Ma Première Fois
Je me présente, je m'appelle Antonin, j'ai 19 ans et je vais vous raconter ma première fois.
Je sais que je suis gay depuis un certain temps maintenant, mais je suis encore puceau. Je me branle assez souvent en pensant à me faire prendre par un homme. J'ai eu plusieurs fois l'occasion de coucher avec des filles, mais je n'ai jamais pu concrétiser. Je pense qu'au fond, je savais que ce n'était pas ce que je désirais.
Je suis originaire de Strasbourg, en Alsace, mais j'étudie à Paris depuis quelques mois. Je suis souvent ébahi par la quantité de beaux hommes que je peux croiser ici ou là. Dans ma fac c'est le paradis. Je peux deviner que certains de mes camarades sont gays, mais je n'ai jamais osé faire le premier pas pour engager les conversations sur ce sujet.
Un soir, très tard dans le métro, en rentrant d'une soirée bien arrosée avec mes nouveaux amis, je me retrouve quasi-seul dans la rame, quand un homme d'une trentaine d'années entre. Il est grand, certainement 1,85m, et il a l'air costaud dans son costume noir. Je le dévisage et il me surprend avec son regard froid. Ses yeux sont marron et ses sourcils sont épais. Il a un teint mat et une barbe de deux jours. Il est incroyablement sexy avec sa cravate un peu détachée. Il s'assoit en face de moi en soupirant. Ses joues sont rougies par l'alcool, il doit lui aussi sortir de soirée, Il continue à me fixer mais je baisse alors les yeux. J'en profite pour discrètement regarder ses cuisses et ce qui se trouve à l'intérieur. Son pantalon était quelque peu moulant et je pouvais deviner que la nature ne l'avait pas oublié à cet endroit. Je me sens un peu gêné et je replonge mon regard dans le vide. Dans un virage de la rame de métro, son genou entre en contact avec le mien. Je le regarde et m'excuse rapidement. Quelques minutes plus tard, rebelote. Il écarte alors ses cuisses et je resserre les miennes pour éviter que cela se reproduise. Je jette un nouveau coup dil, je ne peux pas m'en empêcher.
Il sort des tunnels du métro à quelques mètre de moi et garde une vitesse de marche assez élevée. Je le suis en faisant attention à ne pas le perdre de vus parmi les groupes de fumeurs devant les terrasses des bars nocturnes. Au détour d'une rue, je le vois s'arrêter devant un immeuble. Ça doit être chez lui. Comme s'il s'agissait d'une filature, je m'arrête en attendant qu'il entre. Je cours quand je le vois disparaître pour tenir la porte. On dirait que j'ai fait ça toute ma vie. Mon cur battait à une vitesse folle. Je ne pensais même pas aux dangers basiques de suivre des inconnus à Paris. J'entendais les pas de ses claquettes sur le marbre de son hall d'entrée. Il était juste là, les mains dans ses poches, marchant comme si de rien n'était. Je monte deux étages en suivant sa silhouette et je l'entends sortir son trousseau de clés. C'est maintenant. Il se retourne et me demande de le suivre.
Je n'ai même pas le temps de passer le seuil qu'il me plaque contre le mur.
J'ai bien vu comment tu me matais dans le métro, si c'est ma bite que tu cherches, c'est ma bite que t'auras.
Je n'ai pas le temps de répondre, sa main avait déjà saisi la mienne pour la placer entre ses cuisses.
Écarte ton cul, laisse-moi entrer, sale pédé.
J'avais mal, très, très mal, mais je faisais tout pour qu'il me baise. Il force encore et encore, passe mon premier anneau et s'arrête un instant.
T'as intérêt à vite t'habi, je compte pas te ménager, tafiole.
J'essayais de me détendre au maximum pour le laisser me remplir. Dès qu'il a senti un relachement dans mes parois, il a continué sa progression. Ça n'en finissait pas. Je sentais mon trou du cul s'écarter de plus en plus. J'avais peur qu'il se déchire tellement mon amant était large. Il s'arrête enfin. Cette sensation bizarre d'avoir un corps étranger au beau milieu de ses entrailles est grisant. On ne sait pas exactement où l'on se trouve, on a mal mais on aime quand même. C'est indéfinissable. Quand il a entendu que j'avais arrêter de geindre, il a commencé à me baiser purement et simplement. Au départ assez lentement (je pense qu'il avait un peu pitié) mais il est rapidement passé à un rythme plus animal. Sa bite coulissait en moi et je prenais petit à petit de plus en plus de plaisir. C'était de véritables coups de bite que je me prenais. Il faisait d'amples mouvements de hanches pour s'insérer et me violer dans toute la longueur de son épaisse queue. Il a vite fait chaud et il s'est mis à se déshabiller. Je me suis retourné et j'ai pu admirer le corps que j'avais imaginé plus tôt dans le métro. Il était pas mal musclé et surtout très, très poilu du torse. Ses biceps étaient bandés et des veines parcouraient ses bras. J'avais très envie de le caresser. Toujours en me baisant, il enserre mes hanches se colle à moi. Je sens alors son corps brûlant et transpirant contre mon dos. Cela me donne de terribles frissons qui démultiplient mon plaisir. Je sens son haleine de bière dans le cou alors que sa barbe me griffe les épaules. Je me sens de plus en plus à l'aise avec sa bite en moi et je commence à lentement regagner le contrôle de mes sphincters. J'en joue pour resserrer davantage mon anus et lui procurer encore plus de joie.
Cela doit maintenant faire une dizaine de minutes qu'il me viole contre son mur et j'adore toujours autant. Je me sens possédé, animé de luxure.
Tu sais où j'habite.
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