Dressage Et Soumission.
Cela faisait déjà deux mois que Sophie et moi avions été « pris en main » par ALLAN. Nous lavions vu deux fois pendant ce délai et il nous avait chaque fois amené plus loin dans ce monde, nouveau pour nous, du libertinage.
Sophie désirait vivement que je devienne BI sachant quen parfait hétéro, il fallait que je fusse un peu pour y parvenir.
ALLAN était le choix parfait pour nous servir de guide tant était grande son expérience et sa maîtrise dans ce domaine.
Il avait deviné rapidement le potentiel de Sophie ainsi que mes motivations et il sétait fait un malin plaisir de nous soumettre pour pouvoir nous offrir la réalisation de nos fantasmes et la découverte dautres lieux, dautres pratiques
Cette fois, il avait préparé une surprise sans rien nous dire. Nous devions nous voir toute la journée. Un jeudi ensoleillé, doux comme une fin dété
Une chambre en deux parties. Un large vestibule avec un grand canapé, et une grande chambre avec un grand lit.
Jallais le chercher en voiture
Comme à laccoutumé et nous avons parlé de tout et de rien
Javais envie quil entre dans le « jeu » dés le départ, mais il nen fit rien se contentant dêtre un passager attentif, disert et cordial.
Arrivés les premiers à lhôtel, nous montâmes dans la chambre. Allan, installa une caméra en face du lit pour ne rien perdre des scènes qui allaient sy dérouler.
« Je vais aller accueillir Sophie, toi, prends une douche et reste nu.»
Je ne répondis pas et il sortit de la chambre. Je filais sous la douche et revins me mettre sur le lit.
Je neus pas longtemps à attendre. La porte souvrit. Sophie et Allan entrèrent.
Nentendant aucun autre bruit et ne les voyant pas apparaître je me levais et allais vers eux.
Jouvris la porte donnant sur le vestibule pour les trouver
enlacés, sembrassant tendrement tous les deux.
Lorsquelle me vit, Sophie rougit violemment.
Dans les rôles que nous avions accepté, il y avait lindicible bonheur de réaliser nos fantasmes communs, mélangé à la gêne de suivre une partition où chacun se lâchait et vivait ses propres envies.
Pour Sophie, appartenir à un autre, et lui être un peu soumise était quelque chose quelle désirait vivre, mais son amour pour moi, la mettait dans une position plus difficile à supporter
Comme le sentiment de me tromper
Alors que nous avions provoquer justement cette situation.
Pour moi, voir son abandon était toujours extrêmement troublant. Sentir cette frustration, ne plus lavoir pour moi seul, la jalousie de la voir faire les mêmes gestes avec lui quavec moi
Et puis sa tête baissée, ce renoncement delle même que je voyais dans son regard et ses gestes empruntés à cause de ma présence.
Il me semble quALLAN avait compris cela très tôt dans notre relation et quil désirait en jouer pour nous pousser à éprouver dautres expériences et partager des moments intenses avec nous.
Sophie avait mit une jupe rouge légère qui laissait deviner quelle avait mit un porte jarretelle.
Son corsage noir moulait parfaitement son abondante poitrine et faisait ressortir la pointe de ses seins durcis par lexcitation.
ELLE NAVAIT PAS DE SOUTIEN GORGE !!!
Mon cur saccéléra rapidement. Je sais quelle naime pas se balader sans soutien gorge et sans culotte
Je savais également quelle avait eut ALLAN au téléphone avant notre rendez-vous
et quelle était restée très évasive sur le contenu de leur conversation (provoquant au passage, une pointe de jalousie.).
Si ça se trouve, elle navait même pas mit de culotte !!!
Cette obéissance à ALLAN me troublait toujours autant mais jétais bizarrement heureux et fier quelle accepta de jouer ainsi à notre jeu.
Bien sur elle obéissait à un autre que moi, passant au dessus de ses propres barrières, acceptant de lui appartenir, mais ce faisant, elle me montrait comme elle pouvait aller loin par amour pour moi.
En plus, javais létrange impression quils avaient, tous les deux, prévu la journée sans men parler. Jallais donc avoir sans doute quelques « surprises » durant cette journée.
Jen étais là de mes réflexions, lorsque se séparant de Sophie ALLAN passât devant moi me laissant seul avec elle.
Je la pris dans mes bras pour lembrasser, sentir sa chaleur contre moi, sentir sa poitrine sécraser sur mon torse nu
sentir son cur affolé battre à tout rompre.
« Mon amour, comme tu es belle, magnifique dans cette tenue. »
« Merci mon cur. »
« Il ta demandé de ne pas mettre de sous vêtements du tout ? »
« Oui
» Me répondit-elle en rougissant
«
Et
tu las fais ? »
«
Ou
Oui » Dit-elle encore plus rouge.
Je lembrassais avec encore plus de passion le cur au bord de la rupture
Jétais excessivement ému de voir de quelle façon, elle sabandonnait.
