Henri Et Carmen
La première fois que jai vu une bite cétait quand mon premier après mavoir mise nue, cest déshabillé. Jai eu peur juste avant quil la rentre quelle me fasse mal, tellement je la trouvais grosse. Sa longueur aussi, je naurais pas de place dans ma chatte pour quil la fasse toute pénétrer. Je me demandais comment les filles pouvaient avoir besoin de ça pour jouir. Mes mains seules me suffisaient.
Dailleurs je ne faisais ça que pour faire comme les autres, comme toutes mes copines qui en disait beaucoup de bien et surtout pour lui faire plaisir à lui, mon amoureux du moment.
Pour me donner envie, il ma bien caressé les seins, découvert toute ma poitrine, passé sa main dans le jean pour chercher mon petit bouton, celui avec qui je me fais jouir. Il a mit un bon moment avant de me faire voir le 7° ciel.
Quand il ma allongé sur lherbe je craignais davantage pour mes vêtements quà autre chose. Il ma littéralement épluchée comme un légume, sans trop de délicatesse. Avant de venir sur moi, il sest allongé entre mes jambes. Il a posé sa bouche sur ma chatte. Là, jai eu un autre plaisir, meilleur que quand je me branle.
Il a passé sa langue partout entre mes jambes, même sur mon petit trou. Quand il a pris le clitoris dans sa bouche, jai encore joui. Cest après que je me suis rendu compte des dimensions de sa queue. Il la pris dans sa main, la posé sur mon vagin, a un peu pour la rentrer.
La vache, il ma fait un mal de chien. Bien sur ça na duré quun court instant. Un instant après je le sentais bien dans mon ventre. Je devais le sentir trop, il ma fait jouir quand il ma donné son jus au fond de mon ventre. Je ne voulais plus quil parte, il est quand même sorti en me disant quil ne bandait plus assez.
La fois suivante, je me suis donnée à un homme, Henri plus âgé que moi, marié de surcroit. Alors là, jai vécu la meilleure expérience. Après mavoir mise toute nue sur la plage, il est venu membrasser à peu près partout.
Je me souviens encore de lorgasme quil ma donné : cétait le premier de cette importance. Je sentais les spasmes se succéder sans fin. Je restais groggy sur le ventre. Je sentais quand il est venu sur moi, sa bite dure se glisser entre mes fesses, passe mon anus pour aller me baiser. Il la surpris quand il me la mise : elle était assez grosse, sans plus, elle était surtout épaisse. Elle me remplissait complètement le puits. Je sentais mon con plein de sa bite. Quand il me la mise en entier, il sest arrêté pour que je my habitue. Je sentais ma chair écartées prendre du plaisir sans quil bouge. Cest moi qui me suis remuée pour quil me baise normalement.
Je ne pensais jamais quil soit si résistant au plaisir : il me faisait jouir sans cesse alors quil continuait à me limer. Je ne sais plus combien de temps il a mit pour jouir. Je sentais son poids sur mon dos et mes fesses, pendant que ces lèvres me mordaient les lobes doreilles.
Joubliais simplement quétant marié, il se devait de baiser sa femme aussi, femme qui était particulièrement chaude daprès ce quil disait : il la baisait le matin et le soir. Un jour il ma demandé si je ne voulais pas baiser sa femme avec lui. Mon premier mouvement a été le refus. Je ne connaissais pas les autres filles, je navais pas envie de jouir ou faire jouir une autre fille.
Cest ainsi que je suis devenue bisexuelle, comme elle létait avant. Jétais anxieuse avant de la voir. Je mimaginais une femme laide, sans charme. Au restaurant où nous nous sommes retrouvés avec lui, il était avec une femme bien plus jeune que lui. Une brune agréable à regarder, surtout quelle était légèrement vêtue. Je voyais ses cuisses à moitié, la moitié de sa poitrine. Bref elle était sexy, alors que moi, pauvre gourde jétais à lancienne avec un robe longue, fermée qui ne laissait rien voir de ma plastique.
Henri sest levé, ma embrassé sur la bouche, dun léger baiser. Elle sest présentée seule
- Bonjours je suis Carmen, Jespère que nous nous entendrons toutes les deux. Henri est très porté sur la chose, jen profite comme toi.
Le début commençait pas mal. Je me traitais de tous les noms, je devais passer pour une gourde. Le repas, sest bien passé. Cest Carmen qui minvite chez le couple pour le reste de la soirée.
Je me trouve dans un intérieur cossu, ce qui me change des hôtels de passe. Si Carmen sen va, Henri, lui sattache à moi avec sa bouche. Le retour de sa femme ne le fait pas cesser.
Carmen vint nue, près de nous pour partager ce premier baiser de trio. Cest ainsi que je me retrouve avec sa bouche sur la mienne. Sa langue ne force pas quand elle entre dans ma bouche. Henri nous laisse faire en passant derrière moi : il me caresse les seins. Je sens la main de Carmen venir sur mes fesses. Je suis un peu de mettre mon corps bien contre celui de la femme.
Cest excitant. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps. Il faut absolument que je jouisse. Carmen oublie ma bouche pour mon cou. Elle le lèche en descendant vers mes épaules. Henri, lui participe aussi : il monte le bas de ma robe pour me lenlever. Je ne portais pratiquement rien dessous, je me trouve en bas et string. Le reste je lai laissé chez moi.
