Allan Épisode 3. Un Couple Débordé Par Leurs Propres Désirs Et Ceux De Leur Maître
Histoire vraie
Sophie est devenue la soumise dALLAN. Il est son « nouveau maître »
Je nai rien pu empêcher jusque là
parviendrais-je à le faire par la suite ?
Pas si sur.
Je cliquais sur licône « La soumission de Sophie » et regardais lécran qui souvrait sur une caméra subjective montrant un personnage qui montait lescalier feutré dun hôtel cossu.
Cétait comme si ALLAN avait une caméra à lépaule, à moins que ce ne fut une « gopro » ou je ne sais quoi
ses grosses lunettes peut-être
Je vis une main frapper sur la porte de cette chambre dont je reconnaissais le numéro.
Sophie vînt ouvrir en jupe et corsage noir. Elle était souriante. Elle accueillit ALLAN dun joyeux « bonjour ALLAN comment allez vous ? »
- Je vais très bien et toi magnifique Sophie ?
Elle rougit et lui dit
- Magnifique, cest très gentil, mais ou est Yann ? dit-elle en me cherchant des yeux .
- Il va bientôt arriver. Il est parti se garer et aussi faire quelques courses pour ce midi il va nous rejoindre bientôt. Je peux ?
Il savançât pour lui dire bonjour et je vis quil lembrassait au coin des lèvres ; Elle sen montrât gênée, mais ne fit rien paraître
Elle le laissât entrer et le suivit dans la chambre. Il posa sa mallette et ses affaires et se retourna vers elle tout sourire.
« Tu es VRAIMENT splendide Sophie ce sont des bas que je vois là ?
Elle rosit encore un peu avant de dire
« Oui »
- Fais des phrases Sophie, jaime bien les phrases, ça permet dêtre plus précis non ?
- Oui, ce sont des bas ALLAN
- Cest très très joli et pour les tenir, tu as mis des fix ou bien autre chose ?
- Jai mis un porte jarretelle dit-elle en baissant les yeux
- Pour moi ? Cest super sympa ça merci Sophie jadore !!!
Ca y était, il commençait déjà à la mettre mal à laise
Je la voyais devenir rouge pivoine.
- Non, je les ai mis pour nous tous, pour vous plaire.
Il saisit immédiatement lambiguïté sur laquelle il allait jouer sans tarder
puisquelle le vouvoyait depuis le début.
- Hé bien, mais tu as bien fait, ça me plait énormément. Montes un peu ta jupe que je le vois
Juste un peu.
Elle se trouvait déjà en mauvaise posture et je voyais quelle commençait à le comprendre. Ne trouvant pas quoi dire, elle se recula et monta un peu la jupe afin quALLAN puisse voir lorée du porte jarretelle. Il ninsista pas davantage mais savança près delle. Il la pris par les épaules et lui dit gentiment :
« Vas-y tournes un peu sur toi même
»
Elle sexécuta doucement pendant quil sifflait dadmiration.
« Bravo Sophie, cest tout à fait charmant et de plus, ça te va à ravir.
Puis il la stoppa et lattira à lui pour la prendre dans ses bras et exécuter quelques pas de danse.
Il termina en la renversant, comme pour un tango, et il sapprocha pour lui donner un baiser.
Lèvres serrées, elle répondit à peine à son baiser
loin de ce quil voulait, mais cela nimportait pas beaucoup, il avait du temps et le savait.
Sophie sinquiéta et demanda :
« Yann en a pour combien de temps ?
- Le temps de faire les courses pourquoi ?
- Jespère quil va arriver vite
- Oui ne tinquiètes pas Sophie, tu as lair tendue viens là je vais te masser un peu.
Elle le laissa passer derrière elle et lui poser les mains sur les épaules où il commença un léger massage.
« Assieds toi Sophie nous serons plus à laise.
Elle nosait pas refuser et sassit sur une chaise. Il repris le massage et lui dit quil aimait beaucoup sa coiffure, son maquillage. Elle se tortillait et devait certainement rougir.
Il se pencha et lui embrassa lépaule en disant :
« Yann ma dit que nous devions commencer sans lui. Pas de souci, nous nous connaissons et tu sais que tu peux avoir confiance nest-ce pas ?
- Oui, je sais que je peux vous faire confiance, mais jaimerais que Yann soit là pour commencer vraiment.
Elle se montrait plus habille que moi pour tenter de repousser ses avances. Il ne prit pas la peine de répondre et laissa glisser ses mains sur les bras la complimentant sur son parfum, lui réaffirmant quil avait A-DO-RE notre dernière séance tous les trois.
Petit à petit, ses mains passaient sur le cou, les bras et firent le tour pour venir juste effleurer les pointes de seins qui se tendirent instantanément.
« Houla !! Sophie, javais oublié comme tu es sensible des seins.
Il la regarda dans le miroir et je la vis rougir violemment.
Je levais les yeux de lécran et je vis quALLAN était assis derrière Sophie et quil lui caressait les seins Sophie était tout aussi rouge que sur la vidéo et gardait les yeux baissés.
« Ne toccupe pas de nous ma salope regardes puisque tu voulais voir »
Je repris la lecture de la vidéo.
Il embrassait les épaules de ma tendre et lui murmurait à loreille :
« Alors comme ça, tu ne me considères pas « encore » (il avait insisté sur ce mot) comme ton maître
et pourtant tu viens me voir avec des tenues à faire bander les morts
et les vivants aussi tu sens ? »
Ce disant, il sétait avancé au point quelle devait sentir sa virilité dans son dos mais ne trouvant pas dargument, elle se contenta de rougir plus encore
Il reprit le massage délicatement mais Sophie nétait guère plus à laise.
« Tu es toute tendue ma douce Sophie, il faut te détendre, tu sais, ça va bien se passer, je ne vais pas te manger
Tout juste te grignoter tu sais. Ne taffoles pas comme ça, Yann va remonter. Il sera sans aucun doute très content de voir que nous avons commencé
Vous en avez parlez tous les deux en plus me semble t-il nest-ce pas Sophie que vous avez déjà évoqué la chose ?
-
non, cétait dis comme ça mais
- Mais vous en avez parlé quand même humm ?
- Comment ça ?
- Yann ma dit quelque chose à propos dun gage.
- Ha daccord, il vous a parlé de ça...
- Bien sur je le lui ai demandé et il ne me refuse rien
lui. Je sais donc quil y a un gage pour toi aujourdhui non ?
-
Mais non, enfin, je, non cétait dis comme ça et
- Oui, jentends bien, mais ça a été dit quand même. Alors, disons que le gage a commencé. Laisses toi doucement aller
Tu vas voir comme Yann sera tout à fait satisfait.
- Ne
Non, je voudrais quil soit au moins présent, et puis cétait pas vraiment un vrai gage
- Allons Sophie, nous sommes entre gens de confiance ici, nabîmons pas cette relation par de petits mensonges laisses moi faire fermes les yeux.