Je laissais mes mains partir à la découverte de son corps pour sentir ses seins sous mes doigts et passer sous sa jupe
Elle me prit les mains pour les retenir daller plus loin
« Non, mon cur, tu sais bien quil te faut lautorisation dALLAN
»
« Mais enfin, on na pas encore commencé, je ne dirais rien
»
« Non, sil te plait
et puis tu as bien vu quon avait déjà commencé non ? Cest pour ça quil est venu me chercher. »
WOUAOW !!! Elle était parfaitement en phase avec nos scénario et elle mallumait dentrée de jeu !!!
Elle passât devant moi en faisant voltiger sa jupe. Jétais dans un état de grande excitation et je bandais déjà.
Je la vis entrer dans la chambre qui allait devenir le théâtre de nouvelles aventures sexuelles
Je suivis des yeux les plis de sa jupe, admirant sa démarche souple, dévoilant ses mollets nerveux. Des images se superposaient
Cette jupe dont elle allait se débarrasser et sous laquelle elle était nue
sur les ordres dALLAN.
Ce corps généreux dont il allait profiter amplement puisquil en était le « nouveau maître ».
Jimaginais aussi les regards de vainqueur quil allait me lancer pendant que les lèvres rondes de ma belle envelopperaient et câlineraient sa virilité triomphante.
Je songeais à Sophie en levrette, les yeux dans le vague en train de bouger pendant quALLAN profite de son cul. Lui qui, de son propre aveux, aimait tant la sodomiser.
Je voyais tout cela en la regardant rejoindre SON maître
le notre.
A peine arrivé dans la chambre, il me glissât à loreille:
« Tu vas être tendre avec MA soumise. Tu la déshabilles tendrement, tu la détends et tu ME la prépares correctement. Je veux quelle mouille abondamment avant de moccuper delle. »
« Oui
maître » Avais-je chuchoté
« Cest bien tu apprends comme il faut. Appliques toi surtout.»
Il la regardât, lui fit un sourire, un petit clin dil avant de lui dire :
« Faites comme si je nétais pas là mes soumis »
Elle me sourit tendrement, amoureusement et vint me prendre dans ses bras, pour membrasser, fougueuse et passionnée comme à son habitude.
Je sentais ses doigts sur mon torse. Elle jouait avec les poils, mes tétons pour les faire bander pendant que nos langues se mêlaient étroitement lune à lautre.
Elle se livrait à moi, comme si ALLAN navait jamais existé, comme sil nétait pas là.
Jouvris doucement son corsage faisant sauter les boutons les uns après les autres.
Je voyais apparaître ses seins ronds comme des balles, tendres et douces et qui montaient et descendaient nerveusement au rythme de sa respiration rapide, pleine damour et démotion à peine contenus.
Les pans de son corsage pendaient maintenant de chaque côté découvrant les pointes érigées par lexcitation et la situation.
Je penchais la tête vers cette poitrine quelle moffrait et je posais mes lèvres sur ses framboises dures et gorgées de désirs.
Elle soupirait gravement puis se mit à gémir. Je savais quelle aimait les baisers, les morsures légères autant que le fait de soffrir à moi
devant SON maître
Etrange sentiment que dêtre gênée vis à vis de cet homme qui la « prêtait » à moi, lhomme dont elle était amoureuse
Cette inversion des rôles nous troublait tous les deux qui comprenions que la situation avait complètement changée.
Je laissais mes mains partir à la redécouverte de son buste, de sa peau. Ce grain si souple, si désirable. Jen agaçais les pointes, soupesais leur masse, en savourais le toucher si délicat.
Je fis descendre le tissu le long de ses bras et jetais le corsage au loin, avant de mattaquer à sa jupe.
Jembrassais son ventre et ses seins en alternance pendant que mes mains faisaient glisser le vêtement le long de ses jambes fuselées et recouvertes de bas noirs.
ALLAN jouissait visiblement de son emprise sur nous et se régalait de notre gêne, de nos gestes presque empruntés.
Saimer devant un autre homme était une chose qui nous embarrassait beaucoup moins quavant. Pourtant, nous éprouvions une timidité nouvelle à le faire devant un homme qui était devenu NOTRE maître.
Sans doute le désir de ne pas lui déplaire voire celui de le satisfaire pleinement.
WOAOUAW !!! Quelle beauté dans sa nudité partielle
ce porte jarretelle, qui tranchait si joliment sur sa peau claire !!!
Je me mis à genoux devant la fourche de ses jambes quelle ouvrit sensiblement pour laisser passer ma langue sur son clito.
Elle mit un pied sur la chaise à côté de nous et me prit la tête à deux mains pour la plaquer contre son ventre.
Elle désirait les caresses de ma langue sur son clito, dans sa chatte, sentir monter son désir, inondant ses intimités, quitte à les offrir à SON maître ensuite.
Sophie gémissait, profitait de ses instants octroyés par ALLAN, de ma langue et de la montée de ses envies.
Je la sentais couler sur ma langue, je buvais à la source ce nectar de reine qui se répandait en ondes abondantes, régulières
lintarissable fontaine perlait dans ma bouche ouverte.
Sophie saccrochait à moi comme un naufragé à SA bouée.
Elle se mit à me griffer en miaulant tendrement
Elle commençait à jouir tout doucement puis de plus en plus violemment.
