La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 330)
Suite de l'épisode N°326 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -
Le Marquis Edouard dEvans regarde sen aller son cher ami, Sir Akhen-Aton, accompagné de sa chienne-siamoise soumise brittany exténuée et portée par les six esclaves qui viennent de la baiser tous à la fois, remplissant dans un même assaut les six trous de ces deux jumelles accolées, devenues quasiment siamoises par la force des contraintes permanentes qui les lient lune à lautre. La foule des Invités qui sétait empressée pour assister à lexploit de cet étrange ébat pluriel sest à nouveau dispersée, chacun retournant, encore plus excité, profiter de la soirée orgiaque et de tous les plaisirs mis à leur disposition par le Châtelain, que ce soit dans la salle de réception avec une piste de danse et des musiques tantôt langoureuses et tantôt endiablées, avec tout autour de nombreux coins repos pour pouvoir copuler à tout-va et se vautrer dans la luxure, mais aussi dans le Grand Hall transformé pour la soirée en donjon D/s qui ne trouve pas sa pareille à des centaines de lieux à la ronde, tant par les nombreux équipements et accessoires réunis en ce lieu, que par la qualité incontestable des Dominants, accompagnés de leurs dominés personnels et de tous les esclaves du Château, rassemblés à loccasion de cette soirée anniversaire qui est et restera mémorable.
Le Noble balaye dun regard lensemble de la pièce car IL aime bien toujours garder un il vigilent sur tout ce qui se passe dans son château avec son côté Dominant prédominant, à la fois exigeant et protecteur. IL naperçoit toujours pas son compagnon, David, et encore moins son assistante, émeline MDE et IL finit par se faire à lidée que ce dernier connaissant bien les méandres des couloirs du Château a dû se retirer, peut-être, dans un petit coin plus discret pour profiter utilement de lesclave-soumise émeline MDE qui doit demeurer à ses côtés pour le restant de la nuit. Certes, il sagit dune demande expresse du Marquis dEvans, mais IL regrette un peu que David ne soit pas resté parmi les invités, dautant plus quil y avait largement de quoi pouvoir samuser grâce à tous les préparatifs de Walter, le Majordome, qui a organisé le déroulement de cette soirée dans les moindres détails.
Le Châtelain, la tête haute, arborant la dignité de sa Noble lignée et heureux de se sentir chez Lui dans le légendaire Château ancestrale de la famille Evans, est fier de ce quIL est devenu, un businessman accompli qui mène ses affaires avec efficacité et modernité, ce qui lui assure des revenus plus que conséquents, car outre ses holdings et autres sociétés diverses, cest sans compter sur ses nombreuses usines, propriétés, maisons et terrains dans le village et tout autour, toutes mises en location, lui assurant maintes rentes et lui permettant de maintenir un train de vie en rapport avec ses fonctions mais aussi de quoi assouvir Ses passions damateur dArt toujours à la recherche des uvres les plus rares qui pourraient venir compléter Ses collections déjà réputées. IL a donc largement les moyens de pouvoir à la fois maintenir cette Noble demeure en parfait état, mais aussi dassurer la surveillance de ce patrimoine fantastique, mobilier et immobilier, qui samplifie au fil des générations. IL sait également, ce qui le ravie amplement quand IL y repense, que tout Dominant quIL est, IL nest pas imbu de lui-même et encore moins un de ces affairistes suffisant et prétentieux, nouveaux riches nayant aucun savoir vivre. IL reste un mécène suffisamment généreux pour de nombreux organismes et associations locales que ce soit pour les pompiers, dont le Capitaine est un de ses amis intimes, présent à la soirée anniversaire quIL compte bien aller saluer avant daller se coucher, mais aussi la paroisse du village et lévêché du diocèse, le curé ne manquant jamais de venir réclamer quelques oboles pour lentretien de léglise proche, sans parler des familles du village qui lorsquelles sont en grandes difficultés matérielles ou financières trouvent toujours écoute et bienveillance auprès de leur Noble voisin et philanthropique Châtelain.
Son plus grand plaisir dHomme et de Maître est de pouvoir sadonner à ce qui fait aussi sa raison de vivre, qui va bien au-delà dune simple passion, car pour Monsieur le Marquis Edouard dEvans, la Domination est et reste bien plus quun simple besoin ou un fantasme à assouvir, mais une vraie façon dêtre au quotidien qui va au-delà du paraître.
Mais pour lheure, le Marquis dEvans, qui sest laissé emporter dans ses pensées, si fier malgré tout de savourer sa réussite sur bien des plans en ce jour anniversaire, se décide daller voir de plus près la roue, agrémentée dune croix de Saint-André, sur laquelle son esclave-soumise Thaïs MDE avait été attachée et mise en rotation au moment de la présentation du gâteau sous les gerbes détincelles des bougies installées tout autour de la circonférence en mouvement. Le Châtelain navait jamais vu auparavant cet ingénieux appareil bien que le Château regorge déquipements D/s et de très nombreuses croix en X car IL affectionne de pouvoir y attacher régulièrement ses soumis et soumises ainsi écartelé(e)s et totalement à Sa merci. Le Noble pense que Walter a dû le faire livrer spécialement pour cet événement dans le cadre de la mise en scène savamment orchestrée, et IL se dit que par la suite, IL pourra diversifier les petits jeux quil appréciait en faisant tourner la tête en toute sensualité à quelques uns de ses esclaves, qui devraient pouvoir apprécier de « faire du manège » par la même occasion.
