La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 329)
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Suite de l'épisode précédent N°328 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré -
Walter revient avec un troisième gode rabbit quil glisse maintenant comme il lavait fait précédemment dans la caverne humide de la soumise déjà pluguée depuis le matin. Il passe la ceinture de chasteté en métal autour de la taille et dans lentrecuisse, puis la referme en la cadenassant également ayant pris soin de mettre aussi le sextoy en position maximale. Il att la laisse de Thaïs MDE et laccroche à sa ceinture avant de quitter les lieux. La soumise a du mal à marcher ainsi appareillée, et ceci dautant plus quelle doit contrôler les montées de plaisir qui déjà lui tiraille le bas-ventre tant les vibrations de lappareil sont intenses et excitantes. Son clitoris en feu et ses orifices remplis, elle suit difficilement Walter lorsquil descend lescalier pour se diriger vers le réfectoire, mais elle saperçoit que Walter poursuit son chemin en direction des cuisines, où Marie saffaire activement autour de ses fourneaux.
- Me revoilà, Marie. Je vais me débarrasser de ce boulet que je traîne depuis plusieurs heures. Je viens de léquiper, je pense quelle sera chaude à souhait quand tu voudras la prendre en mains et récupérer toute sa mouille onctueuse et odorante de chienne en chaleur. Tu as quartier libre pour ce que tu mas raconté ce matin, Dautant plus que cette petite chienne ne mérite vraiment pas dégard, elle a désobéi à un de mes ordres tout à lheure, donc ne te prive pas de la punir à ta convenance et de bien tirer delle tout ce dont tu auras besoin.
Thaïs MDE ne comprend pas très bien les propos à demi-mots échangés entre le Majordome et la cuisinière qui sont de mèche visiblement pour pouvoir mener à bien leurs idées les plus perverses et les plus lubriques. Elle est perturbée car elle a du mal à contenir lexcitation qui lui fait mouiller le bas ventre depuis de longues minutes.
- Regarde-là se tordre, cette chienne en chaleur. On dirait vraiment quelle a le feu au cul à se dandiner en serrant les cuisses. Va me la mettre un peu à refroidir car je ne pourrai pas, avant la fin des services du déjeuner, moccuper delle et de la chauffer encore plus.
- Tu ne crois pas si bien dire, je vais aller la refroidir sans plus attendre. Je la sens si chaude et si à point, quelle finirait bien par mexciter, cette salope, mais jai eu une bien meilleure idée pour la calmer. Je te raconterai en remontant.
Walter descend les marches qui mènent au sous-sol des cuisines, là où se trouvent les garde-mangers et autres réserves, directement accessibles par lextérieur tant pour pouvoir y entreposer tout ce que les dépendances du Château, les vergers, le jardin et la ferme attenante produisent de produits frais, légumes, fruits, fromages, etc
que pour les livraisons des fournisseurs qui arrivent directement au Château où sont chaque jour servis de nombreux repas entre le personnel, les esclaves du cheptel, mais également et avant tout le Châtelain et ses nombreux Invités. Cest aussi dans lune de ces pièces que Félix, le garde-chasse vient entreposer le gibier quil tue, qui est par la suite dépouillé pour le gibier à poils et plumé pour le gibier à plumes. Lesclave e6996 MDE, qui a été boucher dans sa vie vanille avant de devenir un chien-esclave au service du Marquis dEvans se charge en général personnellement du découpage des grosses pièces de viande que lon fait venir au château, mais aussi des gros gibiers que Félix ramène régulièrement quil faut dabord commencer par dépecer.
Le Majordome entre dans une première pièce qui sert doffice, dans laquelle se trouvent au centre plusieurs établis de boucher en bois, de tailles différentes, légèrement creusés en leur centre à force davoir été raclés pour être nettoyés et sur les pourtours de nombreux frigidaires ou congélateurs. Au dessus de chacun des établis, se trouve une grande tringle en métal accrochée au plafond, doù suspendent plusieurs crochets de bouchers en S aux pointes acérées. Devant lun deux, lesclave e6996 MDE, faisant office de boucher en ces murs, est en train de saffairer. Ayant accroché chaque lièvre par le cou aux deux crochets de boucher qui lui font face, il a entrepris de les déshabiller comme on le fait pour les lièvres et les lapins, leur ôtant la peau après lavoir découpée au niveau du cou et des pattes avant et la tirant vers le bas jusquaux pattes arrière. Thaïs MDE qui navait jamais vu faire est largement dégoutée par cette manipulation qui se termine par la sortie de tous les viscères de lanimal et ceci dautant plus quil règne dans la pièce une odeur très forte de gibier et de viande crue. Walter a marqué un temps de pause destiné à laisser la soumise encore plus simprégner de lambiance, se doutant bien que du haut de son ancien fauteuil de gérante de sociétés immobilières, elle na jamais dû mettre les pieds dans un abattoir ou même dans une arrière chambre de boucher-charcutier, craignant aussi de se salir les mains aux ongles parfaitement manucurés.
