Leslie So06
Leslie SO06 Souvenirs
Escorte occasionnelle, Maude
Un vendredi matin, jai reçu un coup de téléphone de Maude
- Allo, Leslie, cest Maude.
- Bonjour, Maude, que me vaut ce coup de téléphone ?
- Oh ! Juste une invitation à déjeuner ce midi, tu es libre ?
- Oui, ce midi je nai rien de prévu.
- Alors rendez-vous vers douze-trente au restaurant « Le carré des Feuillants » rue de Castiglione tout près de la place Vendôme.
Maude, est un vrai canon, mignonne comme tout, brune aux cheveux longs, avec son mètre soixante- quinze, cest une belle et grande femme, fine de cinquante-cinq kilos tout au plus et une jolie petite poitrine qui doit réveiller plus dun fantasme chez les hommes.
Toujours habillée chic, en tailleur-jupe, qui laisse entrevoir ses hanches étroites et ses longues jambes légèrement galbées, elle porte bien ses trente ans.
Nous avons fait un déjeuner somptueux, et tout en dégustant les mets succulents, nous avons conversé, dabord de tout et de rien, puis sur nos passions et loccupation de nos temps libre, puis sur les rencontres que javais faites et ce que jen avais pensé.
Maude fut très attentive à ce que je lui disais, elle mécoutait en ayant le regard brillant, puis à un moment elle me dit :
- Tu sais, la première fois que je tai vu, tu mas fait forte impression, surtout lorsque tu tes retrouvée nue dans mon bureau, je crois quà cet instant jai eu des désirs.
- Javais remarqué, dis-je, et je mattendais à ce que tu essaie de me rencontrer un jour
- Et tu serais daccord pour passer un moment avec moi ?
- Tu ne me laisses pas indifférente, et je crois que je suis daccord !
- Alors si tu es libre ce week-end, je tinvite.
- Je suis libre et jaccepte !
- Alors je passe te chercher en fin daprès-midi, vers dix-huit heures et à nous le week-end.
- Je serais prête et tattendrais.
On quitte le restaurant, elle sourit et avant de membrasser sur les lèvres, elle me dit que je ressemble à son ancienne amante et quelle est heureuse.
A dix-huit heures elle était en bas de limmeuble, trop heureuse de me voir monter dans son cabriolet, elle démarra aussitôt, nous avons rejoint lautoroute de louest, et je lui ai demandé :
- Où memmènes-tu ?
- Dans un endroit superbe, où nous allons passer un week-end merveilleux.
- Et ?...
- Rien de plus tu verras sur place.
Nous avons roulé pendant près de deux heures pour nous retrouver près de Deauville, il était vingt heures trente et nous avions, sans nous lavouer, envie de boire, manger un peu avant de nous retrouver dans lintimité.
Nous sommes arrivées devant un grand portail dune grande propriété ou un panneau indiquait : « Les manoirs de Tourgéville », Maude ma annoncé :
Voilà, nous sommes arrivées, jespère que cela va te plaire
Située à quelques kilomètres des planches de Deauville et de Honfleur, Les manoirs de Tourgéville est un établissement qui accueille les amateurs de quiétude dans un cadre paisible et séduisant. Lhôtel est composé dune bâtisse principale en colombages et cinq charmants manoirs normands de forme ronde.
Un restaurant panoramique largement ouvert sur la campagne complète létablissement qui offre chambres et suites communicantes agrémentées de terrasses privées.
Un havre de paix décoré avec le soin et passion, situés dans un parc de sept hectares, les Manoirs de Tourgéville offrent apparemment des prestations de qualité et dexcellents équipements.
Je suis enchantée par le cadre harmonieux de cet établissement, Maude à bien fait les choses, entre les chambres, le bar, la terrasse et le restaurant, tout nest quharmonie, au service des clients.
Le hall de létablissement, bien que désert, est éclairé comme pour les grands soirs, si ce nest le réceptionniste derrière son comptoir. Un jeune type, très grand, avec une allure de rugbyman. Il sort de sa torpeur en remarquant Maude dans sa petite robe dété, et devient très avenant, avec un large sourire, il annonce, pendant que je remplis la fiche de renseignement, que nous bénéficierons dune très belle chambre au rez-de-chaussée.
En allant vers notre chambre Maude me dit :
- Tas vu le type à laccueil est vraiment un beau gars, si de temps en temps il soccupe des clientes, moi je minscris sur la liste dattente
- Toi, tu dois sauter sur tout ce qui bouge, dis-je.
- Si tu savais
Me répond Maude.
Déambulant dans le long couloir à la moquette multicolore menant à la porte de notre chambre, je profite de cet instant pour apprécier lendroit, la chambre coquette est fraîchement remise à neuf et là, trônent deux grands lits doubles.
- Nous navons que lembarras du choix, déclare Maude.
- Jespère que nous allons bien nous entendre, car dans un tel lit, seule, je vais crever dennui, dis-je sur un ton coquin.
- Tinquiètes nous allons passer un moment fabuleux, réplique Maude.
Je jette ma valise sur un des lits, retire mes chaussures et déboutonne ma chemise.
- Si tas pas besoin de la salle de bains, je file prendre une douche. Jen rêve depuis des heures, déclare-t-elle.
- Comme tu veux, dis-je.
- Tu peux me rejoindre, dit Maude avec un petit sourire.
- Histoire de faire plus intimement connaissance.
- Exactement, dis Maude avec un petit air vicieux
Deux minutes plus tard, jentends, à travers la cloison, le bruit de la douche, Maude doit être nue sous la douche, alors je me mets nue moi aussi et vais la rejoindre
En entrant dans la salle de bains je découvre Maude, les bras relevés sur sa tête en train de rincer ses cheveux noirs de jais, faisant ressortir sa poitrine arrogante, un quatre-vingt-quinze C, certainement, aux larges aréoles brunes doù saillaient des tétons foncés et très érigés.