ALLAN leva la tête et dans le miroir, je vis Sophie cramoisie croiser le regard de notre guide et baisser la tête puis
fermer les yeux doucement.
Il lui pris les tempes et attira sa tête légèrement vers larrière pour recommencer à la masser dans le cou tendrement avant de se pencher et de déposer sur ses lèvres, un chaste baiser.
Insistant un peu plus, il parvînt à ses fins et Sophie ouvrit sa bouche mêlant sa langue à la sienne. Ses mains empaumaient désormais ses seins et en agaçait les pointes sensibles et toutes dures. Je sais quelle aime ce genre de caresse et la tête renversée, elle nopposait déjà plus guère de résistance.
Les doigts fins et habiles dALLAN, enlevaient discrètement les boutons du corsage noir qui souvrait chaque fois un peu plus sur cette opulente poitrine et ce soutien gorge très décolleté.
Je voyais la poitrine de Sophie se lever à un rythme soutenu et rapide
elle haletait entre les dents de son manipulateur qui ne se privait pas de passer ses mains sous ses seins et sur son ventre.
Il arrêta net ses caresses et ses baisers, pour reprendre le massage qui contribuait à la relaxer et à faire doucement baisser ses défenses.
« Jaime beaucoup lensemble que tu as choisit de mettre aujourdhui.
- Cétait pour vous deux
- Je sais jolie Sophie, mais je fais bien partie des deux en question non ?
-
Oui bien sur
- Cest bien ce que je disais donc. Je le répète, je suis flatté que tes douces pensées, aient débouchées sur le choix de cette très jolie tenue sexy en diable et terriblement excitante. »
Elle renversa la tête pour voir son interlocuteur. Il dut lui sourire car je vis le visage de Sophie lui rendre son sourire. Lexpression fut coupée par le baiser quil lui donna juste après. Un baiser plus profond, plus passionné, avec la langue et auquel ma belle répondit cette fois sans réticence.
Le corsage était entièrement défait et Sophie ne sen rendit vraiment compte que lorsquALLAN, refit le tour de la chaise pour prendre lamante alanguie par les mains. Je vis quelle regardait étonnée les pans de son corsages ouverts et dévoilant lensemble qui serrait à grand peine ses seins ronds et généreux.
Il la serra contre lui pour un autre baiser profond et partagé. Je voyais que Sophie se montrait de plus en plus confiante. Elle lui rendait tous ses baisers et semblait même en redemander encore.
Je sentais ma jalousie qui frappait à la porte de mon cur qui se serrait devant ce spectacle
déjà vieux de plus de deux heures
presque trois.
Je levais les yeux pour voir Sophie renversée sur lépaule dALLAN qui lembrassait dans le cou et caressait son ventre et ses cuisses tout doucement et très tendrement.
Elle ronronnait et se laissait faire. Il se pencha à son oreille pour lui dire quelque chose.
Immédiatement, elle mis ses mains sur son sexe entrouvert et laissa ses doigts glisser sur son clito rond pour le branler lentement.
Elle soufflait bruyamment les yeux clos. ALLAN me regarda et me fit un signe de tête.
Je me remis à regarder lécran.
Il y avait deux images prises par deux caméras différentes. Sans doute la « gopro » et une autre ou un appareil photo. La première image, était en gros plan, lautre en plan plus large.
Ils étaient tous les deux debout, enlacés et sembrassaient à pleine bouche. ALLAN avait fait glisser le corsage et ouvrait la jupe qui tombât sur le sol. Sophie était très déshabillée tandis que son hôte restait complètement vêtu.
La différence était saisissante et laissait voir comment ALLAN prenait lentement le dessus. En restant habillé, il montrait sa supériorité et son ascendant sur ma tendre amoureuse qui perdait peu à peu pied dans sa confrontation avec ce maître
Il posait ses mains sur son dos sans cesser de la regarder dans les yeux lhypnotisant tendrement et continuant à lui donner des baisers
Je la voyais respirer vite, presque essoufflée.
Il ne lui laissait aucun répit alternant
Les baisers, les caresses sur les épaules, les bras, le haut des seins ou carrément les pointes durcies, le ventre, les flancs, le dos, les fesses
Sophie avait lair un peu affolé par cette avalanche de sensations
comme si plusieurs mains couraient sur elle en même temps.
Il lui disait des mots doux, lui disait quelle était « hyper sexy », quelle lui plaisait et quil la sentait toute chaude. Il lui faisait tourner la tête et elle sentit trop tard ses doigts qui sétaient installés dans son shorty et faisaient rouler son clito presque imperceptiblement. Surprise, elle saccrocha à ses épaules pour ne pas tomber
Sans cesser de lembrasser. Il ressortit ses doigts englués de cyprine
« Vois comme tu es toute transpirante et chaude ma douce Sophie. »
Ce disant, il poussait ses doigts contre ses lèvres. Elle les lui lécha sans quil ait eut besoin de le lui demander.
« Tu aimes cette odeur et ce goût Sophie je me trompe ? »
Elle rougit violemment avant de soupirer
« Oui jaime
»
Il reprit son uvre et remit les doigts au chaud dans sa chatte visiblement trempée.
Il la doigtait debout et elle continuait de saccrocher à lui.
Il sarrêta net pour la laisser pantelante et haletante, lui reprendre délicatement les lèvres en lenlaçant comme un amant. Elle répondait comme une amante avec les mêmes gestes doux quavec moi
dur pour ma frustration et ma jalousie...
Je jetais un autre coup dil au dessus de lordi et Sophie se caressait toujours aidée par la main dALLAN qui la doigtait doucement, ils ne faisaient pas attention à moi apparemment et se conduisait comme un couple normal qui fait lamour.
Sur lécran,
Sophie déboutonnait la chemise blanche dALLAN qui lui mettait les mains derrière sa tête et lobligeait à venir couvrir son torse de baisers.
Il attirait ses lèvres sur ses tétons et elle le léchait avidement.
« Cest bien ma Sophie continues encore un peu, voilà
un peu moins vite
oui comme ça cest bien. »
Sophie se montrait bonne élève et suivait les indications quil lui donnait. Au bout dun long moment, je le vis se pencher à loreille de la docile amante et dans la foulée, elle sattaqua à la ceinture dALLAN. Il la regardait tendrement et la laissait faire. Sophie voulait le débarrasser rapidement de son pantalon pour pouvoir enfin toucher à lobjet de ses désirs, de ses envies
Lui, refreinait les gestes de son amante lembrassant, la caressant doucement pour la distraire et ancrer en elle cette envie de « passer au choses sérieuses ».
Je le vis prendre ma tendre sous les bras, la regarder intensément dans les yeux et lui dire :
« Tu as envie de plus Sophie ? »
«
»
Elle avait les yeux grands ouverts la bouche arrondie sur un mot inaudible
« Hé bien réponds moi Sophie
Tu as envie ??? »
« Ou
oui »
« Fais moi de jolies phrases ma belle Sophie. »
« Oui jai envie de plus ALLAN »
« Bien alors mets toi à genoux »
Je la vis se mettre à genoux sans rechigner. Il lui prit le menton pour capter son regard.
