lorsqu’ils sont revenus. Ma mère passa à côté des barrières de l’espace aquatique avec notre . Au passage j’ai aperçu mon père en tong, short et marcel, chargé comme un bourriquet, tracer direct vers son mobilhome. Ma femme s’est levée et a récupéré notre par-dessus la palissade. Elles se sont parlé, et ont décidé qu’on déjeunerait tous ensemble ce midi. Ma femme a proposé de lui donner un coup de main. Juste avant de partir, ma mère s’est étonnée de ne pas voir Katy porter son nouveau maillot de bain. Elle s’est contentée d’un « ben non », avec une petite mine boudeuse.

— C’est dommage, je lui ai acheté un magnifique deux pièces hier. Et puis pas cher du tout.

Puis, elles ont continué à discuter tout en s’éloignant. Lorsqu’elles furent hors de portée de conversation, Katy lâcha, sans me regarder :

— Il ne me va pas !

Je reconnais que les goûts et les couleurs de ma mère sont parfois discutables. Mais en cette période de l’été, sur un marché populaire, j’avais du mal à l’imaginer en train de dénicher un maillot de bain taillé dans des rideaux de grand-mères.

— Si les couleurs ne te plaisent pas, tu peux le rapporter et l’échanger.

— C’est pas les couleurs, c’est la forme.

J’ai froncé les sourcils, l’air de ne pas comprendre.

— Il est trop échancré là, finit-elle par dire, en m’indiquant son entre jambe. On voit des poils qui dépassent.

J’ai été surpris et en même temps enchanté, de savoir qu’elle avait une toison fournie à son âge. Je lui ai alors indiqué très sincèrement ce qui me semblait le plus logique, à savoir qu’elle devrait s’épiler. Mais ça aussi, elle ne savait pas faire, elle ne l’avait jamais fait. Je me suis demandé alors si elle me cherchait ou si elle était vraiment aussi empotée !


Katy avait absolument tenu à me montrer le désastre. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nous nous étions retrouvés dans le mobilhome de mes parents. Il était désert. Ma femme avait très certainement convaincu mes parents de préparer le repas et de déjeuner dans notre bungalow pour éviter de transporter chaise bébé, sac de couches, casier à jouets et autre accessoire nécessaire à la survie d’un en déplacement. Comment une chose comme ça peut-elle m’arriver à moi ? Une deuxième fois ? J’attendais dans la petite pièce à vivre, lorsqu’elle est sortie de sa chambre. Elle portait le fameux bikini mauve pastel, trop échancré à son goût. Il était magnifique, ou bien était-ce elle qui était bien mise en valeur dedans ? C’était un maillot deux pièces à lacets. De ceux qui se nouent sur la nuque et le dos pour le maintien des seins. Pour la culotte, les ficelles bouclées retombées sur ses hanches. Je n’arrivais pas à en détacher mes yeux. Elle s’avança vers moi.

— Regarde, me dit-elle en écartant ses cuisses.

En effet, de part et d’autre j’apercevais quelques poils minces, frisés et clairs. La situation allait dér. L’un de mes fantasmes inavoué a toujours été de pouvoir façonner un petit mont de Vénus. Elle dut se rendre compte que cette situation me plaisait particulièrement, sans doute à mon sourire en coin, car elle me proposa de lui venir en aide et de faire quelque chose pour tout arranger. Après tout, comme lui avait dit ma femme, j’avais de doigts de fée ! Mon cerveau, embourbé par la vision de ce corps juvénile, cherchait une excuse pour faire machine arrière. Mais elle ne m’en laissa pas le temps, elle revenait déjà du placard qui fait office de salle de bain, avec la cire à épiler, et une tondeuse électrique, qu’elle me colla dans les mains. Puis elle m’entraîna dans sa petite chambre.

D’un coup, l’assurance qu’elle venait d’avoir s’était effacée. Elle s’est dépêchée de s’asseoir sur le bord du lit et fixait ses pieds. Elle était si touchante, quand elle cherchait à faire la femme qui sait ce qu’elle veut, mais lorsqu’il fallait passer à l’action, elle redevenait une ado qui n’osait pas. Je l’ai prise par les mains, pour qu’elle se lève. Elle s’est laissé complétement guider par mes gestes. Elle n’opposa aucune résistance.