- Alors, e6996 MDE, la chasse a été bonne aujourdhui ? Tu as du travail pour toccuper ?
- Bonjour Monsieur Walter. Non, aujourdhui, à cause de la neige, Monsieur Félix ne ma rien ramené, mais le travail ne manque pas car, depuis deux jours, il sétait mis sérieusement en chasse avant les premiers flocons pour remplir le garde-manger, dit lesclave en sinclinant respectueusement, baissant la tête et sagenouillant.
- Alors, il y a quoi de beau dans la chambre froide ?
- Il reste encore deux chevreuils que Monsieur Félix avait ramenés avant-hier, dont je vais moccuper sans tarder en suivant. Et puis surtout un très gros sanglier quil a tué hier après-midi. Jai dailleurs mis la tête de côté, que je dois laisser ségoutter au maximum pour linstant. Je suis les consignes de Monsieur le Marquis dEvans, qui désire en faire empailler plusieurs, surtout celles qui ne seront pas abimées par les impacts de la balle, car il veut décorer la salle de chasse du pavillon au milieu des bois avec encore plus de nouveaux trophées. Mais aussi le boucher du village a livré plusieurs quartiers de viande à débiter, de buf, de veau et de porc. Je ne risque donc pas dêtre au chômage de sitôt car je dois tout préparer suivant les indications de Madame Marie.
- Cest très bien tout cela ! Intéressant, cette histoire de tête de sanglier que tu as dû garder. Cela tombe à merveille.
- Monsieur Walter, sil mest permis de vous poser cette question, car vous venez rarement en ces lieux presque déserts, où je vois le plus souvent descendre Madame Marie, y a-t-il quelque chose que jai fait de mal, ou bien quelque chose que vous attendiez de moi en particulier ?
- Non le chien, relève-toi et continue à bien travailler. Ce nest pas toi que je venais voir, mais javais un petit colis à entreposer dans la chambre froide. Ceci dit, tes fonctions attributives préférentielles de boucher ne texonèrent pas de devoir suivre les consignes qui prévalent pour tous les esclaves du cheptel, ne les autorisant pas à parler sauf sils sont interrogés.
e6996 MDE sincline respectueusement pour faire comprendre quil a retenu la leçon et quil remercie le Majordome de sa clémence. Thaïs MDE quant à elle a gardé la tête droite depuis le début, mais elle avait fini par se détacher de la conversation, écoutant peu ces histoires de gibier et de viande à découper, pour se concentrer sur lobjet vibrant qui martèle encore plus intensément son bas-ventre, la mettant de plus en plus dans une situation difficile pour maîtriser la montée en puissance du plaisir vers lextase. Fronçant les sourcils et les paupières, crispant sa mâchoire et contractant tous les muscles de son corps, elle a serré ses poings au maximum, se rentrant presque les ongles longs dans les paumes de la main pour essayer de résister, elle respire profondément et lentement pour tâcher de se calmer, mais rien ny fait, sa chatte en feu et son bouton damour particulièrement titillé restent son seul centre dintérêt et dexcitation. Walter aperçoit le regard vide de la petite chienne avec ses deux yeux dont on ne voit bientôt plus que le blanc, comprenant quelle est presque au bord de la jouissance, prête à vaciller davoir surfé sur la vague des plaisirs depuis trop longtemps. Pour la faire revenir, il tire un coup sec sur la laisse.
- Eh bien, eh bien
tu te crois où, à partir comme cela ! Vient par-là, cela va un peu te rafraichir les idées et le feu qui sest emparé de tes cuisses semble-t-il. Je vais te laisser te calmer et te refroidir un peu là-dedans ! Je suis sûr que tu vas très vite thabi à lodeur et à la vue. Moi je ne my ferais jamais, toute cette viande entreposée, cela mécure assez vite. Marie soccupera bien de te réchauffer le moment venu avec ce quelle a mijoté pour toi.