« Mets tes mains dans le dos Sophie »
Elle sexécuta immédiatement.
« Je ne veux pas que tu me suces Sophie. Je veux que tu mOFFRES ta bouche tu saisis ? »
« Ou
Oui je crois »
« Vas-y ma belle »
Je vis la tête de Sophie savancer vers ce sexe déjà tendu à lhorizontale. Elle le regarda encore une fois dans les yeux, cherchant son approbation.
Sa langue sortie timidement pour toucher la colonne de chair en apprécier les contours puis, elle remonta le long de la bite désormais droite et je la vie embrasser le gland très délicatement et mettre sa bouche dessus avant de lengloutir entre ses lèvres.
Elle fit tournoyer sa langue sur le gland et la tige
de temps en temps, elle regardait dans sa direction pour voir sil était satisfait.
ALLAN gardait un visage de marbre comme si ce quelle lui faisait était insignifiant.
Elle sobstinait alors pour faire naître chez lui une expression qui lui confirmerait quelle était sur la bonne voie.
Elle du continuer un long moment avant quil ne la relève le visage toujours fermé. Il passa les mains derrière le dos de Sophie et dégrafa le soutien gorge. En suivant, il mit les mains de chaque côté de son shorty et le fit glisser le long de ses jambes.
Sophie souleva les jambes, lune après lautre pour laider. Elle était nue juste parée de son porte jarretelle
comme elle était belle ainsi
jeus un coup au cur. Elle se tenait devant lui, les mains dans le dos les yeux, ne soutenant pas son regard, elle avait la tête baissée.
« Tu viens de me donner ta bouche Sophie n est-ce pas ? »
« Oui, je viens de vous donner ma bouche ».
« Bien tu vas me donner autre chose maintenant tu veux ? «
Elle ne répondit rien
« Hé bien ? Je tai posé une question Sophie ? »
«
Oui »
« Tu as envie de me donner quoi ? »
« Jai envie que vous me preniez par devant. »
« Quest-ce que cest que cette façon de parler Sophie ? Sois plus directe tu veux ? Tu veux me donner ta chatte ? »
« Oui
je veux vous la donner »
« ME DONNER QUOI ? »
« Vous donner ma chatte » Elle avait dit ça en rougissant à lextrême.
Il pris un préservatif et lenfila prestement sur son sexe érigé en obélisque. Il prit Sophie par les épaules et linstalla sur le dos. Il sallongea prés delle repris ses caresses tendres et ses baisers.
Je ne pus mempêcher de penser :
« Ca y est elle va se donner à ALLAN » Je me sentais dépossédé, incroyablement frustré et un peu malheureux
Lorsquil voulu se mettre entre ses jambes ; elle voulut les resserrer et se raviser
« Non, il faut attendre Yann sil vous plait ALLAN. »
Il força le mouvement et lui attrapa les poignets la couvrant de son corps et lui ouvrant les jambes de ses genoux.
« BON, ÇA SUFFIT COMME ÇA SOPHIE !!! JEN AI ASSEZ DE TES HESITATIONS !!!
Yann ne reviendra que lorsque je lui dirais de revenir. Jusque là, TU ES A MOI QUE TU LE VEUILLES OU PAS !!! »
Je la vis essayer vainement de lui échapper mais il avait déjà réussit à se positionner entre ses jambes.
Il lui attrapa les deux cuisses pour les lever, posa ses mains dessus pour les écarter au maximum et dans le même temps, il se colla à elle pour poser son gland sur sa fente.
Il senfonça entièrement en elle. Quand il fut amarré à Sophie, il lui claqua violemment les cuisses, les fesses et les seins. Elle luttait encore gigotait en tout sens en criant :
« Non, pas comme ça, arrêtez ALLAN sil vous plait ! HAAAAAAAAAAAAAAAA !!! »
« TAIS TOI TU ES A MOI MAINTENANT !!! »
Il fit quelques allers-retours en elle, lui arrachant un grand cri. Il accéléra encore et encore. Se redressant, il se remit à lui adresser des claques sur les cuisses.
« TU VEUX QUE JE CONTINUES DE CETTE FAÇON OU TU PREFERES REVENIR A DE MEILLEURS SENTIMENTS ET TE LAISSER FAIRE ? »
Il se remit à la prendre avec force jusquà ce que je la vois abdiquer lentement. Les moulins quelle faisait avec ses bras étaient moins forts, moins vifs et pour tout dire, beaucoup moins crédibles. Elle respirait fort et se laissait peu à peu prendre par le rythme quALLAN lui imposait.
« ALORS SOPHIE ? TU ES DECIDEE A ME LAISSER FAIRE ? »
« HAAAAAA
Oui, daccord ALLAN
je me laisse faire
faites doucement sil vous plait »
Pendant toute sa rébellion, elle avait continué à vouvoyer ALLAN qui, de fait savait pertinemment quelle était en train de « jouer ». La scène avait fait monter mon adrénaline brusquement mon cur saffolait et semblait vouloir sortir de ma poitrine.
Je voyais mon amoureuse qui se rendait à la raison dictée par ALLAN qui simposait, de fait brusquement, comme SON maître.
Elle était conquise
cen était fait de sa liberté de mouvement ou de décision. Elle venait de franchir un cap
une évidence mapparue avec netteté et soudaineté :
ELLE LUI APPARTENAIT !!!
Jeus un gros pincement au cur et sentis les larmes affleurer. Je me contrôlais et jetais un coup dil au dessus de lordi.
ALLAN était assis sur le lit et me regardait un sourire ironique au coin des lèvres. En observant mon air étonné et ma respiration saccadée, il savait parfaitement où jen étais du film. Il avait cet air de « conquistador » qui semblait me dire :
« Tu vois, jai gagné mon pari, il ne ma fallu quune heure et des poussières pour la ranger à MA raison
»
Je le regardais à la dérobée et vis que Sophie était maintenant à ses pieds en position de soumise, sur les genoux, les mains dans le dos en train de lui pomper la queue comme si son avenir en dépendait. Je lentendis dire à SA soumis :
« Branles moi en même temps. »
Immédiatement, je vis Sophie obéir à SON maître et prendre la bite dans ses mains en continuant de le sucer.
ALLAN me fit un signe de tête et je replongeais dans la vidéo.
Désormais, Sophie semblait se laisser faire. ALLAN allait beaucoup plus doucement.