Carmen profite de loccasion pour poser sa bouche sur un sein. Elle le tète comme le ferait un nourrisson : elle me fait encore plus mouiller. Je ne pensais jamais quune femme me fasse cet effet. Je me laisse faire. Je sens la main dHenri venir sur ma chatte : il commence à ma branler devant sa propre femme. Je ne peux quécarter les jambes pour lui faciliter ce quil me fait. Je sens aussi que Carmen passe à son tour sur ma chatte. Elle chasse presque son mari. Je dois subir sa main : elle est trop légère et pourtant je mapprête à avoir un orgasme. Cet est, je jouis des doigts dune femme. Quelle bonne idée a eu Henri de me proposer de baiser en trio avec sa femme. Lui, le je sens entre mes fesses : il bande comme un cerf. Je le sens aller et venir entre mes globes : il se branle contre mon cul.
Jai envie de la branler elle aussi. Dès que je pose ma main sur sa chatte, elle écarte les cuisses légèrement. Je trouve un endroit très humide. Elle aussi mouille de notre corps à corps entamé. Je ne peux me décider pour savoir avec qui je vais baiser dabord, elle ou lui ? Ils mattirent autant lun que lautre. Elle continue sa masturbation, je suis sur le point de partir vers le ciel encore ne fois avec elle. Je reconnais quelle sait bien masturber, en plus une femme qui sait bien comment branler une autre fille. Je suis partante, il attendra un peu. Moi aussi je narrête pas ce que je fais. Après les doigts sur le clitoris, les voilà dans son puits. Je la doigte comme je me fais. Elle me le rend, nous gémissons toutes les deux, enracinés par le plaisir.
- Tu viens baiser avec moi sur le lit ?
- Bien sur, je te suis.
- Moi aussi je vous suis, dit Henri qui ne tiens pas à perdre ne miette de nos amours.
Libres de nous coucher, nous commençons une séance de baise inoubliable pour moi. Elle laisse ses doigts, au début sans rien faire de particulier, ce nest que sa langue qui agit. Je suis léchée depuis le menton jusquau talon.
Enfin je sens son souffle chaud sur ma féminité. Et puis, cette fois elle y met les doigts pour écarter les lèvres. Mon clitoris est fin prêt à recevoir ce quelle voudra bien y mettre. Je sens dabord le bout du nez avant de sentir sa langue lécher comme un petit animal. Je fais un bond de satisfaction quand elle maspire dans sa bouche. Je sens quelle me lèche ce que je lui donne à lintérieur de sa bouche. Que cest bon, que cest bon de sentir cette langue si douce me donner tous ces frissons.
Elle sait bien dosser ses léchouilles. Elle fait trainer mon orgasme. Je sais que cest pour mon bien, mais cest trop long. Cest encore plus long quand elle menjambe pour me donner sa chatte à lécher. Je goute enfin à sa cyprine. Cest bon, ça sent bon, ça mexcite.
Enfin je pars dans un orgasme plus fort que le premier. Je mentends crier comme si je souffrais beaucoup. Cest vrai de souffre de bonheur dans mon sexe. Nous restons toujours dans la même position, en 69. Elle me fait tourner sur elle.
Enfin Henri vient vers mon cul. Cest sa femme qui dirige sa queue vers mon anus. Je ne le sens quau dernier moment. Carmen ma tellement mouillée que la bite na besoin daucune aide complémentaire pour entrer.
Je ne savais pas que cétait si bon dêtre sucée et enculée. Maintenant je suis au prise avec une queue qui garde son sperme trop longtemps ; à moins que sa femme sache comment faire pour le faire jouir assez vite. Elle me laisse jouir ainsi deux fois avant de se retourner pour quà son tour elle profite de la queue de son mari.
Cette fois je vois tout, tellement bien que cest moi qui dirige la pine dans le cul de ma maitresse. Je peux enfin voir une queue agir pour son propre compte. Je vois le prépuce venir en arrière quand il entre, puis, la colonne entrer facilement. Je regarde les couilles qui battent la cadence. Jai envie moi aussi de participer, je mefforce difficilement dentrer deux doigts dans le cul de notre commun baiseur. Je ne peux voir comment mon doigt pénétrer cet anus dhomme. Je me promets de le lui faire quand il baisera seul sa femme.
Je crois que nous en avons fini quand Carmen me propose de me mettre sa main dans le con. Ca existe, je le sais sans plus. Pourquoi pas après tout. Henri membrasse, me pelote les seins, pendant quelle soccupe de mon puits. Je ne peux la regarder, je sens seulement quand elle fait entrer facilement tous les doigts de sa main droite. Je la sens forcer pour entrer sa main puis son poignet entier. Je sens quelle tourne sa main dans mon vagin. Elle me donne ce plaisir inconnu que je vais souvent demander. Henri massure quil sait le faire. Pour le prouver il fait la même chose à sa femme qui rugit de plaisir.
Au point dintimité où nous en sommes, la suite logique est que jaille minstaller chez eux. Nous profitons des absences pour le travail dHenri pour nous baiser souvent, surtout le matin dans la cuisine où lune de nous sassoir sur la table et offre sa fente en déjeuner à lautre. Nous ne vivons plus que nus. Nous ne sortons quhabillées légèrement avec des tailles de robes bien courtes qui montrent à qui veut le voir nos fesses et nos foufounes. Henri nous porte des godes et de boules de geisha, celles que nous portons pour sortir.
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