Épilée sous le dessous des bras, elle avait un corps harmonieux aux jolies courbes, son corps entretenu était un appel à lamour et Maude devait contenter la majorité de ses amants.
En descendant mon regard, je découvris son pubis entièrement épilé, complètement glabre qui laissait entrevoir ses grandes lèvres charnues et brunes comme les aréoles de ses seins.
Je nai pu mempêcher de ma coller à elle et de lui offrir un baiser en caressant tout son corps sous leau ruisselante de la douche.
- Ne sois pas si pressée, me dit Maude, nous avons le temps
Après être sorties de la douche, nous avons bu le champagne de bienvenue, chacune recouverte dun peignoir.
Assise en tailleur sur son lit, le peignoir largement entrebâillé, me laisse voir encore un peu de sa nudité, mais à chacun de ses mouvements son peignoir sentrouvre davantage, laissant apparaitre de façon érotique ses seins, puis son bas-ventre.
Je ne tarde pas à bander devant Maude qui lascive se laisse aller dans des positions érotiques et provocantes, alors je mapproche delle et mes lèvres se tendent vers les siennes. Jenvahis sa bouche et elle se laisse faire.
Son peignoir glisse de ses épaules découvrant sa magnifique poitrine, alors elle me laisse admirer ses seins, dont la peau tendue est coloriée de petites veines bleues qui courent en tous sens et rejoignent les aréoles larges et sombres. Ses tétons sont dressés et pointent, laissant deviner lémoi dans lequel est Maude.
Jai à peine le temps de me flatter lil que déjà elle remonte le peignoir, descend du lit, sadosse sur la porte vitrée du placard de lentrée et bombe le torse, dans une pose sensuelle, et terriblement érotique, amplifiant encore la grosseur de sa poitrine.
Il va falloir attendre ma belle, dit Maude, regarder mais ne pas toucher, ironise-t-elle.
Elle maguiche encore un moment, fière de me voir bander pour elle et, de rajustant un peu, elle me dit :
- Allons diner !
Peu de temps après nous sommes prêtes, lesprit et le corps en feu, elle me tient par la taille lorsque nous entrons dans la salle du restaurant. Habillée dune robe cocktail noire dos nu, fendue sur le côté jusquen haut des cuisses, avec rien dessous, mais je suis la seule à le savoir, Maude fait de leffet, dautant quhabillée comme elle amis dune robe blanche, nous attirons les regards.
Nous avons fait un somptueux diner, foie gras de canard au torchon, accompagné dun chutney doignons au cassis et pain dépices toasté, en entrée et le verre de sauternes qui va bien. Puis un tournedos de volaille fermière sauce Rossini, pommes de terre en galettes croustillantes, comme plat et le verre de bourgogne et en dessert un plaisir chocolat au parfum citron yuzu, suivi dun café
Lorsque nous sommes retournées dans notre chambre, après une escale à la terrasse du bar pour fumer une cigarette et boire une abricotine Morand givrée, nous étions gaies et je remarque que le regard de Maude a changé, ses poses sont plus suggestive, elle en montre, à qui veut la voir, un peu plus delle, ses jambes se croisent et se décroisent régulièrement, laissant voir le haut de ses cuisses, à la limite de laine
Jai le cerveau et le bas-ventre en ébullition, mon désir est ç son paroxysme, ce nest plus du plaisir, mon sexe bander me fait mal.
- Alors me voyant dans cet état, Maude me dit :
- Viens, allons-nous aimer !
Sitôt enfermées dans la chambre, cédant à mes pulsions, jécarte ma robe, et lui présente mon sexe pour quelle me suce, Maude tourne la tête en guise de refus et me dit :
- Voyons, Mademoiselle, un peu de tenue, vous nêtes pas une salope !
À peine a-t-elle dit ça, et au moment où le pan de ma robe retombe pur cacher mon sexe, Maude se met à genoux, sempare de ma queue et lintroduit entre ses lèvres, en disant !
- Par contre vous avez un beau membre !
Délicieuse sensation, saidant de la main elle le fait coulissé profondément entre ses lèvres, sa bouche chaude menveloppe et nos désirs augmentent, elle suce merveilleusement bien et me dit :
- Jen ai envie depuis le premier jour, dans mon bureau !
Tout bascule à cet instant, nos robes volent sur la chaise de la chambre et nous nous retrouvons nues enlacées sur un lit, nos mains caressent nos corps, puis se font plus incisives, Nos mains trouvent nos sexes, elle me branle et je la doigte, deux doigts de mes doigts enserrent son clitoris, tirent dessus la faisant râler, puis écartent sa vulve gonflée, brillante de cyprine, elle me suce à nouveau pour mieux mexciter.
Maude gémit, mencourage à continuer et pendant quelle me pompe, sa main vient rejoindre la mienne sur sa chatte pour se branler de concert.
Puis, nen pouvant plus, jatt ses cuisses et les ouvre largement, afin de la pénétrer en missionnaire.
Au bord de lexplosion, je lui soulève les fesses et place mon gland sur le bord de sa chatte ; puis dun coup de reins la, pénètre totalement
Maude hurle son plaisir lors de ma pénétration, elle est humide et je glisse en elle avec une facilité déconcertante, me tenant par les hanches elle me guide en imprimant le rythme désiré, jusqu'à ce que lorgasme la terrasse, en me disant :
- Maintenant, je sais pourquoi tu es la plus demandée
A suivre
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