Il était même tendre avec elle et faisait basculer son bassin de droite à gauche pour la fouiller complètement. Je voyais les mains de ma bien aimée, serrer le dos dALLAN. Elle commençait même à imprimer ses ongles dans sa peau
signe quelle était en train de partir et que sa jouissance, sinsinuant dans le bas de son dos, remontait le long de ses jambes, de son échine et fusait, telle la marée à une vitesse quelle ne contrôlait plus du tout
Je lentendis miauler comme une chatte et griffer son suborneur en gémissant et en répétant :
« HO OUI, PUTAIN CEST BON !!! HOOOOOOOOO OUI
»
Il laissa redescendre Sophie en la câlinant tendrement
comme un amant attentif.
Il reprit ensuite :
« Cest bien Sophie, belle jouissance. Jaime quand tu te laisses aller mais ne me résiste plus je ne voudrais pas avoir à recommencer comme tout à lheure cest bien compris ? »
« Oui
»
« Oui qui ma chère soumise ? »
« Oui ALLAN »
« Non, tu peux faire beaucoup mieux que ça ma tendre soumise
alors ? Oui qui ? »
Et là, jentendis ce que je redoutais le plus dentendre
« Oui maître »
« Cest bien Sophie je vois que tu as compris. »
WOAOW !!! Je reçus encore un autre coup de semonce et dadrénaline.
Javais la tête qui tournait et ma respiration qui saffolait.
ALLAN recommençait ses caresses sur le corps alangui de Sophie qui se laissait visiter comme SON NOUVEAU MAITRE le désirait. Il lui caressait de nouveau la chatte, la doigtait savamment. De temps à autre, il semblait quil lui caressait aussi lillet Sur le gros plan, je voyais son index qui lui perforait doucement le cul. Sophie gémissait mais nempêchait rien. Il avait du prévoir ce qui allait se passer car je le vis poser un petit gode terminé par un petit diamant sur lanus de ma pauvre Sophie qui nobjecta même pas lorsquil le fit entrer entièrement en elle.
Juste un petit gloussement de surprise.
Il continua à faire entrer et sortir le gode sans arrêter de la doigter. Son habilité et son expérience, lui ouvrait toutes les voies
Sophie se mis à se contorsionner dans tous les sens en criant, elle jouissait bruyamment par les doigts dans sa chatte et le gode adroitement manipulé dans son cul.
Sur le gros plan, je voyais son sexe dégouliner abondamment
Comme me lavait dis ALLAN :
« Sophie est une femme fontaine cest génial ça !!! »
« Oui, je sais, elle le fait parfois. »
« Elle devrait le faire à CHAQUE FOIS
si tu nétait pas si maladroit.
La respiration saccadée, le cur affolé, Sophie se laissait emporter par ses démonstrations extatiques, continues
.
« Bien ma tendre Sophie que te reste t-il à moffrir maintenant pour être encore plus à moi ? »
Je la vis blêmir et reculer un peu pour le supplier du regard :
« Sil vous plait maître, pas maintenant
Yann
»
«
Yann narrivera pas tout de suite ! Alors réponds à ma question que te restes t-il à moffrir ? Appliques toi pour répondre. »
«
Il reste
mon cul
maître ? »
« Cest parfait alors mets toi en levrette. Yann ma dit que tu adorais cette position non?»
« Oui maître jadore
»
Répondit-elle en se mettant en position. ALLAN se mit derrière elle. Sophie semblait sagiter de nouveau.
Il lui claqua les fesses assez fort
« AÏÏÏÏÏÏÏÏÏEEEEEEEEEEUUUUH »
Il frotta dautorité son gland le long de la raie culière de Sophie qui espérait vainement échapper à loutrage en se tortillant. Défense illusoire et inadaptée puisquelle restait toujours en levrette.
Voulait-elle réitérer la scène précédente ?
Je me souvenais quelle mavait un jour avoué sêtre déjà excitée avec des pensées de viol, ou dhommes qui la forcent.
Ces souvenirs marrivèrent violemment en pleine tête car je SAVAIS que cest ce qui allait se passer de nouveau devant moi !!!
En effet, ALLAN enleva délicatement le gode laissant apparaître une certaine béance du trou, claqua les fesses de Sophie qui cria un grand :
« AÏÏÏÏÏÏÏÏÏEUUUUUUUUH !!!»
Il positionna son gland sur lanneau que je vis palpiter légèrement puis
engloutir toute la longueur de la bitte dALLAN.
Il se retira presque immédiatement pour poser de nouveau son gland sur lanneau encore entrouvert et qui se refermait lentement. Je voyais lanneau qui commençait à sécarter doucement. Il nallât pas plus loin, le gland à moitié introduit
« Veux tu moffrir ton cul Sylvie ? »
« Oui, maître. »
« Alors déclares le moi !! »
« Je veux vous donner mon cul ... Maître. »
« Tu en as VRAIMENT envie? »
« Oui
maître
vraiment. »
« Alors écartes tes fesses et montres moi que tu moffre ton cul avec plaisir. »
Je la vis ouvrir ses fesses avec ses mains, elle était magnifique dans cette position doffrande, de don delle même.
ALLAN vînt se placer derrière elle lentement. Il lui caressait le dos et lintérieur des cuisses, il introduisait en même temps des doigts dans sa chatte trempée.
Elle gémissait de bonheur visiblement troublée de soffrir ainsi et de ressentir les ondes de plaisir qui la traversaient. Sans que rien ne le laissait prévoir je la vis essayer de fuir soudain les doigts dALLAN.
Sophie se ravisa et commença à onduler du bassin, il lui mit une claque sur les fesses pour quelle restât tranquille
ce qui neut pas leffet escompté.
Elle tenta de se retourner pour se dérober mais ALLAN nettement plus rapide, avait assuré sa prise des doigts dans sa chatte et la maintint en levrette lui claquant fortement les fesses avec lautre main.
« VAS TU RESTER TRANQUILLE OU FAUT-IL QUE JE RECOMMENCE COMME TOUT A LHEURE ? »
Il lui agrippa les hanches et lui appuya sur les épaules, puis il lui prit les avant-bras et les lui ramena vers larrière.
Il avisa la paire de menotte quil avait du, préalablement prendre avec lui, et les attrapa rapidement pour attacher les deux mains de ma belle dans son dos.
Je voyais quelle se débattait, mais son nouveau maître la maintenait solidement en levrette et lui empêchait de sallonger sur le ventre. Elle y parvint toutefois. Sans se départir de son calme, il lui mit une énorme fessée lui arrachant des cris.
Désireux de ne pas ameuter tout lhôtel, il se leva, pris un bâillon latex quil lui fixa dans la bouche. Lorsque ce fut fait, il reprit la fessée et jentendais la main qui sabattait et les cris étouffés de Sophie
JASSISTAIS BEL ET BIEN AU DRESSAGE DE MA TENDRE AMOUREUSE !!!
A mesure quil frappait, je voyais les fesses rougir et Sophie qui se débattait de moins en moins se contentant de pousser des cris à chaque claque.
Il lui dit alors très calmement :
« Je continues ou bien préfères tu obéir ma belle ? »
« HUMMMM HUU HUMMMM
»
Il lui enleva le bâillon
« Tu disais ? »
« Je préfère obéir. »
Une claque retentissante fit tressauter les fesses déjà bien rouges.
« AÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏÏEUUUUUUUUUUH »
« Tu disais ? »
« Je préfère obéir
maître. »
« remets toi en levrette ! »
Il laida à reprendre sa position initiale, lui enleva les menottes et lui remit une claque moins forte sur les fesses.
« HAAAAAAA !!! »
Sophie écarta delle même ses magnifiques globes fessiers rougis par la correction. ALLAN sinstalla de nouveau derrière elle, lattrapa par les cheveux et positionna sa bite sur lanneau qui accueillit le gland, puis, il senfonça assez rapidement et en une seule fois jusquau fond de son cul.
« HUUUUUUUUUUUUUUUU !!! »
Sophie en lâcha ses fesses. Il lui reclaqua le cul afin quelle compris que les consignes navaient pas été changées.
« AÏÏÏÏÏÏE !!! »
Toujours enculée, elle obéit en gémissant. ALLAN neut aucune pitié ni aucune considération pour les cris de Sophie et commença à pilonner son cul dun rythme régulier et puissant.
Elle ne lui donnait plus ses fesses, IL EN PRENAIT POSSESSION !!!
Il lui imposait un rythme et une intromission sans tenir compte des désirs, des envies de SA soumise
IL LUI VIOLAIT LE CUL !!!
Jétais abasourdi, javais du mal à respirer devant le viol de celle que jaimais.
« HAAA HAAAA HAAA HA HAAAA HAAA HAAAA !!! »
Il la tenait toujours par les cheveux, elle tenait toujours ses fesses écartées et il la bourrait sans répit. Sophie arrêta de râler et se mit à gémir de plus en plus fort.
Tout dans sa tête devait se mélanger :
son désir de soumission à ce maître formidable de tendresse mais de puissance mêlée, la réalisation de son fantasme de viol quelle croyait secret, son dressage et finalement sa complète reddition.
Je levais les yeux car je devinais des changements derrière lécran.
Sophie était assise sur ALLAN qui lui avait attrapé les seins. Elle montait et descendait sur sa bite les yeux fermés respirant de plus en plus fort.
Lorsquil vit que je les regardais, ALLAN abandonna les seins de SA soumise pour la prendre derrière les cuisses quil souleva en sallongeant, pour me montrer où sa bite était logée.
Je vis alors, en direct, la bite dALLAN entrer et sortir du cul largement ouvert et asservit de Sophie qui se laissait complaisamment faire sans broncher. Je lentendais miauler doucement et je savais quelle nétait pas loin de jouir.
ALLAN se redressa mit une claque sur les fesse de Sophie qui, prenant appui sur ses genoux, reprit ses allers-retours sur la bite de son MAÏTRE
Il sarrêta un instant et releva le menton de Sophie qui ouvrit les yeux et articula faiblement en rougissant et la tête baissés:
« Comme tu vois mon cul appartient à ALLAN.. ; ainsi que TOUT mon corps. JE SUIS A LUI DESORMAIS
ENTIEREMENT A LUI. »
WOAOW !!! Heureusement que jétais assis, parce je sentais que mes jambes flagellaient et que si javais été debout, je me serrais effondré
de frustration et de jalousie.
« Cest assez clair comme ça ma salope ? »
Je narrivais pas à me remettre les idées en place et comme sil se fut agit dun autre, je mentendis répondre :
« Oui maître, jai compris cest assez clair. »
Laissant Sophie sur sa faim, il la repoussa tendrement mais fermement pour sortir sa bite de son logement.
Sadressant à moi, il me dit :
« Bon, il est Deux et quart, tu finiras de regarder la vidéo à la maison, On a plein de choses à faire. Viens là salope. »
Je mavançais, la peur au ventre
quallait-il encore nous faire vivre ?
Je mapprochais timidement du lit. Il vînt derrière moi, pris mes mains et les menotta dans mon dos. Il pris deux cordes épaisses et en moins de temps quil nen faut pour lécrire, il mavait ligoté pour je tienne à genoux légèrement penché.
Une des cordes me maintenait les bras et les jambes. Lautre senroulait autour de ma taille, passait entre mes cuisses, tournait t autour de mes couilles et la base de ma bite.
Je regardais Sophie qui avait levé la tête et me regardait maintenant avec des yeux où se mêlait la gêne et lexcitation. Elle devait connaître la suite, ALLAN avait du linformer
Pour cétait la surprise, mais je me doutais que jallais devoir goûter moi aussi à la soumission.
Je me sentais rassuré par le fait quALLAN nest pas BI, mais je nen menais pas large pour autant.
Lopération sétait déroulée dans le silence.
« Voilà, soumis, tu es prêt pour la suite nest-ce pas ? »
« Quelle suite
maître ? »
« Mais la surprise voyons ! Sophie, ma chère, vient exciter un peu notre salope !»
Sophie sapprocha de moi et me caressa délicatement mes perles, dont elle adore la forme, avant de venir suivre la longueur de ma tige tendrement, amoureusement.
Je revivais les gestes damour dont elle savait me gratifier, avant dappartenir à un autre que moi, avec émotion et je ne tardais pas à bander.
ALLAN se pencha à son oreille et Sophie se courba vers mon bas ventre, jespérais quelle me prenne dans sa bouche, grâce à lautorisation de SON maître, mais il nen fut rien. Elle se contenta de membrasser le ventre et les cuisses. Ses mains couraient sur mes cuisses, mon dos et les pointes de mes tétons, me mettant dans un état dexcitation intense que linstallation des cordes allait maintenir
Soudain, jentendis quon frappait à la porte, Sophie se releva brusquement et ALLAN me flatta la tête, comme on flatte celle dun animal de compagnie
Dans ma position, cest ce que je nétais pas loin de devenir
un objet à défaut dun animal
Sophie ouvrit la porte du vestibule puis celle de la chambre et quelquun entra
Tourné comme je létais et dans ma position baissée, je ne pouvais rien voir mais jentendais les pas feutrés sur la moquette. Ils parlaient à voix basse et je nentendais rien. Ils se présentaient sans aucun doute. Les pas se rapprochèrent.
« Voilà celle quil faut éduquer aujourdhui ! »
Cétait la voix dALLAN.
«
Mais vous prendrez bien quelque chose
»
Une voix rauque lui répondit :
« Oui bien entendu. »
Le bruit des verres quon remplit, qui sentrechoquent, suivit des gorgées quon absorbe et quon dégluti. Le temps sétait suspendu, maccordant le répit nécessaire pour comprendre et même commencer à paniquer.
Jusque là, javais cru que ma punition allait se borner à ma frustration due à la soumission de ma tendre aimée ainsi que le fait de navoir pas assisté directement au dressage de Sophie, mais il allait falloir ajouter à cela MA PROPRE SOUMISSION ET MON INITIATION A LHOMOSEXUALITE !!!
