Ta Vie Va Devenir Un Enfer 4

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je me réveille, nous sommes jeudi matin il est 6h30.
J’ai dormi sur le canapé, Fanny a ronflé toute la nuit, j’ai migré vers 4 h00 dans le salon.
En me réveillant, je bande encore, je repense à l’humiliation faciale que j’ai fais subir à ma voisine.
Fanny se lève à son tour, vient me voir sur le canapé et m’embrasse.
_ Tu n’as pas encore dormi avec moi cette nuit ? Me dit-elle en me serrant dans ses bras.
_ Un peu,mais vers 4h tu t’es mises à ronfler.
_ Je suis désolée mon amour. Tu m’en veux ?
_ Mais non, ne t’inquiètes pas.
Elle se lève, part vers la salle de bain , se déshabille et prend sa douche.

J’ouvre les volets de la cuisine, puis du salon, je tourne un peu en rond. Je ne pense qu’à Ingrid. Je bande comme un malade. Je n’ai qu’une envie c’est que Fanny parte au travail. J’ai envie de me branler et surtout de récupérer le téléphone de Fabrice et voir si je peux baiser Ingrid, encore, ce matin.

Trente minutes plus tard, Fanny part déjeuner. Je suis en train d’étendre le linge de la machine.
Elle est toute belle ce matin. J’ai presque envie de lui faire l’amour.
_ Tu vas faire quoi aujourd’hui ? Me dit-elle en pénétrant dans la cuisine.
_ Tu sais, rien d’extraordinaire, je vais faire un peu de musculation puis je vais aller courir. L’après midi, je vais me regarder un film.
_ Un bon programme de chômeur.
Elle me regarde et sourit, j’ai l’habitude de ce genre de remarque. J’ai de la chance d’avoir beaucoup de vacances. Je termine de mettre l’épingle à linge sur le dernier short, je m’approche vers elle, l’att par la taille. Elle a le plateau avec son petit déjeuner en mains.
_ Attention, tu vas me faire faire tomber mon bol.
_ On s’en fout de ton bol, lui dis-je en commençant à lui palper son sein gauche.
Elle fronce les sourcils, je vois que ça ne lui plaît pas.


_ Qu’est ce que tu fais ?
_ Ben tu vois bien, j’ai envie de te faire l’amour, là, maintenant, lui dis-je en l’embrassant dans le cou.

Elle bouge ses épaules de gauche à droite pour se dégager.
_ J’ai pas le temps et en plus j’ai faim.
Elle s’assied sur le canapé, pause son plateau sur la table basse l’air bougon.
_ Si tu as faim, tu peux manger ma bite.

Je comprends de suite que j’ai fais une connerie. Sa tête se tourne vers moi .
_ Pardon ? Tu me prends pour qui ?
_ Excuse moi, je ne sais pas ce qu’il m’a prit.
_ Tu n’es pas bien toi. Je t’avais proposé de faire l’amour hier soir et tu n’as pas voulu. Maintenant, c’est trop tard.

Je m’assieds également sur le canapé en prenant mon petit déjeuner. L’ambiance est tendue, heureusement que nous avons la télé.

Vingt minutes plus tard, Fanny part au travail, elle me fait un baiser sur les lèvres de simple formalité. C’est pas grave, je sens que la journée va être bonne, très bonne.

Il est presque 7h30. Je récupère le portable de Fabrice toujours planqué dans mes affaires de travail.
Je l’allume pour voir si Ingrid a envoyé un sms ou à essaye de le joindre.
Un message hier a 1h23

« • Je n’ai pas aimé ton attitude de ce soir, je ne comprends pas pourquoi tu m’as fait subir ça. Je ne sais pas si je veux continuer le petit jeu avec toi et même de continuer notre relation. »

Merde, il faut que je ratt le coup si je veux continuer de la baiser.
Je prends le téléphone de Fabrice, pars m’installer sur le canapé. Je lui envoie un sms:

« • Coucou chérie, je suis désolé de mon comportement d’hier soir. C’est l’excitation de la situation qui m’a fait commettre cette horrible chose. Je suis désolé, je t’aime fort, je ne veux pas te perdre. J’adore ce petit jeux, je ne veux pas qu’on l’arrête, enfin si tu es d’accord. Je te promets que je serais plus doux maintenant. »

J’appuie sur envoyer.
Je suis impatient de connaître sa réponse. Je vais attendre une petite demi-heure et si elle ne me répond pas, je vais faire ma musculation.

Au bout de trente-cinq minutes, pas de réponse. Je décide de partir faire ma musculation. Je termine ma séance vers 9h45, je transpire comme un âne. Je pars sous la douche.
En sortant, j’entends le téléphone vibrer.

VVVVVV VVVVVVVVVVV V

Je suis pas sec, je suis trempé, mais je regarde. C’est Ingrid, j’ai tellement envie de savoir ce qu’elle a dit.

« • Je t’aime aussi mais ça était dur toute la nuit, j’ai beaucoup pleuré.
Je veux bien continuer ce petit jeux, mais plus de violence comme ça. »

Je bande comme un âne, je suis tout excité, je m’empresse de répondre.

« • Je suis désolé mon amour. Pour me faire pardonner, ce matin, je vais faire sexuellement ce que tu as toujours eu envie. Ça te va ? »

Je termine de me sécher, j’enfile un caleçon et ma tenue pour aller courir au cas où.
Je me dirige vers la cuisine pour aller grignoter un morceau.

VVVVV VVVVVVVVVVV

« • Je sais pas si j’en ai envie, c’est peut être un peu trop tôt. »

Merde, laisse toi faire ma petite pute d’Ingrid, j’ai envie de toi. Il faut que j’arrive à la convaincre.

« • Allez mon amour, ce n’est que pour toi ce matin. Je veux que tu en profites. Je ferais ce que tu veux. »

L’attente de sa réponse devient interminable. J’ai besoin de baiser, de sentir son corps.

VVVV VVVVVVVVVV

« • Franchement, j’ ai pas trop envie, mais comme je t’aime, je vais faire un effort. Par contre si ça se passe mal, c’est terminé entre nous. »

Yeeeees ! Je vais pouvoir me vider à nouveau. Je lui réponds :

« • Ne t’inquiètes pas mon amour, tout va bien se passer.
N’oublie pas de laisser ta porte ouverte et de te bander les yeux. Dans 30 minutes c’est bon pour toi ? »

Elle me répond quasiment dans la foulée.


« • Oui, a tout à l’heure. »

Je suis tout excité, je bande comme un porc. Je vais encore me faire Ingrid.

30 minutes plus tard, je descend chez elle. La porte d’entrée est bien ouverte, j’entre. Je n’ai pas mis de cagoule, tant pis je prends le risque. Je progresse dans l’appartement. Dans le salon, rien, je vais à sa chambre. Elle est là, allongée sur le lit, en sous vêtement noir .
Je bande direct. Je la contemple. Elle est devant moi, sans défense, à ma merci.

Je fais le tour du lit, je m’approche d’elle, je l’embrasse délicatement sur ses lèvres. Elle sursaute et me dit:
_ C’est toi Fabrice ?

Merde je peux pas répondre, sinon elle comprendra la supercherie. Je prends délicatement sa main droite, la pause au dessus de ma tête et je fais un mouvement de bas en haut pour lui confirmer que c’est bien moi.

Je continue à l’embrasser tendrement, j’introduis ma langue dans sa bouche. Je la sens tendu.