Le Châtelain aperçoit en sapprochant une de ses esclaves femelles qui est attachée sur lappareil, reconnaissant la couleur dorée quarborent pour la soirée tous les femelles de son cheptel mises à la disposition du Maître des Lieux et de Ses nombreux Invités, mais IL ne peut lidentifier car elle porte sur le visage une cagoule qui lui enserre toute la tête, fermée par des attaches en cuir à larrière, nayant comme perforation que des trous pour les yeux et pour les narines afin de permettre la respiration, rendue dautant plus mal aisée car la bouche de lesclave enfermée sous ce capuchon fermé en latex noir est obstruée par un gode gonflable qui est ajusté sur la cagoule.
- Très Chère Amie, que dites-vous de ce nouvel appareil que mon Majordome a fait venir. Je vois que vous êtes en train de le tester. Jespère que mon esclave 9 vous donne toute satisfaction, car si ce nétait pas le cas, je la ferai fouetter sur lheure sur cette croix avant même de la détacher et de la punir plus convenablement, prenant soin aussitôt de vous la remplacer par une autre plus satisfaisante.
- Cher Marquis, je viens juste de demander à mes deux abrutis de chiens de linstaller et de solidement lattacher. Je ne peux donc vous en dire plus pour linstant, mais nous allons pouvoir la tester ensemble, ce qui vous donnera tout le loisir de constater la docilité de votre esclave. Elle est munie de bouchons doreille en dessous de la cagoule, elle ne peut absolument pas nous entendre, mais je tiens à ce quelle garde lusage de la vue, parce que je pense quil serait dommage quelle ne se voit pas en train de tanguer, de tourner, ou de devoir rester avec la tête en bas. Jai dailleurs pris soin de lui scotcher les paupières pour être sûre quelle gardera les yeux ouverts, jespère pour elle quelle navait pas le mal de mer en bateau et quelle aimait les manèges à sensations fortes, je ne voudrais pas que lenvie de vomir la prenne et par prudence, je vais lui faire retirer le gode qui lui obstrue la bouche depuis un bon moment avant de lui mettre la tête dans tous les sens.
Miss Elle est une adepte du latex depuis des années.
Les deux chiens fidèles serviteurs de leur Maîtresse lui voue un amour et une dévotion sans bornes, acceptant dendurer mille et un maux dautant plus quils sont tous les deux de vrais masochistes qui ne demandent quà souffrir entre les mains cruelles de celle à qui ils ont donnés tout pouvoir sur leurs misérables carcasses. Ils portent sur leurs dos et leurs fesses les nombreuses marques des sillons rougeoyants laissés par les serres aiguisées de la Domina, laissant même apparaître quelques égratignures presque sanguinolentes. Ils sont équipés dun harnais de cuir qui leur enserre la poitrine et la taille. Leurs paires de testicules sont passées dans un ballstretcher qui les enferme soigneusement pincées dans ce morceau de bois qui est positionné derrière épousant la forme des cuisses et distendant fortement leurs couilles étirées vers larrière. Leurs deux sexes sont maintenus chacun dans un long tube étroit de latex très ferme, duquel ne sort que le gland, les empêchant de pouvoir se rétracter en longueur dune part et encore moins gonfler dautre part, les faisant bien plus ressembler à une saucisse de Strasbourg noirâtre avec un bout rouge qui dépasse quà un phallus de mâle, quil soit au repos ou en extension, et les privant de toute possibilité de pouvoir bander et encore moins éjaculer, ayant même les plus grandes difficultés pour pouvoir uriner. Dune voix stridente, Miss Elle tirant fortement sur les laisses de ces deux cabots pour les obliger à se redresser, les interpelle.
- Les chiens, assis aux pieds, les langues bien tirées pour me remercier davoir daigné vous laisser les poser sur mes magnifiques et précieuses bottes de cuir.
Les deux esclaves chiens se pressent de venir à quatre pattes devant leur Maîtresse. Ils se redressent tout en restant à genoux et ouvrent la bouche en tendant la langue la plus sortie possible. Miss Elle se penche vers chacun de ses deux chiens favoris, aimant particulièrement davoir tout le plaisir de pouvoir les malmener rudement pour leurs plaisirs communs. Elle pointe son index droit, le dirige vers la bouche ouverte du premier chien, appuyant le plus au fond possible la pointe de longle quelle fait glisser doucement mais avec force, laissant une trace nette de son passage sur le dessus de la langue, bien au milieu, allant du fond vers lavant là où elle nhésite plus à piquer avec plus de force arrachant un rictus sur le visage du premier esclave lorsquelle enfonce carrément son ongle dans la chair tendre, sarrêtant juste lorsquelle sent la peau prête à craquer et à . Miss Elle recommence le même scénario avec le deuxième esclave qui narrive pas à retenir un léger gémissement à la fin, lorsque la Domina a carrément planté son ongle dans sa langue. Ce petit cri malencontreux lui vaut aussi sec une griffure en L sur la poitrine à lendroit même du téton, déjà marqué par de nombreuses autres traces plus anciennes.