Tout à coup, je ne savais plus si javais envie de continuer ou de tout arrêter. Sophie sapprocha de moi
« Je ne te quitte pas des yeux, cest à ton tour mon chéri. Je vais te voir devenir BI
»
« Mais je suis déjà hétéro mon amour
»
« Alors je vais te regarder devenir homo mon cur »
«
»
Jétais mort de peur mais je savais que Sophie avait le grand désir de me voir devenir soumis et BI
Je voulais lui offrir cette preuve damour par le spectacle dun de ses plus grand fantasmes
voir son mec sucer, se faire prendre le cul et devenir ainsi parfaitement BI
pour dautres nouvelles futures aventures.
Je neus pas longtemps à attendre, ALLAN vint dans mon champ de vision.
« Je te présente Ludo, cest par lui que tu vas apprendre beaucoup aujourdhui. Tu lui dois la même obéissance quà moi cest bien compris ? »
«
Heu oui
maître.. ; »
« Dis bonjour à Ludo. »
« Bonjour Ludo. »
ALLAN me gifla à la volée !
« Tu lappelles Monsieur et tu lui dis bonjour comme une bonne salope
avec ta bouche. Tu as déjà sucé une bite nest-ce pas ? Daprès Sophie il parait même que tu as aimé ça !»
«
Oui maître
jai déjà sucé
une fois.
« Et tu as aimé non ? »
Sophie avait donc parlé de notre première expérience et elle avait même répété des choses que je ne souhaitais pas voir divulguées
mais cétait trop tard
Le rouge aux joues je répondis humblement :
« Oui Maître, jai aimé. »
« Parfait, on va te regarder et si tu es bien sage, tu seras récompensée
dans le cas contraire, tu seras punie. »
« Bien maître. »
Jessayais de tourner la tête pour voir le Ludo en question, mais ma position mobligeait à resté(e ?) penché(e ?) et je ne voyais que ses jambes
Elles étaient dénudées et
SOPHIE ETAIT EN TRAIN DE LE SUCER !!!
Ce nétait pas possible
ALLAN venait de « prêter » la femme que jaime à celui qui allait devenir mon suborneur ????? !!!???
Je voyais la tête de Sophie monter et descendre sur ce long sexe dur !!! Jétais littéralement scié à la base !!!
Ludo sapprocha, me releva par le menton et jentendis sa voix rauque me dire :
« Alors il paraît que tu aimes sucer ? Il paraît que tu veux me dire bonjour ? »
«
Oui Monsieur
»
Il se mit à genoux devant moi et me regarda dans les yeux
« Tu as envie de venir BI ? »
« Oui Monsieur. »
« Oui Monsieur, jai envie de devenir BI » me dit il en me giflant.
La tête me tournait et jai rapidement répondu :
« Oui Monsieur, jai envie de devenir BI. »
En réalité, ayant accepté le jeu, javais envie de faire ce quil fallait pour pouvoir faire lamour à Sophie le plus rapidement possible.
Ludo sapprocha et mit sa bite à la hauteur de ma bouche. Je du tendre le cou pour être assez prêt et sortir ma langue pour toucher sa queue.
« Tu la veux dans ta bouche ? »
« Oui Monsieur je la veux dans ma bouche. »
Il sapprocha encore et je pu le lécher sur toute la longueur de la tige
jusquau gland dressé.
Il me regardait narquois. ALLAN avait le même type de regard et Sophie observait la scène de son mec ligoté et en train de sucer une bite avec un regard fasciné.
Ludo me prit la tête entre les mains et appliqua mes lèvres sur son gland. Il poussa pour pénétrer ma bouche et me prendre à son rythme.
Il allait assez (trop) loin dans ma bouche et javais des haut-le-cur lorsque cétait le cas.
« Sors ta langue. »
Je mexécutais et il se remit à menfiler la bouche puis à se retirer complètement avant de revenir y plonger
Comme dans certains films pornos, je commençais à saliver énormément et des filets de bave reliaient mes lèvres à sa queue. Il se fit sucer un très long moment et les bruits que jentendais autour de moi, me faisait penser que Sophie se caressait
sous le regard dALLAN qui devait savourer sa victoire
Ludo colla sa bite à son ventre pour je lui lèche les boulles
parfaitement rasées
Javais noté que Ludo était poilu (Sophie adore) mais jétais étonné de sentir sous ma langue le glabre de ses couilles
Javais de la bave absolument partout. Ludo fit le tour en mappuyant sur le dos et je sentis sur mon cul la froideur dun gode enduit de gel
Il le faisait tourner et lintroduisait doucement
Je sentais mon anneau souvrir tout doucement sous la lente poussée.
Javais cette impression dinexorable sacrifice que rien ne pouvais plus arrêter.
Il continuait ses manoeuvres et je sentais que le gode nentrait plus si facilement
Ludo poussa plus fort. Impitoyablement le gode força lanneau qui céda et je sentis mon cul aussitôt remplit dune grosseur douloureuse
« HAAAAAAAAAAAA AÏÏÏÏÏE !!! »
« Respire et détends toi sinon, ça va être encore plus pénible pour toi
»
Jessayais de faire comme il me le disait, mais la douleur restait là, au fond de moi
Il faisait coulisser doucement le gode en moi. Il le mit en route et je sentis les vibrations sur le pourtour et en profondeur.
Javais la tête prise dans un étau et plus aucune pensée ne me venait
juste les sensations douloureuses et nouvelles de mon corps !!!
Au bout dun long moment (interminable) jai sentis quil enlevait le gode
auquel je commençais à peine à mhabi( c-à-d que je ne criais plus aussi fort).
Il le retira complètement marrachant un cri lorsque la partie la plus large distendit mon cul de façon tout à fait inhabituelle
« HOOOOOOOOOOOOOOOO AÏÏÏÏÏÏÏÏÏE !!!! »
Je respirais rapidement dautant plus que je savais que ça y était
le plus dur restait à venir
Soudain, ses mains sur moi
« Alors tu es prête à me donner ton cul ? tu en as envie ? »
«
heu
oui Monsieur
je suis prêt »
Une claque ENORME me fit hurler de douleur
sèche, brutale, inattendue.
« PARDON ??? TU ES QUOI ???? »
« AÏÏÏÏÏÏÏÏÏËEEEE !!! PARDON MONSIEUR
oui
je suis
prête »
« Voilà, cest mieux tu ne comprends pas vite pour une apprentie salope
il va falloir pourtant
»
Il posa son gland sur mon cul
CA Y EST CEST POUR MAINTENANT !!!
Je sentis le gland franchir la (faible) barrière de mon cul doucement inexorablement.
« HAAAAAAAAAAAAAAA !!!!! »
« On y est !!! Savoures ce moment ma belle je tenfile
tu es une parfaite petite qui se fait trouer la rondelle et tu vas adorer ça !! »
Sophie devait ouvrir des yeux ronds et admirer son mec devenir HOMO.
