Pièce Blanche

Me voilà dans une pièce blanche, les murs sont blancs, l’éclairage vient du plafond, les sièges sont blancs. Il y a des hommes, tous nus avec un collier noir, et des femmes, en tenue de cuir, soit body, soit bandeau et string, noir. Moi-même suis intégralement nu, mais je n’ai pas de collier. J’avance dans la pièce, les hommes me dévisagent.

Une femme me fixe, et m’attire de son seul regard. Elle est assise sur un fauteuil blanc, porte un body en cuir noir, et tient à la main un petit collier noir. Elle me fait signe d’approcher, dégrafe son body à l’entrejambe, écarte les pattes et me présente une chatte lisse, surmontée d’une petite touffe de poils brun, comme sa chevelure.

Je me mets à genoux, et approche ma bouche de sa fente, je souffle doucement dessus, puis passe ma langue sur les grandes lèvres, je passe, je repasse, j’insiste un peu en bas pour écarter les lèvres, l’arrive à l’entrée de sa petite grotte, là où la cyprine coule doucement, elle est salée et a très bon gout. Ma langue s’attarde à ce niveau, puis remonte doucement le long des petites lèvres, je saute le gland pour m’attarder sur le capuchon du clitoris, qui devient ferme sous ma langue, je redescends vers le bas, ma langue dessine des arabesques autour du gland et des petites lèvres, madame ondule sous la caresse, la cyprine coule…

Le clitoris gonfle et se tends, madame ondule de plus en plus, la cyprine coule… je bande… je sens des mains qui me caressent, le dos, les fesses, les boules, la queue… un doigt s’attarde sur mon œillet, une phalange rentre, ressort…. Je tends les fesses, espérant plus, mais non…

La mouille de madame commence à changer de goût avec la tension qui augmente, j’insiste sur le clitoris, qui résiste à ma langue… puis tout d’un coup, explosion, je sens les spasmes traverser sa chatte, je m’immobilise… madame crie sa jouissance…

Elle réajuste son body, me fait approcher et attache autour de mon cou le collier qu’elle tenait en main l’instant d’avant.

Je n’avais pas remarqué la laisse. Elle me tient maintenant comme un petit chien.

Je reste à quatre pattes, elle fait signe à un homme de s’approcher. Sa queue est demi-molle, ou demi-dure, c’est selon. Je la prends dans ma bouche. Je fais rouler le gland sur ma langue, je suce la hampe un peu molle. Sous mes caresses, elle prend de la vigueur et du volume. Je la prends entièrement en gorge profonde, puis je suce vigoureusement. Je sens toujours des mains qui me caressent, un doigt qui me pénètre, deux phalanges, il sort, rentre doucement…

Dans ma bouche, la bandaison est complète, j’ai du mal à tout prendre…. Sur un signe de madame, l’homme se retire, un autre prend sa place, demi-bandant. Sur mon arrière, les choses se précisent : un doigt, puis deux me pénètrent, m’élargissent la rondelle, ressortent, puis un gland se présente à l’entrée, pousse… et toute une queue bien dure s’enfonce jusqu’aux couilles, doucement mais fermement. J’ai du mal à rester concentrer sur ma sucette, avec cette queue qui me prend, méthodiquement, doucement mais en profondeur. Il me tient par les hanches, et se met à aller et venir dans mon fondement avec brio… la queue dans ma bouche prend à son tour volume et fermeté. Celle de derrière a pris sa vitesse de croisière et me défonce maintenant, difficile de couiner avec une queue dans la bouche mais l’esprit y est.
J’écarte les pattes, je cherche la meilleure orientation de mon bassin pour optimiser la pénétration…. Mais je sens les spasmes de l’orgasme de mon sodomiseur et la chaleur de son sperme au plus profond de moi…

Il se retire et simultanément, la queue de ma bouche s’en va, bien dure, et une autre prend sa place, déjà plus en forme que les précédentes ; je présume que c’est celle que je viens de sucer qui me prend le fondement. On va directement à l’essentiel : des coups de queue me secouent…. C’est un peu brutal, mais j’en perds la tête, ou ce qu’il en restait…

Le suivant est un peu plus doux, mais aussi efficace, avec une queue un peu plus longue. Simultanément, une bouche vient s’occuper de ma queue et une main triture mes boules. Assez rapidement, je succombe au plaisir et laisse échapper de grands jets de sperme…