Call Girl 4
Plus je me retourne sur mon passé récent, plus je me donne raison davoir choisi ce métier de call girl. Au moins je peux choisir mes amants, mes heures, pas le lieu puisque je marrange pour ne baiser que chez moi. Je me fais pas mal dargent. Si je peux, un de ces jours je retournerais passer quelques jours de vacances à Mende. Je pourrai même avoir une ou un ami que jentretiendrais. Rien que douvrir ma « clientèle » à des femmes a détecté des horizons que jignorais.
Cette après midi, jai satisfait les besoins de Gladys (nom demprunt) une fille assez petite, bien faire, aux seins qui se lèvent presque seuls, une Barbie. Mais un unique but dans sa vie : jouissance. Elle me donne des détails sur elle : mariée, deux amants, une maîtresse (moi) et son gout immodéré pour la masturbation. Pour elle une journée ne se conçoit pas sans au moins trois masturbations.
Elle est suffisamment vicieuse pour exiger des choses, à moi, la professionnelle. Quand elle arrive chez moi, je dois lui mettre ma main sur la chatte à peine la porte ouverte. Je nai pas à men faire pour la déshabiller : elle ne porte généralement que sa robe fendue devant à mi cuisse. Elle va sassoir sur le fauteuil les jambes bien ouverte pour que je vois bien son intimité. Elle a un sexe presque plat quand elle reste assise. Dès quelle se lève, les lèvres sécartent un peu : japerçois outre son vagin son petit bout. Avant que je sois aussi en tenue de travail, elle a commencé à se masturber devant moi. Ses caresses ne sont pas du pipeau. Elle va au bout de son plaisir.
Je reste stoïque, je ne veux surtout pas me branler comme ça devant elle. Ce nest pourtant pas lenvie qui men manque. Elle se fait jouir, nattends pas pour me demander un gode. Je le lui donne facilement. Elle le lèche comme une vraie bite. Elle me regarde pour sassurer dêtre vue, puis elle se baise facilement. Elle senvoie en lair rapidement. Elle ne déplace le gode que de quelques centimètre pour senculer.
Quand elle a jouit de son cul, cest à mon tour dintervenir. Je suis derrière elle, je caresse les seins, je descends sur son ventre. Je cherche sa fente pour y mettre un doigt. Un seul suffit au moins au début, juste pour trouver son clitoris. Elle remue en gémissant. Elle pose sa main sur la mienne, comme pour me guider. Elle me gêne plus quautre chose.
Jarrête mes caresses juste pour faire le tour, pour me mettre en position devant ses cuisses écartées. Je peux enfin profiter de son odeur particulièrement forte, de son gout de cyprine un peu poivrée. Elle a acheté le droit de se faire sucer par moi, par une femme. Jaime ça, je le lui fais avec plaisir. Je sais que je suis aussi mouillée quelle. Jattends mon heure. Je lèche tout son sexe, surtout son trou. Jai trouvé la première fois un endroit plus granuleux : elle aime que ma lange passe dessus. Elle jouit de cette façon, je narrête pas là, je remonte sur son bouton, que je lèche longuement, très longuement : je la fait partir régulièrement. Ensuite je passe la partie « hors sujet». Jaime particulièrement lécher son popotin. Son cul mattire sans doute sa forme ou ses replis. En tout cas je pose ma langue, je la fait caresser ce petit trou. Il arrive toujours le moment où elle en veut plus, elle écarte son cul. Ma langue se faufile dans son ventre. Sa main retient ma tête pour que je ne parte pas. Je la sens jouir aux spasmes autour de ma langue.
Cest alors quelle me veut aussi. Nous allons sur le lit. Nous sommes pieds à la tête. Elle adore, comme moi cette position en 69. Nous profitons chacune du jus de lautre. Le sien est abondant. Nous nous faisons pratiquement les mêmes choses.
Avec elle je finis avec le sexe endolori, le sien doit être dans le même état. A son départ, je lembrasse sur la bouche. Cette femme me donne les rendez vous suivant que jhonore toujours. Je sens dans ma bouche le gout de son sexe et de son cul.
Je pourrais me laver les dents. Je ne le fait pas pour que mon prochain amant ait lui aussi un peu de cette femme dans sa bouche.
Le prochain amant. Un type bien, un ecclésiastique je crois. Un homme en civil, comment savoir ?
Pour lui, je ne suis pas totalement nue. Jenlève uniquement le bas. Il aime lever ma jupe, elle caresse un peu les jambes, surtout les fesses. Il dattarde dans ma raie. Il ne sort sa queue quà cet instant : elle est grosse, pleine de veines apparentes, un gland un peu petit.
Il vient comme un lâche dans ma raie. Je sais ce quil cherche, je le laisse faire : cest son seul plaisir. Il est tout contre mon anus. Jouvre un peu le passage, ma main se colle contre mon sexe : je me branle et lui lentement entre dans le cul. Je sens mes chairs souvrir. Il me fait un peu mal. Il me fait du bien. Je me laisse aller vers lorgasme, comme lui qui jouit dans mon cul. Il ne cherche pas à venir ailleurs que là.
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