Je caresse son corps avec ma main gauche, je descend sur les seins, le ventre, puis la chatte.
J’insiste sur son vagin. Je sens ses cuisses assez serré. Je tape délicatement sur les deux pour lui faire comprendre d’ouvrir ses jambes. Ma tête descend légèrement sur son cou, je le lèche. Ma langue parcours son corps, j’entends son souffle accélérer. J’adore son goût, un peu salée, signe de la nuit agitée qu’elle a passée. Je mets ma tête entre ses seins, je sors son sein droit du bonnet. Je le tiens dans ma main et je passe ma langue autour du téton.

_ Annnnnn ! Oui, c’est bon ça Fabrice.

Son corps se soulève légèrement. J’aspire son téton, j’ai ma bite dressé.

Je descend avec ma langue jusqu’à son bassin. J’enlève sa culotte. Sa chatte toujours légèrement velue apparaît. L’odeur est assez forte, je comprends qu’elle n’a pas était lavée.
Ça m’excite encore plus de lui nettoyer.
Je lèche son aine, passe délicatement mes doigts sur ses lèvres inférieures.
Je pose mon nez contre ses petits poils, je respire fort pour sentir l’odeur. Je lèche les lèvres de bas en haut. Elle a un goût salée, un peu de poisson. Je prends du plaisir.
Elle aussi, elle gémit, pose sa main sur le haut de la tête.
J’aspire son clitoris et avec ma main droite, je commence à la masturber.
Je frotte bien ma langue partout, j’avale un peu de cyprine.

_ Aaaaaan Ouiiiiiii ! Continue, vas y !

Ingrid gémit comme une chienne. Je frotte de plus en plus fort jusqu’a ce que ma mâchoire soit endolori.
Je sens la pression de la main d’Ingrid. Malgré tout, je sors ma tête. Il ne faut pas oublier que c’est elle ma pute et c’est moi qui commande.

_ Pourquoi tu t’arrêtes ? Me dit-elle déçu .

Elle m’emmerde avec ses questions. Il faut que je sois réactif. Je sors ma queue, frotte mon gland à ses lèvres et je la pénètre en missionnaire tout doucement.

_ Aaaaaaan Ouiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiii !

Je ne manque pas de lui fourrer ma langue dans sa bouche pour qu’elle goûte à sa chatte.

J’y vais doucement ,mes deux mains sont posés sur les siennes pour pas qu’elle ne bouge. Ma cadence s’accélère.
Elle crie fort, très fort !

DRIIIIIING DRIIIIIIIIING

_ Merde! il y a quelqu’un Fabrice me dit-elle.

Fais chier ! Qui c’est ce con qui vient la déranger un jeudi matin. Il faut que j’intensifie mes coups de rein. Il finira bien par partir .
J’y vais de plus en plus fort. Je la vois subir mes coups violent. Je ne pense pas qu’elle apprécie.

_ DDDD...DOUDOUDO....DOUCEMENT Fabrice ! AAAAAH AAAAAAANNNNN OUUUUUUI !

Son visage est rouge, je transpire et goûte sur elle.

DRIIIIIIIIING DRIIIIIIING

La sonnette me fait sursauter et je sors de la chatte de ma pute.
Je vois Ingrid commencer à remuer et elle me dit :

_Fabrice, je vais aller voir, ça doit être important. Tu m’attends la ?

Merde, je ne sais pas quoi faire, je commence à paniquer.

_ Fabrice ? Réponds moi stp, me dit-elle en commençant à attr son bandeau pour l’enlever.

Je ne lui laisse pas le temps, je la saisit par la taille, la retourne sur le ventre et je viens placer ma bite sur sa chatte en soulevant son cul.
Elle n’a rien comprit à ce qui s’est passé. Je la pénètre. Je la matraque de coup de rein violent. Je vois que son bandeau est détachée. Je plaque bien son visage sur le côté pour qu’elle ne me voit pas.

_ Arrête ! Il faut que j’aille... Oh putain oui ! Vas y ! Plus fort !

Je la démonte comme une chienne. Sa chatte est trempée. Mes couilles vont encore se vider .

