Les Encheres
LES ENCHERES
Quelques semaines après cette soirée à Megève nous étions alors fin août, Paul me dit « samedi prochain nous irons à Megève chez Serge, tu seras officiellement présentée aux membres du réseau, ce sera une soirée pleine de surprises ». Jétais à la fois inquiète et curieuse. Tout ce que javais fait jusqualors par amour pour Paul, mavait laissé un gout amer, mais javoue que parfois jy avais pris du plaisir. Cette histoire de réseau mintriguait plus quautre chose, bien que je naie aucun doute sur la finalité au moment des faits.
Nous nous sommes retrouvés Paul et moi un samedi soir devant le même chalet ou avait eu lieu mon « initiation ». Il y avait sur le parking plusieurs voitures. Aussitôt que nous fumes rentrés, je fus prise en main par une femme, que jappellerai Mme X, à qui il était difficile de donner un âge. Elle mamena dans un petit salon situé au rez de chaussé. Il y avait là deux autres femmes, lune était très jeune 25 ans au plus, lautre je men souviens très bien une brune de mon âge semblait comme paralysée .Mme X nous décrivit ce qui allait arriver. Dabord elle allait nous préparer pour que nous soyons présentables selon son expression à « ces messieurs », ensuite nous serions en quelque sorte mise au enchère pour servir « ces messieurs ».Je compris que la plus jeune femme était là de son plein grés, cétait en fait une occasionnelle . Lautre femme comme moi était présentée par son mari . Mme X nous demanda de nous déshabiller et elle nous donna à chacune des tenues très sexy. Manifestement ces sous-vêtements avaient été choisis spécialement pour nous car ils correspondaient tout à fait à nos tailles. Je fus pour ma part affublée dun soutien gorges à balconnets, dune guêpière avec portes jarretelles, de bas et dun string, le tout de couleur anthracite, javais gardé aux pieds mes souliers à talon haut qui exagéraient la cambrure de mes reins.
Une heure sétait passée depuis mon arrivée lorsque Mme X nous conduisit au premier étage.
Mme X nous incita a monter sur lestrade et là elle nous demanda de prendre place chacune sur un des fauteuils en prenant des poses lascives et abandonnées. Javais limpression dêtre une marchandise a la merci de ces hommes qui nous scrutaient de façon aigue et pénétrante. La femme brune à côté de moi semblait ne pas apprécier du tout, quant à la plus jeune elle semblait à laise et se prêtait au jeu de lexhibition sans retenue. Jétais pour ma part comme toujours partagée entre la honte de ce que je faisais et la curiosité. Au bout de quelques minutes je vis les hommes qui levaient leur main de façon un peu aléatoire. Je compris quaprès quil sagissait denchères dont nous étions les objets. Au bout dun quart dheure Mme X me demanda de la suivre. Elle me conduisit au deuxième étage ou je crus discerner plusieurs chambres. Elle mintroduisit dans lune dentre elle et me demanda dattendre en me disant « vous avez remporté la première enchère, cest un bon début pour vous, soyez maintenant à la hauteur »
Quelques minutes plus tard « lheureux élu » entra. Cétait un homme de forte corpulence, javais à peine eu le temps de le remarquer lors des enchères. En silence et avec brutalité il menleva les quelques sous-vêtements que je portais. Il me dit alors « couches toi sur le lit et écartes », il se déshabilla rapidement et plus de 100 Kg de chair sabattirent sur moi. Je fus soulevé, il avait relevé mes cuisses avec ses bras et mécartait à me faire mal.
Il est resté plusieurs minutes contre moi, puis ma dit « jaimerai te revoir, jhabite Lyon, je tappellerai tu veux bien » « oui je veux bien » ai-je répondu.
La soirée sest terminée ainsi lorsque Paul est venu me chercher dans la chambre une demi-heure plus tard. Alors que nous allions vers notre hôtel il me tendit une enveloppe, il y avait à lintérieure plusieurs centaines deuros. « Voilà ce que tu as gagné, jai donné ton N° de portable aux membres du réseau qui étaient présents ce soir, ils te contacteront » « et si je refuse de les voir quarrivera t il » « rien » répondit Paul « Tu nes pas obligée, mais je sais que tu iras à leur invitation ne serait-ce que pour ton plaisir ».
Paul avait probablement raison car à ce moment-là jétais toujours par amour pour lui et aussi par curiosité partagé entre lenvie de dire stop et lenvie de continuer ce que je considérais comme un jeu. Si jétais amenée a faire des choses que je navais pas envie, je verrais bien le moment voulu.
Jétais devenue une pute de luxe, nétait-ce pas mon fantasme secret
Le moment dassurer était venu.
Virginie
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