- Je suis désolée du dérangement, Monsieur le Marquis dEvans, ce sale cabot bâtard est si mal dressé quil ne peut sempêcher de brailler, mais je vais le faire taire pour la suite du divertissement que je Vous propose.
Miss Elle att deux pinces en métal quelle glisse sur la langue le plus au fond possible, lune mordant par le côté droit et lautre mordant par le côté gauche, tandis que de lautre main, elle a attrapé en la tenant entre deux ongles la langue pour la tirer à lextrême avant dapposer les pinces. Lesclave se retrouve donc la langue tendue, bridée de part et dautre fortement, ne pouvant plus fermer la bouche, ni rentrer la langue, et encore moins parler.
- Les chiens, Vous allez vous placer de chaque côté de la roue sur laquelle cette esclave est attachée. Vous devrez essayer de faire tourner la roue en sens opposés, chacun vers lui, un genre de bras de fer par volant interposé. Celui qui cédera du terrain à lautre sur un angle de plus de 30 degrés connaîtra la morsure de mon fouet ici même, mais comme vous seriez capable dêtre tenté de vouloir apprécier le traitement, je vous précise que le premier qui atteindra 5 coups de fouet sera aussi sec attaché à la place de cette esclave jusquà demain matin, si Monsieur le Marquis dEvans my autorise et naura pas la possibilité de pouvoir dormir au pied de mon lit pendant 5 jours car il rejoindra la niche au fond du jardin pour y rester, nourri seulement de croquettes et deau.
- Très chère, ne trouvez-vous pas que nous pourrions corser un peu le jeu, car vos deux chiens semblent avoir des forces similaires, et mon esclave 9 risque fort de ne pas bouger dun pouce entre ses deux molosses qui vont chacun tirer de tous leurs muscles pour ne pas prendre le risque de dormir dans la niche. Je vous propose que nous lancions la roue dans un premier temps pour quelle démarre de manière plus aléatoire. Par la suite, lorsque je taperais dans mes mains une fois, ils devront lâcher la roue immédiatement, ce qui devrait la mettre en mouvement par inertie. Et lorsque je taperais deux fois, ils devront se mettre à tirer à nouveau jusquà ce que lun des deux lemporte. Ainsi à chaque changement, la position de la croix de Saint-André et de mon esclave sera différente et dautant plus agréable à suivre.
Le Marquis dEvans att une soumise qui était juste derrière Lui en attente.
- Ma belle soubrette, tu vois cet esclave dont je ne peux lire dici le numéro qui est à genoux à côté de la porte, va le chercher et dit-lui que jexige quil approche en apportant deux fauteuils confortables, car je ne vais pas regarder le spectacle debout et de ton côté, tu reviendras ici avec quelques boissons. (puis se retournant vers la Domina) Très chère amie, que puis-je vous faire servir ? Une coupe de champagne serait-elle à votre goût ?
- Si cela ne Vous dérange pas, cher Marquis, je voudrais quelque chose de plus fort pour lheure tardive. Pourriez-vous me faire servir un
.. un verre dalcool de poire, une eau de vie ?
- Quà cela ne tienne, Vos désirs sont là pour être satisfaits en tous points. Justement, vous me direz si elle est à Votre goût. Cest de leau-de-vie de poire Williams dOlivet près dOrléans, qui est réputée par sa qualité et aussi parce que chaque bouteille contient une poire entière à lintérieur qui a été insérée alors même que larbre venait à peine de perdre ses fleurs, commençant à former la petite boule qui deviendra par la suite un fruit à part entière. Cest assez surprenant de voir ces arbres dont les branches principales ont été élaguées pour ne conserver quun seul fruit sain au bout qui est enfilé sur une longueur de 20 cm à travers le goulot dune bouteille solidement arrimée pour ne pas tomber ou casser la branche avant le moment de la cueillette.
- Je ne sais, Cher Marquis, comment Vous arrivez à avoir un tel raffinement poussé dans le moindre détail, désirant toujours offrir à Vos amis intimes, dont jespère faire partie encore longtemps, les meilleurs produits culinaires et aussi les meilleurs moments réjouissants. Cette soirée est sublime et je nai guère envie de la voir se terminer. Recevez, encore une fois, pour tout cela ma plus sincère gratitude
Le Châtelain se retourne vers la soumise-soubrette.
- Tu as entendu ce que désirait la Domina. Exécution ! Quant à moi, porte-moi pour linstant un grand verre deau fraîche, jai très soif et je reprendrai du champagne plus tard, car je nai pas envie de me laisser emporter par trop dalcool.
- Oui, Maître
(A suivre
.)
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