Je glissais deux doigts dans ce sexe offert et chaudement excité par mes soins.
La doigtant rapidement et profondément, je lentendis jouir mais de manière étouffée
Je levais les yeux
ELLE EMBRASSAIT ALLAN qui sétait approché silencieusement de nous.
Il lui caressait les seins, le dos, prenait ses tempes entre ses doigts et je voyais le jeu habile de leurs deux langues.
Pendant quil lembrassait, il me mit une main sur la tête et attirât ma bouche à la hauteur de sa bite !!!
Jouvris la bouche pour le sucer
Tout en doigtant Sophie qui me griffait le dos et jouissait dans la bouche de SON maître.
ALLAN ne me lâchât pas jusquà la fin de la jouissance de notre belle Sophie qui peu à peu ouvrit les yeux pour me voir, la bite notre maître en bouche.
Elle dut avoir un coup au cur devant ce spectacle ! Je sentis une autre main sur mon crâne
la sienne sans doute. Elle accompagnait les mouvements que je faisais en suçant.
Jentendis un chuchotis
Puis la voix de Sophie :
« Suce bien ton maître ma
belle
salope »
Les mots se bousculaient moins quavant dans sa bouche. Elle acceptait de mieux en mieux sa condition et ce quelle devait faire pour le maître.
ALLAN dut lui appuyer sur les épaules ou la tête car bientôt je la sentis sagenouiller près de moi et ses lèvres rejoignirent les miennes pour partager cette bite si bien bandée et si désireuse de passer dune bouche à lautre voire de se laisser gourmander par les deux.
Nous passâmes tous trois sur le lit et continuâmes en trio. ALLAN la doigtait pendant que je lembrassais. Il ne nous quittait pas des yeux.
Me redressant, josais lui demander :
« Maître, je peux avoir la bouche de Sophie sil vous plait? »
« Oui, bien sur, si elle le désire. »
Sans attendre, elle se jetât littéralement sur ma bite et se mit à me sucer comme une damnée.
Elle avait attendu haletante cette autorisation et elle comptait en profiter le plus possible. Elle faisait aller et venir sa langue sur la rondeur énervée de mon gland tellement impatient de sentir à nouveau la chaleur de sa bouche.
Je sentais quelle sagitait de plus en plus. Ses gémissements progressivement plus forts,
Montraient que le plaisir montait en elle de façon inéluctable. Elle criait son plaisir sur ma bite en me mordant le gland de plus en plus fort. Je dus me retirer sous la douleur
Elle saccrochât et me griffât les fesses y laissant la trace de ses ongles acérés.
ALLAN sécarta nous laissant continuer nos câlins. Excité comme je létais, je la couvris de mon corps.
Le sien précédemment secoué de spasmes, se calmait doucement et maccueillit amoureusement.. Elle ouvrit ses cuisses largement. ALLAN se penchât à mon oreille pour y dire :
« La chatte seulement, son cul mappartient. Noublie pas ! »
Je posait mon gland sur le sommet de son sexe et le laissait glisser doucement dedans.
Je la faisais languir la laissant croire que jallais assouvir son désir brutal dêtre prise et de me sentir (ENFIN !!!) en elle
tout entier
pour finalement retarder ce moment.
Elle me laissât faire et je descendais tendrement en elle
par petite pause.
Ancré en elle, je me mis en mouvement très lentement la laissant, empressée dans lattente de ma complète intromission.
Enfin tout au fond delle, je sentis ses jambes menserrer et minterdire tout retrait.
Elle balançait son bassin vers moi pour sy empaler joyeusement, entièrement.
La houle qui nous prit se fit plus impérieuse et plus violente
Elle se donnait enfin à moi et ne me lâchât que lorsquelle mamenât jusquau point de non retour. Je mépenchais en elle en gémissant et elle menlaça pour me dire des « Je taime amour » répétés et si authentiques.
ALLAN vînt et lui mit un bandeau sur les yeux. Il se penchât sur elle pour lembrasser poussant ma tête vers sa chatte pour que je la nettoies correctement. Sans mot dire, je mexécutais et la léchais, buvant mon propre sperme.
ALLAN se levât et allât dans le vestibule pendant que je léchais Sophie.
Sans bruit, je le vis revenir avec
DEUX AUTRES HOMMES ???!!!??
Il mit son doigt sur la bouche en guise dinjonction au silence à mon intention.
Il me guida pour que je retourne embrasser ma belle pendant que lui se couvrait dun préservatif. Les deux hommes devaient se dévêtir dans le vestibule car je les vis ouvrir la porte silencieusement et regarder en commençant à bander devant lérotisme de cette femme qui allait recevoir son maître entre ses jambes de nouveau ouvertes tout en embrassant son mec.
Le candaulisme ne leur échappait nullement et ils semblaient tous les deux en goûter lérotisme trouble qui inondait la chambre.
ALLAN entra en elle avec les mêmes précautions que moi auparavant
Peut-être pour brouiller les cartes dans la tête de Sophie qui se remit à haleter.
Il me poussa le bassin vers la bouche de sa soumise qui soufflait et tremblait de nouveau.
