Leslie So07

Leslie SO07 – Souvenirs
Escorte occasionnelle, Maude, suite

Maude à jouit, elle vient d’assouvir son fantasme depuis qu’elle me désire, depuis la première fois que je l’ai rencontrée dans son bureau pour devenir l’occasionnelle, mais le corps de Maude réclame, elle se redresse et va fouiller dans son sac de voyage et en sort un petit gode, en me disant :
- Mon compagnon de solitude !
Elle se rallonge et je la caresse du bout des doigts, cherchant lentement et doucement les points sensible et érogènes de mon amante, lorsque mes doigts touchent un point sensible, Maude se cabre en gémissant et en me disant :
- Tu as des mains de démon, elles trouvent tous mes points sensibles et bientôt mon corps n’aura plus de secret pour toi…
- Alors dans la confiance, tu te laisseras aller dans ton orgasme et je serais là pour recueillir tes cris de jouissance.
- Tu es démoniaque, je l’ai senti dès que je t’ai vu.
Les paroles de Maude étaient entrecoupées par des gémissements, ses seins étaient durs, les pointes de ses seins dressés réclamaient les caresses, le désir était ancré en elle, et la nuit risquait d’être longue…
En me regardant dans les yeux elle me dit :
- Tu sais ce que j’aurais aimé ?
- Non, mais je sens que tu vas me le dire.
- C’est d’être un homme avec une grosse queue !
- Pour m’enculer et me voir jouir sous tes assauts.
- Oui et sentir la sensation de me rependre en toi, les hommes ont de la chance.
- Mais les femmes en ont aussi de la chance, amis elle est différente, dis-je.
- Oui, certainement, mais…
- Tu vois, moi je ne peux qu’offrir mon anus et me faire sodomiser, tandis que vous les femmes vous pouvez en offrir deux.
- T’as raison, mais le problème est de prendre ou se faire prendre…
- Tu sais, si cela te tiens tant à cœur, j’ai toujours avec moi un gode ceinture, alors si tu veux tu pourras essayer et me sodomiser.


- Alors là, ce serait super, me dit Maude enthousiaste.

Avant de reprendre nos ébats, j’ai sorti mon gode ceinture, Maude fut enchantée et me dit ;
- C’est une belle pièce !
Nos caresses reprennent, Maude feule et prend ma queue, se redresse et m’enjambe en disant :
- Je vais m’empaler sur toi te chevaucher !
- Oui, empale-toi, ma chérie.
Maude s’installe à cheval sur moi, et s’enfonce sur mon membre dressé en elle, je lui prends les seins et commence à les malaxer, tandis qu’elle se déchaîne.
- Ohhh, comme je l’aime ta queue, je ne sais si je vais pouvoir m’en priver après.

Tandis qu’elle me chevauche, elle se penche vers moi pour faire ressortir sa croupe et prenant son petit gode, elle se l’enfonce dans le cul, en disant :
- J’adore le sentir en moi pendant que je me fais prendre la chatte !
Le gode remplit son rôle, et Maude déclenche son orgasme par la double pénétration qu’elle s’inflige avec plaisir…
Après avoir jouit deux fois, Maude se désaccouple de moi et se met en levrette, les mains en appui sur le lit, les reins cambrés, les fesses offertes en me disant :
- Encule-moi !
Je pose mon sexe contre sa vulve, lubrifie mon gland de sa mouille puis je remonte vers sa rondelle palpitante, appuie doucement dessus pour la pénétrer et franchit sans effort la porte étroite de son rectum.
- Ohhh, j’adore me faire enculer, dit Maude en gémissant.
Alors je commence un va-et-vient profond, de plus en plus rapide. En même temps, nos doigts unis masturbent sa chatte et Maude crie son plaisir.
- Ohhh, ma salope, que c’est bon, je sens que ta l’habitude, une experte en sodomie…
Et lorsqu’elle hurle sous l’orgasme qui la terrasse, je me déverse dans son cul accueillant.

Nous reposons ensuite en buvant un whisky, et Maude me dit :
- C’est la première fois que je me fais baiser et enculer sans protection, surtout la première fois.
- Maude, ma chérie, je suis clean et fais des tests régulièrement, alors ne t’inquiètes pas.

- Je ne disais pas cela pour ça, me dit Maude, c’est que je crois que suis tombée amoureuse de toi !
Nous avons passé le week-end dans la chambre à faire l’amour, nous faisant livrer des plateaux repas par le room-service, qui ne fut même pas surpris de nous trouver nues, sauf peut-être mon sexe qui tranchait avec mon physique de femme…
Maude ne me sodomisa pas, mais envisagea un scénario pour le dimanche soir…

Nous sommes rentrées à Paris en fin d’après-midi le dimanche, Maude me déposa à la maison et me demanda de venir la rejoindre dans un hôtel près de chez elle, vers vingt heures, après m’avoir expliqué ce qu’elle attendait de moi.

Une fois à la maison, je me suis préparée après avoir pris un bon bain et je suis partie rejoindre Maude.
Tandis que je me faufile dans ces longs couloirs impersonnels du métro, je me demande si les gens que je croise remarquent mon attitude faussement décontractée.
Dans mon long manteau arrivant pratiquement à les chevilles, je dois donner l’air d’une frileuse perdue dans cet endroit surchauffé, qui se doute que je suis nue dessous, avec pour seuls habits mes bas auto-fixant et mes escarpins à brides aux talons vertigineux.
Certes je remarque les regards sur ma silhouette quand je marche et que mon manteau fermé haut au niveau de mon nombril fait que les pans, de mon manteau, s’ouvrent largement sur le haut de mes cuisses à chacun de mes pas.
Et je ne vous raconte pas lorsque je me suis assise, les yeux de mes voisins et surtout celui en face de moi, quand mon manteau s’est ouvert sur mes cuisses à la lisière de mes bas…

J’ai cru que j’allais déclencher une émeute lorsque j’ai grimpé les marches me conduisant à l’air libre en sortant de la bouche de métro, les pans s’ouvrant et dévoilant un instant mon membre nu et imberbe.
Le seuil de l’hôtel franchit, je me suis avancée vers la réception, sous l’œil médusé du réceptionniste, pour demander le numéro de la chambre et je me suis entendu dire :
- Belle, vous êtes très belle, mais faite attention, vous pourriez choquer les âmes sensibles.

