D'Accord 2
On continuait de parler comme dhabitude par notre site.
Javais de nombreuses relations sexuelles avec mon copain même si ça ne durais jamais longtemps à mon grand désespoir !
On arrangeait le restaurant quil me devait. Et un jour il me dit :
- Donc tu as vraiment aimée ?
- Oui, oui. Répondis-je.
- Il faudrait que je thumilie une bonne fois.
- A quoi tu penses ?
- Là, je nai pas encore didée à vrai dire !
- Quand tu trouveras
Peut-être !
Et nos conversations continuèrent jusquau jour où lon se vit, après le restaurant on repartit chez lui, cigarette à la bouche dans son fauteuil, il me fit signe de faire tomber ma robe, la faisant glisser le long de mes épaules, elle tombait complètement au sol, il tirait un coup sur sa cigarette et me dit de retirer le reste, ce que je fis.
- Viens te mettre sur le ventre, sur mes genoux.
Je my installais et très vite, il se mit à caresser mon anus et enfoncer ses doigts dedans.
- Jai vu que tu aimais beaucoup que lon y mette des choses dedans, donc je vais te faire plaisir.
- Je nai jamais dit ça !
Alors quil avait fini par rentrer deux doigts dedans, il me fit descendre de ses genoux, à genou par terre, jattendais quil revienne, lorsquil revint il mattachait les mains dans le dos et me remit sur ses genoux, il avait pris un gode, quil enfonçait peu à peu dans mon cul, et puis accélérais le mouvement, marrachant comme dhabitude de petit cri.
- Tiens, quel surnom te plairait ?
- Je ne sais pas
- Quelque chose de cru ?
- Je nai vraiment pas didée
Il me mit une claque sur les fesses et me dit :
- Réfléchis
- Je nai pas didée vraiment !
- Daccord, donc je vais te mettre des fessées jusquà temps que tu trouves et que ça me plaise.
Une rafale de fessée se fit sur mes fesses, je lachais vite un surnom.
- Choupette !
- Non, je naime pas.
Et ça recommençais
- Petite chienne !
- Tu te considères comme tel ?
- Oui
- Trouve autre chose !
Alors que mes fesses me brulaient, il fallait que je trouve un truc assez fort
- Petite pute ?
Il sarrêtait, tournait ma tête vers lui, me regardait et me dit.
- Cest vrai que ça te va bien. Ok, va pour petite pute ! Descend !
Je descendis de lui, un peu de mal à tenir sur mes jambes, le gode toujours dans mon cul, les fesses toute rouge, il se levait et partit dans la pièce en bas, revint et me menottait les chevilles lune à lautre, me laissait peu despace pour marcher, il me démenotta les menottes et les rattachais devant, il me mit une nouvelle sorte de bâillon, une boule en caoutchouc attaché derrière ma tête et me donnait une éponge et un seau, il noubliait pas de me mettre le vibromasseur et lactiver.
- Nettoie-moi ce sol, je veux le voir briller.
Je mouillais léponge et me mit à frotter le sol, mon cul restait en lair, de temps en temps il passait et mettait un coup de cravache, il samusait à me regarder me trainer pour faire ça.
Après un moment, il me fit marrêter et me dit :
- Jai ceci pour toi !
Je vis une chaine qui reliait deux pinces à linge.
- Cest quoi ?
- Une pince téton que jai acheté pour toi, ils seront reliés ainsi.
- Ca va faire mal !
- Soit forte, je te trouve trop lente !
Il me fit me redresser, sapprochait de moi et je vis lune de pinces arrivé près de mon téton, il la laissa se refermer dessus marrachant un cri et une larme à lil, il mit son doigt devant ma bouche pour me dire de me taire et fit pareil sur lautre, je me retenais mais javais des lancements.
Il se redressait, prit son verre et le versait par terre.
- Oups, je pense que tu vas devoir nettoyer avec ta langue.
Je passais ma langue sur le sol nettoyant toute leau quil avait versé, je me sentais humilié, mais je pensais surtout aux pinces sur mes tétons.
Jentendis ensuite la voix dune fille.
- Papi, ça maiderais !
- Apprends à gérer !
- Tes lourd !
- Cest pour ton bien, tu as quand même 25 ans, tu nes plus une gamine !
- Pfff, je ne peux rien te demander.
Lengueulade continuait un bon moment, sur ce moment-là, le vibromasseur faisait son effet et je mouillais des plus belles !
Puis plus rien, et la porte qui se referme. Je vis le coffre se rouvrir et me tenant par le bras, il me fit descendre dans la cave, mattachais les chevilles au mur avec un mini espace de celui-ci, prenant soins décarter mes jambes et mes bras en lair.
Il tirait la tête, ça se voyait, il me retirait mes pinces relançant la douleur sur mes tétons, je les sentais bouillant, il se mit à genou et approchait les pinces de mon sexe, je fis non de la tête mais il ne mécoutait pas, chacune des pinces se refermaient sur chacune de mes lèvres, ma douleur étouffé par la boule, il se redressa, caressait mes joues et puis tirait sur mes tétons marrachant des larmes au coin des yeux
- Je vais te laisser un peu, je nai pas envie de jouer là.
Je fis non de la tête et il me retirait les pinces de ma chatte.
- Non, tu es sur ?
Je fis oui de la tête.
Il me mit plusieurs claques sur mon sexe et remit les pinces.
- Tu nas rien à dire petite pute.
Il avait lair triste, était-ce sa petite fille qui avait fait ça ? Et il partit me laissant ainsi, fermant la porte à clé derrière lui. Je restais là, attachée, je finis par massoupir peu à peu.
Je ne sais combien de temps après il revint, il tenait quelque chose en main, il le déposait par terre et me détachais, attachant mes mains dans mon dos, il mattachait les chevilles avec un écarteur et me fit me mettre à genou par-dessus ce quil avait amené, on aurait dit un petit tabouret avec un gode dessus.
- Baise-toi petite pute.
Japprochais mon sexe de ce gode, assez gros, à croire quil voulait que je me déchire ! Je mabaissais peu à peu jusquà le sentir contre mes lèvres, je fis rentrer le bout et peu à peu le reste, et puis commençait les va et viens dessus, il était là face à moi à me regarder, regarder mes seins balancer, de temps en temps javais un coup de non plus cravache mais dun fouet avec des lanières dessus.
Quand il jugea que javais assez baisé, maidais à me relever, me détachais complètement et on remontait, on but un verre, fumais une cigarette et je continuais de mexciter
- Allais, on y va. Me dit-il.
Il mattachait à nouveau les mains dans le dos et me fit avancer, il memmena à nouveau dans la pièce, attachée dans la cage et me dit :
- Tu aimerais te faire prendre par deux mecs ?
Je fus surprise mais répondis alors :
- Oui
- Je tarrange ça ?
- Si vous voulez
Il sasseyait à côté de moi et sexcusait davoir été froid, on discutait et puis on convenus quil me cherche pour la prochaine fois, deux hommes pour me prendre.
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