Sophie ouvrit la bouche et commença à me sucer tendrement
Je sentais son corps pris par les soubresauts de son amant, son maître. Je la sentais qui accompagnait chacun de ses mouvements.
ALLAN me mit une claque sur les fesses et fit une illade en direction des deux autres hommes. Lun deux me pris pas les épaules pour mécarter. Je nopposais pas de résistance sachant désormais ce qui allait se passer. Jallais devenir spectateur du « prêt » de Sophie à des inconnus par son maître.
Je ne sais si Sophie sût ce qui se tramait devant elle, mais lorsquelle sentit de nouveau un gland contre ses lèvres, elle ouvrit la bouche. Lhomme qui poussait son gland dans la douceur chaude et humide de sa cavité buccale, devait faire un bon mètre quatre vingt.
Il était velu, et semblait puissant. Son visage doux tranchait avec sa puissance musculaire et son volume. Il avait été sportif cétait certain et même si la cinquantaine avait arrondit son ventre, il dégageait une grande impression de force.
Lautre plus sec et semi épilé avait un visage assez fermé. Il était musclé, mais avait su résister aux rondeurs que nous inflige fréquemment la nature à notre entrée dans la pleine maturité. Bref, il était mince ... scandaleusement mince et parfaitement proportionné. Les abdos saillants les pectoraux parfaitement entretenus.
Il sapprochât de moi et me glissa à loreille :
« Il paraît que tu aimes sucer alors
distingue toi. »
Se disant, il avait appuyé sur ma nuque pour magenouiller et me « forcer » à le sucer.
Honteux, je constatais avec une pointe damertume, que mes précédentes aventures avaient entamé mes réticences et que je ne mis pas longtemps pour accepter de me mettre en position et laccueillir dans ma bouche.
Jaimais même sentir la douceur dun gland contre mon palais.
Je pensais que Sophie et moi faisions exactement la même chose et je me remis à bander sourdement
imperceptiblement
enfin cest ce que jespérais.
Du coin de lil, je voyais Sophie sucer cet inconnu pendant que SON maître lui pistonnait toujours la chatte.
ALLAN la faisait encore onduler mais ne la laissât pas jouir complètement se retirant avant lassaut des vagues de plaisir qui menaçaient de submergée la gentille et docile soumise
peut-être encore convaincue de se livrer à un trio avec son mec et son maître.
Lhomme que je suçais, me repoussa assez doucement avant de venir sinstaller entre les cuisses toujours ouvertes de ma tendre amoureuse. Il se couvrit rapidement la bite et senfonçant précautionneusement dans cette chatte ouverte ; accueillante, impatiente même. Dés quil fut en elle, il la pistonna sur le même rythme que lui avait imposé ALLAN juste avant
Puissamment mais avec une grande tendresse ce qui contrastait avec limpression densemble que ce particulier là dégageait.
« Vois comme elle se donne
Elle sait sans doute, mais regarde comme elle accepte, comme elle les accueille en elle. Nest-elle pas magnifique comme ça ? »
« Si
maître. Elle est splendide. »
« Bien, je vais continuer son dressage. Suis moi. »
ALLAN me poussa vers la porte et mamena en silence dans le vestibule. Il ouvrit sans bruit la porte qui donnait dans le couloir.
Quallait-il arriver maintenant ??? Je croyais quaprès mavoir accordé le bonheur de faire lamour à Sophie, il avait juste décidé de « reprendre la main » en loffrant à dautres et que jallais devoir assister à la scène en spectateur
Las, il nen était rien et je compris ce quil attendait de moi lorsque je vis
DEUX AUTRES HOMMES à la porte !!!
« Tu vas bien toccuper de ces messieurs comme une bonne petite salope. »
Sadressant aux deux nouveaux, il leur dit :
« Elle est à vous dressez là comme il faut, sans trop de bruit. Je retourne moccuper de Sophie ma soumise docile. »
Jétais estomaqué. Je restais sans réaction, les jambes tremblantes, le cur affolé. La transition était brutal et je passais sans avertissement dun trio où je participais, partageais, au rôle de salope quALLAN avait décidé pour moi.
Jétais comme un boxeur, sonné, sans énergie dans un état indescriptible.
Je me laissais faire lorsque le grand noir devant moi, me mit à genoux et mimposa de lui ouvrir le pantalon en guidant mes mains vers sa ceinture.
Lorsque ce fut fait, je défis mon suborneur, lui baissais le pantalon et le boxer laissant un imposant priape sortir de sa prison comme un beau diable !
Une main derrière ma nuque qui mimpose un mouvement vers lavant, un gland contre mes lèvres
jouvre la bouche, il sy glisse
Je suce
(encore !). Me voilà soumis/soumise complaisant et offrant ma bouche à ce noir musculeux et un peu bedonnant quoiquathlétique.
Lautre, plus jeune, la quarantaine frisotante maigre et musclé, la mâchoire carrée se désapait entièrement et prenait ma main pour y glisser une bite encore souple mais dun diamètre inquiétant au repos.
Je tentais dy jeter un il, geste vite interrompu par celui que je suçais et qui, visiblement, ne tenais pas à me laisser me perdre en vaine contemplation préférant asservir ma bouche pendant que je branlais son compagnon.