Walter pénètre dans la chambre froide et immédiatement Thaïs MDE est saisie par lécart de température, et ce dautant plus que le Majordome vient de la placer juste devant la soufflerie dair froid qui sert à ventiler la pièce en permanence pour recycler lair à travers des filtres chargés de minimiser la propagation des fortes odeurs de gibier mort, pas encore dépecé, ni vidé. Walter att la paire de menottes quil garde accroché à la ceinture et les passent aux poignets de la chienne qui est déjà terriblement choqué de se trouver dans cette pièce glaciale, dont le côté droit est rempli de clayette sur lesquelles sont entreposés de gros morceaux de viande crue et le côté gauche se compose dune grande barre de métal à laquelle sont suspendus les fameux gibiers tués par le garde-chasse. Lénorme sanglier a été lié par les pattes arrière pour être accrochée la tête en bas, sauf que la tête a été visiblement déjà découpée à la base même du cou. Les deux petits chevreuils sont pendus par un lien réunissant leurs pattes avant, mais le plus dégoutant reste lénorme tête de sanglier fraîchement découpée qui est encore sanguinolente et qui est encordée de manière à laisser le sang goutter dans une large bassine rectangulaire posée par terre qui fait toute la longueur de la pièce. Le Majordome att un bâillon-boule se doutant très bien que la première réaction de la soumise va être de vouloir se mettre à hurler lorsquelle va comprendre ce qui lattend. Puis il lève les deux bras de la soumise, la tirant par la paire de menottes sur laquelle il a accroché un morceau de chaîne en métal quil passe dans le S de lun des énormes crochets pendus au plafond. Thaïs MDE, obligée de se tenir sur la pointe des pieds et e de tremper ses pieds dans la bassine au milieu qui sest égoutté, ouvre de larges yeux exorbités, regardant Walter dun air implorant car elle ne peut se résoudre à lidée de devoir rester là, immobilisée et suspendue comme lun de ses animaux. Elle est dautant plus effarée que le Majordome vient de déplacer lhideuse tête lier pour la placer juste en face delle.
- Tu vas pouvoir méditer bien au frais sur ce que voulait dire la phrase « avoir le droit de garder la tête haute » et sur ce quentraine le non-respect de la moindre consigne.
Thaïs oscille de la tête, ses yeux globuleux sortent presque de leurs orbites tant elle voudrait pouvoir parler avec son regard. Elle cherche à hurler, comme un chien qui hurle à la mort ou dans lespoir que quelquun dautre lentende et vienne la délivrer, mais le bâillon-boule len empêche. Alors elle éclate en sanglots, tandis que Walter séloigne, ne pouvant le voir réellement car il a également attaché la lanière cuir du bâillon-boule qui lui enserre la tête à deux crochets muraux lempêchant de pouvoir tourner le visage et déchapper à la vue de cette énorme tête de sanglier qui la dégoute profondément. Elle sent sa dernière heure arriver quand elle entend la porte de la chambre froide claquer lourdement et quelle ressent une profonde envie de vomir, mais elle se retient au maximum, malgré la vue répugnante de tous ces animaux morts quelle doit sefforcer de supporter car avec la boule qui est dans sa gorge, elle craint de s. Elle panique dautant plus quelle est persuadée quelle ne tiendra pas très longtemps dans cette chambre froide et sûrement pas jusquà ce que Marie vienne la délivrer après les différents services de déjeuner. Elle tremble et essaye de se débattre pour se libérer, se demandant pourquoi Walter, qui lui avait fait un long discours ce matin même sur le comportement digne des Dominants respectueux de la santé de leurs soumis et leurs soumises, la abandonné ainsi sans surveillance et dans des conditions déraisonnables, car avant dêtre la chienne soumise de Monsieur le Marquis dEvans, elle reste une personne humaine qui avait droit à la protection de Celui entre les mains de qui elle sétait remise en toute confiance. Il lui semble quune éternité sest écoulé, tant chaque seconde pèse lourd dans son esprit en proie à la terreur, elle se dit que finalement Walter doit parfois être vraiment désaxé en plus dêtre pervers en se rappelant comment il na pas hésité quelques instants plus tôt à envoyer dehors, deux soumises nues pour laver les vitres malgré le froid glacial et la neige.
Lesclave-soumise Thaïs MDE ne sait bien sûr pas quelles ne devaient pas y rester toutes les deux plus quil ne fallait mais uniquement 5 petites minutes, juste histoire de marquer leur esprit et de leur servir de bonne leçon. Tout comme, elle ne sait pas plus que Walter nest pas sorti de la pièce, quil est là juste derrière elle, prêt à intervenir au moindre souci, et quil ne sest en réalité passé quun temps relativement court depuis quil la suspendue au crochet, assez peu de temps pour lui faire prendre froid, dautant plus que le Majordome a pris soin de couper momentanément la ventilation froide de la pièce. Depuis que Thaïs MDE est arrivé au Château, elle sait quelle a dû être punie plusieurs fois mais pour des fautes relativement bénignes, comprenant et acceptant le fait que la punition fait partie intégrante de son temps de dressage, destinée aussi à lui faire prendre pleinement conscience de sa nouvelle condition desclave-soumise aux pieds de son Maître Vénéré quelle doit chercher à satisfaire en tous points. Jusque-là, elle avait toujours tout encaissé sans rien dire, acceptant la moindre punition sans se plaindre, supportant tout ce qui était exigé delle, humiliations, douleurs et contraintes, excitations et perversions, plaisirs interdits et plaisirs autorisés, mais là, cest plus quelle ne peut humainement en supporter.