_ INGRID IIIIIIINGRIIIIIID ! Tu es la ?

Une voix dehors se fait légèrement entendre . Je la connais cette voix. Elle me dit quelque chose .
Par chance Ingrid n’a rien entendu.
Je continue à la faire crier et quelques seconde plus tard !

_ INGRIIIIIIID C’EST MOI ! Tu es la ?

_ Fabrice, attends, tu as entendus ? ça doit être important ! me dit Ingrid.

Je sors de sa chatte et dans un moment de flottement où je me demandais comment j’allais faire pour partir discrètement, la voix se fait à nouveau entendre.

_ INGRID C’EST MOI, c’est Fabrice ! J’ai perdu mon téléphone hier. Tu peux m’ouvrir ?

Mon visage se crispe, mes mains deviennent moite. Cette fois je suis dans la merde.

Le temps s’arrête le moment d’un instant. Elle commence a essayer de se tourner et me dit:
_ QUOIIII ? Mais qu’est ce que sa veut dire ? Vous êtes qui ....

BAAAAM !

Je panique est assène un coup de poing violent dans le visage d’Ingrid qui ne bouge plus .
Qu’est ce que j’ai fais ? Je prends son pouls, ça va, elle est juste assommée.

Je commence à me lever et je mate sa chatte et je me dis qu’après tout, c’est certainement la dernière fois que je peux la toucher.
Je pose mon gland dessus. Je pousse et j’entre dans sa chatte trempée. Je vois Ingrid se réveiller en sursaut. Je plaque bien son visage dans le coussin pendant que je la baise. J’y vais le plus fort et violemment possible.

_ Aaaaaaah aaaaaaaie Non non stop !

_ Bon je repasserai chérie ! Dit Fabrice dehors.

Au même moment, je sens ma queue explosé et mon foutre partir dans le fond de la chatte d’Ingrid.

Je me sors, la lève en la maintenant de dos à moi. Je me rhabille difficilement. Je tiens ses deux bras dans le dos. Elle ne peut rien faire et ne peut pas me voir.

_ Aiiiiiiiie vous me faites mal, vous êtes qui ? Je vais vous trouver. Lache moi ! Au secours ! AU SECOUUUUURS !
Je l’emmène jusqu’à la porte d’entrée. J’ouvre la porte, je sors et je lui assène un violent coup de pied, puis je referme la porte derrière moi et je m’échappe vite jusqu’à chez moi.

Je grimpe l’escalier comme un dingue, je n’ai jamais était aussi rapide.
J’entre, ferme la porte à clef, je m’assieds sur le canapé. Mon cœur bat à cent mille à l’heure. Je n’ai jamais autant eu peur de toute ma vie.
J’ai bien failli me faire avoir cette fois.
J’allume la télé et j’essaye d’adopter un comportement normal.
Au bout d’une demi heure, pas de signe d’Ingrid, ça veut dire que j’ai su resté discret. Mon cœur s’est calmé mais pas mon angoisse.

En début d’après midi, tout est revenue à La normal, j’ai compris qu’Ingrid ne m’avait pas découvert. Je décide d’aller à la boîte au lettre, comme tous les jours. Je sors discrètement de mon bâtiment. Personne dehors. J’arrive au local, j’entre et ouvre ma boite au lettre.
Merde, encore une lettre comme hier.
Je transpire à nouveau, j’ouvre et...non, c’est pas possible.

L’enveloppe contient plusieurs photos de moi en train de me battre avec Fabrice. Une photo m’inquiete plus particulièrement. C’est le moment où je prends le téléphone de Fabrice.
Au fond de l’enveloppe se trouve un petit mot.

« Apelle moi à ce numéro avant 18h00 ou j’envoie tout ça à ta voisine du dessous . »

Mes mains deviennent moite, je suis dans la merde. Quelqu’un me surveille. Je ne fais plus attention à rien autour de moi. Mon monde, quasiment idyllique est en train de se casser la gueule.