De lautre côté de la porte, jentendais les murmures de mon aimée, qui devait être secouée en tous sens par les hommes avides de profiter de laubaine que leur accordait ALLAN.
Ses cris étaient étouffés ce qui voulait dire quelle avait une bite dans la bouche
comme moi. Cela voulait dire aussi quon la ramonait dimportance par ailleurs.
Je ne savais rien de ce qui se passait, mais nul doute quALLAN allait « dresser » SA soumise pour quelle acceptât les traitements quil lui réservait
docilement
Le petit maigre avait fait le tour. Je sentais quil sintéressait à mon cul et quil commençait à me le préparer pour la suite. La froideur dun gel, un doigt inquisiteur.
Un autre doigt, une fouille profonde, mon anneau qui sécarte et souvre sous lintrusion.
La même gêne que lautre jour.
Un gland qui pèse sur ma corolle qui souvre lentement mais surement. Une bite menvahit me tirant des gémissements assourdis par cette autre bite qui encombre toute ma bouche !!!
Armand, le grand black me mit un collier de soumission autour du coup en me disant :
« On va te dresser en bonne salope, mais comme il paraît que ta belle naime pas trop te voir comme ça, on va rester ici tous les trois. »
« Si tu nes pas obéissante, on prendra une autre chambre où tu pourras crier tranquille. Cest ce que tu veux ? »
Les larmes aux yeux à cause de cette sodomie qui réveillait de récentes douleurs, je réussis à dire doucement :
« Non, monsieur, je serais
; obéissante. »
« ALLAN nous avait prévenue que tu avais toute la motivation requise. Ouvres ta bouche et pompe moi salope. »
Je repris ma tâche docilement. Ils se retirèrent de moi. Jétais épuisé par ce que je devais subir en silence. Armand se couvrit la bite pendant que Bertrand enlevait son préso et me présentait sa bite à sucer.
De nouveau dans mon dos, les mains dun homme
Un autre gland sur mon illet qui béait de la précédente pénétration.
Encore cet écartement, cette douleur qui revient, plus forte
ce nest pas la même longueur. Le diamètre est un peu plus petit mais la longueur par contre
« HUUUUUUUUUUU »
fis-je le plus discrètement possible.
Je me demandais si Sophie était dans la même position que moi
Un homme dans sa bouche et un autre entre ses fesses.
ALLAN nous obligeait à vivre côte à côte une expérience inédite où nos esprits atteignaient le même bouillonnement que nos corps asservis.
Jentendais les cris étouffés de Sophie, le lit grincer.
Bertrand se retirât de moi et sallongea sur le canapé. Armand me releva et me poussa vers son compagnon afin que je mempale sur lui. Javais un peu peur de la suite
Etre une salope silencieuse nest pas un rôle facile et avec ce que javais accepté, je métais mis (mise ?) dans une position où je pouvais difficilement refuser la suite des évènements.
Armand maida à mempaler écartant mes fesses et il mappuya sur les épaules pour que la sodomie fût complète.
Il me pencha en avant vers le visage de Bertrand qui lui, mattrapa la tête pour membrasser très profondément
COMME UN AMANT !!!
Cétait la première fois que je roulais une pelle à un homme. Jétais extrêmement gêné car javais REELEMENT limpression que les deux hommes me faisaient jouer le rôle dune femme
une salope qui plus est. Ma virilité en prenait un fameux coup !
Armand maintenait la pression sur mon dos et je sentis contre mon cul un frottement.
Une pression supplémentaire sur mon anneau déjà ouvert
et toujours encombré par la bite de Bertrand. IL ETAIT EN TRAIN DE METTRE UN GODE DANS MON CUL!!!
« HUUUUUUUUUUUUUU !!! » criais-je dans la bouche de celui que jembrassais.
« Chutttt !!!Tais toi salope, on est en train de bien touvrir pour tapprendre à toujours être disponible. Et puis
tu seras prête pour une éventuelle double
»
Ma tête explosait, je ne savais plus où jen étais, cette langue qui tournait dans ma bouche, ma condition de salope soumise qui semblait prendre un caractère définitif, et mon cul ouvert sur une bite PLUS un gode !!!
Armand, après avoir arrimé le gode se mis devant moi et
jouvris la bouche, presque naturellement, accueillant son sexe droit comme une obélisque noire !
Ils me firent subir une cavalcade denfer, Armand faisait aller et venir le gode en même temps que la bite de Bertrand. Bizarrement la douleur était moins vive. Elle devenait plus sourde. Régulières et profondes les pénétrations écartaient les parois de mon anus dilaté et semblaient assourdir la douleur.
En moi même je me disais :
« HO NOON !!! JE VAIS QUAND MEME PAS ME METTRE A AIMER CA !!! ».
Soudain, javais peur de ce changement, cette transformation. Il y avait toujours la douleur, mais, alors que mon cul était ouvert comme jamais, je la sentais paradoxalement moins gênante ??!!!?? Je mhabituais à cet encombrement, je ne rechignais plus à sucer la bite qui se présentait à moi
Cétait évident désormais :
JE DEVENAIS BI !!!