Monsieur le Marquis dEvans, quelques jours avant larrivée de sa nouvelle esclave au Château, avait prévenu son fidèle domestique que bien que le Maître ne doute pas un seul instant de la dévotion totale et de la soumission absolue de sa belle chienne Thaïs MDE qui sest remise entre ses mains et qui ne demande quà croître sur la même lancée, il savait quelle avait toujours été dans sa vie davant et dans son environnement professionnel une femme de tête, à très fort caractère, habituée à diriger et à gérer toutes les situations de crises avec maîtrise et sang-froid. Or, il tient pour le bien, tant de leur relation D/s future que de leur association professionnelle, à ce que le séjour de sa belle chienne Thaïs MDE au Château soit non seulement un temps de dressage à la hauteur des espérances quil a fondées sur sa nouvelle recrue, mais aussi un moment où il arriverait à briser la dernière épaisseur de la coquille protectrice dans laquelle Son esclave-soumise se protégeait encore de manière presque inconsciente. Pour la posséder totalement, le Maître doit la déposséder de tout, la rendre vulnérable et fragile, la libérer de son passé et de toute trace de sa carapace forgée au fil des ans, afin de pouvoir lui faire comprendre que tout ce quelle aura à vivre dorénavant ne viendra plus que de son Dominant et de la satisfaction de Celui-ci. Pour cela, il espère bien quà un moment donné, elle craquera vraiment et il avait donc donné carte blanche à Walter pour trouver le point faible qui la ferait flancher et éclater en sanglots, se doutant bien que ce ne serait pas en augmentant le nombre de coups de cravache quil obtiendrait ce choc salutaire mais en la poussant à affronter ses propres peurs et ses démons pour pouvoir les dépasser et enfin sen libérer.
Thaïs nest plus quun poids mort suspendu à un crochet, se demandant comment elle en était arrivée là, se mettant à douter de tout ce en quoi elle croyait. Se pouvait-il que tout sarrête ainsi, comme cela avait été le cas pour ce malheureux sanglier qui sétait trouvé sur le chemin de la balle de fusil de Firmin, le garde-chasse, et elle se remet à pleurer, pleurer, pleurer comme jamais. Ses larmes se mêlent à la bave qui sort de sa bouche maintenue ouverte car elle narrive pas à déglutir et tente dexpulser tant bien que mal le maximum de salive qui lui emplit la bouche. Dans un état presque apathique, elle ne se rend même pas compte que quelquun dans son dos vient de lui ôter le bâillon-boule et est en train de la dépendre. A bout de forces, elle se laisse tomber dans les bras de celui ou celle qui la détache, ses pieds ne la portant plus. Ne cherchant même pas à savoir qui est son sauveur inespéré, elle ferme les yeux, prête à seffondrer. Walter retient fermement contre lui la soumise anéantie quil att par la taille pour la trainer hors de la pièce, demandant ensuite de laide à lesclave e6996 MDE pour pouvoir ramener la belle jusque dans son cachot, qui est aussi au sous-sol, mais dans une autre aile du château communicante que celle des dépendances de loffice. Thaïs MDE, incapable de prononcer le moindre mot et nayant même plus la force de parler, est persuadée quelle a dû rester de nombreuses minutes dans la chambre froide, voire bien plus dune heure, tant lattente lui a paru longue dans une véritable angoisse de mort. Elle aurait bien du mal à imaginer que dans la réalité, elle est restait bien moins de 5 minutes suspendue au crochet sous le regard permanent et la surveillance attentive du Majordome, qui veillait sur elle avec une attention extrême, dautant plus soutenue quil lavait bâillonné, surveillant chacun de ses gestes et de ses contractions. Arrivée dans son cachot, Walter aide la soumise encore indolente à sallonger, lui ôte tout ce qui emplit ses orifices intimes et lui mettant une double et épaisse couverture chaude, il ajoute.
- Repose toi, un peu, la chienne, je pense que tu en as vraiment besoin, surtout que la journée est loin dêtre finie, tu vas voir la belle surprise que ta mijoté notre Marie si inventive et si douée dans lArt culinaire. Ce soir, nous ferons le point calmement sur ce que tu as vécu de très intense, pour linstant essaye doublier un peu toutes tes émotions, de retrouver la paix intérieure et de dormir pendant deux heures.
Walter att par la tête et le cou la soumise affalée sur sa couche pour la relever, et il lui tend en linclinant une écuelle remplie deau quelle avale dun seul trait. Il lui remet la grosse couverture et quitte la pièce la sachant sous la surveillance des caméras de la salle des gardes et se précipitant pour rejoindre le réfectoire où le personnel du premier service sest déjà attablé dès que Marie a donné le feu vert.
(A suivre...)
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