Je retourne chez moi. Je commence à pleurer en me demandant ce que je vais bien pouvoir faire. De toute façon, je n’ai pas le choix. S’il veut de l’argent, je lui en donnerai.

Je m’assieds sur le canapé, je compose le numéro. Ça sonne, un homme décroche:
_ Allo ?
_ Qui êtes vous et que me voulez vous ? Lui dis-je d’une voix affirmé et ferme.
_ Ah c’est vous, je suis content de ce coup de téléphone. Comment ça va ? Me dit-il d’une voix calme.
_ Dites moi ce que vous voulez ? J’ai un peu d’argent, je peux...
_ Pas au téléphone, ce soir vers 1h00 du matin dans le local des boîtes aux lettres.
_ Attendez, je ne peux...

Il a raccroché. Merde, ce soir Il faut que je règle ce problème.

Pour le calmer, j’allume la console. Je suis en panique, il faut que j’arrive à m’en sortir, pour le bien de mon couple.

Vers 16h10, quelqu’un frappe à la porte .
Mon cœur bat de plus en plus fort. Je me dirige vers la porte. J’ouvre.

Je suis à deux doigts de m’évanouir. Je vois Ingrid vêtue d’un bas de Jogging noir avec une veste rouge. Elle a un jolie bleue au niveau de la pommette droite.
La salope est accompagnée de Fabrice.

_ Qu’est ce qui se passe encore ? Dis-je au couple en évitant de les regarder dans les yeux.

Fabrice prend la parole:
_ Excusez-nous mais hier, quand vous m’avez bousculé, n’auriez-vous pas trouvé mon portable par hasard.

Je vois Ingrid me dévisager. Aurait-elle comprit. Fabrice s’est il ce que j’ai fais a sa copine ?

_ Non , je n’en sais rien.
_ Écoutez, il n’y a qu’à ce moment où j’aurai pu le faire tombé , vous êtes...
_ Vous me traité de menteur ? Je vous dis que je n’ai pas votre portable. C’est clair !?
Je fixe la bouche d’Ingrid, je la vois se lécher les lèvres du bas avec sa langue. Je commence à bander légèrement de nouveau. Il va falloir que je trouve un autre moyen pour continuer à la baiser.
_ Bon, très bien je vous dérange pas plus longtemps. Bonne soirée monsieur me dit-il d’une petite voix.
Ingrid ne dit pas un mot.
_ Oui c’est ça, bonne soirée !

Je claque la porte. Ils ne sont pas convaincus , c’est sur. Il va falloir que je me débarrasse de se téléphone.


Vers 17h30, Fanny rentre du travail, elle est exténuée et je comprends qu’elle m’en veut pour ce matin.
Elle pose ses affaires, part dans le frigo prendre une tranche de jambon et se pose sur le canapé sans me dire un mot.
Je suis à côté d’elle et je lui dis:
_ Ça va mon cœur ?
_ Oui oui.

Ni plus, ni moins. Quand c’est comme ça, je n’insiste pas et on se parle réellement le lendemain.

La soirée passe, pas le moindre mot échangé et comme à son habitude, Fanny dort vers 23h00. Je patiente et vers une heure moins le quart, je descends jusqu’aux boîtes au lettres.

Cinq minutes plus tard, un couple d’une soixantaine d’année entre avec un chien. Je les regarde, ce sont les deux cas sociales de la résidence.
_ Bonsoir me dit l’homme
_ Bonsoir lui dis-je d’une voix affirmé.

Je les voix me regarder de la tête au pied
_ Je suis content que vous soyez venue, me dit l’homme.
_ Alors c’est vous les petits mots.
Je commence à m’approcher agressivement du couple.
_ LOKI ! Crie l’homme.

Le chien se dresse devant moi, aboyant et sortant les crocs. C’est un berger allemand.