La porte souvrit. ALLAN apparut demandant doucement :
« Alors elle en est où. »
« Elle se laisse bien faire, elle est bien docile et elle a lair de commencer à aimer même» dit le black.
« Ouais, dit celui que je suçais
écoute comme elle commence à gémir
»
CETAIT LE CAS en effet!!! Je gémissais et ne savais plus si cétait de la douleur, du plaisir, létrangeté de la situation, les soupirs de Sophie qui continuait à côté
ALLAN me pris le menton :
« Alors tu commences à comprendre ce que jattend de toi ma salope ? »
« Oui maître je comprends. »
« Tu es belle en salope. Dis moi, tu as lair daimer ce que tu es devenue en effet. Nest-ce pas ? »
Perdu, je répondis :
«
Je ne sais pas
maître, oui, je crois »
« Ques tu devenue ma belle ?dis le à ton maître ! »
« Je suis devenu votre salope
maître »
« Cest parfaitement ça ! Viens voir comme Sophie est bien dressée maintenant. »
Armand me retira le gode et Bertrand sorti de mon cul. Je sentais que mon anneau ne se refermait pas
« Voilà, tu es très belle comme ça, le cul ouvert. Allez suis moi en silence. »
Il attacha une laisse à mon collier et me tira vers la chambre.
Je me levais, les jambes en coton, mal aux genoux et suivis doucement ALLAN. Sophie était à califourchon sur un homme qui la tenait aux hanches. Elle se frottait sur son ventre davant en arrière sentant sans doute ses poils contre les siens.
Elle avait les yeux fermés et suçait consciencieusement la bite de celui qui était debout face à elle.
« Tu vois, elle est bien dressée maintenant, elle sait que tu nes plus là, mais elle continue de sucer les queues que je lui donne. Regarde là arrondir les lèvres autour de cette bite. Elle a lair de savourer ces tiges non ? »
«
Oui, je vois
maître. »
« Approche toi et tu vas voir.
Je fis ce quil me demandait et je vis !!!
Elle était en train de se faire enculer par cet homme quelle navait pas encore vu puisquelle avait toujours le bandeau sur les yeux !
« Je tai fais venir pour assister à sa première double. Dressée comme elle lest maintenant, elle ne me le refusera pas. Je vais même te faire un cadeau !»
Il sallongeât sur le dos près du trio. Celui qui lenculait se détacha de Sophie, qui se mit à gémir de ce vide. Celui quelle suçait se retira aussi la laissant haletante. Il la pris par les épaules et linstalla sur ALLAN qui pointait sa bite et entra dune traite dans ce sexe largement ouvert et dégoulinant, si jen jugeais par les traces dhumidité sur les draps.
Elle soupira doucement.
Le maître lenlaçait maintenant et lembrassait à pleine bouche. Le reconnaissant, elle se donnait à lui avec un empressement que je ne lui avais guère connu
quavec moi !!!
Sophie dut sentir que le lit saffaissait derrière elle et peut-être que, dans les brumes de ses plaisirs, savait-elle ce quon lui réservait.
En tout cas, elle ne réagit pas. ALLAN lui murmura quelque chose à loreille et je la vis comme dans un rêve opaque, lancer ses mains derrière elle et
ECARTER ELLE MEME SES FESSES !!!
Armand, cétait lui, pointa son gland et appuya avec dinfinies précautions sur le centre du cul de Sophie qui souvrit lentement pour laisser la place à ce gland épais.
Pour lavoir sentis en moi, je savais que cétait le passage le plus dur
Après ça, la corolle lâchait prise, le gland passait rapidement la barrière (coupant le souffle) et la pénétration pouvait alors commencer.
Cest ce à quoi jassistais. Sophie eût bien le souffle coupé et juste après, elle se mit à crier dans la bouche de son maître, pendant que je voyais la bite dArmand disparaître complètement entre les fesses écartées de ma tendre.
ALLAN regarda dans ma direction et me sourit dun air de dire :
« Tu vois comme je lai bien dressé MA soumise
»
Il tendit la main et Bertrand lui donna la laisse. ALLAN mamena devant Sophie qui gémissait toujours entre les dents de SON maître. Il me fit un clin dil et je compris lorsquil pris SA soumise par les cheveux pour lui lever la tête vers mon bas ventre.
Javançais vers sa bouche, ouverte sur dinterminables soupirs et je posais mon gland sur ses lèvres.
Elle soupira car ALLAN lui imposait une nouvelle épreuve puis, sans aucun signe de réticence, elle referma ses lèvres sur mon gland et se mit à me sucer en gémissant.
Le maître lui ôta alors le bandeau des yeux. Sophie battit des cils pour shabi à la lumière. Elle leva les yeux vers moi après avoir regardé notre suborneur et sans plus se soucier de savoir qui était dans son cul, elle me suça avidement.
Quelle fierté de la voir accepter ainsi, pour moi, SA PREMIERE DOUBLE enchainée avec sa PREMIERE TRIPLE !!!