Jentendis ALLAN lui demander :
« Alors le spectacle te plait ma douce Sophie ? »
Et Sophie de répondre :
« Ho oui !!!
Maître, beaucoup. »
« Tu aimes la voir se faire prendre par le cul cette jolie salope ? »
« Oui Maître, jaimes le voir se faire enculer. »
« Tu aimes LA voir se faire enculer nest-ce pas ? »
« Oui
Maître. »
« DIS LE !!! »
Je savais dans les brumes de douleurs et de sensations nouvelles qui menvahissaient, que Sophie, ne voulait pas trop féminiser mon appellation
Pourtant elle finit par dire :
« Oui jaime voir cette salope se faire enculer
Maître
»
« Voilà, parfait, tu sais ce quil faut dire de ton « ancien maître » désormais nest-ce pas adorable Sophie? »
« Oui Maître. »
« Cest ce que Yann est devenu nest-ce pas Sophie ?
« Oui Maître
»
« Alors DIS LE !!! »
« Yann est mon ancien maître »
Pendant ce temps là, Ludo menfilait tranquillement jusquà la garde, je sentais quau dedans de moi, tout se dépliait pour laisser passer cette bite imposante qui gonflait encore dans mon cul serré, vierge et jusquà ce jour inexploré !!!
Quand il fut au fond de mon cul il me chuchota :
« Alors ça y est tu es prête à devenir une bonne salope hein ? »
« Oui Monsieur, je suis prête à devenir une parfaite salope. »
Il me prit par les hanches et je sentis cette monstruosité envahissante qui remontait et qui soudain redescendait en moi
Il me pistonnait !!!
« HAAANNNN HAAAAANNNN HAAAAA HAAAA DOUCEMENT
Sil
VOUS
PLAIT !!! »
« TAIS TOI SALOPE ET ENCAISSE !!!»
Il allait de plus en plus vite sans tenir compte de mes plaintes
javais le ressenti dun viol !!!
« Jarrêterais daller vite quand tu mauras montré que tu es prête à être docile !!! »
Je ne savais pas ce que cela voulait dire ni comment le lui montrer. Ludo continuait, infatigable à me bourrer le cul faisant même ressortir sa bite pour la renfoncer encore plus loi, plus fort
Toujours la tête vide
et le cul rempli
toujours pas dindice pour montrer ma docilité.
Soudain, je revis en pensée la vidéo de tout à lheure où ALLAN demandait à Sophie de lui montrer quelle aimait de faire enculer par son nouveau maître en écartant ses fesses... Cétait peut-être LA solution
Jhésitais encore mais Ludo allait de plus en plus rapidement
Jessayais donc dattr mes fesses avec le peu de liberté laissée à mes mains
« HAAAAAA QAUND MÊME !!! ALORS TU COMMENCES A AIMER ÇA HEIN MA SALOPE ? »
« HAAAAA HAAAAAAAA Oui
Monsieur, je
commence
à
ai
mer HAAAAA !!! »
« Tu veux être une bonne salope ? »
« Oui Monsieur, je
veux
être une
bonne
salope. »
« Parfait
«
Il ressorti de moi, dun seul coup
« HOOOOOOOOOOOOO !!! »
Il fit le tour, enleva la capote et me mit sa bite à hauteur des lèvres.
Jouvris immédiatement la bouche pour le sucer. Il se montra satisfait et senfonça dans ma bouche offerte.
Il se fit sucer pendant un temps interminable puis sorti de ma bouche et me détacha
sauf la corde qui me liait les couilles et la bite.
Il revint devant moi et servilement jouvris la bouche pour le recevoir à nouveau
Il fit quelques allers-retours et se remit derrière moi, jétais déterminé(e?) à serrer les dents et ne pas crier, pour écourter mon temps de soumission et dapprentissage.
Je sentis encore cette sensation dun gland qui se pose et qui enfonce les faibles défenses pour venir se nicher au fond de mon conduit
javais préalablement ouvert mes fesses avec mes mains dés que javais compris quil voulait encore menculer
Ludo avait repris ses coups de pistons mais de façon plus lente, plus douces aussi.
Soudain, je sentis quon me prenait le menton, je me mettais sur les mains en levrette et levais les yeux pour voir ALLAN ???
« Alors ça y est tu es devenue une parfaite salope bien sage ? »
« Oui, maître
je
suis de
ve nue
une .. salope bien sage
HUUU ! »
« Cest bien
Sophie voudrait admirer une scène et jai décidé de la lui offrir tu es daccord pour nous faire ce plaisir ? »
« Oui Maître. »
Je ne savais pas trop de quoi il sagissait
toutes ces sensations, ces perturbations, je ne savais plus ou jen étais, tout juste un automate, un objet de plaisir. Sophie sapprocha et me dit :
« Je veux voir ma belle salope soumise sucer une bite en même temps quelle se fait prendre le cul. »
Elle était toute rouge en me disant cela.
Je neus pas longtemps à attendre avant même davoir compris ce qui se passait.
ALLAN me prit par le menton, élevant ma bouche à la hauteur de sa bite
je savais ce qui me restait à faire. Sans broncher, jouvris la bouche pour accueillir celui qui serait désormais
mon maître pendant 5 séances encore
Sophie était excitée comme jamais de voir son mec embroché des deux côtés !!!
Elle respirait fort et ne manquait aucun détail de la scène qui se déroulait sous ses yeux et qui constituait un sommet de ses fantasmes cachés.
Jétais secoué(e ?), balloté(e ?) par mes deux amants qui me prenait comme une femme
Je ne savais plus ce que jétais, un hétéro en train de devenir Homo, ou en train de devenir BI, Jétais à coup sur dans le rôle dun objet de plaisir
Un homme dont on usait comme sil ce fut agit dune femme
Pour le plus grand plaisir de mes partenaires ainsi que celui de mon EX soumise devenue la soumise dALLAN.
La scène dura un long moment et Sophie commença à se caresser en nous observant.
De mon côté, je sentais la douleur séloigner doucement
Devenir plus sourde, plus lointaine.
Pas vraiment du plaisir, mais beaucoup moins de douleur et dappréhension. Juste une sensation dencombrement
je me sentais rempli(e ?)
ALAN qui se faisait sucer, regardait Sophie se masturber devant ces images tant attendues il sortit de ma bouche et me tourna la tête pour que je la vois se caresser.
« Vois comme elle est heureuse du spectacle que tu lui donnes. Tu lui procures du plaisir à distance, grâce à la transformation que tu acceptes en ce moment et qui te faisait si grande envie pas vrai ? »
« Oui
maître. »
Il retrourna prés delle et me confia aux bons soins de Ludo qui continuait à menculer copieusement.
