Jalousie
Il fallait que l'orage éclate. Chez moi, vers les Cévennes, chaque début d'automne c'est pareil. La température descend un peu, pas assez pour moi. Je vais sur la terrasse, exposée à toutes les tempêtes. Je sens le vent fort sur mon corps nu. Je suis face à la tempête. Des goutte énormes tombent sur moi, je le sens particulièrement sur les seins. Je relève la tête pour goûter cette pluie. Il me semble embrasser un amant. Je suis mouillée partout. Je suis étonné de sentir cette humidité sur ma fourrure et pas entre mes cuisses. Je vois le fauteuil à coté. Je m'y installe offerte à la pluie. J'ouvre mon compas, la pluie entre doucement dans mon sexe, pas assez pour me faire frémir.
Je sens pourtant mes cheveux qui se répandent sur mes épaules et mes seins. J'ai une envie folle de sensualité. Personne autour de moi, ni homme, ni femme à la rigueur.
Il va falloir me contenter seule.
Je n'ai rien contre la masturbation, au contraire, mais là, à cet instant j'ai besoin d'une aide. Tant pis, j'entre à nouveau chez moi, je vais cherche un gode. Je me ferais seule l'amour, j'en ai l'habitude depuis que mon ami a choisi de partir avec une fille de 17 ans, une plus neuve que moi, mais moins expérimentée. Si un jour si je la prend contre moi, je lui apprendrais ce qu'elle ne sait pas et qu'elle mettras du temps à acquérir.
Et alors, ce ne serait pas la première fois que je donnerais ou prendrais du plaisir avec une autre femme.
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Je me souviens d'une nuit avec mon amante de l'époque. Elle a su me donner envie de jouir alors que j'étais un peu fatiguée. Elle venait m'embrasser, passait sa langue sur tout le corps, me faisait mouiller le sexe. Quand elle posait sa main sur ma chatte, je l'attirais pour qu'elle me masturbe. Elle ne l'a pas fait, elle est venue m'embrasser toute la fente. C'est sa langue qui faisait tout, qui me donnait du plaisir, même sur ou dans l'anus.
Elle revenait cette fois sur le sexe. Je le sentais s'ouvrir, accepter l'entrée de cet chose étrangère : sa langue. Elle la faisait aller et venir dans mon ventre. Je la sentais encore en moi quand je me raidissais sous les spasmes de jouissance. Pour me faire repartir elle ajoutait des doigts dans l'anus. C'était à la fois violent et fort. Le sommet de notre nuit était quand elle m'a donné aussi son sexe sur la bouche. Elle était sur moi, en 69. Nous nous léchions avec plaisir, dégustant la cyprine abondante de l'autre, meilleur que du sperme, pour moi en tout cas. Elle voulait qu'avec elle nous nous baisions à fond.
Je me suis trouvée nue les jambes ouvertes contre sa féminité. Jétais un peu émue de la sentir contre mon sexe. Et que de bons instants, hélas fugaces, passés à nous caresser directement les sexes l'une à l'autre. Il me semble encore sentir contre ma chatte la sienne en fureur. Nous étions mal mises pour un long moment, mais que de plaisirs échangés. Je la sentais jouir contre mon sexe, je devais en faire autant sur le sien.
Nous changions de place, à mon tour d'être presque assise sur elle, mon con contre le sien. Je commençais les mouvements de baise. Elle me suivait. Nous nous baisions sans remords, sans pudeur surtout. Le seul but était notre commune jouissance.
Ce n'est que longtemps plus tard qu'il est apparu dans ma vie, dans mon sexe. Je me donnais entièrement à sa bite. J'en tirais le maximum de plaisir qu'une bite peu donner à une femme.
Et maintenant il donne son sperme à une autre qui ne sait même pas baiser.
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J'en suis réduite à me masturber seule. Si j'avais une personne près de moi qui me regarde, qui m'encourage, qui me guide pour ne pas dire me commande pendant mes caresses. Il me semble avoir près de moi sa nouvelle conquête. Elle est bien faite, mais elle ne sais pas baiser normalement, habituée qu'elle est à la masturbation isolée.
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C'est vrai que mon premier orgasme véritable était avec une copine de lycée. Nous ne savions pas encore trop comment nous donner un vrai plaisir. Elle avait quand même que si nous léchions le sexe nous avions des chances de connaître un orgasme commun. Je l'écoutais et un soir, dans sa chambre je me suis donnée à elle.
Sa main et plus tard sa langue me changeaient de la masturbation. Sous son ventre, je caressais sa fourrure avant d'aller perdre ma main dans sa fente. J'osais la masturber : elle se laissait faire pour jouir, avant de me rendre la pareille. Notre première nuit ne faisait que commencer. Sa mère lui avait expliqué que quand elle commençait dans sa jeunesse, elle suçait son amie qui le lui rendait. Nous avons fait pareil.
Le lendemain matin sa mère nous demandait comment nous avions fait. C'est moi qui lui avouais que nous nous étions léchées, que nous en avions tirer un plaisir inconnu. Je suis restée un bon moment avec elle qui m'a embrassée avant me peloter. J'ai en envie de la suite. Nous avons fait l'amour plusieurs fois, nous avons souvent recommencer, sans que ma copine le sache. Elle m'a présenté son mari pour qu'il me fasse une vraie femme. Devant elle il me la mise la première fois : elle se masturbait en nous regardant et maidant en me caressant l'anus.
Je n'ai jamais dit à ma camarade que se mère était mon amante et que je couchais souvent avec son père. C'est mon secret.
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