. Dans son dos, Sophie sentit quArmand se retirait de son cul
Immédiatement remplacé par un autre quelle ne voyait pas mais quelle accueillit avec un gémissement sourd étouffé par ma bite. ALLAN et les enculeurs, alternaient parfois leurs mouvements. Dautre fois, seul celui qui sodomisait mon amour bougeait lentement.
Une grande impression de douceur émanait de nos quatuors. Il était parfaitement clair que ce qui était recherché était le plaisir de tous les participants
En commençant par celui de Sophie, la reine de cette fête des sens.
On tira sur la laisse pour que je cède la place. A regret, je quittais la bouche de mon aimée.
ALLAN prit la tête de Sophie à deux mains.
« Alors ma belle soumise, tu aimes ce que ton maître te fait découvrir ? »
haletante secouée de spasmes et par ses partenaires mais souriante, elle répondit :
« ..Ou
Oui
Maî
Tre Jaim
heuu »
« Tu es très belle ainsi offerte docile Sophie. Tu aimes la triple ? »
Elle rougit intensément sapercevant du monde quil y avait dans la chambre, mais trouva la force de répondre :
« Oui
Maître, jaime bien
»
Armand entra dans son champ de vision
Elle qui navait jamais, malgré ses envies, eût de rapport avec un homme noir, le regarda surprise. Comprenant ce qui se passait, elle regarda ALLAN linterrogeant du regard.
« Ouvre la bouche et suce Armand jolie soumise. »
Elle obéit après un petit temps dhésitation interrompu par une claque assez légère sur ses fesses.
Je la vis ouvrir la bouche et prendre Armand entre ses lèvres alors que derrière, un nouveau changement sopérait
Un nouveau cavalier.
Sophie ferma les yeux et commença à chalouper avec ses partenaires. La sarabande continuait dans un concert de soupirs de tendresse et de douceur.
Je la voyais fermer les yeux. Je lentendais gémir. Elle se mit à griffer les épaules dALLAN.
Ca y était, un nouvel orgasme pointait doucement le bout de son nez.
Je neus pas le loisir de rester spectateur car Bertrand tira sur la laisse et me mit à genoux
Docile et comprenant ce quil voulait je le pris entre mes lèvres serviles sous le regard goguenard dALLAN qui semblait savourer son emprise sur nous.
Il avait réussit à faire de notre couple, un couple de soumises. En deux séances, il avait transformé un couple illégitime classique en une paire de salopes obéissantes, dociles et volontaires pour accepter les ordres quil nous donnait
Et les exécuter sans rechigner.
Nous étions ainsi, moi à genoux en train de faire une belle fellation et Sophie prise en triple par ALLAN et deux hommes QUELLE NAVAIT JAMAIS VU !!!
Notre transformation était complète. Au milieu de cet énième orgasme qui dévastait les traits fatigués de ma belle Sophie, je vis lhomme poilu et ventru sapprocher de Bertrand et moi.
« Jai jamais enculé un mec
Je peux ? »
Fit-il à ladresse de celui que je suçais.
« Oui, bien sur
Elle est là pour ça nest-ce pas salope ? »
« Oui, Monsieur »
« Hé ben, mais dis le !!! »
« Oui, je suis là pour ça
»
Je reçus une gifle cinglante.
« Tu es quoi ? »
« Je suis une salope et je suis là pour sucer et donner mon cul monsieur. »
Mempressais-je de répondre.
« Voilà cest bien. »
Le nouveau membrocha dune traite et je fus étonné de ne plus ressentir la même douleur que tout à lheure
Troublante évolution
Bouleversant changement.
Autour de nous, le silence était peu à peu retombé. Sophie émergeante de son brouillard extatique me regardait faire le regard captivé, accroché par la scène, les mouvements, les balancements quimprimaient mes amants à mon corps éreinté.
Celui qui ondulait dans mon cul ne put se retenir et se mit à jouir au fond de moi et de la capote.
Je sentais parfaitement les soubresauts de sa bite.
Bertrand sorti sa bite de ma bouche et marrosa de son jus.
« HOOOOOO !!! » Sophie exprimait sa surprise la bouche arrondit les yeux écarquillés.
Lorsque ce fut fini, je tournais ma tête vers elle, le visage maculé de traces blanches et légèrement mousseuses qui barraient mon visage.
Elle madressa un sourire attendrit et je vis ses lèvres dessiner un « JE TAIME » silencieux
Le gars un peu sec et Armand sapprochèrent de Sophie et ALLAN lui dit :
« Branles les, suces les et fini les ! »
Rougissante, elle prit une bite dans chaque main et les suça alternativement.
Excités comme ils létaient par lambiance, les odeurs qui flottaient dans la chambre et par les attentions habiles de Sophie, ils ne tardèrent pas à jouir sur sa poitrine et ses épaules.
ALLAN prit dans son sac à dos, une bouteille et des gobelets plastiques, fit sauter le bouchon et nous servit.
Nous bûmes, épuisés mais souriants. Les invités se rhabillèrent et prirent congés de nous trois.
Sophie avait commencé à messuyer. Javais pris la serviette et avait enlevé le plus gros du jus qui avait coulé sur sa fantastique poitrine, lorsque quALLAN revint et me claqua la tête :
« Avec la langue salope ! »
Je me penchais sur les seins de ma tendre pour lécher les dernières traces de sperme et finir de la nettoyer.