Je vis ALLAN caresser les seins et le ventre de Sophie, tendrement avec toute lattention dun amant envers sa maîtresse ou toute la douceur dun maître satisfait envers SA soumise
Je ne sais si Ludo et ALLAN sétaient concertés ou si les évènements puissamment érotiques avaient conduit les choses à leur point culminant, mais Sophie et moi nous sommes retrouvés dans la même situation, la même position :
A genoux, les mains dans le dos, avec chacun(e) la bite de notre « amant/maître dans la bouche à prodiguer une pipe propre à les satisfaire tous les deux.
Ludo et ALLAN avaient prit la tête de leur partenaire respectif et ils allaient et venaient dans nos bouches,
Les rythmes étaient similaires et, dans ma tête en tout cas, le terme me paraissait évident. ALLAN allait prendre lentière possession de Sophie et de moi (par lentremise de Ludo).
Une possession complète. Une soumission consentie, sans doute, attendue, pleine et entière !!!
Je sentis la bite de Ludo se raidir un peu plus, ses mains se serrer un peu plus autour de ma tête, je ne savais même plus où jen étais de mes envies, de mes désirs.
Jétais entré dans mon rôle de « salope soumise » et je me laissais guider complètement.
Ludo se figea, comme tétanisé et je sentis fuser sur ma langue les premiers jets de son jus chaud, âcre et salé. Il sorti de ma bouche et éjacula le reste sur mon visage et mon cou.
« Regardes notre jolie salope ma douce Sophie
elle aussi est à moi maintenant
entièrement
comme toi !!! »
Il remit sa bite entre les lèvres douces, chaudes et asservies de Sophie qui désormais savait ce que SON NOUVEAU MAÎTRE attendait delle.
Elle sy résignait de bonne grâce pour lui complaire et achever ainsi son fantasme de soumission complète qui semblait lexciter au plus haut point à ce moment précis.
Elle appréhendait ce qui allait se passer puisquavec moi, elle avait longuement hésité à me boire et que javais même été le tout premier dont elle goûtait le sperme
Jusque là
Elle reprit donc sa merveilleuse fellation et je vis peu à peu ALLAN se tendre, se crisper et se laisser aller par les ondes de plaisir successives que lui procurait la bouche si douce, accueillante et habile de ma Sophie
heu
de SA soumise.
Il se cabra lui aussi et sorti sa bite en continuant de la maintenir sur les lèvres de la belle soumise avant de jouir en jets saccadés.
Je voyais son liquide inonder les lèvres closes de Sophie.
« Maintenant ouvre la bouche et bois ton nouveau maître ma chère Sophie ! »
!!!
ELLE LE FIT SANS BRONCHER !!!!
Je la vis avaler la bite et boire les dernières expulsions de sperme dALLAN
Elle était rouge pivoine comprenant quelle venait de sceller un pacte de 5 séances de soumission complète à son NOUVEAU MAÎTRE.
Il avait désormais toute latitude pour exercer sa volonté sur nous deux sachant que nous venions par cet acte ultime de nous livrer à sa concupiscence.
Il me fit un signe de la tête pour que je vienne près deux. Je me levais et mapprochais.
ALLAN appuya sur mes épaules et je compris ce quil désirait
Sophie aussi sans doute
« Embrassez vous mes soumis »
Nous en avions de toutes façons tellement envie quil neût pas besoin de nous pousser lun vers lautre.
Nous nous enlaçâmes tendrement, amoureusement pour un langoureux baiser damour qui nous réunissait et mélangeait aussi le sperme de nos maîtres respectifs.
Il sadressa à Ludo :
« Regarde comme ils sont beaux tous les deux
Tu ne trouves pas ? »
« Si si, tu as parfaitement raison ils sont très beaux et si amoureux
Joli tableau de deux soumises qui sembrassent et qui saiment
»
« Est-ce quelles méritent une récompense ? »
« Cest toi le maître, mais je pense que oui. »
« Bon, vous pouvez vous aimer tous les deux MAIS ATTENTION
Sophie noublie pas ce que je tai dit hein ? »
«
Non Maître. » Lui répondit-elle.
Ludo et ALLAN sinstallèrent dans les fauteuils et nous sur le lit. Nous fîmes lamour tendrement. Nos gestes pleins damour étaient comme un baume réparateur de nos vicissitudes même consenties.
Pendant que nous nous aimions, Sophie (sans doute sur les « recommandations » de SON MAÏTRE) me raconta son ressenti sur la journée.
« Mon amour, merci pour cette journée, merci de mavoir permis de vivre cette expérience de soumission avec ALLAN et de lui appartenir entièrement et merci davoir accepter ton expérience homo pour moi. Et pour toi aussi
tu avais lair dapprécier aussi sur la fin non ? »
« Oui, mon amour, cétait moins douloureux vers la fin. »
« Tu sais, maintenant, jappartient entièrement à ALLAN jespère que tu ne men veux pas trop
»
« Ben cest hyper frustrant de savoir que tu vas lui offrir des choses que tu vas me refuser pendant 5 séances sauf sil nous le permet
mais nous étions daccord au départ. »
« Je taime mon cur. »
« Moi aussi mon amour je taime. »
« Tu sais jai aimé tout ce quil ma fait et ce que je suis devenue pardon de te dire ça. »
« Non, cest pas grave. Tu as tout aimé même le viol ? »
Elle se mit à rougir très violemment
« Oui
même le viol. »
A ces mots je sentis une accélération de mon cur. Sophie passa ses doigts sur mes tétons, et jexplosais en elle sans pouvoir me contenir plus longtemps.
Jétais épuisé par toutes les sensations de la journée et lexcitation contenue.
Nous restâmes à nous câliner un très long moment sous les regards attendris dALLAN et LUDO.
Lheure avait tournée et il était grand temps de nous rhabiller. Ludo parti le premier après nous avoir embrasser tous les trois.
ALLAN me demanda de rassembler toutes nos affaires, de tout ranger dans sa mallette et de me tenir prêt.
Pendant que je mexécutais, il aidait Sophie à se rhabiller en lui disant :
« La prochaine fois, je veux que tu viennes sans culotte et sans soutien gorge. Tu mettras ton porte jarretelle et ton ensemble rouge cest compris ? »
« Oui maître. » Dit-elle en rougissant « J ai compris »
Puis il se mit à lembrasser passionnément faisant remonter ma jalousie vers de trop haut sommet
que je choisissait finalement de ne pas exprimer
jétais toujours très perturbé par les évènements de cette journée riche en émotions de toutes sortes.
Il prit la mallette et sortit, nous pûmes nous embrasser amoureusement à loisir. Je passais même une main sur ses fesses, dans sa culotte lorsquelle me dis :
« Tss tss tss tu sais bien que ce nest plus pour toi maintenant. Branles toi en pensant à cette journée, et au fait que tu ny auras de nouveau accès que dans 5 séances mon amour. »
« Salope !!! » lui répondis-je sur un faux ton de reproche.
« Tu en es une autre depuis aujourdhui nest-ce pas mon cur ? »
« Oui .. ; » répondis-je
cette fois, cest moi qui rougissais
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