Je recule et leur dit:
_ Qu’est ce que vous voulez ?
_ Juste passer du bon temps jeune homme me dit la vieille femme.

Elle a les cheveux grisonnant, tirés en arrière avec une queue de cheval. Ils sont gras. Elle a un visage pas très gracieux. Elle porte des lunettes un peu « double foyer », ronde.
Elle est légèrement en sur poids et porte un jogging avec un t-shirt de groupe de rock.

J’ai peur de comprendre, je demande plus de précision:
_ C’est à dire ?
_ Nous sommes un couple bi qui cherchons un autre couple bi pour du partage. Malheureusement, nous n’en trouvons pas. Mais je pense que ça va peut être changer, me dit la femme en souriant.

L’homme a le crâne rasé, il fait environ 180cm très maigre. Il a une barbe de trois jours grisonnante. Il porte des petites lunettes carré, fumé. Ses dents sont jaunes, enfin celles qui restent. Il porte également un jogging avec un t-shirt de sport .

Je le regarde, sourie et lui dit:
_ Malheureusement pour vous, ce n’est pas mon cas.
Je m’approche de la porte et j’entends l’homme crier « LOKI! »
Aussitôt, le chien aboie et se dresse devant moi.

_ Je crois que l’on ne sait pas bien compris. Ta copine et toi, vous allez faire ce que l’on veut. Si tu refuses, j’envoie toutes les photos à Ingrid. Je me suis bien fait comprendre ?

Je me décompose, jamais Fanny acceptera ça. Elle est déjà de nature jalouse et en plus de ça ils sont ignobles.
Malheureusement, je n’ai pas le choix. Il va falloir jouer le jeu, le temps que je trouve une solution. Je vais leur dire oui et je m’occuperai d’eux plus tard.

_ Très bien, j’accepte.

Le couple sourient. L’homme tends la laisse du chien à sa femme. Il baisse son jogging et son caleçon. Il sort sa queue.
_ Alors, tu vas nous donner un petit avant goût maintenant me dit-il en me faisant signe avec sa main d’approcher.
Je reste au fond du local. Tout mais pas ça.
_ Ne soit pas timide, viens et enlève ton pantalon toi aussi, me dit la femme.
La vieille accroche la laisse du chien à la poignée de la porte.

_ Quoi? non, pas ici, pas maintenant.
_ On va juste se branler, n’ai pas peur. On va faire ça par étape me dit l’homme en astiquant son sexe.

Je n’ai pas le choix, je m’approche, baisse mon survêtement et sors ma queue. Le vieux est face à moi. Il saisit ma queue. J’ai envie de lui éclater les dents qui lui reste.
Avec son autre main, il saisit ma main droite et me présente sa bite.
Je l’ai dans la main, je commence à le masturber. Je sens qu’il adore ça . Moi je déteste la sensation. Je bouillonne au fond de moi. J’ai envie de leur faire du mal.
Sa femme, pose sa main droite sur mon cul, et sa main gauche sur celui de son mec.
Au bout d’une minute, je sens l’homme se tendre et jouir sur moi. J’ai son sperme qui s’est collé sur mon Marcel bleue.
J’ai envie de le tabasser mais c’est impossible.
_ Alors tu ne veux pas jouir ? Me dit l’homme en me branlant de plus en plus fort .

Il me branle de plus en plus fort. Sa femme me caresse ma queue aussi.
Quelques instants plus tarde, j’éjacule dans sa main. Très peu de foutre sort.
Je m’écarte vite et remonte mon pantalon. Je le vois se lécher les doigts. Sa femme le fait également et se délecte de mon sperme chaud.

_ Je peux y aller ? Dis-je au couple.
_ Oui, surveille ton portable, on va se revoir bientôt.

Je rentre chez moi, abattue par la situation. Je pars à la salle de bain, je me change et cache mon Marcel bleue dans mes affaires de travail .

Quelques instant plus tard, je pars me coucher.

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