« Parfait, venez me finir tous les deux avec vos jolies bouches soumises. »
Nous agenouillâmes devant notre maître et commençâmes à le sucer à deux. Il passait dune bouche à lautre. Une main sur chacune de nos têtes qui montaient et descendaient le long de la tige ou sur le gland pour le faire durcir.
ALLAN poussa ma tête vers ses couilles pendant que Sophie le suçait goulument. Je les prenais en bouche, y passais ma langue, les cajolais.
Nous lexcitâmes un long moment jusquà ce quil nous rapproche lun de lautre :
« Embrassez vous sur la bite de VOTRE maître !
Oui, cest bien comme ça
Un peu plus vite
voilà
Encore !!! BUVEZ MOI MES SOUMISES
AVALEZ TOUT !!! »
Il se mit à jouir de façon saccadée. Son jus sautait entre nos lèvres et dans un réflexe de soumises, Sophie et moi essayions de nous le partager
sans trop lavaler, lèvres closes.
Il me prit la tête à deux mains et senfonça entre mes lèvres :
« BOIS SALOPE !!! »
Je reçus deux jets sur la langue. Il se retira et passa à Sophie :
« FINI MOI SOUMISE !!! »
Les dernières gouttes de la jouissance furent pour elle. Javais gardé le jus sans lavaler. Sophie avait fait la même chose que moi.
« Partager vous mon jus, embrassez vous. »
Nous enlaçant tendrement, nous nous prîmes les lèvres. Dabord timidement puis plus franchement, nos langues se mélangèrent nous permettant de partager les sécrétions du maître.
« Jespère que vous avez aimé cette séance mes agneaux. »
Ensemble nous répondîmes :
« Oui maître »
« Cest parfait je suis fier de vous deux. »
Sophie, commençait déjà à se rhabiller pour repartir chez elle. Elle embrassa ALLAN le remercia au creux de loreille :
« Merci pour ces expériences maître. »
Elle vint tout sourire se coller à moi pour glisser sa langue dans ma bouche en un baiser langoureux et passionné.
« Maintenant, tu es parfaitement Bi mon cur je suis très très fière de toi amour. Je taime. »
« Merci ma tendre. Je taime aussi. »
Elle partit dans un frou-frou silencieux de rouge et de noir. La porte claqua sur la fin de la journée
« Te voilà transformée je suis fier de toi ma salope ! »
Je commençais à rassembler mes affaires pour me vêtir lorsquALLAN me tendit un gode ceinture.
« ??? »
« Mets toi ça, il faut profiter de cette journée pour maintenir les progrès réalisés. »
« Mais
maître, comment ça ? »
«ARRETE DE DISCUTER SALOPE !!! Enfile toi ça. Cest plus petit que ce que tu as pris aujourdhui alors fais pas ta mijaurée et fais ce que je te dis. »
Jarrimais le gode et me rhabillais.
« Je vais conduire avec ça ? »
« Tu ne te souviens déjà plus que tu ne dois pas discuter
Ni de qui tu es ??? »
« Si, excusez moi maître, je sais je suis VOTRE salope. Je vous obéis. »
« Parfait, habilles toi et on y va. »
Une fois vêtus, nous repartîmes et je conduisis ainsi harnaché jusquà notre destination.
« Bon, à partir de maintenant, lorsque je te donnerais des consignes
pardon, des ORDRES, jEXIGE que tu y obéisse sans discuter cest bien compris ma petite salope ? »
Jétais scié !!! Le jeu débordait désormais du simple cadre de nos jeux. Je trouvais la force de lui dire :
« Mais maître, on avait dit que le jeu se limitait à la chambre non ? »
« NON, le jeu ne se limite à rien en dehors de MA volonté !!! Si tu veux faire encore des trio avec Sophie et moi, tu OBEIS !!! Sinon je recommence lexpérience daujourdhui seulement, je tenverrais dans une autre chambre et tu ne verras rien !
Tu sais, puisque tu las vu, que Sophie est maintenant bien dressée, et tu sais quelle acceptera ce que je lui impose. Donc, tu as tout intérêt à accepter mes ordres sans discuter cest bien clair ? »
Vaincu, je répondis :
« Oui maître cest clair, je vous obéirais sans discuter. »
Pour acter notre accord, il me tendit une clé USB
« Tu verras ce que tu as manqué
cest magnifique tu verras
salut petite soumise. »
Il descendit de la voiture et je le vis séloigner dans la pénombre du jour qui déclinait doucement.
Jétais devenu(e) Bi et complètement soumis(e) en si peu de temps
Javais vu la femme que jaime accepter son dressage et sa nouvelle condition de soumise et jen étais tout(e) retourné(e)
Je rentrais et visionnais les vidéos. La lente soumission, le lent dressage de ma tendre Sophie
Ce sera peut-être pour une autre fois
ou pas.
Vous qui savez, remplissez donc les vides
tous les vides
Prenez la place imaginaire dun des invités
Ou la mienne ;)
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