Sans détacher mes yeux des siens, j’ai laissé mes mains glisser le long de son corps, jusqu’à ses hanches. J’ai senti sous sa peau que j’effleurais, des frissons la parcourir de haut en bas. Mes doigts ont un peu joué avec les boucles, jusqu’à ce que je me saisisse des extrémités des lacets. J’ai tiré lentement dessus, et la culotte est tombée sur ses chevilles. Elle me dévisageait avec beaucoup d’émotion. Je savais qu’elle était troublée, c’était la première fois qu’un homme posait un regard sur sa nudité, sur son intimité de femme. Je l’ai délicatement invitée à s’étendre sur le lit.

— Détends-toi, lui dis-je, alors que j’écartais ses jambes.

C’est à ce moment-là que je l’ai vue fermer les yeux. Nos regards se sont perdus et j’ai alors pu observer sa touffe châtain clair et parsemée. Sans être très dense, sa pilosité féminine n’en était pas moins très étendue. Cela lui recouvrait le mont de Vénus, les grandes lèvres, et j’ai même pu observer qu’elle en avait quelques-uns autour de son anus tout rose. Après un instant d’observation qui, je l’espérais, n’avait pas été trop long – après tout, je ne voulais pas trop r de la situation et passer pour un mateur en me rinçant trop l’œil. Elle m’avait demandé de l’aide, et je voulais le lui offrir le plus sincèrement et honnêtement possible. Je me suis donc saisi de la cire à bandelettes que j’ai commencé à appliquer de chaque côté de l’aine. Les premiers arrachages lui ont un peu fait mal, je l’ai sentie se contracter et serrer les poings. Mais au fur et à mesure de l’épilation, j’appliquais un léger petit massage circulaire à l’aide de deux doigts sur les zones fraichement épilées. Cela l’apaisait quelque peu. Je pris mon temps pour bien faire. Patiemment, je défraichissais la zone. Je me suis appliqué à tout enlever, sauf sur le pubis. Une fois sa vulve bien dégagée, je l’ai invitée à se mettre à quatre pattes. De là, je lui ai demandé de m’aider, en se panchant bien en avant et en écartant ses fesses à l‘aide de ses mains. Sur son visage, j’ai vu que je l’avais choquée.

— Ne t’inquiètes pas, lui rétorquais-je, c’est ma femme qui m’a décrit comment son esthéticienne faisait pour elle.

Elle était quelque peu perplexe et désarçonnée. Mais je ne lui ai pas laissé le temps de se rétracter. Elle avait voulu mon aide, et lorsque je commence quelque chose, je le fais toujours correctement et jusqu’au bout ! Je posai mes mains sur elle, sans la brusquer, mais cependant fermement, pour la mettre dans la bonne position. Face à ma détermination, elle se laissa faire. Je me suis placé derrière elle, et j’ai pu voir son petit oignon rosé entouré de quelques poils. J’y ai précautionneusement appliqué de la cire avec mon index. J’ai tartiné délicatement tout autour et juste avant de finir, j’ai par inadvertance effleuré son orifice. Elle a alors serré du cul.

— Pardon, lui ai-je susurré en m’empressant de me mettre de côté.

Elle ne répondit rien, mais j’ai pu apercevoir qu’elle s’était mordillée la lèvre. J’ai alors attrapé la dernière bandelette et me suis remis derrière elle. Et là, une petite goutte de cyprine est sortie d’entre ses lèvres et a perlé le long de sa fente lisse. J’ai fini mon travail tout en restant le plus concentré du monde. De son trou du cul, jusqu’au clitoris, tout était lisse et frais. Elle s’est replacée sur le dos. Et, à l’aide de la tondeuse, munie d’un sabot, je me suis attaché à raccourcir et égalisé la petite toison que j’avais laissée. J’aime quand une chatte garde un petit triangle ou rectangle ras, à cet endroit. En l’occurrence, ici, j’avais fait un petit triangle. Avec ses poils clairs coupés courts, elle paraissait n’avoir presque plus rien. Mais moi j’appréciais énormément cet aspect. C’est alors que je me rendis compte de la marque de son bronzage. Sur ses cuisses, elle commençait à avoir une couleur dorée. La pâleur de sa fente, à côté, me faisait me rendre compte de la blancheur de sa peau. Cela renforçait son côté pur et donnait une toute autre dimension. J’aurais voulu lui déposer un baiser, mais il m’a fallu toutes mes forces pour y renoncer et me relever. Elle a senti que j’avais fini et m’a à nouveau regardé.

— J’espère que ça te plaira, lui ai-je lancé avant de la laisser.

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