Puis plus doucement de façon presque inaudible, il rajouta :
- C’est gonflé, mais bonne bourre à vous…
Je comprends pourquoi Maude avait envisagé ce scénario, car au moment où je tournais les talons pour aller vers les ascenseurs, sentant le regard du réceptionniste dans mon dos, je me suis mise à bander, elle n’avait pas douté un instant de mon audace, juste elle désirait que je sois dans tous mes états au moment de renter dans la chambre.

J’entre en ouvrant grand mon manteau, comme elle me l’avait précisé, je referme la porte du pied, et attends au milieu de la pièce, jambes écartées.
Il fait sombre dans la chambre, juste éclairée par la lumière du couloir qui passe par le dessous de la porte
Je la distinguais au fond de la chambre
Aussitôt son regard se porte sur ma silhouette générale, puis sur mes seins, et son regard glisse jusqu’à mon pubis imberbe dont la verge est déjà dressée.
Elle se lève et s’approche, elle m’a demandé de ne pas bouger, ses mains sont déjà sur mes seins, ils accueillent cette caresse comme une délivrance. L’envie d’être touchée est si forte !
Ses lèvres se posent sur les miennes, la langue cherche la sienne, mais le baiser est déjà terminé.
Je ne bouge pas, toujours debout, jambes écartées, Maude commence à me caresser, le cou, puis ses mains descendent et pressent ma poitrine comme si elles tentaient de laisser l’empreinte de leurs doigts. Mon souffle s’accélère je m’aperçois que j’avais tant envie de sentir ses mains sur moi, mon périple dans le métro doit y être pour beaucoup.
Je sens que Maude à envie de jouer, cela fait partie du scénario, alors elle me repousse un peu et me colle contre le mur de la chambre.

Je suis, le manteau ouvert, les seins, le ventre et le sexe nus collée au mur de la chambre, les jambes écartées dans l’attente de la volonté de Maude…
- Tu es à moi. Je vais te faire jouir comme j’en ai envie !
Je sens sa main gauche passer devant moi et prendre mon sexe pour le branler, puis son autre son autre main va caresser mon petit trou, je me cambre sous la caresse en soupirant.

Elle prend son temps, car elle tient à faire monter le désir, puis le plaisir et enfin la jouissance.
Elle s’écarte un peu de moi et me regarde sans cette position indécente, offerte ç sa volonté et je l’entends me dire :
- Comme tu es belle ainsi, je comprends pourquoi les hommes bandent pour toi !
Je deviens vite folle sous l’action de ses mains, dont l’une me branle et m’autre s’enfonce doucement dans mon anus et à mesure que son doigt entre en moi, les mouvements sur mon sexe s’amplifient, sa main serre mon sexe dans un branle de folie.
Mon esprit s’échappe, je ne maîtrise plus rien alors que mon corps est au bord de l’explosion.

Quand je sors de ce premier plaisir, je sens ses doigts qui se retirent de mon intimité et elle lâche mon sexe, je suis toujours collée la poitrine contre le mur, immobile dans l’attente de ce que va me faire subir mon amante.
Je sens soudain contre mes fesses quelque chose de dur et froid, Maude doit être équipée du gode ceinture, car dans la minute qui suit, je sens mon anus investit par le pal. Maude me sodomise debout comme une chienne.
Quelques petits coups pour bien me faire comprendre que je suis à sa disposition, muette et immobile, seulement concentrée sur le plaisir qu’elle me donne.
Elle enserre le membre, me fait retourner et sans ma lâcher, me conduit vers le lit en tenant fermement mon sexe…

Elle me fait mettre en levrette sur le bord du lit, et se mettant derrière moi, relève les pans du manteau sur mes hanches, me laissant le cul nu et offert. Puis elle m’enduit la raie et de trou de gel et en passe copieusement sur le gode.
Je sens ensuite le gode entrer en moi, envahissant, et elle me sodomise en disant :
- C’est fabuleux, ah, si j’étais un homme…
À partir de ce moment, Maude est déchainée, elle s’active comme une furie, plus rien ne compte pour elle que cette sodomie.
Longtemps elle me fera subir cette activité, puis elle me demandera de la sodomiser et le rets de la soirée et de la nuit n sera que folie…
On multipliera les positions, elle sur moi, moi sur elle, elle derrière moi…
Nos doigts, nos mains caresseront nos corps, se mêlant parfois aux langues, nos seins seront mis à rude épreuve et nous ne compterons plus les orgasmes qui nous laisserons sans voix et sans vie, nous étions dans un autre monde, celui du plaisir total.

Le lendemain matin, alors que nous prenons le café, Maude me dit :
- Toi, tu vas aller loin…
Quand arrive le moment de se quitter, j’accède à sa dernière volonté, mais ai-je le choix ?
Celle de me voir repartir comme je suis venue, nue sous mon manteau, je ne peux m’empêcher de frissonner en retrouvant les couloirs du métro en espérant de ne pas tomber sur un pervers…
Quoi que !

A suivre…

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